Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Éric Woerth : «À carrière égale, retraite égale»
À carrière égale, retraite égale»Éric Woerth[...]Éric WOERTH
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À carrière égale, retraite égale»Éric Woerth[...]Éric WOERTH
Beaux Arts magazine n° 345 (mars 2013)
Prochain numéro le 21 mars 2013
Par Marc Landré
27/02/2013 | Mise à jour : 23:21
Jean-Marc LeclercLa remise en liberté de trois voyous relance la querelle police-justiceLa remise en liberté de trois voyous relance la querelle police-justice Le Figaro[...]la remise en liberté de trois voyous par un magistrat du parquet local au motif[...]«Rendez-vous compte qu'avec de telles pratiques, si les voyous ...
Découvrez l'exposition avec notre exposition virtuelle : stories.hauts-de-seine.fr/voyageurs-romantiques
La Bibliothèque nationale de France (BnF) présente, pour la première fois, une quarantaine de dessins réalisés par le peintre et illustrateur Franz Ludwig Catel, au début du XIXe siècle, lors de son périple en Calabre. Région relativement méconnue à cette époque, l’artiste profite de son expédition pour immortaliser sur ses carnets les monuments qu’il rencontre ou les villages qu’il traverse. Un voyage dépaysant à travers l’Italie napoléonienne à découvrir à la Maison de Chateaubriand du 18 septembre jusqu'au 19 décembre 2021.
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En savoir plus : toute la programmation autour de l'exposition Catel
En 1812, l’archéologue Aubin-Louis Millin engage le peintre, dessinateur et illustrateur prussien Franz Ludwig Catel pour rapporter des images de Calabre, région italienne sauvage et méconnue. Millin est dans une démarche scientifique. Il revient avec des notes et une importante collection de dessins au crayon et à la plume, en partie acquises en 1819 et 1822 par la Bibliothèque royale (actuelle Bibliothèque nationale de France). Récemment redécouverts, datés et attribués grâce aux notes inédites de l’archéologue, quarante dessins seront présentés, pour la première fois en France, à la Vallée-aux-Loups.
Millin et Catel sont accompagnés, dans leur périple, du jeune Astolphe de Custine, fils de la belle Delphine, ancien amour de Chateaubriand. L’Enchanteur a presque été un père pour Astolphe, qui lui voue une sincère admiration. Devenu écrivain à son tour, Custine publiera quelques années plus tard le récit de son aventure calabraise. L’exposition suit la chronologie de l’expédition et permet un dialogue entre les descriptions de Custine et les dessins de Catel, qui, un des premiers, utilise la chambre claire, outil destiné à accélérer le temps de réalisation des relevés de paysages.
Les visites
Visites libres
Du mardi au dimanche de 10 à 12 heures et de 13 heures à 18h30 (l’après-midi, un médiateur répondra aux questions). Tarif : 5 €, réduit 4 € (avec les collections permanentes).
Visites guidées
Les jeudis 23 et 30 septembre, 7, 14, 21 et 28 octobre à 16 heures, samedi 25 septembre à 17 heures. Tarif : 2 €, en plus du billet d’entrée.
Les temps forts
Cycle de conférences à la maison de Chateaubriand consacré à Astolphe de Custine
Astolphe de Custine, fils de Delphine : entre dévotion et mémoire »
Jeudi 7 octobre 19h30
Avant de devenir l’auteur de romans et récits de voyages, Astolphe de Custine est d’abord connu pour être le fils de Delphine, marquise de Sabran, amie de Chateaubriand. Unis par les circonstances autant que par le cœur et le caractère, la mère et le fils se reconnaissent tous deux dans le vague romantique des passions. Malgré les ressemblances qui les relient et l'affection qui les attache l’un à l'autre, Astolphe de Custine se montrera jusqu’à sa mort tiraillée entre la volonté de se libérer d’une si durable influence maternelle et le devoir de faire acte de mémoire.
Par Samantha Caretti Doctorante en littérature française.
En savoir plus : le programme complet du cycle de conférences
Bernard Degout, directeur de la Maison de Chateaubriand ;
Corinne Le Bitouzé, adjointe au directeur du département des Estampes (BnF) ;
Gennaro Toscano, conseiller scientifique ; direction des Collections (BnF).
À la Maison de Châteaubriand
Le peintre, l’écrivain et l’archéologue : Catel, Custine et Millin dans la Calabre napoléonienne
À l’occasion de cette exposition, la Maison de Chateaubriand publie un ouvrage qui, par le biais du voyage de Catel en Italie (1812) et des dessins qu’il en rapportera, évoque le royaume de Naples et notamment la Calabre à l’époque du voyage, ainsi que les trois principaux protagonistes : le peintre (Catel), l’écrivain (Custine) et l’archéologue (Millin).
Sont également évoquées les relations entre Chateaubriand et Astolphe de Custine, ainsi que le voyage de Chateaubriand en Italie, au cours duquel il effectua des fouilles à Torre Vergata. L’ouvrage, sans être un catalogue d’exposition, met ainsi l’accent sur le regard croisé entre littérature et beaux-arts.
L’archéologue, le peintre et l’écrivain : Millin, Catel et Custine, Domaine départemental de la Vallée-aux-Loups – Maison de Chateaubriand – Liénart, 2021. Prix : 19 €
Du côté de la Bibliothèque nationale de France
La Bibliothèque nationale de France publie, en co-édition avec les éditions du Passage, un ouvrage, réunissant le catalogue raisonné et illustré des dessins de Catel et l’édition critique des notes de voyage de Millin.
À travers la Calabre napoléonienne. Journal de voyage d’Aubin-Louis Millin. Dessins de Franz Ludwig Catel / Corinne Le Bitouzé et Gennaro Toscano, BnF – Le Passage, 2021.Prix : 45 €
Maison de Chateaubriand
Domaine départemental de la Vallée-aux-Loups
87, rue de Chateaubriand à Châtenay-Malabry
Du mardi au dimanche, de 10 à 12 heures et 13 heures à 18h30 (17 heures à partir du 2 novembre).
Réservations au 01 55 52 13 00 ou par mel à reservations-chateaubriand@hauts-de-seine.fr
COMTESSE DE NOAILLES
LES VIVANTS ET LES MORTS
«L'âme des poètes lyriques fait réellement ce qu'ils se
vantent de faire.»
Platon.
http://www.gutenberg.org/files/22054/22054-8.txt
VA PRIER DANS SAINT-MARC…
Va prier dans Saint-Marc pour ta peine amoureuse;
Le temple de Byzance est sensible au péché;
Un parfum de benjoin, d'ambre, de tubéreuse,
Glisse des frais arceaux et des balcons penchés.
Va prier dans Saint-Marc pour ta douce folie;
Les pigeons assemblés sur la façade en or
Protègent les transports de la mélancolie,
Et les anges des cieux sont plus cléments encor.
Va prier dans Saint-Marc; les dalles, les rosaces
Ont l'éclat des bijoux et des tapis persans;
Depuis plus de mille ans dans ce palais s'entassent
Les profanes souhaits parfumés par l'encens.
Vois, sous leurs châles noirs, les tendres suppliantes
Joindre des doigts brûlants et songer doucement.
Divine pauvreté! cet Alhambra les tente
Moins que les cabarets où boivent leurs amants!
Va prier dans Saint-Marc. Le Dieu des Evangiles
Marche, les bras ouverts, dans de blonds paradis.
On entend les bateaux qui partent pour les îles,
Et les pigeons frémir au canon de midi.
Des mosaïques d'or, limpides alvéoles,
Glisse un mystique miel, lumineux, épicé;
Et vers la Piazzetta, de penchantes gondoles
Entraînent mollement les couples exaucés…
—Beau temple, que ta grâce est chaude, complaisante!
O jardin des langueurs, ô porte d'Orient!
Courtisane des Grecs, sultane agonisante,
Turban d'or et d'émail sous l'azur défaillant!
Tu joins l'odeur de l'ambre aux fastes exotiques,
Et tu meurs, des pigeons à ton sein agrafés,
Comme aux rives en feu des mers asiatiques,
La Basilique où dort sainte Pasiphaé!…
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Considéré par les artistes et les critiques de son temps comme le maître de la couleur, Marc Chagall se révèle, dans ce hors-série qui accompagne l’exposition présentée à l’Hôtel de Caumont-Centre d’art, par son exploration artistique du noir et blanc vers une nouvelle maîtrise magistrale de teintes particulièrement lumineuses, intenses et profondes.
Octobre 2018 - 44 pages
https://boutique.connaissancedesarts.com/offres/2943
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p.66:
https://www.jstor.org/stable/1483374?seq=1#page_scan_tab_contents
p.83:
L’encre, cette noirceur d’où sort une lumière.
Dernière Gerbe de Victor Hugo -
p.89:
« Chez moi les formes deviennent des accidents. […] Vous voyez un autre monde. Tout est déchiré et pourtant pur. Quand on ne dort pas la nuit, on pense à ces accidents-là. »
Jean 12
…45et celui qui me voit voit celui qui m'a envoyé. 46Je suis venu comme une lumière dans le monde, afin que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres.
p.163:
Le Cirque, 1961. Gouache et pastel sur papier. 57,5 x 51 cm. © Marc Chagall ADAGP
p.171:
Couple au dessus de Saint-Paul, 1970-1971 - Collection particulière © ADAGP, Paris, 2018 © Archives Marc et Ida Chagall, Paris
En vérité, ce qui donne à L'objet sa couleur, ce n'est ni ce que L'on nomme La couleur réelle ni la couleur conventionnelle (...)
C'est la vie (...) qui crée les contrastes sans lesquels l'art serait inimaginable et incomplet.
Marc Chagall
illustrée par Jean-Marc Rochette
Albin Michel, trad. par Mario Meunier, 368 p., 42 euros.
Bleu Méditerranée, jusqu'à la tranche des pages, cette nouvelle édition de l'épopée chantant le retour aventureux d'Ulysse est magnifique. Le livre est toilé, le papier glacé et la typographie idéale. Les 24 chants sont introduits par des paysages à l'aquarelle ou au lavis, réalisés à Ithaque par Jean-Marc Rochette. Une soixantaine de dessins parsèment le récit, réinterprétant l'art antique, dont la simplicité converse étrangement bien avec l'art contemporain.
Laure Garcia
http://livres.nouvelobs.com/parutions/p2200/a2200_050.html
Le Nouvel Observateur - 2200 - 04/01/2007
Le général romain Maximus est le plus fidèle soutien de l'empereur Marc Aurèle, qu'il a conduit de victoire en victoire avec une bravoure et un dévouement exemplaires. Jaloux du prestige de Maximus, et plus encore de l'amour que lui voue l'empereur, le fils de MarcAurèle, Commode, s'arroge brutalement le pouvoir, puis ordonne l'arrestation du général et son exécution. Maximus échappe à ses assassins mais ne peut empêcher le massacre de sa famille. Capturé par un marchand d'esclaves, il devient gladiateur et prépare sa vengeance.
Source:
Gioacchino ROSSINI La regata veneziana* [4’24"]
Ludwig van BEETHOVEN Canzonetta veneziana Wo0158a No. 23** [1’22"]
Franz SCHUBERT Gondelfahrer D808 [1’42"]
Felix MENDELSSOHN VenezianischesGondellied Op. 57 No. 5 [1’55"]
Adolf JENSEN Leis’ rudern hier, mein Gondolier Op. 50 No. 4 [2’24"]; Wenn durch die Piazzetta Op. 50 No. 3 [1’41"]
Mikhail GLINKA Venetsianskaya noch’ [2’21"]
Sergei TANEYEV Venetsiya noch’yu Op. 9, No. 1*** [1’43"]
Gioacchino ROSSINI I marinai**** [5’22"]
Charles GOUNOD Venise [4’04"]
Jules MASSENET Souvenir de Venise [1’33"]
Gabriel FAURÉ Barcarolle Op. 7 No. 3 [2’14"]
Reynaldo HAHN Venezia. Chansons en dialecte vénetien [16’45"]
The Songmakers’ Almanac: *Felicity Lott (soprano); Ann Murray (mezzo-soprano); Anthony Rolfe Johnson (tenor) with**Brian Brooks (violin & Justin Pearson (cello); ***Hugo Dalton (mandolin); **** Richard Jackson (baritone); Graham Johnson (piano)
rec. St. Barnabas’s Church, North Finchley, London, 12-13 September 1983. DDD
HYPERION HELIOS CDH55217 [49’22"]
Read more: http://www.musicweb-international.com/classrev/2005/Nov05/Souvenirs_CDH55217.htm#ixzz31WBpcrzL
Par BibliObs.com Entre Olivier Adam (candidat malheureux au Goncourt) et Christophe Donner (candidat malheureux au Renaudot) le match a été serré, au jury du prix du roman France Télévisions: 14 voix pour l'un, 11 pour l'autre au cinquième tour de scrutin. On voit par là que tout le monde n'a pas tenu compte de la supplique formulée par l'auteur du «Roi sans lendemain» (souvenez-vous, c'était vendredi dernier sur BibliObs: Christophe Donner exposait les raisons de sa colère, et demandait à être retiré des listes de prix cette année pour protester contre les «manipulations» de Franz-Olivier Giesbert). Mais qu'importe, le résultat est là. Les journalistes et animateurs du groupe France Télévisions ont donc choisi de récompenser «A l'abri de rien» (l'Olivier). Ce livre qui était, il y a dix jours, l'autre grand favori de Bernard Pivot, a connu un beau succès en librairie cet automne (70.000 exemplaires vendus, selon son éditeur). Il méritait bien une récompense cependant, si l'on en juge d'après la critique de ce livre publiée dans l'Obs. Vous pouvez évidemment la (re)lire ici, en attendant l'adaptation du roman à l'écran, sous le titre «Maman est folle». Réalisée par Jean-Pierre Améris, avec Isabelle Carré dans le rôle principal, elle sera diffusée le jeudi 22 novembre... sur France 3. 16/11/2007
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