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  • Eurostar achète allemand au grand dam de Paris

    Cette commande de 800 millions d'euros, placée auprès de Siemens aux dépens d'Alstom, a suscité la «stupéfaction» de Jean-Louis Borloo et Dominique Bussereau, qui ont estimé que les trains de Siemens ne sont pas aux normes du tunnel sous la Manche.


    » La bataille mondiale de la très grande vitesse

     

    http://www.lefigaro.fr/societes/2010/10/07/04015-20101007ARTFIG00432-eurostar-va-desservir-de-nouvelles-destinations.php

  • C'est la romance de Paris

    Par Thierry Clermont
    28/10/2010 | Mise à jour : 12:26

    Carnet d'adresses de Didier Blonde relate une promenade sur les lieux où vécurent les personnages de livres et de films célèbres. 

    Les immeubles parisiens sont des palimpsestes de l'imaginaire romanesque (…). Je traverse la ville comme une bibliothèque.» C'est ainsi que Didier Blonde voit les choses. Depuis sa tendre adolescence à Neuilly, quand il découvre qu'Arsène Lupin possédait une planque, à quelques numéros du domicile familial. Le «vertige», c'est son mot, qu'il éprouve alors va le porter vers le «fétichisme des lieux» littéraires.

    Muni de cartes, de plans d'un autre âge, de photos d'époque, d'annuaires hors d'usage et de romans annotés, Didier Blonde part à la recherche des domiciles des personnages fictifs dans Paris. À travers ses flâneries, on tombe sur Nestor Burma, rue des Petits-Champs ; au siècle précédent, c'est Maldoror, rue Vivienne. Rue de Choiseul, Frédéric Moreau attend sous une fenêtre l'apparition de Mme Arnoux, alors que Rastignac est attablé au Rocher de Cancale (toujours en activité), rue Montorgueil. Hélas, l'immeuble où logeait Lucien Leuwen, près de la gare Saint-Lazare, accueille aujourd'hui une succursale bancaire

    Rive droite, rive gauche, Didier Blonde ne méprise pas pour autant ses contemporains. Il emboîte le pas à Patrick Modiano, découvre que le protagoniste d'Un cirque passe loge dans un appartement du quai de Conti, dans lequel justement Modiano a passé son enfance. Idem pour Daniel Pennac qui a habité au-dessus de la quincaillerie désaffectée des Malaussène, dans la populaire rue de la Folie-Méricourt.

     

    Badinage pédestre 

     

    Il existe également des voisinages involontaires, d'un roman à l'autre : la Nana de Zola et Arsène Lupin, Octave Mouret et Marie Arnoux. On peut alors rêvasser sur ces couples improbables. «Les adresses sont les jalons d'une vie, une échelle capricieuse des âges», précise-t-il.

    Le cinéma a également sa place: Antoine Doisnel à la fenêtre de sa chambre d'hôtel, rue de l'Écluse, et la fameuse rue Poliveau, dans le Ve arrondissement. Si, souvenez-vous des vociférations de Jean Gabin dans La Traversée de Paris : «Jambier ! 45, rue Poliveau ! Regret du Paris d'Antan? Celui chanté par Léon-Paul Fargue, René Fallet ou par Jean-Paul Clébert? Didier Blonde profite de ses déambulations pour nous dire tout le mal qu'il pense (et que l'on peut penser aussi) des quartiers récemment aménagés, comme la BNF François-Mitterrand et son «architecture totalitaire noyée de vent et de pluie». Cette bibliothèque où il a consulté d'innombrables fiches et microfilms pour mener à bien son enquête.

    D'autres traces se sont perdues ou envolées : ainsi le magasin Au Bonheur des Dames, place Gaillon, c'est-à-dire à quelques pas ou, pourquoi pas, à l'emplacement même du restaurant Drouant, où se rassemblent traditionnellement les jurés du prix Goncourt…

    Dans le prolongement de ce badinage pédestre, Didier Blonde publie un Répertoire des domiciles parisiens de quelques personnages fictifs de la littérature (Éditions La Pionnière), qui va d'Anicet à Zazie en passant par le baron de Charlus, Fantômas ou Thérèse Raquin; le tout complété de deux index: par rues et par arrondissements. Pour découvrir ses illustres et romanesques voisins.

    Carnet d'adresses de Didier Blonde, Gallimard,«L'Un et l'autre»,136 p., 17,90 €

     

  • 22. Voyage à Paris 22. Montmartre

    Pigalle_Paris.jpg

     

    Place Pigalle.

    Cf. note 9

    Jusqu'en 1910, c'est autour du bassin de forme circulaire que se déroulait la foire aux modèles.

    Au numéro 9, à l'angle de l'avenue Frochot, dans la salle du café de la Nouvelle Athènes, se rencontrent les impressionnistes venus du Café Guerbois

    (cf.  http://www.azureva.com/paris/magazine/paris-insolite-aven...)

     

    puis Toulouse-Lautrec, Forain et Willette. Remanié une première fois en 1903, le bâtiment actuel n'évoque en rien, si ce n'est son nom, l'endroit qu'il fut au temps de la bohème montmartroise.

    Avenue Frochot  :

    Il y a au cœur de Pigalle une maison habitée pour ne pas dire hantée dans l'impasse jadis la plus pittoresque de Paris et qui a gardé bien du charme. Je veux parler de l'impasse Frochot. C'est une impasse qui serpente depuis la place Pigalle jusqu'à la rue Victor Massé; un havre de paix, un lieu où l'on sent encore le passage de Django Reinhardt qui brûlait ses meubles dans la cheminée pour se réchauffer - de Toulouse Lautrec qui avait installé son atelier de nu au bout de l'impasse, de Renoir père et fils qui devaient faire leur cinéma aux voisins de passage, et de tous les artistes et bohèmes passés par là.

    Elle se trouve au n°1, cette maison néo-gothique, un hôtel particulier avec des vitraux, un jardinet et à l'intérieur, des petits salons sombres remplis de boiseries dont l'escalier en rond tourne sur deux étages.

    Dans cette maison a vécu Victor Massé, compositeur, paralysé de nombreuses années sur son lit, victime d'une sclérose en plaque. À sa mort, le directeur des Folies Bergère a racheté la maison avec sa femme avant d'en faire hériter leur femme de ménage, sauvagement assassinée, à coup de tisonnier. Le meurtrier n'a jamais été retrouvé.

    Qu'est-ce qu'elle en pense la maison ? Motus, elle ne dit rien à personne, elle est mise sous scellés... Personne n'y habite pendant 30 ans. Des bruits courent qu'elle est hantée.

    Puis Sylvie Vartan l'achète, son fils va naître et elle cherche un coin de verdure dans Paris... Mal conseillée ? Elle se sauvera brusquement après s'y être installée... L'histoire ne dit pas si ce fut une nuit d'orage laissant bagages et fantômes derrière elle... Mais en tout cas après elle, c'est Mathieu Galey qui la rachète, un charmant monsieur critique de théâtre et qui dit dans son journal "un peu l'impression de m'endetter pour acquérir mon tombeau gothique". Prémonitoire...

    Mathieu Galey va mourir quelques temps après... d'une sclérose en plaque, comme Victor Massé...

    La maison n'est plus habitée. Ce sont deux amis de Mathieu qui en ont hérités. Je vous conseille d'aller vous promener dans cette charmante impasse et de ne jeter qu'un œil à la maison. Les initiés sont discrets ;))

    Adresse : 24 rue Victor Massé ou avenue Frochot

    http://www.azureva.com/paris/magazine/paris-insolite-aven...

     

    Récapitulatif du voyage de mars 2009 :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/10/recap...

  • 29. Voyage à Paris 29. Montmartre.

    chatnoir.jpg

    Rue Victor Massé(ex rue de Laval) : en 1885, le cabaret du Chat-noir(ci-contre) se transporte dans l'atelier du peintre belge Albert Stevens au numéro 12 dans laquelle Rodolphe Salis organise des courses de voitures à bras « pour l'amélioration de la race des hommes de peine. »

    Ci-dessous:« Allégorie de la nuit » par Albert Stevens (Wikipedia)

    Allégorie de la nuit » par Albert Stevens (Wikipedia)

    -AlfredStevens001.jpg

    Avenue Trudaine.

    Au numéro 30 subsiste l'auberge du Clou décorée par Willette où Erik Satie tenait le piano. Le musicien y retrouvait également sa maîtresse.

    En 1920,  Willette(ci-contre Wikipédia)avec Forain, Neumont et Poulbot il fait partie des fondateurs de la République de Montmartre.

     

    Récapitulatif du voyage de mars 2009 ... dans l'ordre:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/10/recap...

    Willette_by_Marcellin_Desboutin.jpg

  • 30. Voyage à Paris 30. Cimetière Montmartre.

    dalida 2.jpg

    Le cimetière du Nord, communément appelé cimetière de Montmartre à la suite de la restructuration du quartier Montmartre entre 1818 et 1824, fut ouvert le 1er janvier 1825. Le cimetière de Montmartre est situé au 20, avenue Rachel, dans le XVIIIe arrondissement. Il est installé à l'emplacement des anciennes Carrières de Montmartre, réputées pour leur gypse dont on fit un plâtre utilisé sur grande échelle dans la capitale.

    Hors des limites de la capitale furent créés le cimetière de Montmartre au nord, le cimetière du Père-Lachaise à l'est, le cimetière du Montparnasse au sud et, au cœur de la ville, le cimetière de Passy.

    Le cimetière de Montmartre couvre environ 11 hectares, soit la même superficie que le cimetière des Batignolles, ce qui en fait ex-æquo le troisième plus vaste cimetière intra muros après le Père-Lachaise et Montparnasse. Aujourd'hui le cimetière de Montmartre compte plus de 20 000 concessions et 500 personnes environ y sont inhumées chaque année.

    La tombe de Dalida, avec sa sculpture taille réelle et ses rayons dorés, est la plus visitée et la plus fleurie du cimetière.

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Cimeti%C3%A8re_de_Montmartre

     

    J'ai bien vu cette dernière tombe et celle de  Balzac(entre autres) mais je n'ai pas retrouvé celle de François Truffaut.

     

    Récapitulatif du voyage de mars 2009... dans l'ordre :

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/10/recap...

     

     

  • 32. Voyage à Paris32. Viaduc des arts.

    Avenue_daumesnil_paris1.jpg

    Le viaduc des Arts est aujourd'hui un ensemble d'ateliers des métiers d'art regroupés dans une construction unique à Paris (dans le 12e arrondissement) qu'était l'ancien viaduc de Paris construit en 1859 pour soutenir la voie de chemin de fer de la ligne de Vincennes, reliant la Bastille à Vincennes, le long de l'actuelle avenue Daumesnil.

    Historique

    En 1990, la mairie de Paris décide de réhabiliter le lieu laissé à l'abandon depuis plusieurs décennies, en rénovant chacune des voûtes du viaduc de la ligne de Vincennes afin de les transformer en nouveau conservatoire parisien de l'artisanat d'art. Le viaduc, fait de briques roses et de pierres de taille, est restauré par la SEMAEST avec le concours de l'architecte Patrick Berger qui clos chacune des voûtes par de grandes verrières cintrées de bois clair. Au-dessus, en lieu et place de l'ancienne voie de chemin de fer, se déroule une promenade plantée, faisant partie de la coulée verte qui relie la place de la Bastille au Bois de Vincennes. L'aménagement du viaduc des arts se termine en 1994. Il est enfin prêt pour l'implantation des différents ateliers, adossés maintenant au faubourg Saint-Antoine, haut-lieu de l'artisanat mobilier français.

    Chaque voûte est le lieu d'expression d'un talent et d'un savoir-faire, qui visible de la rue pour les passants, révèle une infinité de gestes fascinants avec leur part de tradition, d'héritage et d'invention. L'ouvrage, au rythme de la succession des voûtes, propose aux visiteurs et aux touristes de découvrir plus de 50 artisans d'art et des créateurs originaux. Rapidement les parisiens adoptèrent cette ancienne friche ferroviaire pour en faire un lieu privilégié des flâneries de fin de semaine.

     

    Photo wikipédia ci-contre 

     

    Assez marché ! J'ai bien amorti mon ticket Mobilis. Je vous conseille d'en prendre un si vous avez l'intention de beaucoup circuler à Paris.

     

    Récapitulatif du voyage de mars 2009... dans l'ordre :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/10/recap...

     

    J'ai démembré mes 35 notes sur ce voyage(ce qui leur fait perdre beaucoup de leur sens) pour remettre les non commentées en page d'accueil parce que:

    -  je sais que vous n'avez pas le temps de feuilleter mon blog(grâce au pager) ou de visiter la colonne de droite; j'ai bien compris que seule la première note en page d'accueil avait des chances d'être lue

    - c'était beaucoup de travail et que je ne me résignais à publier beaucoup d'autres notes alors que toutes celles-ci étaient encore "vierges"...

    -au lendemain des 3 ans de ce blog, faire enfin comprendre que ce blog est constitué de 2 parties.

    Certaines notes sont donc publiées deux fois dans l'ordre et dans le désordre.

  • 15. Voyage à Paris 15.Rue Custine

    custine.jpgPhoto : ©Karolina L, Panoramio

    http://www.cityzeum.com/custine-rue

     

    Edmond Heuze, témoin privilégié de la vie d'Utrillo y vécut un moment au domicile de ses parents.

    Une de ces œuvres ci-dessous, tiré du site où on trouve sa bio :

    http://www.roussard.com/artistes/nouveaux/heuze.html

     

    Récapitulatif du voyage de mars 2009 :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/10/recap...

    Je démembre mes 35 notes sur Paris; peut-être que placés en page d'accueil, ils vous intéresseront.

    Note donc préalablement publiée ici:

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/11/15-voyage-a-paris-15-rue-custine.html#comments

    heuze01.jpg

  • 14. Voyage à Paris 14. Montmartre.

    Willette_by_Marcellin_Desboutin.jpgRue de Clignancourt : André Utter, le mari de Suzanne Valadon et beau-père de Maurice Utrillo était élève de l'école communale que dirigeait au 61, le père de l'académicien Jules Romains, Monsieur Farigoule.

     

    Square Constantin Pequeur où se trouve une statue de Théodore-Alexandre Steinlen qui avec Adolphe Willette (qui conçut aussi le Moulin-Rouge-ci-ontre) décora la salle voûtée du Chat-Noir.

     

    Sur cet artiste, cf.

    http://www.montmartre-paris-france.com/peintres-steinlen....

     

    Récapitulatif du voyage de mars 2009 :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/10/recap...

    Je démembre mes 35 notes sur Paris; peut-être que, placés en page d'accueil, elles vous intéresseront....

    Précedemment publié ici:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/11/14-voyage-a-paris-14-montmartre.html

  • 16. Voyage à Paris 16. Montmartre.

    Emile_Goudeau.gifPlace Emile Goudeau 

    Autrefois place Ravignan : au numéro 13, le  Bateau-Lavoir, ensemble d'ateliers d'artistes incendié en mai 1970 et reconstruit depuis.

    C'est « la villa Médicis  de la peinture moderne » où naquit le cubisme.

    Emile Goudeau, le 11 octobre 1878,  fonda le Cercle des Hydropathes. On buvait énormément dans la bohème d'alors, particulièrement l'absinthe verte, qui faisait des ravages. Goudeau payait ses collaborateurs en boisson, et ce salaire fut fatal au plus doué d'entre eux, Jules Jouy. Les Hydropathes commencèrent par se réunir rive gauche, mais lorsque Rodolphe Salis ouvrit le cabaret du Chat noir en 1881, il persuada Goudeau de les transférer dans son établissement.

     proximité :

    Rue des Trois frères (50 m) : l'épicerie du film Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain (Maison Collignon)

     

    Caricature d’Emile Goudeau(Wikipédia)

    Bateau_Lavoir_for_wikipedia_by_davequ.jpg

    Rue Gabrielle :

    En arrivant à Paris à 19 ans, Pablo Picasso s'installe 49, rue Gabrielle avant de rejoindre le Bateau-Lavoir

    Récapitulatif du voyage de mars 2009

    En 1911, Max Jacob quitte avec mélancolie la rue Ravignan (où habita également Pierre Reverdy) pour le numéro 17 de la rue Gabrielle :

     

    Je te regrette O ma rue Ravignan
    De tes hauteurs qu'on appelle antipodes
    Sur des pipeaux m'ont enseigné l'amour
    Douces bergères et leurs riches atours
    Venues ici pour nous montrer les modes
    L'une était folle
    Elle avait une bique
    avec des fleurs sur ses cornes de paon
    L'autre pour les refrains de nos fêtes bachiques
    La vague et pure voix qu'eût rêvée Malibran
    L'impasse de Guelma a ses corregidors
    Et la rue Caulaincourt ses marchands de tableaux
    Mais la rue Ravignan est celle que j'adore
    Pour les cœurs enlacés de ses porte-drapeaux

     

    La totalité du poème ici :

    http://www.franceweb.fr/poesie/jacob6.htm

     

    Bateau Lavoir, photo Wikipedia

     

     

    Récapitulatif du voyage de mars 2009 .... dans l'ordre:

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/10/recap

     

  • Les Picasso volés à Paris ont été retrouvés

    618bd3bc7e879ed7059e60f986ee3fdc.jpg
    "Maya à la poupée" et "Portrait de Jacqueline" étaient invendables sur le marché de l'art.
    AFP/montage lefigaro.fr.
    Philippe MATHON.
     Publié le 07 août 2007
    Actualisé le 07 août 2007 : 21h28

    INFO LE FIGARO.FR Subtilisées en février 2007 au domicile parisien d’une petite-fille du peintre, les oeuvres ont été retrouvées mardi par la police. Les malfaiteurs ont été arrêtés.

    C’est une traque qui aura duré moins de six mois. Dérobés en février 2007 au domicile parisien de Diana Widmaier-Picasso, la petite fille du peintre, dans le VIIe arrondissement de Paris, les deux tableaux et un dessin de Pablo Picasso ont été retrouvés mardi après-midi par les services de police de l'Office central de répression du banditisme (OCRB) et l'Office central de lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC).
    Grâce à un renseignement émanant de professionnels du marché et après plus d'un mois de surveillance constante, les enquêteurs se doutaient qu'une transaction allait probablement avoir lieu. Ils ont interpellé le suspect et ses deux complices présumés, à Paris, en possession des toiles roulées. Tous trois ont été placés en garde à vue. Arrêtés en "flagrant délit", ils seront très vraisemblablement mis en examen à l'issue de leur garde à vue.
    Contacté par lefigaro.fr, Me Olivier Baratelli, l’avocat de Diana Widmaier-Picasso aux côtés de Paul Lombard, a salué "une très bonne nouvelle". "Les tableaux reviennent dans la famille Picasso", s'est-il réjoui.
    Estimées à 50 millions d’euros et mondialement connus, les oeuvres - "Maya à la poupée",  "Portrait de Jacqueline" ainsi qu'un dessin intitulé "Marie-Thérèse à 21 ans"-  étaient invendables sur le marché de l’art.
  • Cinq ans de retard pour le métro du Grand Paris

     

    Par Dominique Malecot | 15/02 | 07:00
     
     

    Le déplafonnement des taxes et l'augmentation du versement transport sont les pistes pour financer les travaux

    Le gouvernement annoncera début mars ses choix sur l'avenir du futur métro de rocade de la région parisienne Grand Paris Express. Pas question de sortir du cadre de la loi sur le Grand Paris, ce qui l'obligerait à revoir toute la procédure et ferait perdre des années.

    Ce qui est acquis

    Le réseau sera réalisé dans son intégralité. Il est désormais prévu à l'horizon 2030 et non plus 2025. Une partie du plan de mobilisation de la région sera confirmée.

    Ce qui est pratiquement acquis

    Le réseau sera construit en continu. Les priorités seront décidées en fonction des perspectives économique des territoires concernés et pas seulement de la densité de la population comme le souhaite la région.

    Ce qui reste à arbitrer

    Les articulations et ruptures de charge entre les différents tronçons de la ligne rouge, longue de 95 kilomètres qui encercle la région et dessert les aéroports. Pour la ligne orange, d'ouest en est, chère à la région, seuls certains de ses tronçons pourraient voir le jour dans un premier temps mais des lignes de métro pourraient être prolongées pour desservir les territoires concernés. Une modification du tracé de la ligne verte sur le plateau de Saclay est aussi à l'étude.

    Les pistes de financement

    Elles portent sur le déplafonnement des taxes acquittées par les entreprises et les particuliers levées au bénéfice de la Société du Grand Paris et l'augmentation du versement transport. Bercy n'y serait pas favorable. Sont aussi explorés de nouveaux financements, notamment auprès des collectivités, l'accroissement de la part de l'Etat et l'emprunt. Cela sans déroger aux critères de Maastricht.

     
    Dominique Malécot, Les Echos

    http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0202568004033-cinq-ans-de-retard-pour-le-metro-du-grand-paris-538900.php

  • La Coiffeuse de Picasso bientôt à Paris

    La Coiffeuse de Picasso bientôt à Paris

    info

     

     

    La Coiffeuse de Picasso bientôt à Paris

    Pablo Picasso, La Coiffeuse, 1911, huile sur toile, 33 x 46 cm ((C) US Department of Justice/(C) Succession Picasso).

    Retrouvé par les douaniers américains il y a quelques mois, le tableau cubiste de Picasso intitulé La Coiffeuse, dont la disparition avait été signalée par le Centre Pompidou en 2001, a été restitué aux autorités françaises le jeudi 13 août. Il sera bientôt de retour sur le sol national.

    http://www.connaissancedesarts.com/art-contemporain/la-coiffeuse-de-picasso-bientot-a-paris-1128483/

     

  • Propose hôtel de charme au cœur de Paris”

    Où l’on découvre que Rodin était un squatteur.
    Vous n'arrivez pas à voir les images ? Contactez-nous sur jean@artips.fr

    L’hôtel Biron en 1905, Charles Berthelomier
    Voir en grand

    Paris, 1908. Le sculpteur Auguste Rodin vient de découvrir l’hôtel Biron, que son ami le poète Rilke partage avec plusieurs artistes.

    Ce superbe hôtel particulier du XVIIIe siècle menace de tomber en ruines. Mais ses grandes pièces inondées de lumière l’enchantent. Et ce parc en friche est si beau dans cette lueur d’automne...

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    Portrait de Rodin à côté du Penseur dans l'hôtel Biron en 1913, Charles Deparis
    Voir en grand

    Dès le lendemain, Rodin pose ses valises à l’hôtel Biron. Cette splendide demeure, occupée par des religieuses au XIXe, est désormais la résidence bohème d’une foule d’artistes. Parmi les locataires, on croise le poète Cocteau, la danseuse Isadora Duncan et même le peintre Henri Matisse.
    Pour Rodin, c’est l’endroit parfait pour exposer ses œuvres et recevoir des clients.

    Courte sérénité : l’année suivante, l’hôtel est mis en vente à des promoteurs. Rodin ne l’entend pas de cette oreille !

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    Portrait de Rodin en 1907, les cheveux ébouriffés, anonyme
    Voir en grand

    Soucieux de sa postérité, cela fait un moment qu’il songe à créer son propre musée.
    Le sculpteur propose donc de léguer à l'État la totalité de son œuvre en échange de la création d’un musée Rodin, dans les murs de l'hôtel Biron. In extremis, la vente est annulée.

    Les ennuis ne s’arrêtent pas là. En 1911, tous les locataires sont mis à la porte ! Sauf Rodin qui s’accroche… Jusqu’à ce qu’enfin le Conseil des ministres lui accorde la jouissance du lieu.

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    Rodin sur les marches de l’hôtel Biron, Autochrome d’Étienne Clémentel en 1915
    Voir en grand

    La presse crie au scandale et s’insurge contre cet artiste, “le plus riche de nos sculpteurs” qui occupe désormais la totalité de l’hôtel “aux frais du contribuable” !

    Malgré le décès de Rodin en 1917, son vœu est exaucé. L’hôtel Biron devient officiellement musée Rodin.
    Il ouvre ses portes en 1919 et accueille encore aujourd’hui les amoureux du sculpteur.

    Vue de l'hôtel Biron

    En savoir plus
    Le jeudi 12 novembre, jour de l’anniversaire de Rodin, le musée Rodin rouvrira ses portes après trois ans et demi de travaux.
    La rénovation de cet écrin exceptionnel a permis de repenser complétement le parcours de visite avec la création de nouvelles salles comme la reconstitution d’une pièce du temps où Rodin occupait l’hôtel Biron.
    Plus d'informations

    Vous n'arrivez pas à voir les images ? Contactez-nous sur jean@artips.fr

    Avant le 12 novembre, découvrez en vidéo le musée rénové

    La splendeur et la poésie des sculptures de Rodin et Camille Claudel sont à découvrir dès le jeudi 12 novembre avec un accès gratuit pour tous de 10h à 17h45.

    Plus de détails
    Racontée en partenariat avec le Musée Rodin
    Jeu Concours : L'avant première
    Quel artiste a peint ce tableau ?
    Jouer
    Vous devriez, cher grand ami, voir ce beau bâtiment et la salle que j’habite depuis ce matin.
    Rainer Maria Rilke

    En un clic, dites-nous :
    si c'était mieux que d'habitude...

     

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  • Paris : violent incendie à la Cité des sciences

    L'EXPRESSVersion en ligne
    LA NEWSLETTER DE 08:15
    jeudi 20 août
     
     
    Paris: la Cité des sciences touchée par un important incendie, deux pompiers blessés
    L'incendie, qui s'est déclaré dans la nuit de mercredi à jeudi à 2h30 du matin, est toujours en cours dans l'établissement culturel parisien situé...Voir

    Les echos

     
       
  • La mairie de Paris cherche des espaces à végétaliser

    La mairie de Paris cherche des espaces à végétaliser

     

    La mairie de Paris cherche des espaces à végétaliser

    Lancée il y a une semaine par Colombe Brossel, adjointe aux espaces verts, l'opération Du vert près de chez vous, a déjà suscité 280 propositions de la part des habitants de la capitale. Ces derniers doivent transmettre leur projet avant fin septembre.

  • MORISET Claude Xxème : ” Paris péniches sur la Seine

    Huile sur toile SBD 65x81 cm

    http://www.auction.fr/_fr/achat-en-direct/lot/moriset-claude-xxeme-quot-paris-peniches-sur-la-seine-quot-huile-sur-toile-sbd-65x81-cm-8836797?utm_source=email&utm_medium=emailing-promo&utm_campaign=20151115_AchatsEnDirect#.Vki5gDZdEih