Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Marc Chagall, La danse, 1950-52, Nice(que j'ai vu au Musée du Luxembourg il y a un mois)
http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/chagall-entre-guerre-et-paix
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http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/chagall-entre-guerre-et-paix
À ce premier opus d'une série de monographies et d'essais théoriques intitulée "La nécessité du paysage", il revient d'établir que le paysage est une donnée constitutive et ineffaçable de l'existence humaine ; qu'il en est une condition, une absolue nécessité. (source : éditeur)
De retour dans sa ville natale, l’artiste est confronté à la guerre qui l’oblige à rester en Russie. Cette période a joué un rôle important dans sa vie et son œuvre car, malgré la guerre, il vit des instants de bonheur.
A Vitebsk, il retrouve Bella Rosenfeld, son amour de jeunesse, qu’il épouse en 1915 ; un an plus tard nait leur fille Ida. La ville, ses habitants, ses paysages et sa famille deviennent ses sujets de prédilection comme le montre Vue de la fenêtre à Zaolchie, près de Vitebsk où il se représente avec Bella – sa muse et son modèle - au cours de leur voyage de noces.
http://www.museeduluxembourg.fr/fr/expositions/p_exposition-18/parcours-numerique/thematique-3/
Marc Chagall a, toute sa vie durant, entretenu une relation forte avec l'écrit. Des manuscrits yiddish aux illustrations pour des livres, son œuvre se développe au fil des mots, au rythme de la narration et de la page imprimée, donnant naissance à de nombreuses collaborations éditoriales. Parmi celles-ci Les Âmes mortes de Nicolas Gogol (1923-1927), Les Fables de la Fontaine (1926-1928) ou La Bible (1930-1956).
À partir des années 1920 les collaborations de Chagall à des revues d'art françaises et internationales se multiplient, témoignant de son intérêt pour ce support qui a connu un développement considérable au XXe siècle.
À partir de 1914, il collabore aux revues allemande Der Sturm, russe Apollon en 1916, yiddish Shtrom et Khaliastra en 1923-1924. Sa participation aux Cahiers d'art et à Verve, éditée par Tériade - des dessins pour les couvertures et des illustrations - leur confère une identité visuelle et le positionne dans les cercles artistiques parisiens.
Pendant son exil aux États-Unis, il participe en 1942 à la revue surréaliste VVV, publiée à New York par André Breton, acte militant et affirmation de l'existence d'une communauté d'artistes se retrouvant dans l'expérience de l'exil. De retour en France en 1947, il travaille avec Aimé Maeght pendant plus de 20 ans à la revue Derrière le miroir, en parallèle de sa riche contribution à la revue XXe siècle, publiée par San Lazzaro.
Le catalogue explore la singularité de chacune de ces aventures humaines, éditoriales et engagées et nous offre à travers l'iconographie l'occasion unique de découvrir des œuvres originales et des documents inédits, issus en partie des archives personnelles de l'artiste.
Exposition au musée national Marc Chagall à Nice du 10 octobre 2020 au 11 janvier 2021
Français
156 pages / 140 illustrations
Éditions Rmn - Grand Palais
Le trésor maudit dormait dans un appartement de standing, à Munich. Près de 1500 tableaux, dessins, esquisses, gravures et affiches de maître. Des Renoir, Picasso, Matisse, Chagall, Klee, Kokoschka, des expressionnistes allemands, Emil Nolde, Max Beckmann, Max Liebermann… Un milliard d'euros, au bas mot. Dans son édition de dimanche, l'hebdomadaire allemand Focus raconte cette histoire sensationnelle, digne d'un roman de John Le Carré mais qui a échappé aux «Monument Men», ces chasseurs de butins nazis, actifs après guerre et évoqués dans le dernier film de George Clooney. En couverture de Focus, Adolf Hitler pose en uniforme devant un chef-d'œuvre de Franz Marc aujourd'hui retrouvé. C'est un photomontage. Mais les onze pages qui suivent fourmillent de détails, bien réels ceux-là. On y fait la connaissance des Gurlitt père et fils.
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Gemeente Museum - La Haye
Dates : du 6 Février 2010 au 24 Mai 2010
Au début du XXe siècle, un groupe d'artistes cause un scandale dans le monde de l'art munichois. Baptisé Le Cavalier bleu (Der Blaue Reiter), ces artistes produisent des toiles expressives, très colorées, aux traits lyriques qui allaient accélérer le développement de l'expressionnisme en Allemagne. Le noyau dur de ce groupe est incarné par l'artiste russe Vassili Kandinsky et son âme soeur Franz Marc. Bien que le groupe fût également important pour le développement de l'art moderne, l'exposition se focalise sur Kandinsky. Beaucoup d'oeuvres ont déjà été montrées lors de la très réussie exposition itinérante de Kandinsky, au Guggenheim museum de New York et au centre Pompidou à Paris.
http://www.evene.fr/culture/agenda/vassili-kandinsky-29996.php
Après les chaussures à conviction,
les ruines d'Alep avec M. Anis,
comme moi,
vous aurez sans doute envie d'un peu de tendresse
pour pallier ce monde
de brutes.
Alors je vous propose aujourd’hui une toile de M. Béla Kádár.
Women and cat |
Béla Kádár, peintre hongrois, est l'un des membres les plus célèbres de l'avant-garde hongroise du début du XXème siècle.
(autoportrait du peintre ? Si quelqu'un peut me le confirmer...) |
De 1899 à 1903 il étudie le dessin industriel, il fréquente le Pattern Designer Institute, école de Henrik Knirr à Munich. Il a notamment utilisé l'esthétique d'un éventail de mouvements, tels que, le constructivisme, le cubisme et l'expressionnisme allemand et s'est concentré sur le folklore traditionnel hongrois pour inspirer son imagerie.
Figures abstraites, objets, paysages ou intérieurs, ses palettes sont lumineuses.
Né dans une famille juive ouvrière, à la mort de son père Kádár, encore très jeune, fut contraint de travailler.
Lors de son parcours, il assiste une compagnie de peinture murale avant de visiter Berlin et Paris, là il est influencé par l'art d'avant-garde de l'époque.
Il se lie d'amitié avec le peintre hongrois Hugo Scheiber et s'installe un moment à Berlin pour exposer davantage son travail.
En 1914 il est enrôlé dans l’armée comme un caporal puis renvoyé à cause de la variole.
Durant la seconde guerre Mondiale, il perd sa femme et ses deux fils et vit dans le ghetto de Budapest.
En 1926 il participe à une exposition d’art moderne au Brooklyn Museum à New York et passe près d’un an aux États-Unis.
En 1930 il expose aux États-Unis ainsi qu'à Budapest.
Aujourd'hui, les œuvres de Kádár font partie de la collection de la Galerie nationale hongroise à Budapest.
P.S. Certaines de ses œuvres me font penser (de loin) à celles de Frantz Marc que nous avons eu l’occasion de voir dans l’Herbier et qui pourrait bien à l’avenir susciter une nouvelle page.
Pour Frantz Marc, c’est ICI
https://imagesreves.blogspot.fr/2018/03/pour-la-page-107-la-tendresse.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed:+ImagesEtRves+(Images+et+r%C3%AAves)
Si en voyant ce tableau, tu penses à...
Si en voyant ce tableau Béla Kádár , tu penses à Franz Marc, moi, je pense
En regardant "Women and cat" , à Marie Laurencin[1] pour le portrait de femme
A cause de ses contours flous, de ses couleurs pastels et tons fades
Que je croyais à tort associés à Berthe Morisot, à) Mary Cassatt, aux femmes
31 mars 2018
[1] http://www.lauravanel-coytte.com/apps/search?s=marie+laurencin&search-submit-box-search-1092=OK
[2] http://www.lauravanel-coytte.com/apps/search?s=franz+marc&search-submit-box-search-1092=OK
[3] https://www.invaluable.com/auction-lot/bela-kadar-1877-1955-cityscape-oil-on-paper-70-c-32u6prejqx
[4] https://www.pinterest.fr/pin/547257792193939908/
1. La Volupté du billabong - Une Nouvelle de Hervé Claude, illustrée par Loustal
2.Cannibales - Une Nouvelle de Philip Le Roy, illustrée par Götting
3. La Mule du coach - Une Nouvelle de Dominique Sylvain, illustrée par Jean-Philippe Peyraud
4. Le Corbeau - Une Nouvelle de Romain Slocombe, illustrée par Jean-Claude Denis
5.Comme un carbe, de côté - Une Nouvelle de Marin Ledun, illustrée par Charles Berberian
6. Le cri de la fiancée - Une Nouvelle en BD d'Anthony Pastor
7. Les Cow-Boys - Une Nouvelle de Marcus Malte, illustrée par André Juillard
8.Tango flamand - Une Nouvelle en BD de Marc Villard, illustrée par Jean-Christophe Chauzy
9. Sur mes gardes - Une Nouvelle de Franz Bartelt, illustrée par Honoré
10. Les Pigeons de Godewaersvelde - Une Nouvelle en BD de Didier Daeninckx, illustrée par Mako
11.La Veuve blanche - Une Nouvelle de Jérémie Guez, illustrée par Miles Hyman
12. La Capture du tigre par les oreilles - Une Nouvelle de Jean-Bernard Pouy , illustrée par Florence Cestac
13.Une brume si légère - Une Nouvelle de Sandrine Collette, illustrée par Dominique Corbasson
Du 4 décembre 2010 - 14 mars 2011 la direction des musées nationaux du XXème siècle des Alpes-Maritimes présente l'exposition Chagall, Kupka, deux visions du Cantique des Cantiques réalisée grâce à un partenariat exceptionnel avec le Musée d’art et d’histoire du Judaïsm ; l’exposition propose aux visiteurs de mettre en perspective l’évocation du Cantique des Cantiques peinte par Marc Chagall entre 1955 et 1966 et une autre lecture du texte, celle de Franz Kupka, qui y travaille de 1905 à 1931 pour une édition illustrée.
Ce chant d’amour considéré comme sacré par les juifs et par les chrétiens et inséré dans les versions définitives de l’Ancien Testament a en effet suscité au cours des siècles de très nombreuses interprétations littéraires et picturales. Autour des tableaux de Chagall sont donc réunis des dessins préparatoires, souvent au pastel et très rarement montrés du fait de leur grande fragilité. L’inspiration du peintre se développe à partir des trois dimensions du poème, charnelle, musicale et bien entendu religieuse.
Le travail de Kupka est, quant à lui, présenté grâce au prêt généreux du Musée d’art et d’histoire du Judaïsme. Il comporte en particulier deux séries de gouaches : la suite des illustrations en français et la suite hébraïque, l’artiste ayant appris l’hébreu pour compléter ses dessins par le texte calligraphié.
Marquées par le symbolisme qui caractérise les débuts de Kupka, ainsi que par ses liens avec la Sécession viennoise, parfois inspirées des recherches archéologiques contemporaines au Moyen-Orient, ces oeuvres au caractère à la fois érotique et poétique font preuve de l’intérêt passionné et durable de l’artiste pour ce projet.
Kupka y met en scène les personnages du Cantique des Cantiques dans le contexte aux références historiques et géographiques d’un Orient babylonien dont le caractère imaginaire reste cependant évident.
Chagall, au contraire, mêlant à son habitude son histoire et celle du peuple juif, dépeint les amants du Cantique dans un Paradis rêvé où les références sont personnelles, comme le souligne la dédicace à « Vava, ma femme », et religieuses, avec la répétition de motifs comme Jérusalem et le roi David. L’appartenance des cinq tableaux du Cantique des Cantiques au cycle du Message Biblique renforce évidemment leur dimension religieuse.
L’exposition réunira dans une première salle une soixantaine d’oeuvres de Kupka, dessins, gouaches et livres, mises à disposition par le Musée d’art et d’histoire du Judaïsme. A proximité immédiate des peintures de Chagall, dans la salle du Cantique, sera présentée une quarantaine de dessins préparatoires, pastels, encre de Chine et gouaches de l’artiste.
Informations pratiques :
Musée national Marc Chagall
Avenue Docteur Ménard
06 000 Nice
Tél. + 33(0) 4 93 53 87 20
Accès handicapés
Ouvert tous les jours de 10h à 17h sauf le mardi, le 25 décembre et le 1er janvier
Accès:Aéroport de Nice Côte d’Azur, Gare SNCF, Bus n°15 et 22, arrêt musée Chagall
www.musee-chagall.fr
http://www.culture.fr/fr/sections/themes/peinture_dessin_sculpture/articles/chagall-kupka-deux
Bleu, rouge et jaune
Bleu comme les nus de Matisse que j'ai aimé au Cateau-Cambrésis, à Lyon, à Nice
Bleu comme la blouse du fermier de Paul Cézanne, l'oiseau de Braque
Bleu comme les monochromes de Klein, les danseuses de Degas, bleu comme la femme lisant Une lettre de Vermeer, bleu comme le violoniste de Chagall, bleu comme le cheval de Marc
Bleu comme la femme au chapeau de Picasso, bleu comme le ruban de la jeune fille de Renoir
Rouge comme les poissons de Matisse dans leur bocal
Rouge comme mon poisson dans ma chambre de bonne
Rouge comme la route près de Menton de Monet, le chapeau de la fille de Vermeer
Rouge comme la jupe de Picasso, rouge comme l'harmonie de Matisse
Rouge comme le béret de la femme de Picasso, rouge comme les toits de Pissarro
Jaune comme les danseuses de Degas, la maison de Van Gogh à Arles
Jaune comme le turban de la femme de Renoir, les vaches de Franz Marc
Jaune comme le fauteuil de la femme de Picasso, la ferme du Pouldu de Sérusier
Jaune comme l'harmonie de Matisse, l'œuf soleil de Vladimir Kush
Jaune comme les iris de Monet, la ville de Schiele, le vase de tournesols de David Hockney
16 mars 2017
La nouvelle photographie est signée Fred Hedin ! Merci à lui !
Les textes seront publiés le lundi 20 mars, vous pouvez (si vous êtes sans blog fixe) me les envoyer via mon adresse mail (colonne de droite en haut).
Les liens, sur le formulaire ci-dessous. Have fun, guys !
http://www.bricabook.fr/2017/03/atelier-decriture-n258/
Proposition 68 encore de la couleur
Sans oublier le lien.
Ne soulignez pas, ne mettez pas de caractères gras et surtout,
inquiétez-vous si vous ne recevez pas l'avis de réception.
Bonne fin de semaine. AD
L'art en couleur
Noir comme Soulages dont j'ai pu admiré dans son musée de Rodez, la lumière réelle
Noir comme le Château de Cézanne suivi à Aix-en-Provence vers la Sainte Victoire
Noir comme le profil de Fernand Léger, le chat de Marguerite de Matisse
Bleu comme les nus de Matisse que j'ai aimé au Cateau-Cambrésis, à Lyon, à Nice
Bleu comme la blouse du fermier de Paul Cézanne, l'oiseau de Braque
Bleu comme les monochromes de Klein, les danseuses de Degas, bleu comme la femme lisant Une lettre de Vermeer, bleu comme le violoniste de Chagall, bleu comme le cheval de Marc
Bleu comme la femme au chapeau de Picasso, bleu comme le ruban de la jeune fille de Renoir
Rouge comme les poissons de Matisse dans leur bocal
Rouge comme mon poisson dans ma chambre de bonne
Rouge comme la route près de Menton de Monet, le chapeau de la fille de Vermeer
Rouge comme la jupe de Picasso, rouge comme l'harmonie de Matisse
Rouge comme le béret de la femme de Picasso, rouge comme les toits de Pissarro
Blanc comme le chapeau de la femme de Renoir
Gris comme la chanson de Goldman, gris comme Juan l'artiste
Jaune comme les danseuses de Degas, la maison de Van Gogh à Arles
Jaune comme le turban de la femme de Renoir, les vaches de Franz Marc
Jaune comme le fauteuil de la femme de Picasso, la ferme du Pouldu de Sérusier
Jaune comme l'harmonie de Matisse, l'œuf soleil de Vladimir Kush
Jaune comme les iris de Monet, la ville de Schiele, le vase de tournesols de David Hockney
Noir, bleu, rouge, blanc, gris, jaune comme ORLANDOBOFIL ARTE
Noir, bleu,rouge,blanc,gris, jaune comme l'art en couleur
25 février 2017
imagesreves.blogspot.fr/2017/03/voici-la-page-68-de-lherbier-de-poesies.
Rock héroïque en partance pour les stades avecFranzFerdinand, pop radieuse avec Belle and Sebastian, plus sombre et rock avec The Pastels, variété soul avec Alex Hepburn (londonienne mais de parents écossais) et électro avec Chvrches (coquetterie graphique que ce "v" à la place du "u"...
la suite ici:
Inspiré de faits réels. Franz Jägerstätter, paysan autrichien, refuse de se battre aux côtés des nazis. Reconnu coupable de trahison par le régime hitlérien, il est passible de la peine capitale. Mais porté par sa foi inébranlable et son amour pour sa femme, Fani, et ses enfants, Franz reste un homme libre. UNE VIE CACHÉE raconte l’histoire de ces héros méconnus.
Franz-Olivier Giesbert
Edité par Editions Gallimard , DL 2020
Où va le monde ? Sommes-nous devenus fous ? Sur fond de canicule, de bains de mer, de tyrannie de la "vertu" et de tensions en tout genre, Dernier été est une histoire d'amour mais aussi une satire drôle, féroce, de notre temps et de celui qui vient. Avec un parti pris : celui d'en rire.
3/04 1 Hervé Claude/ Loustal – La Volupté du billabong
17/04 2 Philip Le Roy/ Götting – Cannibales
30/04 3 Dominique Sylvain/ Jean-Philippe Peyraud – La Mule du coach
15/05 4 Romain Slocombe / Jean-Claude Denis - Le Corbeau
28/05 5 Marin Ledun / Charles Berberian – Comme un crabe, de côté
12/06 6 Anthony Pastor – La Peur au ventre - BD
26/06 7 Marcus Malte / André Juillard – Les Cow-Boys
10/07 8 Marc Villard/ Jean-Christophe Chauzy – Tango flamand - BD
24/07 9 Franz Bartelt / Honoré – Sur mes gardes
7/08 10 Didier Daeninckx/ Mako – Les Pigeons de Godewaersvelde - BD
21/08 11 Jérémie Guez/ Miles Hyman – La Veuve blanche
4/09 12 Jean-Bernard Pouy/ Florence Cestac – La Capture du tigre par les oreilles
18/09 13 Sandrine Collette / Dominique Corbasson – Une brume si légère
La collection des Petits Polars Le Monde - SNCF revient pour une troisième saison chez les marchands de journaux dès le 3 avril 2014. Elle débutera avec la nouvelle La Volupté du Billabong, écrite par Hervé Claude et illustrée par Jacques de Loustal. 13 volumes apparaîtront du 3 avril au 18 septembre avec, nouveauté cette année, 3 volumes sous la forme de bandes dessinées.
05 ÉditorialPrendre le temps de lire Catherine Millet
Taking the time to read
08 Rudolf Stingel Venise Paul Ardenne
Expositions / Reviews
12 David Bowie is ; Evgeny Antufiec 14 L’image papillon 15 Philippe Thomas
16 Gloria Friedmann 18 Signs of the Time 20 Olivier Mosset ; Hey !
22 Dynamo, un siècle de lumière et de mouvement dans l’art, 1913-2013
24 Alicia Kwade ; Anne Deleporte 26 Julia Rometti et Victor Costales
28 Giuseppe Penone respirer l’ombre
Giuseppe Penone. Breathe Shadow. Interview par Didier Semin et Margaux Bricler
36 Meris Angioletti la décomposition des images
Meris Angioletti. Fragmenting Images. Anaël Pigeat
41 The Propeller Group artistes DJ dans l’espace-temps
The Propeller Group. Reminxing Time and Space. Caroline Ha Thuc
Introducing
46 Clara Scherrer Éliane Burnet
49 Mike Kelley écrits / Mike Kelley’s writings John Welchman
54 L’immonde idéal réflexions sur la caricature Mike Kelley
Livres
64 Kenneth Anger des star à la casse Jacques Henric
65 Pascal Quignard l’origine de la danse 67 Louis-René des Forêts à présent
68 Franz Kafka le conte de l’amour et de la mort 69 Charles Péguy dernière guerre
70 Le célibat, entre nécessité et liberté 71 Un film maudit sauvé par des images
74 Croyez en la structure Le feuilleton de Jacques Henric
Rubriques / Back
75 Festival international d’art à Toulouse Bernard Marcelis
À lire également sur artpress.com :
Mike Kelley « Foul Perfection : essay on caricature » (english version)
http://www.artpress.com/article/23/05/2013/sommaire-du-ndeg401---juin-2013/29004
PAUL KLEE, VIE ET ŒUVRE
de Christine Hopfengart et Michael Baumgartner
Éditions Hazan, 336 p., 200 ill., 69 €
«Ici-bas, je ne suis guère saisissable», avait confié Paul Klee à son journal. Ce livre lève joliment le voile sur cet artiste énigmatique. À partir de son fonds important d’archives, le Centre Paul-Klee de Berne a conçu cette monographie qui entremêle le récit biographique à des chapitres dédiés à l’analyse de l’œuvre.D’une plume alerte, Christine Hopfengart dresse le portrait attachant de celui qui faillit embrasser d’abord une carrière de violoniste. Caricaturiste précoce, volontiers contestataire, mais doué d’une ironie qui le tint souvent à distance des débats polémiques, Paul Klee s’y révèle aussi un cuisinier raffiné, un grand amoureux de la nature en général et des chats en particulier, collecteur de trésors minuscules qui n’ont cessé de l’inspirer : papillons, feuilles, coquillages, mousses, racines…Les nombreuses photographies de la famille font revivre le couple qu’il forma avec sa femme Lily, pianiste professionnelle, mais aussi leur fils Félix, talentueux marionnettiste, et le cercle des amis : les peintres Franz Marc (trop tôt disparu en 1916 à Verdun), Vassily Kandinsky, les complices musiciens dont le compositeur Hindemith, sans oublier de fidèles collectionneurs et marchands…
La période du Bauhaus, où de 1921 à 1924 Paul Klee donne à Weimar des cours qui sont «une œuvre d’art en soi», selon ses élèves, et même bientôt «une attraction touristique», apparaît comme la plus heureuse avec son compagnonnage entre artistes enseignants et la proximité de la forêt. La montée du nazisme y mettra un coup d’arrêt brutal, en contraignant le peintre «dégénéré» à s’exiler en Suisse.
Se sentant déraciné, attendant en vain une naturalisation, Paul Klee y tombera malade et mourra, le 5 juillet 1940, à l’âge de 60 ans. Dans sa peinture, les figures d’anges et de funambules, les couleurs de feu et des réminiscences de dessins d’enfant délivrent alors comme un ultime feu d’artifice. On regrette juste que, dans ses décryptages de l’œuvre, Michael Baumgartner n’ait pas consacré l’un de ses encadrés originaux à la spiritualité de ces tableaux riches de nombreux symboles chrétiens. «Le terrestre le cède chez moi à la pensée cosmique», disait Paul Klee.
SABINE GIGNOUX
Saltimbanque
Vous trouvez ça singulier ?
Ben, mettez-le au pluriel,
comme Apollinaire !
http://samedidefi.canalblog.com/archives/2017/04/22/35196888.html
Le cirque
Une représentation des bohémiens qui en rejoint ou en précède d’autres :
Franz Hals et le sourire de sa « bohémienne,»
Tony Gatlif vantant sa « liberté » dans la Loire.
Les Grüss incarnant la noblesse du cirque.
Dans un camp de gitans, sur un air de jazz manouche.
La « tribu prophétique aux prunelles ardentes » chère à Baudelaire.
Toulouse-Lautrec fait tourner dans son « manège »
Une « clownesse » au salut et une « écuyère à cru.»
C’étaient ses nuits fatalement syphilitiques.
Ils peuplent l'imaginaire des arts et des lettres depuis des siècles.
L’Esméralda du grand Hugo sur le parvis de Notre-Dame.
Des 1915, des camps de concentration pour Tziganes.
Picasso peignant des « saltimbanques » pathétiques.
Picasso-Carmen, Sol y Sombra, amour tragique.
Il se peignait avec un nez rouge, acrobate du risque.
André Dassary, chantant «Les yeux noirs » sur un air tzigane.
Georges Moustaki s’identifiant à sa guitare, « jolie fille d’Espagne . »
Cervantès et la gitanilla de ses « Nouvelles exemplaires. »
George Borrow et les Gypsies, « maître des mots » et des rêves.
Frantz Listz célébrant les bohémiens et leur musique,
Notamment les chanteuses tziganes à Moscou au XIX e siècle
Marc Chagall fait sa « Parade au cirque » en mots et en images.
« Les Bohémiens" d'Alexandre Pouchkine.
Georges de la Tour, Victor Schnetz, François-Joseph Navez et leurs diseuses de bonne aventure :
"Les bohémiens" d'Albert Glatigny (1839-1873) dans "Les vignes folles"
"Salomé" de Guillaume Apollinaire
Arthur Rimbaud et sa « Fantaisie » de Bohême »
Le «Crépuscule" de Guillaume Apollinaire
« Le cirque » enfin de Georges Seurat, divisionniste.
7 octobre 2010
Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 14 livres en vente par les bannières sur ce blog
Amis du "Défi du Samedi" BONJOUR !
A partir de ce 2 juilllet jusqu'à fin août
nous allons reprendre le rythme "vacances"
c'est à dire qu'une photo vous sera proposée
chaque semaine
à vous de l'interpréter à votre manière !
Première photo :
Envoyez vos participations
à samedidefi@gmail.com
Merci et à tout bientôt !
Bonnes vacances à toutes et à tous !
http://samedidefi.canalblog.com/archives/2016/07/02/34013164.html
Tapisettapisseriesd'artistes
Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris met l’art textile en lumière avec l'exposition Decorum qui présente plus d’une centaine de tapis et de tapisseries signés par des artistes modernes (Fernand Léger, Pablo Picasso) et contemporains (Dewar & Gicquel, Vidya Gastaldon).
Decorum permet de découvrir les œuvres tissées, souvent insoupçonnées, d’artistes majeurs et le travail d’artistes injustement méconnus (Guidette Carbonell). Des pièces anonymes de différentes époques et régions sont également exposées afin de déceler des influences et d’engager des confrontations.
Objets à la fois visuels et tactiles, esthétiques et fonctionnels, facilement transportables (Le Corbusier qualifiait ses tapisseries de « Muralnomad »), tapis et tapisseries transcendent les habituelles frontières des arts décoratifs et du design
Jusqu’à la fin du XIXème siècle, les peintres se limitaient au dessin du carton destiné à être tissé ou à la représentation de tapis orientaux dans leurs tableaux (Lotto, Holbein, Delacroix). Au cours du XXème siècle, les avant-gardes artistiques européennes révolutionnent l’esthétique et la technique de l’art textile. Les artistes tissent eux-mêmes leurs tapis en faisant référence à des pièces anciennes ou en utilisant des motifs ethniques et géométriques.
Souvent porteurs d’un message politique ou féministe à partir des années 1960, tapis et tapisseries suscitent un regain d’intérêt sensible depuis les années 2000. De jeunes artistes contemporains comme Caroline Achaintre ou Pae White produisent des pièces tissées originales qui intègrent tradition, modernité ou influences extra-occidentales et expérimentent de nouvelles techniques, comme le tissage numérique.
L’exposition va ainsi à l’encontre des idées reçues présentant la tapisserie comme un art mineur ou anachronique. Elle permet par ailleurs de renouer avec une histoire peu connue du musée qui possédait un département Art et Création Textile dans les années 1980.
L’artiste londonien Marc Camille Chaimowicz, directeur artistique invité, a conçu la scénographie inédite de l’exposition en collaboration avec l’architecte Christine Ilex Beinemeier. Jean-Philippe Antoine, professeur d’esthétique, propose une programmation de « musique d’ameublement », diffusée en fond sonore dans l’exposition.
Un catalogue largement illustré et co-édité par Skira Flammarion est publié à cette occasion (graphisme : Huz&Bosshard)
Magdalena Abakanowicz; Caroline Achaintre; Anni Albers; Olga de Amaral; Leonor Antunes; Stefano Arienti; John M Armleder; Atelier E.B. (Lucy McKenzie et Beca Lipscombe); Ateliers Wissa Wassef; Michel Aubry; Tauba Auerbach; Francis Bacon; Giacomo Balla; Mark Barrow et Sarah Parke; Nina Beier; Anna Betbeze; Michael Beutler; Pierrette Bloch; Alighiero Boetti; Louise Bourgeois; Brassaï; Geta Brătescu; Jagoda Buić; Pierre Buraglio; Alexander Calder; Guidette Carbonell; Gillian Carnegie; Marc Camille Chaimowicz; Claude Closky; Isabelle Cornaro; Lucien Coutaud; Alexandre da Cunha; Pierre Daquin; Sonia Delaunay; Dewar & Gicquel; Latifa Echakhch; Marius Engh; Noa Eshkol; Frederick Etchells (Omega Workshops); Gustave Fayet; Lissy Funk; Ryan Gander; Vidya Gastaldon; Yann Gerstberger; Françoise Giannesini; Elsi Giauque; Piero Gilardi; Thomas Gleb; Daniel Graffin; Josep Grau-Garriga; Helen Frances Gregor; Marcel Gromaire; Sheila Hicks; Jim Isermann; Johannes Itten; Sergej Jensen; Asger Jorn et Pierre Wemaëre; Mike Kelley; Abdoulaye Konaté; Maria Lai; François-Xavier Lalanne; Bertrand Lavier; Le Corbusier Jules Leclercq; Fernand Léger; Jean Lurçat; Märta Måås Fjetterström; Karin Mamma Andersson; Mathieu Matégot; Gustave Miklos; Yves Millecamps; Joan Miró; Aldo Mondino; William Morris; Barbro Nilsson; Albert Oehlen; Nathalie du Pasquier; Mai-Thu Perret; Jean Picart Le Doux; Pablo Picasso; Présence Panchounette; Otto Prutscher; Robert Camille Quesnel (Frères Braquenié); Elizabeth Radcliffe; Carol Rama; Dom Robert; Gerwald Rockenschaub; Willem de Rooij; Dieter Roth & Ingrid Wiener; Mariette Rousseau-Vermette; Hannah Ryggen; Wojciech Sadley; Akiko Sato; Judith Scott; Kay Sekimachi; Shirana Shahbazi; Ivan da Silva Bruhns; Gunta Stölzl; Sophie Taeuber-Arp; Rosemarie Trockel; Maryn Varbanov; Victor Vasarely; Vincent Vulsma; Franz West; Vivienne Westwood; Pae White; Evelyn Wyld.
Cité internationale des arts à Paris
École nationale supérieure des Arts Décoratifs
École Nationale Supérieure d'Art de Dijon
École supérieure des beaux-arts de Nantes Métropole
Groupe Galeries Lafayette
Institut national d'histoire de l'art
Institut national du patrimoine
Josef and Anni Albers Foundation
Laboratoire de recherche des monuments historiques de Champs-sur-Marne
Office for Contemporary Art Norway
Franco Soffiantino Contemporary Art Productions
Galerie Ivan, Bucarest
Galerie Kate Werble, New York
Anker
Carpet Care France
la Pinacothèque de Paris, du 13 octobre 2011 au 11 mars 2012
La Pinacothèque de Paris présentera du 13 octobre 2011 au 11 mars 2012 une étude inédite de l'Expressionnisme allemand. Ce mouvement pictural sera envisagé à travers la confrontation de ses deux courants fondateurs, Der Blaue Reiter et Brücke.
Le titre Expressionismus & Expressionismi fait référence à l'importante exposition sur le Futurisme, intitulée Futurismo & Futurismi, qui a eu lieu à Venise en 1986. Ce néologisme permettait de montrer la diversité des mouvements constituant le Futurisme italien. De la même façon, Expressionismus & Expressionismi illustre la diversité des origines de l'Expressionnisme allemand, qui, souvent perçu comme monolithique est pourtant composé de deux approches diamétralement opposées.
Brückeest un groupe d'artistes fondé à Dresde en 1905 et installé à Berlin à partir de 1908. Les fondateurs, Ernst Ludwig Kirchner, Emil Nolde et Karl Schmidt-Rottluff privilégiaient une création émotionnelle, tournée vers les sensations et les perceptions de l'artiste. Ces peintres allaient exprimer leur rapport instinctif à une époque de décadence pangermanique dont ils furent les témoins impuissants et malheureux.
Der Blaue Reiter se constitua quant à lui autour d'artistes et de philosophes qui développèrent une approche théorique, voire spirituelle, de l'œuvre d'art. Héritier du concept germanique «d'œuvre d'art totale», ce mouvement purement intellectuel, qui s'est formé à Munich en 1911 à l'initiative de Wassily Kandinsky et Franz Marc, conçoit la création idéale comme un équilibre harmonieux entre les disciplines.
L'exposition présentera, autour de cent cinquante œuvres environ, ces deux courants distincts mais représentatifs de l'Expressionnisme allemand. Toujours dans son esprit de dialogue entre les arts, la Pinacothèque de Paris invite les visiteurs à découvrir les nuances essentielles et antagonistes en confrontant les artistes et les œuvres.
L'exposition Expressionismus & Expressionismi en partenariat avec : Métrobus, La Fnac, Paris Match, BFMTV, France Info
Les tarifs
Le billet simple
Plein tarif 10 €
Tarif réduit* 8 €
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Plein tarif internet 11,50 €
Tarif réduit internet* 9,50 €
Les billets jumelés : deux formules
Plein tarif 17 €
Tarif réduit* 13 €
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Plein tarif internet 18,50 €
Tarif réduit internet* 14,50 €
Plein tarif 20 €
Tarif réduit* 16 €
Cette formule n'est pas disponible en ligne pour le moment. Vous pouvez acheter votre billet sur place.
Le Pinacopass
Abonnement annuel 60 €
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Les Groupes (réservation obligatoire)
9,50 € par personne incluant la location de l'audiophone (obligatoire).
Groupes de 7 à 20 personnes avec conférenciers.
Le tarif de 9,50 € n'inclut pas la prestation du conférencier.
*Tarif réduit (sur présentation d'un justificatif) De 12 à 25 ans, étudiants, demandeurs d'emploi (justificatif daté de moins d'un an), famille nombreuse, carte Améthyste et Emeraude, maison des artistes, carte de priorité pour personne handicapée, guides et conférenciers, professeurs d'arts et d'arts plastiques.
Gratuité (sur présentation d'un justificatif) Moins de 12 ans, journalistes, ICOM, RSA, ASS et minimum vieillesse, guide conférenciers et professeurs ayant une réservation de groupe, carte d'invalidité.
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