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Le Sourire de Caterina
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Fille du noble Yakov, Caterina ne songe qu’à chevaucher sur les hauts plateaux de la Circassie où elle grandit, bercée par les légendes du Caucase. Or, par un jour de juillet 1439, l’Histoire la rattrape brutalement dans le delta du Don : capturée lors d’une embuscade, elle est réduite en esclavage. Vendue, prêtée, rachetée, et même louée, elle est contrainte de suivre ses maîtres successifs de Constantinople à Venise, jusqu’à Florence. Marchands, pirates, banquiers et autres aventuriers, nul ne demeure toutefois indifférent à sa grâce, à sa beauté et à son mystérieux sourire, tel le jeune notaire Piero da Vinci qui croit voir en elle un ange. Les parcours se croisent, les récits s’entrelacent, la figure de Caterina, mère d’un des plus grands génies de tous les temps, sort enfin de l’oubli. Fort de ses récentes découvertes scientifiques qui renouvellent la connaissance de Léonard de Vinci, Carlo Vecce nous offre une épopée étourdissante dans le tumulte d’un siècle où se côtoient richesses et extrême violence.
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Les avis des lecteurs
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« Cette biographie nous permet d'appréhender le rôle que cette mère a tenu auprès de son fils, l'accompagnant de son mieux et lui donnant une bonne éducation, l'ouvrant sur l'univers, d'où ses multiples connaissances. (...) Un livre très documenté, bien écrit, dont la traductrice, Nathalie Bauer nous a retranscrit le savoir de son auteur. Je vous souhaite de suivre cette femme avec Carlo Vecce. »
lulu8723, lectrice Babelio
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« Un superbe état des lieux de l'Italie à la veille de la Renaissance que l'auteur dresse ici. Il rapporte les difficultés rencontrées pour raconter l'histoire de cette femme avec les quelques éléments épars trouvés dans les archives. (...) Je trouve son choix judicieux puisque les étapes du parcours de Caterina s'appuient sur des documents avérés et que pour combler les blancs, il imagine certes les relations entre Caterina et les personnages qu'elle a été amenée à côtoyer. »
Romileon, lectrice Babelio
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« Elle voit dans l'écriture, qui est pour nous un instrument essentiel et totalement naturel, un tour de magie, et en celui qui la pratique un magicien ou un sorcier qui capture les mots dans l'air, les embroche de sa plume et les emprisonne sur le papier pour les réemployer à sa guise, ce qu'elle désapprouve au motif que les mots qui sont dans l'air sont aussi vivants et libres que les oiseaux ; quand ils sont sur le papier, au contraire, ils sont morts comme des papillons transpercés par une aiguille. »
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« Une œuvre épique, de cape et d’épée, de pirates et de prostituées, où le vraisemblable, se mêlant à la vérité des sources, constitue les tesselles manquantes. »
Corriere della sera, quotidien italien le plus diffusé du pays
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« Un Da Vinci Code destiné à ne jamais finir. »
La Repubblica, le deuxième journal le plus vendu en Italie
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« Caterina disparue réapparaît ici comme femme, comme corps, comme mère, pour s’affirmer dans chaque sourire léonardien, y compris le plus célèbre, celui de la Joconde. »
La Repubblica di Napoli, édition régionale du même quotidien
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À propos de l'auteur : Carlo Vecce
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Carlo Vecce enseigne la civilisation et la littérature de la Renaissance à l’université de Naples-L’Orientale. Depuis de nombreuses années, il se consacre aux recherches autour de la figure et de l’œuvre de Léonard de Vinci. Il est l’éditeur scientifique, notamment, du Codex Arundel, et l’auteur d'une biographie de référence (Flammarion, 2001, nouvelle édition, 2019).
Roman traduit de l’italien par Nathalie Bauer avec l’aide du Centre pour le livre et la lecture du ministère de la Culture italien.
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