Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Le 28 décembre, j'ai visité la biennale de Lyon aux Usines Fagor avant et après le déjeuner(296 photos, la première fois
https://www.labiennaledelyon.com/fr/lieux/usines-fagor
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Usine, je te déteste Machine, tu me débectes Gestes répétitifs, je vous abhorre A l’usine, la femme exécute Et le mâle dirige Ordre malheureusement immuable A l’usine règne les médisances Les rivalités de pacotille Et les cancans circulent La convivialité n’est que façade Les sourires hypocrites On guette tes fautes Pour tenir toute la journée On pense aux bras aimés Aux livres à dévorer Pour supporter la réalité On rêve au soleil qui se fait désirer Et de mer chaude pour nager.
Usine, je te déteste Machine, tu me débectes On dit : deviens ce que tu es Mais qu’est-ce que je suis ? Je répète toujours les mêmes gestes Comme les bêtises autrefois Je répète toujours les mêmes gestes Qu’est devenu mon « Moi » ? Je suis comme un automate Qui n’aurait plus d’âme Plus d’espoir ni de rêves Seulement tenir encore Tenir en pensant aux bras aimés A de l’eau pour nager Au soleil pour réchauffer A des livres à dévorer.
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ET AUSSI | ||||||||||||||
Kanata, spectacle de Robert Lepage, a suscité de vives polémiques au Canada parce que les personnages d’Autochtones n’étaient pas interprétés par des Autochtones. Ariane Mnouchkine l’accueille au Théâtre du Soleil où Mathilde Bardou est allée le voir. Peut-on jouer avec les photos de famille sans moquerie et susciter l’émotion sans sensiblerie ? L’artiste qui les remet en scène, Erik Kessels, répond aux questions de Safia Belmenouar. C’est la Saison France-Roumanie. Adrian Ghenie ou Victor Man font de brillantes carrières internationales, aussi nous sommes-nous posé la question de ce que devient l’École de Cluj... à Cluj ! Et à l’heure où les morts passent de plus en plus facilement à la trappe de la crémation, Thomas Laqueur publie le Travail des morts, une histoire culturelle des dépouilles mortelles, et démontre que la politique a inventé une nouvelle religion des morts. Avec artpress, vous suivez l’actualité, mais pas toujours dans le mainstream et très loin du politiquement correct. > VOIR LE SOMMAIRE | ||
Oliver Beer. Household Gods Musicien, compositeur, vidéaste, plasticien, Oliver Beer est avant tout un artiste de l’entre-deux : c’est entre les images, les objets, et même entre les voix et les lieux qu’il se glisse et travaille. Une exposition monographiqueà la galerie Thaddaeus Ropac à Paris, Household Gods (jusqu'au 16 février 2019), une autre à Sydney, une résidence au Met à New York et une installation monumentale en Tasmanie : 2019 est bien partie pour être l’année Oliver Beer. Par Bastien Gallet. | ||
Robert Lepage. Kanata C’est la première fois qu’Ariane Mnouchkine confie la troupe du Théâtre du Soleil à un autre metteur en scène : Robert Lepage. Le spectacle Kanata – Épisode 1 – la Controverse (jusqu’au 17 février 2019 à la Cartoucherie de Vincennes), très attendu du fait notamment de la vive polémique engendrée par l’annonce de sa création, retrace l’histoire du Canada par le prisme d’un fait divers ; la disparition de 49 femmes au début des années 2000. Par Mathilde Bardou. > à lire aussi sur artpress.com | ||
Erik Kessels Provocations vernaculaires Figure excentrique de la scène artistique européenne, Erik Kessels est animé d’une profonde curiosité. Photographies ratées, absurdes ou bizarres, albums de famille, annonces pornographiques ou pochettes de disques, le Hollandais né en 1966 questionne, avec humour et ironie, tout autant notre rapport aux images que les pratiques artistiques telles la récupération, l’appropriation ou le détournement. Interview par Safia Belmenouar. | ||
Perspectives roumaines La Révolution roumaine de 1989 et la « fin » du couple Ceaușescu ont peut-être été les premiers événements hyper-médiatisés de notre ère. Qui aurait imaginé alors que quelques-uns des jeunes peintres, qui ont installé leur atelier dans une usine désaffectée de la périphérie de la ville de Cluj, seraient 30 ans plus tard des vedettes du monde de l’art international ? À l’occasion de la saison France-Roumanie, nous avons souhaité rappeler ce qui s’était passé entre temps sur la scène roumaine, tout en envisageant « l’après Cluj ». Par Magda Carneci et Călin Stegerean. | ||
H.C. Westermann Une mécanique de l'idée H.C. Westermann (1922 - 1981) est l’auteur d’une œuvre singulière, à la croisée de l’artisanat et de l’assemblage. Montrés récemment à la Fondation Prada de Milan, ses objets domestiques le seront à nouveau au Museo Reina Sofía de Madrid (du 5 février au 6 mai 2019). Éloïse Le Gallo est partie sur ses traces, jusque dans son atelier, longtemps conservé en l’état, dans le Connecticut. | ||
Expositions / ReviewsNiko Pirosmani, Albertina ; Bieke Depoorter, FOMU ; Dessin politique, dessin poétique, Musée Jenisch ; Renault, l’art de la collection, Fondation Clément ; Siècles noirs, Jean-Luc Mylayne, Fondation Van Gogh ; Picture Industry, Fondation Luma ; Bengal Stream, arc en rêve centre d’architecture ; Mohamed Kacimi, Mucem ; Que fut 1848 ? Frac Grand Large ; Damien Deroubaix, MAMC+, Saint-Étienne ; Isabelle Champion Métadier, Musée des beaux-arts de Tours ; Franck Scurti, CCC Olivier Debré ; Picasso-Rutault, Musée Picasso ; Grayson Perry, Monnaie de Paris ; Glen Baxter, Galerie Isabelle Gounod. | ||
LivresValère Novarina, hors de lui ; Perrine Le Querrec, la construction du livre ; Gaëlle Obiégly, l’envers du transhumain ; Nathalie Léger, la robe de Pippa Bacca ; Alain Jouffroy, une poétique de l’amitié ; Les Noailles, mécènes de l’avant-garde ; Gaston Chérau, de l’orientalisme au réel ; Gilles Saussier, l’ombre projetée de l’histoire ; Thomas Laqueur, le don de Diogène, le désarroi d’Adam. | ||
AgendaRetrouvez ici les événements en cours et ceux à venirà Paris, en province et à l'étranger > CONSULTER | ||
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source image : Wikipédia
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Bonne semaine,
Mil et une
http://miletune.over-blog.com/2018/10/sujet-34/2018-du-13-au-20/10.html
Tours de refroidissement, centrales, barrages et usines.
Je me souviens que la petite rivière (qui devait se jeter dans l’Aube) qui passait par là était colorée par les rejets des teintureries voisines. J’ai connu plus tard certains de leurs cadres.
Aujourd’hui, l’eau est pure et limpide et il n’y a quasiment plus de teintureries. Heureusement que les cadres sont maintenant en retraite.
Avec toi, j’ai connu beaucoup d’usines. Comme toi, je les ai toutes aimées comme j’aimais celles de mon paysage d’enfance.
14 septembre 2018
Bon, j’ai cafouillé dans les centaines hier … Il s’agit bien du 310è atelier. (Ahum.)
Merci d’avoir été si nombreux lundi ! J’aurai du temps pour vous lire ce soir.
Voici la nouvelle photographie !
© Tama66
Pour ceux qui ne connaissent pas : je poste chaque mardi une photographie, et vous avez 5 jours pour écrire un texte. Ton et genre libres. Une page word maximum. Vous vous inscrivez sur le formulaire ci-dessous et vous y ajoutez l’url de votre blog. Le lundi matin, votre lien apparaîtra sous mon texte.
Si jamais vous n’avez pas de blog, vous pouvez m’envoyer votre texte (le mieux est de ne pas me l’envoyer après 20 h le dimanche soir. Sinon, vous attendrez le lundi soir pour que j’actualise les textes.)
http://www.bricabook.fr/2018/09/photo-310-atelier-ecriture/
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avec mon catalogue acheté la fois précédente:
j'ai bu de la bière de la Loire à Lyon, un comble!
https://www.restaurant-ravigote.com/
Danone contraint de fermer trois usines de yaourts en Europe
Keren LentschnerDanone contraint de fermer trois usines de yaourts en EuropeDanone contraint de fermer trois usines de yaourts en Europe Nouveau coup dur pour Danone en Europe, où le leader mondial des produits laitiers frais[...]Entre 2010 et 2013, Danone[...]ses ventes et ses marges et respecter ses objectifs financiers, ...
NOUVELOBS.COM | 12.07.2007 | 09:58
Le site de l'Usine AZF après l'explosion survenue le 21 septembre 2001 (Sipa)
L'ex-directeur de l'usine et de la société Grande Paroisse, filiale de Total, est renvoyé en correctionnelle pour "homicides et blessures involontaires" suite à l'explosion qui avait fait 30 morts à Toulouse, le 21 septembre 2001.
Le procès de l'affaire de l'explosion AZF à Toulouse, qui a fait 30 morts le 21 septembre 2001, devrait s'ouvrir en 2008 après le renvoi, mercredi 11 juillet, en correctionnelle pour "homicides et blessures involontaires" de l'ex-directeur de l'usine et de la société Grande Paroisse (groupe Total).
Les renvois devant le tribunal correctionnel de l'ancien directeur Serge Biechlin et de Grande Paroisse en qualité de personne morale, notifiés dans l'ordonnance de renvoi du juge d'instruction Thierry Perriquet sont conformes "pour l'essentiel" au réquisitoire définitif du parquet de Toulouse remis début juillet.
La fin des travaux du palais de justice de Toulouse pourrait influer sur la date de l'audience.
Début mai, le rejet de dernières demandes de nouvelles investigations sur l'explosion avait donné le signal de la fin de l'instruction et ouvert la voie à ce procès.
L'association des familles endeuillées fait appel de trois non-lieux
Serge Biechlin et Grande Paroisse, respectivement mis en examen depuis mai 2006 et juin 2002, devront également répondre de "destructions de biens", a indiqué l'Association des familles endeuillées, qui rassemble de nombreuses familles ayant perdu l'un des leurs dans l'explosion du 21 septembre 2001.
Douze autres personnes, dont un manutentionnaire soupçonné d'être à l'origine du mélange chimique, poursuivies pour les mêmes raisons, avaient, elles, bénéficié d'un non-lieu durant l'instruction.
L'association des familles endeuillées a décidé de faire appel de trois non-lieux figurant dans l'ordonnance de renvoi.
Les deux premiers concernent les infractions "de mise en danger de la vie d'autrui" et "d'entrave à l'enquête pénale". Cette seconde plainte a, selon l'association, démontré que sous couvert d'une enquête interne les membres de la société Grande Paroisse sont venus modifier l'état des lieux et dissimuler des preuves".
L'association a également relevé appel du 3e non-lieu pour "les infractions au droit au travail", qui avaient été, selon elle, notées par l'Inspection du travail et particulièrement "l'abus de sous-traitance".
De son côté, l'avocat de Grande Paroisse Me Daniel Soulez-Larivière a indiqué qu'il n'avait pas "la possibilité procédurale de faire appel". "La lecture du réquisitoire définitif n'a répondu à aucune question de la défense", a-t-il ajouté. Par ailleurs, il a renouvelé sa réserve concernant le rapport des experts sur les causes de l'explosion.
Les experts ont retenu l'hypothèse d'un mélange malencontreux de quelques kilos de DCCNa (un produit chloré) avec 500 kilos de nitrate d'ammonium déversés sur le tas principal de nitrate, 20 minutes avant l'explosion, une thèse accidentelle réfutée par Total. Ils ont en revanche rejeté celles d'une explosion due à un météorite, au gaz ou à un arc électrique.
L'explosion de l'usine AZote Fertilisant (AZF) avait provoqué une secousse équivalente à un séisme de 3,4 degrés sur l'échelle de Richter. L'onde de choc avait soufflé ou endommagé de nombreux bâtiments à des kilomètres à la ronde, et des milliers de personnes avaient été blessées.
Par Charles Gautier Mis à jour le 22/03/2012 à 10:04 | publié le 21/03/2012 à 19:58
Indochine, Blankass, Primitifs du futur… Ces groupes de variété plutôt branchés ont un point commun: leurs Maugein. Maugein? C'est le Steinway du piano à bretelles. Cette maison quasi centenaire de Tulle (Corrèze) est la dernière usine d'accordéons en France. Hélas, même dans la patrie d'André Verchuren et d'Yvette Horner, le «made in France» n'est pas une garantie de survie.
À l'heure de passer la main, René Lachèze, 71 ans, a remué ciel et terre pour assurer la pérennité des vingt emplois nécessaires à la fabrication de 600 accordéons par an. «L'affaire réalise 1,2 million d'euros de ventes, explique ce patron. Elle est à l'équilibre. Deux repreneurs se sont manifestés, mais je ne voulais pas de délocalisation.» Arrière-petit-neveu de l'un des fondateurs, il a préféré une reprise par les salariés. Ils contrôleront 40% d'une société coopérative d'intérêt collectif dont le montage financier a reçu un coup de pouce du président de région, Jean-Paul Denanot, qui coordonne différentes aides.
Encore faudrait-il que le marché français, qui ne dépasse pas 4500 instruments par an, trouve un nouveau souffle. «C'est hélas ma génération, celle des yé-yé, avec Johnny et Eddie, qui a démodé l'instrument», admet René Lachèze, qui se souvient des 200 employés de Maugein autrefois. Et si l'accordéon revenait sur le devant de la scène?
LIRE AUSSI:
» Le fabricant de clarinettes Buffet Crampon change de propriétaire
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L'usine de chocolat avait fait l'objet d'un premier projet de relance, sous le nom de NetCacao. Crédits photo : RUOPPOLO Guillaume/PHOTOPQR/LA PROVENCE
Les repreneurs - des investisseurs russes - ont choisi un marché de niche pour relancer le site.
L'ancienne usine de chocolat de Nestlé à Marseille, dans le quartier de Saint-Menet, revit. Reprise en 2012 par des investisseurs russes après l'échec d'un premier projet de relance, sous le nom de NetCacao, elle monte progressivement en puissance. Rien à voir avec le temps où cette unité du groupe suisse a employé jusqu'à 1200 salariés répartis sur 45000 m2. La Chocolaterie de Provence, son nouveau nom, compte aujourd'hui 49 employés, dont une vingtaine d'anciens de Nestlé, puis de NetCacao, qui avaient tout fait pour sauver le site.
«Nous prévoyons de doubler régulièrement notre activité. Nous allons réaliser 7,5 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2014. Nous visons 15 millions en 2015 et 100 millions dans les trois ans, avec une production de 38000 tonnes», explique la jeune directrice générale, Yulia Serykh, 26 ans, une des actionnaires. L'usine a été acquise 2,5 millions d'euros à la barre du tribunal de commerce, 15,5 millions ont été investis depuis deux ans et 3 millions sont encore prévus l'an prochain en même temps que 20 embauches.
Les investisseurs russes, déjà propriétaires d'une usine de traitement des fèves de cacao en Côte d'Ivoire, cherchaient une usine de fabrication de chocolat. Mais ils n'ont pas voulu reproduire les erreurs de leurs prédécesseurs, qui avaient misé sur la production pour marques de distributeur. «Le marché français est à maturité. Nous avons donc commencé par développer d'abord les produits industriels, liqueur de cacao, beurre de cacao, poudre de cacao et pépites pour l'industrie agroalimentaire, les restaurateurs ou les pâtissiers, à l'exportation», explique la dirigeante, qui commence à attaquer le marché des tablettes à sa propre marque.
En outre, l'entreprise s'est spécialisée sur une niche, le chocolat casher, qui représente aujourd'hui 80 % de sa production. «Nous avons voulu faire d'une contrainte une chance», explique Yulia Serykh. Trois des quatre lignes de production sont réservées à ces produits, certifiés par l'Orthodox Union. L'usine de Saint-Menet est désormais l'une des trois au monde à avoir cet agrément des autorités religieuses, du traitement des fèves de cacao au produit fini.
Ses principaux clients sont en Israël, Russie et Royaume-Uni, mais la Chocolaterie de Provence veut en conquérir de nouveaux en France, aux États-Unis, au Moyen-Orient et en Asie.
L'ex-usine Nestlé à Marseille mise sur le chocolat casher
Les repreneurs - des investisseurs russes - ont choisi un marché de niche pour relancer le site.
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Aliette de Broqua