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  • Catégories : Mes poèmes

    Traverser la brume

    Traverser la brume
    Et la nuit
    Pour retrouver l’éclat
    D’un jour ensoleillé
    Laisser la rengaine
    Chantée depuis une éternité
    Découvrir ébahi
    Dans le lit des rêves
    Un secret à ne pas museler.

    Avec les mots proposés par Kimélia pour le jeu des voeux:http://kimelia2vis.blogs.psychologies.com/la_femme_aux_deux_visages/2008/01/jeu-dcriture-au.html#comments

    Le lien vers mes 10 mots :

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/01/02/jeu-d-ecriture-autour-des-voeux-propose-par-les-equipieres.html

     

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  • Catégories : Des lieux

    Visite du dimanche 5 octobre 2008:La villa de Licinius

    LA GRANDE MOSAÏQUE DE CLONAS-SUR-VAREZE

    Datée des IIe ou IIIe siècles après J-C , la mosaïque du Dieu Océan, dieu des eaux et du commerce fluvial et maritime, est découverte en 1996 au cœur du village roussillonnais de Clonas-sur-Varèze. Elle correspond au pavement de la salle à manger d’une riche villa romaine. La Villa de Licinius, du nom de son propriétaire, se situe au cœur de l’arrière pays Viennois, sur l’un des axes commerciaux les plus riches de l’époque gallo-romaine. La salle d’exposition sort aujourd’hui de terre pour ouvrir au public. C’est dans un bâtiment d’allure contemporaine, situé au cœur du village et non loin de son lieu de découverte que peut être admirée la mosaïque. Un ensemble de vestiges, une maquette de la villa et d’autres dispositifs muséographiques agrémentent le parcours de visite, pour donner à voir et à comprendre un lieu de vie : la salle à manger dite triclinium, et plus largement la villa romaine. Le discours retrace l’histoire, d’hier et d’aujourd’hui, de cette mosaïque, qui constitue par sa dimension (64 m²), une découverte exceptionnelle et unique en Rhône-Alpes.

    licinius.gif

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  • Catégories : La poésie anglaise

    Anthologie de la poésie anglaise(5)

    L’extase


    Seigneur Dieu, je t’ai vu ; un esprit, cette nuit,
    T’a rencontré sur tes chemins.
    J’étais seul, au sommet d’une colline ;
    Tous mes sens surmenés souffraient d’une stupeur ;
    En ma pensée avaient trop pénétré
    L’inconcevable espace azuré de la nuit –
    L’azur qui nous paraît si proche d’être
    L’aspect même de la divinité, –
    Et les astres indestructibles.
    Je ressentais l’effroi de cette permanence,
    Et la grandeur et les lois fixes m’accablaient.
    Tout autour de moi je voyais
    La barrière immuable des lois,
    Et comme un réseau de tiges brillantes,
    Les magnétismes actifs des soleils,
    Emprisonnant, au sein de l’étendue,
    Ma pensée, abritée ainsi de l’infini.
    C’est alors que, à l’improviste –
    Le temps, peut-être, que mon cœur, tout à sa tâche,
    Lançât mon sang deux fois dans sa brève carrière, –
    Je fus ravi au-dessus de la certitude,
    Et tombai hors de la durée.
    Comme d’une affligeante et longue calomnie,
    Un juste arrêt soudain vint me purifier
    De l’ordinaire erreur du Grand et du Petit.
    J’étais hors des rebords flamboyants de l’espace,
    Et hors de ce recoin, la conscience.
    N’étais-je donc pas au milieu de toi,
    Seigneur Dieu ?...

     

     

     

    Lascelles ABERCROMBIE(1881-1938).

    Traduit de l’anglais par Louis Cazamian.

    ¨Page 340 dans mon édition

  • Catégories : La littérature

    B. Papasogli, "La mémoire du cœur au XVIIe s."

    la mémoire du coeur.jpgComment dater la naissance d'une idée et d'un thème littéraire ? La mémoire affective, que nous connaissons surtout à travers une lignée qui comprend Rousseau et Chateaubriand, Nerval et Proust, a-t-elle une origine plus reculée dans la littérature et la pensée du XVIIe siècle ? Déesse sans mythe, Mnémosyne s'adapte aux âges et aux cultures avec des métamorphoses d'une étonnante ri chesse. Les études sur la problématique de la mémoire au XVIIe siècle ont exploré, jusqu'à présent, de façon privilégiée le fonctionnement de la mémoire intellectuelle et les lieux de la mémoire culturelle. Ici, il est question de l'"autre" mémoire, qui transparaît en filigrane à travers la réflexion anthropologique et les textes littéraires : celle qui fait rejaillir des sources a ffectives parfois secrètes, et qui joue dans l'ombre - nous disent les moralistes - avec l'imagination et les passions. En essayant de définir les caractères d'une "mémoire du coeur" au XVIIe siècle, on rencontre d'ailleurs les ambivalences et la profondeur du coeur classique, et sa mystérieuse "finesse" qui scrute l'homme, entrevoit Dieu, et sait que les nomb res sont infinis. La mémoire du coeur fait aussi vibrer cette affectivité qui se réveille face au sacré et aux valeurs ; elle anticipe l'avenir, et, selon les auteurs mystiques, elle se prolonge dans l'espérance. Cette étude vise à établir des dialectiqueset comme un contre-jour entre la sagesse des moralistes et celle des auteurs spirituels, avant de prêter attention à leurs réson ances dans les grands genres littéraires

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  • Catégories : Des femmes comme je les aime

    Irène Némirovsky, « Suite française » 7

    suite française.jpg

    p.42 : « Rappelle-toi, dans « Guerre et paix », les petites paysannes qui traversent la route devant la voiture du prince André vont le voir d’abord leur parlant à elles, à leurs oreilles, et la vision du lecteur du même coup s’élève, ce n’est plus qu’un seul visage, qu’une seule âme. Il découvre la multiplicité des moules. »

  • Catégories : Livre

    Dans ma lecture du "Roman nègre" de Dan Franck

    gerda taro.jpgp.28:"Il s'asseyait devant ses talismans- un portrait de Gerda Taro que lui avait offert son grand-père, un exemplaire original des "Ecrits de Laure"  publié hors commerce par Georges Bataille et Michel Leiris en 1939, "Le cri" d'Edvard Munch, [...]"

    Décédée à l'âge de 27 ans sur le front de la guerre civile espagnole, écrasée par un char républicain, la jeune Gerda Pohorylle, dite Gerda Taro, fut la première femme photographe morte au combat. Entre macro-histoire et histoire intimiste, entre événements politiques et existence personnelle, l'ouvrage d'Irme Schaber retrace le parcours exceptionnel et tragique de cette jeune femme. Son enfance à Stuttgart à la veille de la guerre ; son obsession de la perfection, de la gestion de ses émotions pour ne laisser aucune prise à ses éventuels ennemis ; sa rencontre avec celui qui deviendra " son autre ", le photographe hongrois André Friedman ; la formidable dynamique du couple Gerda Taro - Robert Capa ; jusqu'à la marche funèbre au Père-Lachaise. De New York à Denver, de Toronto à Madrid en passant par Zurich, l'auteur a parcouru le monde en quête de témoignages rares et de souvenirs précieux. Car, un demi-siècle plus tard, Gerda Taro n'a laissé derrière elle que peu d'indices : ni journaux intimes, ni écrits personnels. Les quelques documents d'archives, tous inédits, se résument en une poignée de lettres à des ami(e)s et les photographies d'Espagne. Une pauvreté des sources qui rend le travail de l'auteur d'autant plus remarquable, s'efforçant de se démarquer des clichés véhiculés jusqu'à présent : accessoire décoratif de Robert Capa à l'Ouest. Communiste d'image d'Epinal à l'Est. Chacun a entretenu à sa manière, souvent insatisfaisante, la mémoire de la reporter photographe. Au fil des presque 300 pages, Irme Schaber s'efforce de nous éveiller à la vie et au travail de ce petit bout de femme devenu mythe, nous invitant à poursuivre la recherche et la mise en valeur d'un destin et d'une oeuvre encore trop méconnus.

    http://www.evene.fr/livres/livre/irme-schaber-gerda-taro-19135.php

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  • Catégories : La poésie anglaise

    Anthologie de la poésie anglaise(4)

    Élégie


    La cloche du couvre-feu sonne le glas du jour s’en allant,
    Les troupeaux mugissants errent lentement à travers l’herbage,
    Le laboureur bien fatigué rentre chez lui très doucement.
    Le monde reste pour moi et pour l'obscurité en partage.

    Au crépuscule tombant, le paysage fuit à la vue,
    Et l’air silencieux garde un repos sacré, presque surhumain,
    Sauf quand l’escarbot chante sa chanson en volée éperdue.
    Ou que des tintements pesants endorment quelque parc lointain ;

    Excepté que, sur cette tour-là, de lierre toute couverte,
    Le hibou dormant se plaint doucement à la lune, tout bas,
    De ceux qui, vaguant vers le soir près de sa demeure si verte,
    Molestent son obscur royaume solitaire par leurs pas
    .

    Sous ces anciens ormes raboteux et sous l’ombre de cet if,
    Où le gazon, en de petits monticules pourris, s’élève,
    Chacun d’eux dans son étroite cellule pour toujours captif,
    Les rudes aïeux du village continuent leur long rêve.

    L’appel si frais du matin délicieux exhalant son encens,
    L’hirondelle matinale gazouillant en son nid de paille,
    Le chant aigu du coq, ni le cor résonnant, si doux aux sens,
    Ne les éveilleront jamais plus de leur dur lit de pierraille.

    Car jamais plus ne brûlera pour eux le doux foyer flambant,
    Aucune épouse ne les accueillera de son doux sourire,
    Les enfants ne souriront plus jamais au père retournant ;
    Grimpant sur ses genoux pour recevoir ses baisers dans un rire.

    Autrefois le blé mûr sous leur faucille tomba bien souvent,
    Le sol a souvent été fendu par le soc de leur charrue,
    Avec quelle joie ils ont mené leur lourd attelage au champ !
    Comme les bois s’affaissaient sous les coins pesants de leur massue !

    Mais que l’ambition ne se moque jamais de leur oeuvre utile,
    De leurs bonheurs domestiques, et de leur destin trop obscur ;
    Que la grandeur n’écoute, d’un sourire parfois plein de bile,
    Les simples et courtes annales de ces pauvres au coeur pur.

    La vanterie héraldique et la vaine pompe du pouvoir,
    Tout ce que la beauté, même les richesses jamais ne donnent,
    Attendent également l’heure inévitable, et sans espoir.
    Qu’au tombeau seul les chemins si beaux de la gloire nous moissonnent.

    Et vous, hommes bien trop fiers, n’imputez pas à ceux-ci la faute
    Si la Mémoire n’éleva nul trophée sur leurs tombeaux,
    Où s’entend, à travers l’aile allongée et la voûte si haute
    L’antienne résonnant de la prière les accents si beaux.

    Une urne historique peut-elle, ou bien même une image aimante,
    Rappeler l’âme envolée vers le corps qu’elle abandonna ?
    L’honneur peut-il faire revivre la poussière dégradante ?
    Est-ce qu’à l’oreille de la Mort la flatterie plaira ?

    Peut-être que ce triste lieu si négligé peut contenir
    Un coeur maintenant méprisé, jadis rempli du feu céleste,
    Des mains qui le sceptre doré d’un empire auraient pu brandir,
    Ou bien éveiller à l’extase une belle lyre modeste.

    Mais à leur intellect borné le Savoir sa glorieuse page
    N’a jamais déroulée, si riche des dépouilles du temps ;
    L’accablante pénurie réprima leur bien noble rage,
    Et gela le doux cours du coeur, bercé par les plaisirs ardents.

    Plus d’un bijou, de la beauté la plus pure et la plus sereine,
    Dans les cavernes de l’Océan par le sable est tout couvert ;
    Plus d’une fleur naît sans être jamais vue, sa grâce est vaine,
    Et va dissipant son parfum si délicieux dans l’air désert.

    Quelque pauvre Hampden villageois qui dans sa conscience fière
    Au petit hobereau, tyran de ses maigres champs, résista,
    Un Milton sans gloire, ignoré, peut dormir dans ce cimetière,
    Quelque Cromwell obscur, qui le sang de son pays ne versa.

    D’obtenir les applaudissements des sénats très attentifs,
    Et de mépriser toutes les menaces de ruine et de peine,
    Sur un pays riant de semer l’abondance en dons votifs,
    Et de lire leur histoire dans les yeux d’une nation saine,

    Le sort leur refusa tout cela, non seulement arrêtant
    Leurs naissantes vertus, mais il restreignit encore leurs crimes,
    Leur défendit à tous d’atteindre un trône en marchant dans le Sang
    Sur l’humanité de fermer du pardon les portes sublimes.

    Les peines de la vérité il leur défendit de cacher,
    Et de dissimuler la rougeur d’une honte sans excuse ;
    Ou bien sur l’autel de l’orgueil et du vain luxe, de brûler
    L’encens divin allumé par la flamme pure de la Muse.

    Loin de l’ignoble lutte de la foule causant la folie,
    Leurs voeux bien modérés n’apprirent jamais à vaguer en vain,
    Le long de la vallée fraîche et séquestrée de la vie,
    Ils conservèrent le courant tranquille de leur doux chemin.

    Pourtant, chaque tombe est de tout affront pour toujours protégée
    Par quelque fragile monument qui là vient à l’oeil s’offrir ;
    De rimes pauvres et de sculptures informes décorée,
    Elle implore le sympathique tribut d’un touchant soupir.

    Leurs noms obscurs, leurs âges, épelés par la Muse illettrée,
    La place du renom et des élégies vont nous fournir,
    Et elle répand plus d’un texte sacré dans cette contrée,
    Enseignant au moraliste rustique comme on doit mourir.

    Car quel est l’homme. à l’oubli muet se trouvant toujours en proie,
    Quel est l’être si plaisant et anxieux, à jamais résigné,
    Qui laissa l’enceinte chaude d’un beau jour si rempli de joie,
    Qui sur sa vie un regard d’envie et de regret n’a jeté ?

    À quelque coeur aimant l’âme tendre en quittant le corps se fie,
    De quelques larmes bien pieuses l’oeil en se fermant a besoin,
    Et même de la tombe la voix de la nature s’écrie,
    Même de leurs anciens feux nos froides cendres sont le témoin.

    Sur toi, qui t’occupant des morts couchés sans honneur et sans gloire,
    Dans ces lignes si simples leur histoire naïve dépeins,
    Si par hasard, conduit là par la contemplation transitoire,
    Un être sympathique demandait quels furent tes destins,

    Alors Peut-être que quelque vieillard aux cheveux blancs dirait :
    Nous l’avons aperçu souvent avant le lever de l’aurore,
    Dans sa marche rapide la douce rosée il enlevait,
    Pour contempler le soleil sur la verte colline qu’il dore.

    Là-bas, au pied de ce hêtre élevé, balancé par la brise,
    Entrelaçant ses vieilles racines fantastiques, si haut,
    Il étendait vers midi son corps que la fatigue maîtrise,
    Contemplant le ruisseau murmurant auprès, sous le soleil chaud.

    Tout près de ce bois ombragé, souriant comme avec dédain,
    Il errait chaque soir, en murmurant sa triste fantaisie ;
    Un moment il était pâle et blême, comme un homme incertain,
    Plein de souci, souffrant d’un amour sans espoir, plein d’apathie.

    Mais un jour, on ne le vit pas dans le vallon accoutumé,
    Près de son arbre favori, ni même parmi la bruyère ;
    Un autre jour passa, mais sur le bord du fleuve d’à côté,
    Ni sur l’herbe du bois, il n’était endormi sur la fougère.

    Le lendemain, avec des chants funèbres, tous mélancoliques,
    Lentement, au triste cimetière nous l’avons vu porter ;
    Approche, et lis (car tu peux les lire) les vers si sympathiques
    Que pour lui, sur la pierre sous l’aubépine, on vient de graver.

    Sur son obscur tombeau, les premières violettes de l'année
    Par des mains invisibles sont jonchées à chaque printemps,
    La colombe y fait son nid, et y chante toute la journée,
    Et légèrement s impriment sur la terre les pas d enfants.

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  • Catégories : LIENS

    Certains de mes articles sélectionnés sur:

    Bligg.fr:

    http://www.bligg.fr/index.php?filtre=auto&filtreignore=&keywords=lauravanelcoytte&sort=notesetblogs&x=27&y=9

    Lartino:

    http://www.lartino.fr/recherche.html?q=laura+vanel-coytte

    Technorati:

    http://technorati.com/blogs/lauravanel-coytte.hautetfort.com

    Paperblog:

    http://www.paperblog.fr/recherche/?query=Laura+vanel-coytte&where=Sur+tous+les+Magazines&x=23&y=7

    Wasalive:

    http://fr.wasalive.com/135668/fr/san

    Wikio:

    http://www.wikio.fr/webinfo?id=70686698

    Cette rubrique est dans ma colonne de droite.

     

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  • Catégories : Des lieux

    Mon après- midi du 16 septembre 2008 à Lyon

    coemedia.jpgAprès deux films vus au Coemedia(ci-contre:

    http://www.cinema-comoedia.com/index.pl?page=infos01.shtml) grâce à la Rentrée du Cinéma:

    http://www.rentreeducinema.com/

    bibli chevreuil.jpgJe vais voir enfin la Bibliothèque Chevreuil universtaire(construite après l'incendie qui a ravagé en partie l'ancienne bibliothèque;ci-contre) de Lyon 2(mon ancienne fac) de l'intérieur:

    http://www.univ-lyon2.fr/1143709168012/0/fiche___article/

    Puis je retourne voir mon ancienne fac et mon ancienne bibliothèque, modernisée mais fidèle à mes souvenirs.

    Un petit tour dans certaines de mes librairies préférées: Gibert, Decitre.

    Cette note a été selectionnée par Paperblog:

    http://www.paperblog.fr/1099545/mon-apres-midi-du-16-septembre-2008-a-lyon/

    Lartino:

    http://www.lartino.fr/lauravanelcoytte/apres-midi-16-septembre-lyon-pa1304.html

     

  • Catégories : Mes poèmes

    Mes poèmes sur ma chatte

    perdue il y a 1 an1/2 au Maroc sur le site:

    http://laplumepoetique.new.fr/

    Pour rester dans les pertes, j'ai appris hier soir que le chien que j'ai vu pris dans mes bras(alors qu'il était tout affolé) chez mes parents il y a 15 ans, est mort mardi dernier.

    Mort de sa "belle" mort et enterré dans le jardin de mes parents et non perdu ou écrabouillé quelque part.

     

  • Catégories : Blog

    10 847 visites en septembre!!!!....

    moins les stats du 25 pour cause de problème technique chez HF.

    Pour certains, c'est peut-être un chiffre ridicule, mais moi, j'ai battu mon record de février:9679; 10 000 s'il y avait plus de jours à février!!!!...

    Cela fait donc 361 visites par jour en moyenne, 510 le plus gros jour...

    7438 visiteurs uniques.

    Merci à tous.