Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : vvoyage %C3%A0 paris

  • Gisèle Halimi(que j'ai vue à Casablanca) : une farouche liberté La Scala Paris, Paris

    Gisèle Halimi : une farouche liberté La Piccola Scala Affiche

    Ce spectacle inédit s'appuie sur le livre d'entretiens menés par la journaliste Annick Cojean, "Une farouche liberté", avec Ariane Ascaride et Philippine Pierre-Brossolette.

     

    Il raconte soixante-dix ans de combats, d'engagement au service de la justice et de la cause des femmes menés par une femme d'exception, Gisèle Halimi.

    Ariane Ascaride et Philippine Pierre-Brossolette interprètent tous les visages de la célèbre avocate éprise de liberté : la femme politique rebelle, la jeune fille, la mère, la grand-mère, l'amoureuse...



     
     

    Prochaine Séance disponible:
    Vendredi 17 Mars 2023 à 19h00
  • Notre-Dame de Paris retrouve son tapis monumental restauré

    Signature : Guy Boyer - 27 décembre 2013
     
    (© D. Bordes)

    (© D. Bordes)

    Du 6 au 10 janvier et du 13 au 17 janvier 2014, seront exposés dans la nef de Notre-Dame de Paris le tapis monumental tissé de 1825 à de 1833 pour le chœur de Notre-Dame par la Manufacture de la Savonnerie et quelques vêtements liturgiques offerts à la cathédrale au XIXe siècle par Charles X, Louis-Philippe et Napoléon III.

     

    Grâce à une collaboration entre la cathédrale Notre-Dame de Paris, la DRAC Île de France et le Mobilier national, le tapis du choeur, mis en réserve depuis près de 30 ans et restauré par les établissements Chevalier Conservation, sera à nouveau présenté au public par deux fois en janvier. Ses dimensions monumentales (près de 200 m2) en font l'une des plus importantes productions de la célèbre manufacture de la Savonnerie. Commandé sous la Restauration par Charles X, il avait été offert en 1841 par le roi Louis-Philippe, à l'occasion du baptême de son petit-fils, le Comte de Paris. Cet événement avait été l'occasion d'un autre don royal : un « ornement complet en drap d'or », ensemble de vêtements liturgiques tissé par un des plus grands soyeux lyonnais qui seront exposés en même temps que le tapis XXL.

    http://www.connaissancedesarts.com/design-decoration/actus/notre-dame-de-paris-retrouve-son-tapis-monumental-restaure-104699.php?xtor=EPR-1031-[NL_generique]-20140131-[article]

  • Paris et sa région toujours 1ère destination touristique mondiale

     

    Challenges.fr

    Voir tous ses articles

    Publié le 11-03-2014 à 07h53Mis à jour à 15h00

    Contrairement à ce qui pouvait être annoncé, Paris a continué à attirer plus de touristes que Londres en 2013. 32,3 millions de touristes sont venus admirer la capitale française.

    La tour Eiffel est l'un des monuments qui attire le plus de touristes à Paris. (SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA) La tour Eiffel est l'un des monuments qui attire le plus de touristes à Paris. (SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA)
    Partager

    À lire aussi

    Paris est restée la première destination touristique mondiale en 2013 avec 32,3 millions d'arrivées de touristes dans les hôtels de la capitale, a indiqué lundi 10 mars le Comité régional du tourisme Paris Ile-de-France.

    LirELondres n'est pas la 1ère destination touristique

    Malgré le contexte économique difficile, "2013 constitue ainsi l'une des années de référence en termes d'arrivées touristiques", estime le comité dans un communiqué.

    Près de 15,5 millions de visiteurs sont venus de l'étranger, une hausse de 8,2% par rapport à 2012, "un chiffre exceptionnel, puisque le plus élevé depuis 10 ans", souligne le communiqué.

    Forte progression des Chinois

    Dans le détail, ce sont les Britanniques qui ont été les plus nombreux, avec plus de 2,1 millions d'arrivées hôtelières dans la capitale l'an dernier.

    La clientèle chinoise est devenue pour la première fois la clientèle asiatique la plus présente, avec 881.000 arrivées hôtelières (+52,6%), devant les Japonais.

    Par nationalité, dans le top 5 des visiteurs de Paris/Ile-de-France en 2013 se retrouvent dans l'ordre: les Britanniques, les Américains, les Allemands, les Italiens et les Chinois.

    LireTourisme: nouveau record historique pour Berlin

    Baisse de la clientèle française

    Le comité note également une forte progression des arrivées hôtelières de touristes en provenance du Proche et du Moyen Orient (+20,7%).

    En revanche, la baisse des arrivées de la clientèle française, amorcée en 2012, s'est fait "fortement ressentir" (-7,5 %). D'ailleurs, le cabinet Protourisme a annoncé ce mardi 11 mars que le nombre de Français qui sont partis en vacances en 2013 n'a jamais été aussi bas depuis 15 ans. Seuls 41% des Français ont payé un hébergement en 2013. 

    Lire2,5 millions de Français ont renoncé à partir en vacances

    Interrogés les 3 et 4 mars derniers, les professionnels du tourisme francilien sont 69% à prévoir une amélioration de leur activité à moyen terme en 2014, précise par ailleurs le Comité régional du tourisme.

    (avec AFP)

    Sur le web : Allemagne : forte augmentation des exportations et des importations en janvier
     
     


    PartagerPartager sur Facebook92Partager sur Twitter154Partager sur Google+7Partager sur Linkedin28Envoyer cet article à un ami
    Réagir2

      vacances tourisme  hôtels 

     

    EconomieAvion disparu : les 5 scénarios à

  • Pavillon de l'Esprit Nouveau, Paris, France, 1924

    Pavillon de l'Esprit Nouveau, Paris
    © FLC/ADAGP

    Lorsqu'un problème préoccupe, on le porte en soi. Et, un beau ,jour, la solution apparaît. D'autres fois, elle se confirme inopinément au tournant de la rue. Ainsi, cet échafaudage dressé devant les façades des Magasins du Bon Marché, confirme, dans ses dimensions, la thèse d'une échelle nouvelle à conférer aux immeubles des villes. Il semble que les maisons doivent s'éloigner de plus en plus des rues, les espaces devenant de plus en plus vastes, les constructions devront prendre de la hauteur, doubler, tripler leur hauteur. Et dans ces conditions, le module architectural fixé ,jusqu'ici aux 3 ou 4 mètres de hauteur des appartements ordinaires, devra grandir. Des conditions de plans fourniront de nouvelles conditions architecturales et un module probablement double, de 6 à 7 m de hauteur. La construction du "Pavillon de l'Esprit Nouveau" à l'Exposition Internationale des Arts Décoratifs à Paris fut une véritable épopée: pas d'argent, pas de terrain, et interdiction par la Direction de l'exposition de réaliser le programme arrêté.

     

    Ce programme: nier l'Art Décoratif. Affirmer que l'architecture s'étend du moindre objet d'usage mobilier à la maison, à la rue, à la ville, et encore au delà. Montrer que l'industrie créée par sélection (par la série et la standardisation) des objets purs. Affirmer la valeur de l'œuvre d'art pure. Montrer les transformations radicales et les libertés nouvelles apportées par le ciment armé ou l'acier dans la conception de l'habitation de ville. Montrer qu'un appartement peut être standardisé pour satisfaire aux besoins d'un homme "de série". La cellule habitable pratique, confortable et belle, véritable machine à habiter, s'agglomère en grande colonie, en hauteur et en étendue.

     

    Le pavillon sera donc une "cellule" d'immeubles-villas construite entièrement comme si elle se trouvait à 15 m au-dessus du sol. Appartements et jardins suspendus. Mais une annexe, la rotonde, contiendra de vastes études d'urbanisation : deux grands dioramas de 100 m; l'un, celui de la Ville contemporaine de 3 millions d'habitants" de 1922, l'autre, celui du Plan "Voisin" de Paris, proposant la création d'une cité d'affaires au centre de Paris. Aux murs, (les études approfondies, de gratte-ciel, de lotissements à redents, à alvéoles, et de quantité de types nouveaux d'architecture qui sont la conséquence fatale de vues orientées vers l'avenir.

     

    La direction des Services d'Architecture de l'exposition, usant de ses pouvoirs, a manifesté la plus grande hostilité. Elle s'est opposée à la réalisation de ce programme. Il a fallu la présence du Ministre des Beaux-Arts (1925), M. de Monzie, venant inaugurer le Pavillon, pour faire tomber la palissade de 6 mètres que la Direction de l'Exposition avait élevée tout autour pour le mettre hors de la vue des visiteurs. Le jury international de l'exposition voulant décerner la plus haute récompense à ce pavillon, son vice-président y opposa son veto, déclarant "qu'il n'y avait pas là d'architecture" ; (c'était pourtant un homme de grande valeur, un grand architecte d'avant-garde lui-même!).

     

    On s'aperçoit en 1929 que le pavillon de l'Esprit Nouveau a servi de point de ralliement aux nouveaux décorateurs, marquant ainsi un tournant de l'évolution architecturale. Un nouveau terme a remplacé le mot de mobilier; ce terme incarnait les traditions accumulées et les usages périmés. Le mot nouveau, c'est l'équipement de la maison. L'équipement, c'est, par l'analyse du problème, classer les divers éléments nécessaires à l'exploitation domestique. Remplaçant les innombrables meubles affublés aux formes et aux noms variés, des casiers standard sont incorporés aux murs ou appuyés au mur, disposés en chaque endroit de l'appartement où s'effectue une fonction quotidienne précise, équipés à l'intérieur suivant leur destination exacte (Penderie, linge de corps, linge de maison, vaisselle, verrerie, bibelots, bibliothèque, etc.) : ils sont réalisés non plus en bois, mais en métal, dans les ateliers où l'on construit jusqu'ici les meubles de bureau. Les casiers constituent à eux seuls le mobilier de la maison laissant un maximum de place disponible dans la pièce. Les sièges seuls demeurent et les tables.

     

    L'étude des sièges et des tables conduit à des conceptions entièrement neuves, non point d'ordre décoratif, mais d'ordre fonctionnel; l'"étiquette" a été supprimée par l'évolution des mœurs ; il est possible de s'asseoir de bien des manières et c'est à ces diverses manières de s'asseoir que doivent répondre les nouvelles formes de siège que la construction métallique en tubes ou en tôle permet de réaliser saris difficulté; la construction de bois traditionnelle limitait des initiatives.

     

    Equiper la maison ? Il fallait y songer. Ce classement se fixe au cours de conférences, de rédaction d'articles, de conversation. C'est un système nouveau d'organisation domestique.

    http://www.fondationlecorbusier.fr/corbuweb/morpheus.aspx?sysId=13&IrisObjectId=5061&sysLanguage=fr-fr&itemPos=44&itemSort=fr-fr_sort_string1%20&itemCount=78&sysParentName=&sysParentId=64

  • Paris – L’hôtel Lutetia ferme pour trois ans -

     

    15 avr 2014
    Catégorie : Actualité Chefs & Restaurant, Bonnes adresses

     F&S Après le Ritz en 2012, le Crillon et le Plaza Athénée en 2013, ce lundi 14 avril 2014 à midi, un autre grand hôtel parisien a fermé ses portes pour un grand lifting. Les nombreux résidents à l’année sur place ont dû faire leurs bagages semaine dernière, des larmes ont coulées, surtout que certains y résidaient depuis de nombreuses années.

    Le Lutetia, certainement la plus belle adresse de la Rive gauche entame trois ans de rénovation qui devrait propulser l’Hôtel au rang de Palace et l’amener au même niveau que le Georges V ou le Bristol. Pour faire face à l’arrivée des grandes chaînes asiatiques telles que le Royal Monceau-Raffles, le Shangri-La, le Mandarin Oriental le Peninsula, il fallait réagir.

    Lutetia

    D’autant que le Lutetia avait perdu de son lustre depuis plusieurs années, et pour y résider il fallait vraiment être amoureux du lieu. Racheté en 2010 par le groupe israélien Alrov, 100 ans tout pile après son ouverture, l’hôtel ferme pour trois ans. Les travaux de rénovation débuteront au début de l’année 2015. A sa ré-ouverture, l’établissement aura une ambition : obtenir les 5 étoiles décernées aux établissements d’excellence depuis juillet 2012 et à classification  » Palace « .

    Emblématique hôtel art nouveau construit à l’initiative de Aristide et Marguerite Boucicaut, les créateurs du Bon Marché (situé à quelques minutes à pied), le bâtiment de sept étages et 231 chambres a marqué la grande et la petite histoire. L’ensemble des façades et des toitures (dont les sculptures de Paul Belmondo, père de Jean-Paul), ainsi que les halls, plusieurs salons et escaliers, sont d’ailleurs inscrits depuis 2007 aux monuments historiques.

    hotel-lutetia

    Dès juin 1940 et l’occupation de Paris, le service de contre-espionnage de l’armée allemande, l’Abwehr, en fit son quartier général. Mais l’établissement fut surtout le lieu où les déportés français sont rentrés, de juin à septembre 1945, après un long périple à travers l’Europe.

    Situé dans le quartier des maisons d’éditions de Paris, le Lutetia a été avant guerre l’hôtel des figures prestigieuses du monde littéraire. Le romancier et poète irlandais James Joyce, les Français Antoine de Saint-Exupéry, Roger Martin du Gard ou André Gide notamment y ont séjourné. Après la guerre, c’est resté l’hôtel littéraire par excellence parce que le bar du Lutetia n’a jamais cessé, jusqu’à samedi soir, d’être un lieu de rendez-vous des écrivains et des éditeurs. »

    lutetia

    Rive gauche, l’hôtel Lutetia sera aussi le théâtre de quelques moments d’histoire de la politique française. À en croire le site de l’hôtel, le Général de Gaulle y descendit pour sa nuit de noce en 1921. C’est aussi le lieu choisi par François Mitterrand en 1965 pour lancer sa candidature à l’élection présidentielle face au Général.

    La cure de jouvence du Lutetia sera menée sous la direction de l’architecte Jean-Michel Wilmotte (qui a déjà œuvré à l’Hôtel Mandarin Oriental). Ni chambardement ni révolution, la rénovation -dont le projet architectural est tenu secret- devrait surtout consister en un gigantesque rafraîchissement. Un jardin d’hiver remplacera le bar, les chambres et les suites seront agrandies et modernisées, tandis qu’une piscine de 18m de long sera créée au premier sous-sol. Le tout grâce à une enveloppe entre 80 et 100 millons d’euros.

    Quant aux collections de l’établissement, dont une centaine d’œuvres d’art réalisées sur place et 8000 bouteilles de vins et de spiritueux, doivent êtres vendues aux enchères fin mai. La vente, dont la catalogue n’a pas encore été dévoilé, est organisée par Pierre Bergé & Associés. Ce n’est pas un hasard : le compagnon d’Yves Saint-Laurent a vécu plusieurs années dans l’hôtel de luxe.

    http://www.pourcel-chefs-blog.com/blog1/2014/04/15/lhotel-lutetia-ferme-pour-trois-ans/

  • Un colloque consacré à Imre Kertész à Paris

    Du 4 au 5 octobre, le Collège de France et l’ENS-Ulm organisent un colloque international consacré à l’œuvre d’Imre Kertész.

    Les 4 et 5 octobre 2013, le Collège de France et l’École Normale Supérieure de la rue d’Ulm organisent un colloque international consacré au célèbre écrivain hongrois. Intitulé «Imre Kertész : éthique du récit et forme d’existence», ce colloque réunira à la fois des spécialistes français et hongrois de l’œuvre d’Imre Kertesz, au cours d’une vingtaine de conférences et de tables rondes.
    Survivant des camps de concentration et du totalitarisme communiste, Imre Kertész est l’auteur d’une œuvre singulière qui interroge notre propre barbarie moderne et pour laquelle il a reçu le prix Nobel en 2002.  Le colloque s’intéressera plus particulièrement au lien entre connaissances littéraire et philosophique, et sur les questions éthiques qu’ouvre une œuvre composée à partir du «point zéro» que constitue la Shoah.
    Les conférences auront lieu dans les bâtiments du Collège de France et de l’ENS-Ulm, l’entrée est libre dans la limite des places disponibles.
    Découvrez l’ensemble du programme ici : http://www.fabula.org/actualites/imre-kertesz-ethique-du-recit-et-forme-d-existence_58125.php

     

     http://www.magazine-litteraire.com/agenda/colloque/colloque-consacre-imre-kertesz-paris-12-09-2013-82283

     

  • Jeudi, j'ai aimé à Paris:Irma Boom

    L'architecture du livre18/09/2013 - 15/12/2013

    12345

     

     

    L’Institut Néerlandais présente une exposition des livres conçus par la graphiste Irma Boom

    Irma Boom: L’architecture du livre est la première rétrospective en France de la célèbre graphiste Irma Boom, née en 1960. Les livres remarquables – dans ses propres mots des constructions en matières et couleurs d’où le titre de l’exposition - qu’elle a conçus et dessinés jouissent d’une grande renommée dans de nombreux pays ; un certain nombre d’entre eux font partie de la collection permanente des Bijzondere Collecties de l’Université d’Amsterdam et du MoMA de New York. On a déjà pu apprécier son travail au Museum für Gestaltung de Zurich ou encore au Centre Georges Pompidou.

    L’exposition Irma Boom : L’architecture du livre repose sur une collaboration entre les Bijzondere Collecties de l’Université d’Amsterdam et l’Institut Néerlandais. Elle permet au public français de découvrir pour la première fois un large aperçu de l’œuvre de la graphiste, en remontant de 2013 à la fin des années quatre-vingt, soit ses débuts. L’exposition montre comment Irma Boom construit ses livres comme des véritables créations autonomes. Elle explore de nombreux paramètres formels du livre, dont le format, le papier, la structure et la reliure. À côté de ses créations phares, comme entre autres le livre SHV, le Colorbook et le livre sur Otto Treuman sont exposés des études préparatoires et des « échecs ». L’artiste a elle-même sélectionné des livres anciens provenant des Bijzondere Collecties (les Collections Particulières) de l’Université d’Amsterdam et des collections de la Fondation Custodia de Paris. Autant d’ouvrages remarquables qui présentent des rapports avec son propre travail et qui la fascinent. L’exposition montre par ailleurs quelques projets récents, par exemple une édition pour Chanel ainsi que la nouvelle identité du Rijksmuseum dessinée par Irma Boom dans le cadre de la réouverture du musée en avril 2013.

    Outre des livres, qui constituent son sujet d’intérêt majeur, Boom dessine les logos, les supports de communication et les rapports annuels d’entreprises, ainsi que des timbres et divers objets destinés à l’espace public. Après ses études à l’AKI de Enschede, Irma Boom commence sa carrière au sein  du groupe Sdu de La Haye. En 1991, elle lance son propre bureau à Amsterdam, l’Irma Boom Office. Cette même année, la multinationale SHV lui confie la tâche de réaliser une édition pour le centenaire de son existence. Ce livre de plus de 2000 pages, publié en 1996, est aujourd’hui considéré comme un symbole du « Dutch Design ». Il a amené d’autres commanditaires  néerlandais ou étrangers à s’adresser à la designer, par exemple Vitra, Zumtobel et Ferrari. Pour ses réalisations, Irma Boom a reçu de nombreuses distinctions, dont plusieurs fois le prix couronnant, aux Pays-Bas, le livre le mieux conçu, ainsi que le prestigieux Gutenberg-Preis en 2001 ou encore, en 2012, Prix Amsterdam. La même année, la Médaille d’Honneur pour l’Art et la Science, décernée par la reine Beatrix, est venue récompenser son travail.

    Cette manifestation parisienne s’accompagne d’une version française du catalogue : The Architecture of the Book, un mini-livre de plus de 800 pages enchâssé dans un coffret spécialement conçu par Irma Boom. Cette réédition revue et complétée contient l’ensemble de l’œuvre d’Irma Boom. Les premiers 500 exemplaires seront signés et numérotés et en vente dans la librairie conçue à l’occasion dans une des salles de l’exposition. Cette monographie (38 × 50 mm) rehaussée de plus de 450 illustrations propose un vaste tout d’horizon sur l’œuvre, depuis ses premiers pas comme designer en 1986 jusqu’à aujourd’hui. Avec une introduction de l’architecte néerlandais Rem Koolhaas.



     

    Horaires :
    Tous les jours sauf le lundi de 13h à 19h

    Exposition :
    du 18 septembre au 15 décembre 2013

    Vernissage :

    Le 17  septembre 2013 de 18h à 20h30

    Tarifs :
    Plein tarif : 4 € / tarif réduit :2 €
    Entrée couplée avec l’exposition Hieronymus Cock – La gravure à la Renaissance :
    plein tarif 6 € / tarif réduit 4 €

    En collaboration avec :
    Bijzondere Collecties Universiteit van Amsterdam (Collections particulières de l'Université d'Amsterdam)

    Avec le soutien de :
    Thalys
    Loyens&Loeff
    ISPA Plastics
    Anything is Possible

     

    Persbericht Irma Boom_De Architectuur van het boek
    CommPresse_Irma Boom_LArchitecture du livre
    PressRelease_IrmaBoom_The Architecture of the Book

     

    http://www.institutneerlandais.com/tentoonstelling/

     

  • Paris : le pont des Arts surchargé de «cadenas d'amour»

    Mots clés : Paris

    figaro.fr, Le
    27/08/2013 | Mise à jour : 17:14


    Lancée en 2008 dans la capitale, cette mode pose des problèmes de sécurité face à la prolifération des verrous qui viennent orner les grilles de la construction.

     

    L'un des lieux du romantisme parisien est menacé...par le poids de l'amour. La tradition des amoureux, qui viennent accrocher un cadenas sur les pans grillagés du pont des Arts dans le VIe arrondissem...
  • Programme TV : plongez dans le Paris des années folles sur France 3

    Lundi 2 décembre 2013 à 11h43 - par Clémence Peyron

    Ce lundi 2 décembre, à 20h45, France 3 propose une immersion fascinante et inédite dans le tourbillon d’une époque en pleine euphorie.

    Elles n’ont duré qu’une décennie, et presque un siècle nous séparent d’elles, mais les Années folles marquent encore les esprits. Proposé dans le cadre de la case Histoire immédiate de la troisième chaîne, ce film captivant nous offre une plongée dans le Paris des années 1920. C’est bien là que tout se joue : révolutions culturelles, libération sexuelle et émancipation féminine.

    Grâce à un énorme travail de restauration – les images ont été sonorisées et surtout recadencées pour coller le plus possible à la vitesse naturelle des corps –, on redécouvre avec bonheur les musiques, danses et visages qui ont marqué l’époque. Joséphine Baker, Maurice Chevalier, Kiki de Montparnasse ou encore Francis Scott Fitzgerald nous semblent soudain proches.

    Nourri d’images d’archives inédites et rarissimes – comme des clichés des bals costumés du comte de Beaumont, où l’on voit Picasso déguisé en torero, ou encore des films érotiques provenant des maisons closes –, ce documentaire parvient à nous faire entrevoir l’exubérance de cette parenthèse quasi enchantée. Si la Grande Guerre est bel et bien finie, derrière l’effervescence, un autre drame se prépare. Le krach boursier de 1929 l’annonce en même temps qu’il sonne la fin de la fête. Par leur fulgurance, les Années folles n’en seront que plus mythiques

    http://www.programme.tv/news/actu/80443-programme-tv-plongez-dans-le-paris-des-annees-folles-sur-france-3/

  • La Grande Épicerie de Paris, l'exquis diktat du goût

    Mots clés : La grande épicerie de Paris, Paris, Patrice Wagner, Groupe Bon Marché

    Monsat, Colette
    13/12/2013 | Mise à jour : 18:58


    Pour ses 90 ans, le magasin de la rive gauche vient d'être entièrement lifté, après des travaux spectaculaires destinés à mettre en scène plus de 25.000 produits, des plus futiles aux plus exceptionnels. Parcours gourmand.

     

    À la veille de Noël, le nouveau visage de la Grande Épicerie se dévoile enfin, au bout de dix-huit mois de travaux pharaoniques.

    http://recherche.lefigaro.fr/recherche/access/lefigaro_fr.php?archive=BszTm8dCk78atGCYonbyztbPCsjL0%2Bx3arglcTZ4ny%2Fspq0CwYXAmlTi3HwxXmhFu2IGtjAq08M%3D

  • Littérature:Oscar Wilde, échec et mat à Paris

    JEAN-CLAUDE PERRIER.
     Publié le 24 mai 2007
    Actualisé le 24 mai 2007 : 11h52
    Oscar Wilde à Paris de Herbert Lottman traduit de l'anglais (États-Unis) par Marianne Véron Fayard, 260 p., 19 €.

    Le biographe américain Herbert Lottman suit l'écrivain pas à pas dans la capitale grâce à sa correspondance et à de nombreux témoignages.

    SOUS son titre quelque peu réducteur, Oscar Wilde à Paris, le biographe américain Herbert Lottman, qui s'est spécialisé dans l'étude minutieuse de la vie intellectuelle française (on lui doit en particulier une biographie d'Albert Camus, publiée au Seuil en 1978, ou encore un essai sur L'Épuration : 1943-1953, paru à la Librairie générale française en 1994), s'est en fait adonné à une réinterprétation de la vie du malheureux Oscar Wilde (1854-1900) à partir de son tropisme parisien.
    Irlandais, francophone, Wilde découvrit la France dès l'âge de vingt ans, en compagnie de sa mère, l'extravagante lady Jane, qui militait farouchement pour l'indépendance de son pays et se faisait symboliquement appeler Esperanza. Un voyage d'initiation, comme tous les jeunes gens bien nés en accomplissaient à l'époque. Mais, au-delà, Wilde s'est vite senti plus chez lui de ce côté-ci du Channel qu'en Angleterre, dans ce Londres victorien qui le fascinait, où il brûlait d'être reconnu : et il le sera, grâce à ses pièces de théâtre, L'Éventail de Lady Windermere ou Une Femme sans importance, juste avant son procès et sa chute, en 1895. En matière d'« outrage aux bonnes moeurs », surtout lorsque l'un des protagonistes était un aristocrate, lord Alfred Douglas, fils du venimeux marquis de Queensbury, l'Angleterre était bien plus socialement conservatrice, bien moins libérale que la France, laquelle, depuis le XIXe siècle, pratiquait une certaine tolérance à l'égard de ses artistes. À condition qu'ils ne s'affichassent point de façon trop scandaleuse. Si Verlaine avait eu des ennuis, ce n'était pas à cause de ses relations avec Rimbaud, mais parce qu'il lui avait tiré dessus à coups de revolver.
    Au Père-Lachaise, une statue de lui nu
    Herbert Lottman, grâce à sa correspondance, aux témoignages de ses quelques vrais amis ou de ses contemporains, pas forcément bien disposés à son égard (Léon Daudet, par exemple, ou le peintre Whistler, qui ne l'aimaient guère), suit pas à pas Oscar Wilde dans ses pérégrinations parisiennes : les grands hôtels de la rive droite ou les cafés à la mode des Grands Boulevards, où, au temps de sa splendeur, il tenait table ouverte, entretenant une nuée de courtisans, parasites, jolis garçons plus ou moins vénaux. Mais aussi, et c'est sans doute la partie la plus novatrice de ce livre, lorsque, à sa sortie de prison en 1897, Wilde, ruiné, brisé, devenu un paria malade et incapable d'écrire, se réfugia, d'abord en Normandie, puis à Paris, dans des chambres d'hôtels minables du Quartier latin, qu'il ne pouvait d'ailleurs pas toujours payer : sa correspondance de ces années-là n'est qu'une litanie d'appels au secours pathétiques à son éditeur anglais, à ses amis proches, souvent même à de simples connaissances, afin qu'ils le dépannent de quelques livres. Parmi lesquels Gide, qui n'abandonnera jamais Wilde, en dépit de ses attitudes provocantes qui le heurtaient. Ou encore l'excellent M. Dupoirier, le propriétaire de l'hôtel d'Alsace, rue des Beaux-Arts, où Wilde mourut le 20 novembre 1900, et qui fut pour lui plus un mécène qu'un logeur. Son nom méritait, à ce titre, de passer à la postérité.
    Il y a encore, à la fin du livre de Lottman (qui s'achève abruptement sur un portrait de la nièce de Wilde), un chapitre étonnant : le sculpteur Jacob Epstein ayant réalisé pour la tombe de l'écrivain au Père-Lachaise une statue de lui nu, dans l'esprit du Balzac de Rodin (qui fit scandale en son temps), il fallut attendre jusqu'en 1914 pour que l'oeuvre fût visible dans son intégralité... Même après sa mort, Oscar Wilde, qui avait tout raté, continuait à choquer.
  • Paris-Londres en 2h15(Pour Didier)

    Vincent Fertey.
     Publié le 04 septembre 2007
    Actualisé le 04 septembre 2007 : 17h2271150977e8e769e9570b706865b70480.jpg

    AUDIO. L’Eurostar a réalisé un voyage inaugural avec une arrivée au nouveau terminal de Londres Saint Pancras qui remplacera la gare de Waterloo à partir du 14 novembre prochain. Fabrice Amedeo, journaliste au Figaro, était du voyage…

    Toujours plus vite. Avec l’aménagement d’un tronçon à grande vitesse côté britannique, l’Eurostar desservira Londres en 2 heures 15. Pour ce trajet inaugural, Paris a été relié à Londres en 2h03, un temps record. Les tarifs resteront inchangés : de 77 euros à 589 euros pour les tarifs les plus élevés.
    Saint Pancras International, la nouvelle gare qui accueillera la ligne à grande vitesse a subi un grand lifting, avec l’avantage de desservir les villes du nord sans changement de gare. Avec un investissement total de 7,5 milliards d’euros, la rénovation de St Pancras témoigne de la volonté des Anglais de se relier à l’Europe de la grande vitesse.
    Ecoutez les impressions de Fabrice Amedeo à sa descente de l’Eurostar à St Pancras.
  • Paris sous l’œil d’un touriste … parisien

    e2721dff9ff1ed281d2dc535e007ea46.jpgPropos recueillis par Jérôme Bouin (lefigaro.fr).
     Publié le 24 août 2007
    Actualisé le 27 août 2007 : 08h05
    Parisdailyphoto propose des clichés inattendus, ici dans le XVIe arrondissement.
    Eric Tenin.

    Sur son blog, Eric Tenin prend chaque jour une photo de la capitale. Il y est né, y vit, y travaille, et pourtant, il la découvre encore.

    Du Guilvinec à Londres en passant par Oslo, Cologne, Château-Gontier, Rouen ou Rotterdam, la mode du "city daily photo" blog est universelle. Le principe : prendre chaque jour une nouvelle photo de sa ville ou sa commune. Ainsi sont apparus des dizaines de blogs, dont la qualité est largement dépendante du talent même des photoreporters qui les animent comme de la richesse culturelle, architecturale de l’agglomération concernée. A Paris, Eric Tenin bénéficie d’un terrain de jeu très vaste. Entretien.

    lefigaro.fr. - Quand et comment est né le blog parisdailyphoto ?
    Eric Tenin. – Le blog a vu le jour en mars 2005. A l’époque, on m’avait offert un appareil photo et, ne sachant pas quoi en faire, je me suis mis à prendre des clichés avant de les poster sur un blog. C’était la "mode" ! Je ne souhaitais pas un "blog écrit", faute de temps. Seulement je n’imaginais pas que cela m’occuperait autant. Je passe environ trois heures par jour entre la mise en ligne des photos, les légendes et surtout la gestion des commentaires. (parisdailyphoto revendique, selon les chiffres fournis par son auteur, 34.000 visiteurs uniques/mois et 50.000 visites/mois, ndlr.)
    Comment abordez-vous la traditionnelle photo quotidienne ? Comme une obligation ? Une contrainte ? Un défi ?
    Un peu de tout ça. C’est un défi qui est souvent un plaisir mais c’est parfois pesant. Parce que je suis fatigué, occupé, …, il arrive que je poste ma photo avec moins d’enthousiasme mais c’est normal. En tout état de cause, je n’ai jamais « oublié » de poster cette photo. Et puis l’idée, c’est de faire une photo attrayante, esthétiquement parlant.
    Craignez-vous justement de vous retrouver un jour à court d’idées ?
    Tout à fait. D’ailleurs, il m’arrive de plus en plus souvent de peiner. Prenez l’exemple de l’opération Paris Plages. Au bout de trois ans, il est plus compliqué de diversifier les clichés. J’en suis un peu en ce moment à me poser la question "Mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir photographier aujourd’hui ?".
    En revanche, le côté sympa de la chose, c’est que cela me fait découvrir des choses que je n’aurais jamais pu voir si mon blog n’avait pas existé.
    Par exemple ?
    Je suis tombé il y a peu, dans le 13 e arrondissement de Paris, sur un monument à la gloire des mères françaises. Un truc complètement inattendu, façonné sur le modèle soviétique. J’ai aussi eu l’occasion de pousser des portes, de me rendre surle chantier de rénovation de la Tour Saint Jacques, de visiter des expositions. Autant de choses que je n’aurais jamais faites sans mon blog.
    Vous avez aussi lancé un portail qui répertorie les "city daily photo" blogs à travers le monde.
    Oui parce que je pense que, quand on aime sa ville ou son lieu de naissance, on veut la faire connaître. Quant au fait que l’on soit très nombreux à le faire - le portail répertorie 162 contributeurs actifs et 400 blogs archivés - bien évidemment tout cela aurait été impossible sans internet.
    Plus de deux ans après le lancement de parisdailyphoto, quel bilan ?
    Un bilan positif. D’abord, je continuerai aussi longtemps que je le pourrai. Ensuite, je souhaiterais développer le portail qui répertorie les citydailyphotosblog et "booster" le forum du blog. J’envisage aussi de tirer des revenus du blog et pourquoi pas, un jour, d’en faire un livre.
  • Mary Cassatt à Paris: Dessins & Gravures de la Collection Ambroise Vollard

    Le Mona Bismarck American Center for art & culture est ravi d’annoncer que notre prochaine exposition sera Mary Cassatt à Paris: Dessins & Gravures de la Collection Ambroise Vollard, du 26 septembre au
    20 janvier 2013.

    L’Impressionniste américaine Mary Cassatt (1844-1926), ayant vécu à Paris, était fascinée par les défis et les possibilités artistiques qu’offrait la gravure, lui permettant de se concentrer essentiellement sur la forme, le geste ainsi que l’expression.

    A l’époque, Ambroise Vollard, l’audacieux marchand d’art de Paris, fut frappé par la modernité et la vitalité de son travail sur papier, et plus particulièrement par les impressions à différentes étapes de ses gravures, qui laissent un témoignage important sur le processus créatif. Vollard fit donc l’acquisition de l’entière collection des gravures et dessins dans l’atelier de l’artiste, et les garda en sa possession jusqu’à sa mort.

    Pour la toute première fois, près de 70 des impressionnants travaux de Cassatt seront exposés dans Mary Cassatt à Paris: Dessins & Gravures de la Collection Ambroise Vollard, parmi lesquels on trouvera des gravures, des aquatintes, des transferts de pastel et des dessins préparatoires. Le Mona Bismarck American Center for art & culture est ravi de présenter ces œuvres dans la ville de Paris, ville tant aimée par leur créateur et leur collectionneur, et où elles n’ont jamais été montrées depuis leur création.

    http://monabismarck.org/programmes/exposition/en-ce-moment

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

  • Damien Colcombet(photo perso de vendredi dernier à Paris)

    CDI paris bouquet nov 2012 015.jpg

    « C’est un bronze, « Héron pris au piège », aperçu un jour chez un antiquaire de Rennes et dont j’ignore encore l’auteur, qui provoqua en moi le choc de la sculpture.
    Ce fût une révélation, comme s’il devenait possible d’approcher à courte distance des animaux sauvages jusqu’alors trop farouches ou menaçants.
    De nombreuses visites dans les zoos, les cirques, des voyages au Kenya et en Tanzanie, n’ont fait que renforcer le sentiment que chaque animal est un mystère que l’on ne peut que contempler et admirer longuement.
    J’essaie de représenter dans mes animaux une certaine vie intérieure, lourdement marquée par l’instinct. Jules Renard, Colette ou Marcel Aymé décrivent « le cygne et la plomberie orgueilleuse de son cou », l’écureuil qui meurt de peur, le loup qui ne peut se retenir de manger les petits enfants. J’imagine moi aussi les animaux acceptant sereinement et avec lucidité leur statut officiel, l’aspect inéluctable de leur destin.
    L’éléphant admet être lourd, placide et puissant ; le buffle reconnaît qu’il est obtus et brutal ; le gnou sait qu’il a pour fonction essentielle de servir de repas aux fauves ; le babouin est chapardeur… Et chacun fait pleinement son métier d’animal.
    Modeler est d’abord une bataille : avant de commencer, lutte contre l’appréhension de ne pas y arriver ; puis lutte contre le découragement quand une masse de terre ressemble si peu à la vie animale. Lutte encore quand les fragiles pattes ne supportent plus un corps trop lourd, quand une tête chargée de défenses s’incline et que le cou se brise, quand trois pattes touchant le sol n’assurent pas l’équilibre. On admire alors la perfection de la nature, qui sait faire, elle…
    Et puis, il y a le moment de grâce, quand l’animal naît. Il suffit de peu de choses : un cou un peu plus lourd, des oreilles mieux placées, un dos plus creux. Et c’est le miracle : le fauve est là, l’antilope vous regard, l’éléphant se mettrait presque en marche. »
    Damien COLCOMBET

    http://www.estades.com/fr/biographie.htm?_ref=83

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

  • Statue du baron Haussmann (photo perso de vendredi dernier à Paris)

    CDI paris bouquet nov 2012 028.jpg

    Le Boulevard Haussmann dont le nom vient du célèbre préfet de Paris le baron Haussmann , commence à l'angle du boulevard des Italiens et du boulevard Montmartre dont est le prolongement vers l'ouest. Il ne fait pas partie des Grands Boulevards réellement mais il y est assimilé.

    La statue du baron Haussmann réalisée par François Cogné en 1889 est située à l’angle de la rue Laborde.

     

    http://paris1900.lartnouveau.com/paris09/boulevard_haussmann.htm