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J'ai aimé - Page 120

  • "Le Chat du kimono T.1 " de Nancy Pena

    cliquez ici pour voir en grandLe Chat du kimono se présente – faussement – comme un recueil d’histoires courtes. La première de ces histoires se déroule dans l’île de Kyusku où la fille du propriétaire d’une filature de soie aimait se parer des plus beaux kimonos qui se puissent voir. Son favori, orné de chats espiègles, avait été confectionné par un tisseur qui l’aimait en secret.

    Mais le jour où le jeune homme osa lui déclarer sa flamme, la belle n’y prêta pas attention. Furieux, celui-ci se broda deux kimonos, l’un aux motifs de rats et de mulots, l’autre de grues. À chaque fois que la belle le croisait, les chats tiraient sur son kimono pour attraper les animaux de celui du tisseur. Ils tiraient si fort, qu’un jour, un des chats – celui qui protégeait le sein gauche de la belle – s’enfuit à la poursuite d’une grue…

    Ainsi débutent les pérégrinations du Chat noir, parti en quête du kimono perdu. Une déambulation qui l’amène à croiser une galerie de personnages particulièrement variée, parmi lesquels le célèbre Sherlock Holmes et son fidèle adjoint…

    http://www.la-boite-a-bulles.com/fiche_album.php?id_album=47

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu

    J'ai pris plaisir à lire: Grande galerie-Le journal du Louvre

    Consacré à la vie culturelle et artistique du musée du Louvre, Grande Galerie, le Journal du Louvre a pour vocation de refléter la richesse de ses collections et de sa programmation, et pour ambition d’être à la fois un support de visite original, accessible et pédagogique et une revue d’art de référence que l’on conservera. Ce magazine aborde toutes les expositions et les évènements du musée du Louvre, mais évoque aussi les trésors célèbres ou méconnus de ses différents départements grâce à des itinéraires originaux et des dossiers spéciaux. Sont aussi présentées les acquisitions et les restaurations d’œuvres qui enrichissent sans cesse les collections ainsi que les mécènes et donateurs qui les font vivre. Le Journal du Louvre est rédigé par des auteurs de renom – conservateurs, historiens de l’art éminents, écrivains, artistes et invités de marque.

    http://editions.louvre.fr/fr/grande-galerie.html

  • J'ai pris plaisir à lire:L'Estampille/L'Objet d'Art n° 488

    L'Estampille/L'Objet d'Art n° 488 - Mars 2013

    Ce mois-ci, la Kunstkammer du Kunsthistorisches Museum de Vienne rouvre ses portes et révèle les trésors de la famille des Habsbourg, et notamment l'inestimable salière de Cellini offerte à François Ier. Alors que le musée Frans Hals de Haarlem propose une confrontation entre l'art très personnel de Hals et celui de ses plus fameux prédécesseurs et contemporains, à Londres, la National Gallery rend hommage quant à elle à Federico Barocci, maître précurseur du baroque. Au cœur de Paris, la maison-atelier de Zadkine fait peau neuve et propose une lecture renouvelée des œuvres du sculpteur russe. Enfin, Sam Szafran nous accueille dans son atelier à Malakoff, alors même que débute bientôt une vaste rétrospective de son œuvre à la fondation Pierre Gianadda de Martigny.

     

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  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Venise

    J'ai aimé terminer cette nuit d'insomnie:"Une année à Venise" de Lauren Elkin

    Laissant derrière elle son fiancé new-yorkais, Catherine Parrish s'installe à Venise pour se consacrer à sa thèse en histoire de l'art. Au gré des venelles et des vaporetti, de flâneries sur les Zattere en prosecco aux abords du Rialto, la brillante étudiante cède au charme ensorcelant de la cité des Doges. Marco, jeune gondolier, et Neva, mystérieuse Croate à la recherche d'une synagogue cachée, l'initient aux arcanes de la ville jaillie de la mer, hors des sentiers touristiques. Ces rencontres inattendues vont dévier le cours de l'existence rangée de Catherine.

    Amours clandestines et énigmes cabalistiques, Une année à Venise est une magnifique déclaration d'amour à la Sérénissime et la preuve que les relations humaines sont, comme cette cité flottante, sinueuses et imprévisibles.

    Née en 1978, Lauren Elkin est diplômée de Columbia University. Journaliste littéraire, elle écrit pour The Guardian, Bookforum et The Daily Beast. Elle vit à Paris
     
  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Venise

    J'ai aimé terminer cette nuit d'insomnie :"Mille jours à Venise" de Marlena de Blasi

    Mille Jours à VeniseEncore un coup de foudre entre "vaporetti" et "capuccini". Et c'est bon.

    On aime passionnément

    Si l'Italie vous laisse indifférent, si la langue à la fois chantante et râpeuse des Vénitiens ne vous provoque aucun frisson, si la ville la plus romantique et surpeuplée du monde vous donne de l'urticaire, ne lisez pas ce livre. Il est réservé aux amateurs de ruelles obs­cures, aux obsédés du soleil couchant sur le pont de l'Accademia, aux siroteurs de prosecco au bord de la Giudecca. Imaginez la rencontre d'une Américaine bon teint, cuisinière et critique gastronomique, avec un Vénitien aux yeux bleus. Coup de foudre. Elle décide de quitter sa confortable existence outre-Atlantique pour vivre avec lui. Il ne doit pas exister de récit plus fleur bleue que ces Mille Jours à Venise, mais il s'en dégage un charme gourmand, une élégante nostalgie qui ouvrent les portes du rêve. Des plages du Lido au marché du Rialto, la vie est peinte aux couleurs de la volupté. Alors, qu'importent les naïvetés de la narratrice, puisqu'elle restitue la ville sans la dénaturer : ses parfums de pêche mûre et d'eau croupie, ses vaporetti et ses capuccini au café Florian, auxquels elle ajoute des recettes de beignets aux fleurs de courgettes et de cèpes braisés.

     

    Le 25/07/2009 - Mise à jour le 20/07/2009 à 16h14
    Christine Ferniot - Telerama n° 3106

    http://www.telerama.fr/livres/mille-jours-a-venise,45336.php

  • Catégories : Blog, J'ai aimé, J'ai lu

    J'ai pris plaisir à lire "L'éléphant"

    COUV eleph n1Voici l’éléphant, la nouvelle revue de culture générale qui paraît tous les trimestres. Une revue pour vous aider à vous approprier la culture générale, pour leplaisir d’apprendre et de retenir. L’éléphant vous offre des formats d’articles de taille variée, des approches allant de la pédagogie à l’expertise, des…

     
  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Venise, Voyage

    J'ai aimé lire cette nuit d'insomnie:"Seule Venise" de Claudie Gallay

    Seule Venise 

    A quarante ans, quittée par son compagnon, elle vide son compte en banque et part à Venise, pour ne pas sombrer. C'est l'hiver, les touristes ont déserté la ville et seuls les locataires de la pension où elle loge l'arrachent à sa solitude. Il y a là un aristocrate russe en fauteuil roulant, une jeune danseuse et son amant. Il y a aussi, dans la ville, un libraire amoureux des mots et de sa cité qui, peu à peu, fera renaître en elle l'attente du désir et de l'autre. Dans une langue ajustée aux émotions et à la détresse de son personnage, Claudie Gallay dépeint la transformation intérieure d'une femme à la recherche d'un nouveau souffle de vie. Et médite, dans le décor d'une Venise troublante et révélatrice, sur l'enjeu de la création et sur la force du sentiment amoureux.

    http://www.evene.fr/livres/livre/claudie-gallay-seule-venise-18093.php

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Les polars, Venise

    J'aiterminé avec plaisir cette nuit d'insomnie:Nicolas REMIN, "Les fiancés de Venise"

    couverture
    Agrandir l'image
    Titre Original
    LES FIANCÉS DE VENISE
    Date de parution
    5 Juin 2008
    Collection
    Grands Détectives
    Nombre de pages Format
    384 p. 108 x 177 mm
    EAN
    9782264044884
    Nicolas REMIN

    Traduit par
    Frédéric WEINMANN
    LES FIANCÉS DE VENISE

    En 1863, en plein centre de Venise, une jeune femme est retrouvée sauvagement assassinée dans son appartement. Le commissaire Alvise Tron, responsable du secteur de Saint-Marc, est chargé de l'enquête qui le conduit jusqu'au coeur du pouvoir autrichien. La victime, Anna Slataper, n'est autre que la maîtresse de l'archiduc Maximilien, jeune frère de l'empereur François-Joseph... Crime passionnel ou politique ? Dans le brouillard de la lagune et les méandres des rios vénitiens, Alvise Tron se perd dans les vraies fausses pistes : le meurtrier est-il un des résidents du majestueux hôtel Danieli, un des passants anonymes de la riva degli Schiavoni, un des invités des fastueux bals masqués de l'aristocratie vénitienne, ou un proche de l'archiduc ? L'assassin semble lui échapper. Pourtant une jeune fille a vu son visage...

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  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu

    J'ai pris plaisir à lire "L'oeil" de mars 2013

    L'Oeil

    L'Oeil
    Sommaire
    Mars 2013

    Voir le sommaire

    Détail
    L'Oeil

     
  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Venise

    J'ai aimé lire cette nuit d'insomnie:"Véronèse, le triomphe de la couleur" d'Anne-Sophie Molinié

    VÉRONÈSE, le triomphe de la couleur

    Dès l'âge de 25 ans, Paolo Caliari, dit Véronèse, prend place parmi les grands peintres de Venise, aux côtés de Titien et de Tintoret. Le jeune homme propose une autre peinture, haute en couleurs, particulièrement séduisante pour la République de Venise du milieu du XVIe siècle.

    Car pour Véronèse, tout est prétexte à la couleur, et sous son pinceau, scènes profanes et religieuses se confondent presque. Peintes au sein d'architectures théâtrales, elles lui donnent l'occasion de célébrer le faste de la noblesse vénitienne, parée de riches étoffes aux couleurs vibrantes, d'une intense luminosité. De sa palette claire se dégage une grande sérénité, une grande légèreté.

    Dans Véronèse, le triomphe de la couleur, Anne-Sophie Molinié analyse l'œuvre du peintre et resitue le contexte historique et artistique dans lequel il a élaboré sa belle manière.

    Agrégée d'histoire et docteur en histoire, Anne-Sophie MOLINIÉ enseigne l'histoire de l'art à l'université Paris Sorbonne (Paris IV). Spécialiste de la peinture du XVe au XVIIe siècle, elle est l'auteur d'articles sur l'art italien, l'art espagnol et l'art flamand de cette période et d'une thèse consacrée à l'iconographie de la résurrection des morts dans l'Italie de la Renaissance (Honoré Champion, 2007).
    Ses recherches portent actuellement sur le genre du portrait dans la théorie de l'art et dans la pratique picturale en Italie et en Espagne au XVIe siècle.


    Elle a également publié Rembrandt, d'ombre et de lumière, Mantegna, peintre des princes, et Filippo Lippi, la peinture pour vocation dans cette même collection

    http://www.editions-a-propos.com/f/index.php?sp=liv&livre_id=10

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Les polars, Venise

    J'ai aimé lire:Nicolas Remin, "L'impératrice lève le masque"

    couverture

    Traduit par
    Frédéric WEINMANN
    L’IMPÉRATRICE LÈVE LE MASQUE

    Durant l'hiver 1862, la Venise, indépendante et souveraine, n'est plus qu'un lointain souvenir. La ville est sous domination autrichienne, petite parcelle de l'Empire sur lequel règne l'empereur François-Joseph et une femme entrée dans la légende, dite
    « Sissi ». Et lorsqu'un de ses conseillers est retrouvé mort en compagnie d'une prostituée, à bord d'un bateau reliant Trieste à Venise, une tempête s'annonce sur la lagune... Le commissaire Alvise Tron, héritier désargenté d'une des plus anciennes familles de l'aristocratie vénitienne, se voit retirer l'enquête qu'il vient de commencer par les autorités militaires et reçoit l'ordre d'oublier jusqu'à l'existence de ce double meurtre. C'est mal connaître cet incorrigible rêveur qui a sa propre conception du devoir, surtout lorsque l'impératrice en personne lui demande de retrouver le coupable, coûte que coûte.

    « L'auteur a le chic pour mêler une dose raisonnable de suspense à pas mal de finesse dans la description des situations et des personnages. Vivement le suivant ! »
    Raphaëlle Rérolle, Le Monde


    http://www.10-18.fr/site/l_imperatrice_leve_le_masque_&100&9782264044877.html

    Précédente publication:

    27/01/2013 11:21

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, L'art, Venise

    J'ai aimé lire:"Les Mémoires de Giorgione" de Claude Chevreuil

    Les Mémoires de Giorgione

    En septembre 1510, frappé en pleine gloire par la peste qui ravage Venise, Giorgio de Castelfranco, dit Gorgione, revient mourir dans son village natal. A son élève préféré, il adresse une longue lettre où il dit tout de sa vie et de son art. Une enfance solitaire, dans la ferme de ses parents ; l'entrée dans l'atelier vénitien de Bellini ; les années d'initiation aux techniques picturales, mais aussi à la musique, aux livres, à l'amour... Et puis c'est l'envol, la création de son propre atelier, l'entrée dans la vie mondaine. Nous croisons Dürer, Léonard, Titien, le futur rival. Venise, ses splendeurs, ses grandes familles, son peuple, ses courtisanes forment le décor de ces foisonnants Mémoires, qui éclairent de l'intérieur la création artistique, et nous font entrer par de nouvelles voies dans l'une des oeuvres les plus mystérieuses de la Renaissance italienne.

    http://www.livredepoche.com/les-memoires-de-giorgione-claude-chevreuil-9782253147848

    Précédente publication:

    30/01/2013 00:17

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Voyage

    J'ai rencontré hier après-midi:OLAF LANDAU,Un an de cabane

    Un an de cabaneEn 1979, Olaf Candau construisait des cabanes avec ses copains aux Deux-Alpes. Vingt ans plus tard, sans autre technologie qu’une scie, une hache et un fusil, il s’est enfoncé dans le Yukon, vers le mythe du Grand Nord canadien. Au pays de James Oliver Curwood et Jack London, il a construit une cabane.

    Un an de cabane, un an de silence, de conflits avec les martres et les ours, un an d’échecs avec les poissons, un an à bâtir et à se protéger.

    Un an de vie, de la vie la plus simple qui soit.

    http://www.editionsguerin.com/boutique_fr_article_1.html

    jE  suis jurée de ce prix littéraire:


     

    Prix littéraire

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    Lisez et votez jusqu’au 10 mars 2013

    Cafés lectures organisés avec les auteurs en janvier et février et pendant le festival.

    Remise du prix en présence des auteurs pendant le festival.

    Renseignements dans les médiathèques participant au prix , à la Librairie de Paris (à St Etienne) ou à la Librairie Raconte-moi la Terre (à Lyon)


    Précédentes publications:

    22/12/2012 22:19

    22/01/2013 08:52

    25/01/2013 09:44

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Les polars, Venise

    J'ai fini cette nuit(d'insomnie) de lire:Frédéric Lenormand,"Les mystères de Venise, Tome 2 : La nuit de San Marco "

    Panique au Palais des Doges ! Un homme a été poignardé en pleine séance du Grand Conseil, sous l'immense fresque du paradis peinte par Tintoret. Mille cinq cents nobles étaient présents mais personne n'a rien vu. Soucieux d'étouffer le scandale, l'inquisiteur Saverio Barbaran charge Leonora d'élucider cette affaire en toute discrétion. Une nouvelle fois, la jeune héritière des dalla Frascada mène l'enquête entre le Grand Canal, la Douane de mer et le café Florian.

    Loredan poursuit son exploration de la Sérénissime République au temps de Goldoni et de Casanova. Eternellement romanesque, Venise y apparaît dans sa subtile ambivalence, à l'image de ses reflets marins, de son décor théâtral et de ses masques moqueurs

    http://www.amazon.fr/Les-myst%C3%A8res-Venise-Tome-Marco/dp/221364344X

    Précédente publication:

    29/01/2013 19:17

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Les polars, Venise, Voyage

    J'ai fini hier soir:"Léonora agent du Doge " de Loredan

     

    Loredan est le nom de plume d'un auteur dont on ne connaît pas l'identité jusqu'en 2012. Clin d'oeil au lecteur c'est aussi le nom d'un des Doges de la Cité lacustre.

    Ses romans policiers mettent en scène une jeune fille Léonora Pucci. L'action du premier roman intitulé Léonora agent du Doge se déroule en 1762. Venise n'est plus à l'apogée de sa splendeur. Cependant c'est encore une République indépendante et souveraine. Confessions d'un masque vénitien et La nuit de San Marco sont les deux derniers ouvrages de l'auteur.

    Contrairement aux deux héros précédents, le personnage principal est une femme, issue de la noblesse vénitienne par son père seulement car conçue hors mariage. L'histoire du premier ouvrage tourne autour de la personnalité de l'héroïne. L'histoire de la cité au temps des Doges et son organisation administrative sont abordées par petites touches.

    Lire aussi Suite101: Les mystères de Venise : Venise au XVIIIème siècle | Suite101.fr http://marie-h-dhifi.suite101.fr/les-mysteres-de-venise--venise-au-xviiieme-siecle-a26036#ixzz1YyAyKifG

    et Suite101: Venise | Suite101.fr http://marie-h-dhifi.suite101.fr/sur-les-pas-de-donna-leon-a-venise-a17200#ixzz1YyA8KPh8



    Read more at Suite101: Venise dans la littérature policière : un voyage dans le temps. | Suite101.fr http://suite101.fr/article/venise-dans-la-litterature-policiere--un-voyage-dans-le-temps-a19158#ixzz20xT5ZCMy

    http://suite101.fr/article/venise-dans-la-litterature-policiere--un-voyage-dans-le-temps-a19158

    Précédentes publications:

    18/07/2012 09:47

    23/01/2013 19:32

    26/01/2013 11:22

     

  • Fin de l'expo Soulages à Lyon (vue le 3 novembre 2012)

     
     
    Ouverture de l'exposition vendredi 12 octobre 2012
    En cette rentrée, le musée met à l'honneur l'un des plus grands artistes vivants, Pierre Soulages, à travers une trentaine d’œuvres dont plusieurs tableaux inédits.
    Représentant majeur de l’abstraction française, Pierre Soulages a fait de la couleur noire son signe distinctif.
     
    Cf. la précédente expo de Soulages que j'ai vue:
     
     

    Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

     
  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, Voyage

    J'ai aimé LIRE:Espíritu Pampa, Sur les chemins des Andes de Sébastien Jallade (Transboreal-2012)

     

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    22/12/2012 22:13

    16/01/2013

  • Catégories : J'ai aimé, J'ai lu, La presse, Le paysage

    J'ai pris plaisir à lire:Les ponts en france

    De l'Antiquité à nos jours

    Le pont est certainement une œuvre au sens concret et symbolique fort. Étymologiquement, le terme indo-européen de pent signifie «voie de passage» ou «chemin». L’idée sous-jacente est celle d’une liaison entre deux points séparés par un obstacle infranchissable: cours d’eau ou précipice par exemple. Symboliquement, le pont relie aussi le naturel au surnaturel : le terme latin de pontifex, «pontife», littéralement le «faiseur de pont», désigne celui qui fait le lien entre le monde des hommes et celui des dieux.

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  • J'ai aimé lire hier:Naissance des arts protestants

    Arts Sacrés n° 21 - Janvier/Février 2013

    L’année 2013 est une date historique pour les Églises protestantes de France : elle scelle l’union des calvinistes (ou réformés) et des luthériens. À cette occasion, Arts sacrés tourne son regard vers les origines de l’art protestant. Quelle place les premiers luthériens et calvinistes ont-ils réservé à l’art ? En quoi ces prises de positions historiques sont-elles riches d’une vitalité ou d’un renouveau pour l’art d’aujourd’hui ? Les Français connaissent peu leur patrimoine culturel protestant, majoritairement calviniste. Pourtant la peinture de l’Âge d’or hollandais, la culture nord-américaine et la naissance de l’art abstrait ne se comprendraient pas sans y reconnaître l’héritage du français Calvin… Une relecture de cet art, discret mais très présent, nous révèle bien des surprises. D’autres surprises nous attendent dans ce numéro : avec l’œuvre d’un peintre du XIXe siècle, Jean-Jacques Henner, qui nous fait découvrir un mouvement encore peu étudié des historiens de l’art, où la recherche de la spiritualité prend parfois les voies de la sensualité ; avec les plus grands chefs-d’œuvre de l’art orthodoxe serbe menacés aujourd’hui de destruction ; avec les vitraux de la Sainte-Chapelle que la restauratrice Claire Babet prend devant nous dans ses mains ; avec la théologie élaborée qui soutient chaque détail du film à succès Le Hobbit ; et enfin, une des plus belle découverte de ce début d’année « post-apocalyptique » : l’espérance dont sont porteurs les artistes contemporains, et dont ils témoignent dans des créations autour du thème biblique de Job.

     

    Dossier

    • DOSSIER. Naissance des arts protestants
    • La Réforme et les arts visuels. Des positions différenciées ouvertes à la modernité
    • Les premiers temples protestants en France : formes, fonctions, symbolisme
    • Fléchères, Un château-temple en souveraineté de Dombes
    • Les temples de Napoléon. De la Réforme catholique à la Réforme protestante
    • Le chant et la musique dans la tradition protestante

    Articles

    • Paysages du sacré. Kosovo : chefs-d'œuvre en péril
    • Le geste et l'outil. Tenir la lumière entre ses mains
    • Images du réel. Entre sensualité et spiritualité. Jean-Jacques Henner, un peintre épris d’absolu
    • L'œil instruit. Le Nouvel An chinois. Replongée rituelle dans l’harmonie du monde
    • Paroles et musique.Tolkien au cinéma. La théologie du hobbit
    • Moment de création. Job ou "l'art au défi de l'espérance"

    Actualités

    • L’art est liturgie
    • Triple émotion baroque au Louvre
    • Soixante siècles de pluralité religieuse au Liban
    • Passeur de lumière
    • Après les critiques, la récompense
    • Pierres d’églises, un art de construire
    • Une culture inter-ethnique ?
    • Film : Anna Halprin ou la danse comme pensée
    • Livres
    • Calendrier

    http://www.arts-sacres.fr/numero-21/naissance-arts-protestants.3724.php