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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art

    J'ai terminé hier:Gainsborough - L'Honorable Mme Thomas Graham

     

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    Gainsborough - L'Honorable Mme Thomas Graham


    Le Musée du Monde - vol. 11

    Prix

    Prix :  5,99 €

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    Description

    L'Honorable Mme Thomas Graham
    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Le onzième volet de cette série met à l’honneur le maître anglais du xviiie siècle, qui a changé les portraits officiels en oeuvres spontanées et expressives.

    Peintre d’un univers idéal où l’homme vivrait en harmonie avec la nature, chantre d’une élégance oublieuse des bouleversements profonds de son temps, Gainsborough (1727-1788) réinvente le monde, pour en livrer sa vision intérieure, sensible et délicate. Aristocrates et personnalités du royaume seront ses commanditaires mais aussi ses sujets d’étude. Ses portraits en pied reflètent autant la psychologie de leur modèle que l’esthétique, les goûts et les aspirations d’une époque. Aussi, lorsqu’il immortalise Mary Graham, noble épouse de Thomas Graham, il campe un art de vivre, une douceur espérée. De la blancheur distinguée de son teint aux détails de sa soyeuse toilette, d’un fragment de colonne classique à une foisonnante et verdoyante campagne anglaise, l’artiste scelle son désir. Car à la ville urbanisée il préfère les paysages champêtres, hérités de la peinture hollandaise de ce xviie siècle qu’il admire. A la rigidité figée des peintures officielles, il oppose des figures aux gestes spontanés, naturels et expressifs. « La principale beauté est l’intention d’un portrait », prônait le peintre, insufflant à ses oeuvres fantaisie, poésie et rêverie – que son rival, Joshua Reynolds, n’hésitera pas à déprécier. Ainsi, au-delà des apparences, Gainsborough est peut-être un peintre frondeur, qui rompra d’ailleurs avec l’Académie et ne cessera d’affirmer sa vision idéale et classique, à l’instar d’architectes nommés Christopher Wren ou Robert Adam. Tel un précurseur du romantisme, le peintre aura offert au monde et à l’histoire une respiration, une échappée belle, une évasion, ce sentiment de flottement et d’inachevé qui ressemble à une idée du bonheur…

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

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  • J'ai terminé cette nuit d'insomnie:L'écorchée

    Traduit de l’italien par Anaïs Bokobza

    Sept ans après s’être mesurée au Chuchoteur, Mila Vasquez travaille aux Limbes, le département des personnes disparues. L’enquêtrice excelle dans son domaine. Peut-être parce qu’elle est incapable d’éprouver la moindre émotion. Ou peut-être parce qu’elle-même porte dans sa chair la marque des ténèbres.
    On a tous ressenti l’envie de s’évanouir dans la nature. De fuir le plus loin possible. De tout laisser derrière soi.
    Or chez certains, cette sensation ne passe pas. Elle leur colle à la peau, les obsède, les dévore et finit par les engloutir. Un jour, ils se volatilisent corps et bien. Nul ne sait pourquoi.
    Bientôt, tout le monde les oublie. Sauf Mila.

    ET PUIS, SOUDAIN, CES DISPARUS RÉAPPARAISSENT POUR TUER.

    Face à eux, Mila devra échafauder une hypothèse convaincante, solide, rationnelle. Une hypothèse du mal. Mais pour les arrêter, il lui faudra à son tour basculer dans l’ombre.

    http://www.donato-carrisi.fr/ses-livres/lecorchee/

  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE

    Sur ma table de chevet: Lady Hunt

    Lady HuntLaura Kern est hantée par un rêve, le rêve d’une maison qui l’obsède, l’attire autant qu’elle la terrifie. En plus d’envahir ses nuits, de flouter ses jours, le rêve porte une menace : se peut-il qu’il soit le premier symptôme du mal étrange et fatal qui frappa son père, l’héritage d’une malédiction familiale auquel elle n’échappera pas ?

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  • Dans mon salon:Tiepolo - L'Immaculée Conception

    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Cette dixième exposition imaginaire dévoile l’univers aérien de l’Italien Tiepolo. Un maître du rococo dont l’oeuvre essaimera dans l’Europe des Lumières.

    L'Immaculée Conception
    Les yeux mi-clos, les mains jointes, les épaules couvertes d’un manteau bleu gonflé d’un souffle céleste, se dresse, telle une apparition, une Vierge idéale et majestueuse. Absente et toutepuissante, habillée de lumière, L’Immaculée Conception, que dépeint en divinité altière et aérienne Giambattista Tiepolo (1696-1770) à la fin de sa vie, est l’archétype de la vision, du discours et de la tradition catholiques. Parée de ses attributs traditionnels – une auréole d’étoiles, symbole de ses douze vertus, des angelots joufflus et bienveillants, un serpent maléfique tenant une pomme… –, elle vient rejoindre les représentations inspirées qu’en ont données plus tôt Guido Reni, Bartolomé Esteban Murillo ou José de Ribera. Car l’art rococo de ce xviiie siècle s’est imprégné de la culture européenne, marqué par les nuances, les variations et les innovations d’un artiste ou d’une école, d’un royaume et d’un empire. Giambattista Tiepolo s’en émeut pour essaimer à son tour hors d’Italie, à la cour des princesévêques de Würzburg en Bavière comme à celle d’Espagne, où il finira ses jours. Le coloriste, formé à la gravure, marie dans son dessin épuré et allusif humilité et grandiloquence, fastes et brumes. Dans ses toiles allégoriques, mythologiques ou historiques, l’air flotte et respire comme une musique venue des cieux. Mais bientôt, son langage dynamique, ses portraits expressifs et ses trompe-l’oeil saisissants se laisseront dépasser par une vision plus sage et ordonnée. Le classicisme aura-t-il eu raison de la passion ? Francisco Goya ne s’y trompera pas. Dans son Miracle de saint Antoine de Padoue, il jouera de tons froids et d’artifices puisés dans l’œuvre de Giambattista Tiepolo, reprenant à son tour pour mieux la transmettre cette vision puissante, vivante et musicale de
    l’éternité comme un socle de modernité.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

    http://boutique.lemonde.fr/catalog/product/view/id/11447/?nouveaute=1

  • J'ai terminé hier soir:Tiepolo - L'Immaculée Conception

     

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    Tiepolo - L'Immaculée Conception


    Le Musée du Monde - vol. 10

    Prix

    Prix :  5,99 €

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    Description

    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Cette dixième exposition imaginaire dévoile l’univers aérien de l’Italien Tiepolo. Un maître du rococo dont l’oeuvre essaimera dans l’Europe des Lumières.

    L'Immaculée Conception
    Les yeux mi-clos, les mains jointes, les épaules couvertes d’un manteau bleu gonflé d’un souffle céleste, se dresse, telle une apparition, une Vierge idéale et majestueuse. Absente et toutepuissante, habillée de lumière, L’Immaculée Conception, que dépeint en divinité altière et aérienne Giambattista Tiepolo (1696-1770) à la fin de sa vie, est l’archétype de la vision, du discours et de la tradition catholiques. Parée de ses attributs traditionnels – une auréole d’étoiles, symbole de ses douze vertus, des angelots joufflus et bienveillants, un serpent maléfique tenant une pomme… –, elle vient rejoindre les représentations inspirées qu’en ont données plus tôt Guido Reni, Bartolomé Esteban Murillo ou José de Ribera. Car l’art rococo de ce xviiie siècle s’est imprégné de la culture européenne, marqué par les nuances, les variations et les innovations d’un artiste ou d’une école, d’un royaume et d’un empire. Giambattista Tiepolo s’en émeut pour essaimer à son tour hors d’Italie, à la cour des princesévêques de Würzburg en Bavière comme à celle d’Espagne, où il finira ses jours. Le coloriste, formé à la gravure, marie dans son dessin épuré et allusif humilité et grandiloquence, fastes et brumes. Dans ses toiles allégoriques, mythologiques ou historiques, l’air flotte et respire comme une musique venue des cieux. Mais bientôt, son langage dynamique, ses portraits expressifs et ses trompe-l’oeil saisissants se laisseront dépasser par une vision plus sage et ordonnée. Le classicisme aura-t-il eu raison de la passion ? Francisco Goya ne s’y trompera pas. Dans son Miracle de saint Antoine de Padoue, il jouera de tons froids et d’artifices puisés dans l’œuvre de Giambattista Tiepolo, reprenant à son tour pour mieux la transmettre cette vision puissante, vivante et musicale de
    l’éternité comme un socle de modernité.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

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  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CELLES QUE J'AIME, NIN Anaïs

    Sur ma table de chevet:Correspondance passionnée

    Correspondance passionnée

    de Anaïs Nin, Henry Miller

    Anaïs Nin et Henry Miller ont entretenu pendant vingt ans une correspondance passionnée. Commencée en 1932, celle-ci s'achève vingt ans après, en Californie, alors qu'ils sont tous les deux devenus célèbres. Récit d'un amour fou, qui fait place peu à peu à la tendresse, ces lettres retracent également l'évolution de leur oeuvre littéraire, permettant d'accéder à des éléments très instructifs et concrets comme les conseils et les critiques bienveillantes qu'ils pouvaient s'adresser. Cette correspondance constitue un document de première main sur l'époque qu'ils traversent et les personnalités du monde des lettres et des arts qu'ils fréquentent.

    http://evene.lefigaro.fr/livres/livre/anais-nin-et-henry-miller-correspondance-passionnee-24341.php

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art

    J'ai lu hier soir:Renoir - Bal du Moulin de la Galette

     
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    Renoir - Bal du Moulin de la Galette


    Le Musée du Monde - vol. 9

     

    Description

    Le « Musée du Monde » décrypte les chefs-d’œuvre des grands peintres. Neuvième maître à révéler  ses secrets, Pierre-Auguste Renoir  raconte à sa manière l’aventure des impressionnistes.

    Bal du Moulin de la Galette
    Tout commence à Paris, dans les années 1860, à l’Ecole des beaux-arts, dans l’atelier du peintre Charles Gleyre (1806-1874), orientaliste, enclin au symbolisme, où Renoir, Monet, Sysley et Bazille font leurs armes. « Rappelez-vous, jeune homme, que quand on exécute une figure, on doit toujours penser à l'antique... » scande le peintre académique à Claude Monet. Chacun en retiendra sa leçon.  Mais plus que tout autre, Renoir (1841-1919) ne cessera d’observer, d’explorer et d’interpréter cette figure humaine qu’il dépeint dans près de six mille œuvres. A Montmartre, le Bal du Moulin de la Galette est un prétexte pour éterniser avec brio une fête éphémère, camper ses amis dans le mouvement de leur danse, comme l’expression d’une liberté de peindre sur l’instant, le vif et le motif. Pourtant, dans la légèreté et l’enthousiasme de son chef-d’œuvre se concentrent les aspirations, les ruptures et les combats de toute une bande d’artistes déterminés à en découdre avec la rigidité et les canons de l’académie alors toute puissante. Au diable le dessin descriptif et figé des aînés. Les fluctuations de la lumière, la souplesse de formes en mouvement, la carnation de visages réjouis éveillent et chantent une peinture nouvelle qui se distingue du naturalisme de l’Ecole de Barbizon ou du réalisme de Courbet. Une force s’anime. Elle entraînera dans son sillage l’Europe entière. Mais Renoir lui offre un destin plus personnel, fondé sur un idéal féminin puisé chez Ingres, Rubens et le Titien. Alors, brossée avec vivacité, sa représentation de la femme, à la fois généreuse, allusive et candide, devient l’icône d’une époque, comme on invente un mythe, comme on fixe l’imaginaire en le faisant entrer dans l’histoire… à la lumière du jour.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

    http://boutique.lemonde.fr/musee-du-monde-09-renoir.html

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, La télévision

    Clap de fin pour Sophia Aram le 20 décembre

     

    Caroline SalléClap de fin pour Sophia Aram le 20 décembreClap de fin pour Sophia Aram le 20 décembre La guerre de l'access[...]l'arrêt du talk-show de Sophia Aram , «Jusqu'ici tout[...]le travail et l'implication de Sophia Aram, des équipes artistiques et de production[...]Sophia ...

  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Les polars

    Sur ma table de chevet:LA FIN JUSTIFIE LES MOYENS

    LA FIN JUSTIFIE LES MOYENS - Anne PERRY

    Anne PERRY

    Traduit par
    Florence BERTRAND
    LA FIN JUSTIFIE LES MOYENS

    L'infâme proxénète Jericho Philips est mort. Pourtant, Monk reste persuadé que d'innocentes victimes souffrent encore. Quand son instinct lui souffle d'aller fouiller dans les activités du beau-père de Rathbone, l'inspecteur sait qu'il ne va pas aimer ce qu'il va découvrir... Dans l'univers du chantage, du vice et de la corruption, les vérités déclenchent des ouragans.

    "Une enquête de William Monk, c'est le dépaysement assuré."
    Michel Parouty, Les Échos


    Traduit de l'anglais
    par Florence Bertrand

    INEDIT

    http://www.10-18.fr/site/la_fin_justifie_les_moyens_&100&9782264054005.html

  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CEUX QUE J'AIME, Picasso Pablo

    Olivier Widmaier Picasso, l'art en héritage

     

    Ne dites pas à Olivier Widmaier Picasso qu'il ressemble à un Picasso. C'est une évidence un peu courte, tant ce brun Méditerranéen - par sa mère Maya, fille naturelle du Minotaure et de la douce Marie-Thérèse Walter - est chez lui dans la tribu des mâles trapus et toniques dessinés par le maître du XXe siècle. Ce gène fort n'est pas vraiment une spécificité, si l'on connaît sa sœur cadette, Diana, belle chasseresse sortie tout droit d'un tableau de la période néoclassique. Ou, plus frappants encore, ses oncle et tante Claude et Paloma, les enfants de Françoise Gilot, que l'objectif de Richard Avedon a saisis en Picasso plus vrais que nature en 1966. Paradoxe ? Ce précieux patronyme lui est venu par les femmes, puisque Picasso était le nom de la mère de Pablo avant de devenir sa signature, en 1901. D'abord nom d'usage ajouté à Widmaier, il est devenu le nom de famille définitif de sa fratrie, en 2003, par décision de Jean-Pierre Raffarin, alors premier ministre.

  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE

    Le Livre du thé, de Okakura Kakuzô

    L’art d’être au monde

     
    « Là où je cherchais les lois essentielles,
    on me disait fouilleur de détails. »
    Marcel Proust

    Il y a près d’un siècle, Okakura Kakuzô, lettré japonais persuadé de la valeur universelle de la cérémonie du thé, lui consacrait un traité en forme de manifeste à l’intention du public occidental. A l’industrialisation effrénée, il opposait un art de vivre, précieux refuge de l’humain. Le Livre du thé balaie l’aspect sévère et figé que peut revêtir le cérémonial aux yeux d’un étranger. Okakura, passeur passionné, brise la glace, et offre du même coup une introduction synthétique, concrète, à la conception asiatique de la vie et de l’art.

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  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, La littérature

    Cinq méditations sur la mort

    Cinq méditations sur la mortFrançois Cheng

    Comme ses Cinq méditations sur la beauté, ce texte de François Cheng est né d’échanges avec ses amis, auxquels le lecteur est invité à devenir partie prenante. Il entendra ainsi le poète, au soir de sa vie, s’exprimer sur un sujet que beaucoup préfèrent éviter. Le voici se livrant comme il ne l’avait peut-être jamais fait, et transmettant une parole à la fois humble et hardie. 

    Il n’a pas la prétention de délivrer un « message » sur l’après-vie, ni d’élaborer un discours dogmatique, mais il témoigne d’une vision de la « vie ouverte ». Une vision en mouvement ascendant qui renverse notre perception de l’existence humaine, et nous invite à envisager la vie à la lumière de notre propre mort. Celle-ci, transformant chaque vie en destin singulier, la fait participer à une grande Aventure en devenir.

     
  • Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Science

    Un sujet en soi

    Les neurosciences, le Talmud et la subjectivité

    Auteur(s) : Lionel Naccache

    Un sujet en soi - Les neurosciences, le Talmud et la subjectivité

    Comment définir qui nous sommes ? Par tout un ensemble de valeurs subjectives, de souvenirs, d’expériences, de rencontres, d’attitudes, de décisions… et immanquablement aussi par nos croyances. Croyances les plus diverses qui, au-delà de la variété de leurs contenus, n’en demeurent pas moins les manifestations de ce stupéfiant constituant de notre vie mentale : nous sommes des êtres de croyance. Irrésistiblement. Sur les traces de cette composante centrale de notre subjectivité, Lionel Naccache, l’un des très grands neuroscientifiques de la conscience, plonge dans l’univers du Talmud– qui n’est pas étranger à sa propre subjectivité ! – pour mettre en lumière une résolution possible de cette énigme : ou comment apprendre à chérir notre subjectivité sans pour autant l’adorer ! Lionel Naccache nous livre à travers ses lectures talmudiques un exercice brillant d’herméneutique contemporaine qui nous permet de (re)découvrir cette œuvre gigantesque à la fois célèbre et méconnue qu’est le Talmud.
    Lionel Naccache est neurologue, professeur de médecine à la Pitié-Salpêtrière et dirige une équipe de recherche à l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM). L’écriture lui procure une voie d’exploration complémentaire à celle du laboratoire et de l’hôpital pour enquêter sur la nature de la subjectivité. Il est l’auteur du Nouvel Inconscient et de Perdons-nous connaissance ?, qui ont été de grands succès. 

    http://www.odilejacob.fr/catalogue/sciences-humaines/religions-spiritualites/un-sujet-en-soi_9782738129956.php