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Rechercher : bouquet de tulipes de koons

  • J'ai terminé hier soir: Le grand livre de l'art contemporain(commencé le 5:BU)

     

    Vue MARC

    Le grand livre de l'art contemporain : 200 artistes expliqués / Charlotte Bonham-Carter, David Hodge ; [traduction, Caroline Burnett]

    Auteur(s) : Bonham-Carter, Charlotte
    Hodge, David
    Burnett, Caroline
    Edition : [3e édition, augmentée] Editeur : Paris, Eyrolles, DL 2016. Notes : "Essentiellement multiforme, l'art contemporain est indéfinissable tant les possibilités qu'il offre sont infinies. Ce beau livre, écrit par deux spécialistes du sujet, présente 200 artistes emblématiques qui, de l'après-guerre à nos jours, font l'actualité de la scène artistique mondiale, de Francis Bacon à Jeff Koons, en passant par Lucian Freud, Louise Bourgeois ou Jean-Michel Basquiat. Agrémenté de très nombreuses illustrations, au total plus de 1 000 oeuvres sont représentées, cet ouvrage de référence vous donnera également des clés pour appréhender les différents mouvements et pour comprendre leur influence." [Source : 4e de couv.]. Bibliographie : Glossaire. Type doc : Livre imprimé Description : 1 vol. (256 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. ; 27 cm ISBN : 978-2-212-56549-2. Sujet(s) : Art -- 1945-
    Artistes -- 1945-
     
    https://brisees-opac.univ-st-etienne.fr/accueil.html?q=pageCompteLecteur&selection=koha
     
  • Enchères

    Basquiat, Koons et Wool : le trio gagnant des enchères

     

    Basquiat, Koons et Wool : le trio gagnant des enchères

    Les trois artistes contemporains sont, selon de rapport d'Art Price, ceux dont les œuvres se vendent le mieux. Ils «auraient rapporté 460 millions de dollars de recettes cumulées».
    Toute l'actualité des ventes avec Le Figaro Enchères

    L'automne, la belle saison des enchères

     

    L'automne, la belle saison des enchères

    Photographies, design, art contemporain africain, lettres et manuscrits… L'histoire des collections se poursuit sous le marteau. Sélection.
    Toute l'actualité des ventes avec Le Figaro Enchères

  • Ces Boulonnaises qui se sont hissées au pinacle de la célébrité

    mercredi 09.03.2011, 14:00

    Jenny Dacquin, boulonnaise comédienne et chanteuse. Jenny Dacquin, boulonnaise comédienne et chanteuse.

     

    Al'évidence, peu de femmes ont joué un rôle prépondérant dans l'histoire du Pays boulonnais, hormis les comtesses au moyen âge.

    Ce sont les moeurs des temps anciens qui ont voulu cela. Néanmoins, quelques-unes ont réussi à s'imposer.
    Mais qui connaît Lady Kate Wood, femme d'un général anglais, native du comté du Sussex ? Le couple fréquentait régulièrement la station balnéaire de Boulogne sur mer « sans doute attiré, écrit Philippe Monchy dans son histoire du tennis club boulonnais, par la vie culturelle et multicolore que Boulogne offrait aux étrangers en mal d'amusements et de loisirs. On note sa présence rue Neuve-Chaussée, rue Siblequin pour s'installer définitivement Grand Rue en 1885. Il est possible que les séjours de Lady Wood à Boulogne correspondent aux campagnes que son mari menait en Inde ».
    A cette époque, on connaît à peine cette nouvelle discipline sportive appelée Lawn Tennis. La femme du militaire anglais adore ce jeu et mène tambour battant une campagne pour son implantation dans la ville de son coeur. Elle s'adresse au maire pour obtenir un terrain « indispensable, écrivait-elle dans une de ses lettres, pour satisfaire aux besoins de la colonie anglaise et des visiteurs de Boulogne ».
    Ce que femme veut... Le 1er juillet 1885 était inauguré le plus vieux club de tennis du continent européen, le Tennis Club Boulonnais. En toute discrétion d'ailleurs car la presse locale ignore totalement cette cérémonie.
    Jusqu'à sa mort, survenue en 1905, Lady Wood apportera un soutien indéfectible à ce club, sollicitant les corps constitués et les sponsors, n'hésitant pas à puiser dans sa propre bourse pour faire face aux difficultés financières qu'il rencontre.

    Son combat pour la survie du tennis à Boulogne dura 21 ans mais ce fut une victoire quand le maire, répondant à une demande de subvention, déclara que le tennis méritait d'être soutenu.
    Les qualités de la lady anglaise forçaient l'admiration et lors de son décès, "La France du Nord "en lui rendant hommage, ajoutait : « En même temps qu'une fidèle amie de Boulogne, Mrs Wood était une femme de coeur dont l'inépuisable charité restera légendaire parmi ceux qui furent à même de l'approcher et de l'apprécier à son juste mérite ».
    Un quart de siècle plus tôt, un ouvrage très curieux fut publié en 1873 sous le titre : "Lettres à une inconnue", de Prosper Mérimée, inspecteur des Monuments historiques et aussi écrivain, dont l'un des romans les plus célèbres est Colomba. Cette correspondance suscita bien évidemment une immense curiosité. Quelle était donc cette mystérieuse inconnue ? Très vite les regards se tournèrent vers Boulogne car les plus futés avaient repéré dans les épîtres, des allusions au pays natal de la destinataire qui ne resta donc plus une inconnue.
    C'était Jeanne Françoise Dacquin, dite Jenny, née le 25 novembre 1811 à Boulogne, fille de Julien Dacquin, substitut et de Jeanne Paillet, fille d'un armateur. Jenny était donc une jeune fille de la bourgeoisie ; on la disait instruite, fine et intelligente. Ses parents étaient des artistes. Elle les suivit à Paris et entama une carrière sur les planches, à la fois comme comédienne et comme chanteuse.
    Ses débuts furent enthousiasmants mais les pièces qu'elle joua ne furent pas toutes des succès. « On discutait l'artiste, dit H. Réveillez, mais la jolie femme qu'elle était recevait dans sa loge les hommages d'admirateurs et son nom sur l'affiche suffisait pour faire salle comble ». Louis Schneider, l'un de ses biographes dit « qu'elle figure parmi les gloires de la scène à côté de celles qui brillent au premier rang dans le chant, dans le drame, dans la comédie et dans la danse ».
    Parmi ceux qui chantaient les louanges de Jenny Colon, il y avait un certain Gérard de Nerval qui deviendra follement amoureux au point d'en perdre la raison. Il devint un hôte assidu des salles parisiennes où elle était en représentation et chaque soir, il s'enivrait, il s'exaltait, il éprouvait un bonheur ineffable. Pour mieux la voir il achetait toutes sortes de lorgnettes et pour mieux l'applaudir, il se fit confectionner des cannes spéciales richement décorées. Il créa même un journal, "Le monde dramatique "pour chanter les louanges de l'artiste.
    Se doutait-elle de cette idolâtrie ? Pas un mot, pas une lettre n'accompagnait le bouquet de fleurs qu'il envoyait quotidiennement et, plus tard, lorsque Théophile Gautier qui était l'ami de Nerval, lui parla de cet amour si peu ordinaire, elle répondit : « J'ai vu Gérard une seule fois lorsqu'il m'offrit d'écrire pour moi "La reine de Saba ". Je recevais ces bouquets sans trop savoir d'où ils venaient. J'ai entendu parler de son amour dans les coulisses mais je n'y ai pas attaché d'importance ? Ne m'accusez pas de l'avoir fait souffrir : quand celui qui aime reste muet, celle qui est aimée devient sourde... ».
    Quand Jenny épousa un musicien de l'Opéra Comique, ce fut atroce pour Gérard de Nerval. Le plus extraordinaire, c'est qu'il poussa l'obsession en achetant chez un brocanteur un lit magnifique de style renaissance, espérant sans doute, qu'un jour... Mais il espéra en vain.
    Jenny Colon lisait beaucoup, s'intéressait à la littérature et même à la politique, voyageait aussi beaucoup, s'étonnait beaucoup et jouissait pleinement des plaisirs de la vie. Fatiguée par une vitalité débordante, elle s'éteignit le 5 juin 1842. M.M Lagarde et Michard, dans le cadre de leurs ouvrages sur les grands auteurs français disent à propos de Gérard de Nerval qu'il aima Jenny jusqu'à la folie mais qu'il eut le sentiment, qu'à travers elle, il aima l'image passagère d'une éternelle figure féminine.

    André VERLEY

    http://www.lasemainedansleboulonnais.fr/actualite/boulogne/2011/03/09/article_ces_boulonnaises_qui_se_sont_hissees_au.shtml

  • J'ai lu hier:Dans l'atelier

     

     

    http://www.beauxartsmagazine.com/0125-1155-Dans-l-atelier.html

     

    L'artiste photographié, d'Ingres à Jeff Koons

    9.00 € TTC

     
    06 avril 2016

    C’est une véritable plongée dans l’intimité des artistes que nous propose le Petit Palais en réunissant plus de 400 photographies décrivant le processus de création des artistes, depuis Ingres, en passant par Picasso, Matisse, Bourdelle, Zadkine, Brancusi, jusqu’à Joan Mitchell, Miquel Barceló ou encore Jeff Koons. Les ateliers d’artistes fascinent les photographes comme les artistes. Les clichés servent alors à immortaliser les intérieurs, tirer le portrait des artistes en vogue, mais aussi à documenter le geste créateur des artistes. L’exposition prévoit une scénographie exceptionnelle en reconstituant certains ateliers. Une immersion totale dans un univers mystérieux.
    Le hors-série nous entraine dans les coulisses de la création, là où les œuvres prennent forme et vie.


    Informations sur le livre: 44 pages - 22 x 28,5 cm
    EAN : 9791020402561
    Reliure : Broché
  • En juin au musée des Beaux-Arts de Lyon

    Collections
     
    NOUVELLES PERSPECTIVES
    Au 2e étage des collections
     
    La nouvelle présentation des collections 20e/21e siècles rend hommage aux nombreux donateurs, collectionneurs, amateurs, artistes et ayant-droits qui ont contribué par leur générosité à l’enrichissement de ce fonds.
    Certaines œuvres sont présentées pour la première fois au public.
    Visites commentées
    Nouveaux regards sur les collections XXe et XXIe siècles
    Jeudis 17 et 24 juin
    Samedis 12, 19 et 26 juin
    En-cas culturel
    Matisse en lumière devant Katia à la chemise jaune 
    Mercredi 23 juin
    Gratuit avec le billet d'entrée au musée
     
    Henri Matisse, Katia à la chemise jaune, 1951 © Succession H. Matisse, 2021. Image © Lyon MBA – Photo Martial Couderette
     
     

    Expositions

     

     

    HIPPOLYTE, PAUL, AUGUSTE
    LES FLANDRIN, ARTISTES ET FRÈRES

    Jusqu'au 5 septembre 2021

     

    Trois artistes, trois frères, trois destins d’exception.
    Admirez l’univers pictural exceptionnel de ces trois artistes lyonnais et leur parcours artistique hors du commun. 

     

    Visites commentées : les lundis, jeudis et samedis

     

    Conférence sur La restauration des décors de l'église saint Germain-des-Près : lundi 28 juin

     

    Visiteuses dans les salles de l'expositon. Image © Lyon MBA – Photo Stéphane Degroisse

    Réservez la conférence

     

    Réservez une visite

     

    PAR LE FEU LA COULEUR

    CÉRAMIQUES CONTEMPORAINES  
    Jusqu'au 27 février 2022

     

    Grande première au musée, une exposition est consacrée à la céramique contemporaine.
    Approchez au plus près de la matière et laissez-vous surprendre par l’apparition de la couleur au gré du parcours. 

     

     

     

    Setsuko Nagasawa, Sculpture, 2008. Coll. part. Photo © Jeremie Logeay

    L'exposition en vidéo

     

    Réservez en ligne

     

     

    L'ODYSSÉE MODERNE DE LOUIS BOUQUET
    Jusqu'au 29 août 2021


    Artiste lyonnais surtout connu pour ses fresques, Louis Bouquet est présenté ici à la lumière de ses dessins et peintures autour de grandes figures mythiques : Orphée, Léda, Tristan et Iseult.

     

     

    Conférence
    Josépha Laurent : itinéraire d’un modèle d’artiste, de la Guadeloupe aux ateliers parisiens : mardi 22 juin

     

    Visiteuse dans les salles de l'expositon. mage © Lyon MBA – Photo Stéphane Degroisse

    Réservez pour l'exposition

     

    Réservez la conférence

     

     

     
     
     

    Exposition Hors les murs

     

    COMME UN PARFUM D'AVENTURE

    Jusqu'au 18 juillet 2021

     

    L’exposition explore la question du déplacement, empêché ou imposé, volontaire ou suscité, individuel ou en groupe, et ses conséquences sur l’individu. Elle prend la forme d’une enquête à travers le temps en puisant dans les collections du musée des Beaux-Arts et du macLYON.

     

    Conférence L'art comme déplacement : vendredi 11 juin

     

    Illustration : Jean Jullien. Courtesy de l'artiste et galerie Silka, Lyon

    En savoir + sur l'exposition

     

    Réservez la conférence

    Restauration de sculptures

     
     

    VISITE DU CHANTIER DE RESTAURATION 
    Les 10 et 16 juin
    Restauration des allégories du Rhône et de la Saône des frères Coustou

     

    Les sculptures en bronze des frères Coustou, Le Rhône et La Saône, sont en cours de restauration dans l’enceinte du cloître du musée. 

     

    Visite exceptionnelle du chantier en compagnie de Ludmila Virassamynaïken, conservatrice des peintures et sculptures anciennes, et de deux restaurateurs spécialistes du métal.


    Restauratrices au travail dans le cloître Photo © Muriel Chaulet, Ville de Lyon.

    Le projet de restauration

     

    Réservez la visite

     

     

    Musée des Beaux-Arts de Lyon
    20 place des Terreaux
    69001 Lyon - 33 (0)4.72.10.17.40

    Musée ouvert tous les jours
    sauf mardi et jours fériés
    de 10h à 18h, vendredi de 10h30 à 18h.

     

    Site web - Venir au musée - Contact

  • Il était une fois Gérard Philipe

    Il était une fois Gérard Philipe

    Né d'un père collabo, il fut compagnon de route du Parti communiste, mais sutout le plus grand comédien de sa génération. Disparu il y a cinquante ans, l'inoubliable Fanfan la Tulipe fut l'idole de la France des années 50 : il en est aujourd'hui le symbole.

    La suite ici:

    http://www.lefigaro.fr/cinema/2009/11/14/03002-20091114ARTFIG00121--il-etait-une-fois-gerard-philipe-.php

  • Henri Fantin-Latour , Un coin de table

    Henri Fantin-Latour,Un coin de table ,© RMN-Grand Palais (Musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski

    Un coin de table est un portrait de groupe tout autant qu'un témoignage sur l'histoire littéraire du XIXe siècle, du mouvement poétique du Parnasse en particulier. A l'extrémité d'une table, plusieurs hommes sont réunis après un repas. Trois sont debout, de gauche à droite : Elzéar Bonnier, Emile Blémont, Jean Aicard. Cinq sont assis, Paul Verlaine et Arthur Rimbaud, Léon Valade, Ernest d'Hervilly, Camille Pelletan. Tous sont vêtus de noir sauf un, Camille Pelletan, qui n'est pas poète comme les autres, mais un homme politique. Emile Blémont distingué par sa position centrale acquiert le tableau qu'il offre au Louvre en 1910. Deux figures au moins manquent : Charles Baudelaire, disparu en 1867, et auquel le tableau devait initialement rendre hommage, et Albert Mérat qui ne souhaitait pas être représenté en compagnie des sulfureux Verlaine et Rimbaud et fut, dit-on, remplacé par un bouquet de fleurs.

    Le format de la peinture, jugé trop important par les contemporains, fut critiqué : "Qui a bien pu conseiller à M. Fantin-Latour de donner à son Coin de table des proportions épiques et monumentales ?... il y a, entre les dimensions ambitieuses de la toile et le sujet, une contradiction qui, à la longue, devient irritante".

    http://www.musee-orsay.fr/fr/collections/oeuvres-commentees/peinture/commentaire_id/un-coin-de-table-511.html?cHash=c3506e6f77

     



  • Brassaï : pour l'amour de Paris

    Brassaï

    La Ville de Paris poursuit son exploration de la capitale à travers le regard de ses plus grands photographes en présentant l’oeuvre intense et lumineuse de Brassaï.

    L’exposition "Brassai, Pour l’amour de Paris" relate l'histoire exceptionnelle d'une passion, celle qui a uni pendant plus de cinquante ans Brassaï l'écrivain, le photographe, le cinéaste, aux coins et recoins de la capitale mais aussi à tous ceux, intellectuels, artistes, grandes familles, prostituées et vauriens, bref à tous ceux et celles qui font la légende de Paris. Toute sa vie en effet, Paris demeure au cœur de sa réflexion, le fil rouge de son travail.

     

    Brassaï, le photographe venu d'ailleurs

     

    Né en 1899 à Brasso en Transylvanie, Gyulus Halasz qui prendra le nom de Brassaï lorsqu'il commencera à photographier en 1929, vient tout juste de fêter ses quatre ans lorsque son père professeur de littérature l’embarque avec lui à Paris où il est invité à passer une année sabbatique. Cette période d'enchantement miraculeuse reste à jamais gravée dans la mémoire du jeune homme.

     

    Cette fascination pour Paris amène Brassaï à rejoindre la capitale française en 1924 après ses études d'art à Berlin. Il va rapidement rencontrer Desnos, Prévert qui l’intègrent dans le milieu brillant des artistes et intellectuels qui font la renommée des Années Folles à Montparnasse et l'introduisent dans la nébuleuse surréaliste

    Sa pensée s'attache insensiblement à transformer le réel en décor irréel. Il recherche les objets les plus ordinaires et en détourne le sens, ose les juxtapositions insolites et défamiliarise la perception en sortant le réel de son contexte. Voici comment naîtra sa quête obstinée des graffitis à partir de 1929.

     

    Années folles et virées nocturnes

     

    A la même époque, Brassaï s’attache à traquer dans la lumière nocturne de la ville un Paris insolite, inconnu et méprisé.
    Au fil de ses longues déambulations qui le mènent seul ou en compagnie d'Henry Miller, Blaise Cendrars ou Jacques Prévert, ses complices qui attisent sa curiosité, il rend visibles les humbles prostituées des quartiers “chauds” ou travailleurs de la nuit aux Halles-, transforme la rigueur classique de l'architecture parisienne en scènes étranges et fixe l'insolite beauté des silhouettes fugitives, des illuminations aveuglantes ou les brouillards sur la Seine.

    Ce flâneur impénitent décrit la ville suivant les points de vue qui lui sont propres et que la lumière lui offre comme la vision panoramique de Paris du haut des tours de Notre Dame, les reflets infiniment répétés des arches de pont sur la Seine, la mise au carreau des Jardins des Tuileries dessiné par l'ombre des grilles, les fleurs du marronnier qui surgissent de la nuit telles un bouquet nuptial ou les apparitions à peine révélées des “belles de nuit” dans les passages obscurs.

     

    Ses amitiés surréalistes

     

    En 1932, Picasso impressionné par son travail, confie à Brassaï la mission de photographier son oeuvre sculptée jusqu'alors inconnue et qui doit être publié dans le premier numéro d'une nouvelle revue d'art : Le Minotaure. Les deux artistes se découvrent des goûts voire des fascinations communes qui ont marqué leur oeuvre, telles l'atmosphère très féminine et dénudée des Folies Bergères, ce qui n'est guère étonnant pour ces amoureux des formes féminines, ou celle tout à fait mystérieuse des fêtes foraines dans lesquelles règnent cartomanciennes et diseuses de bonne aventure. Parmi tous ces spectacles, celui qui retient le plus leur attention est certainement le cirque. Ils y retrouvent la beauté du corps humain soumis à la virtuosité de l'effort physique, le dialogue entre la bête et l'homme, le sens de l'équilibre et le goût pour le mystère.



    Paris, belle de jour

     

    Arpenteur infatigable du Paris nocturne, Brassaï n’est pas insensible à la capitale dans la lumière du jour. Il propose ainsi une vision tout à fait personnelle du jardin du Luxembourg, chaise abandonnée ou lion menaçant sous la neige, petits artisans - glacier, marchande de ballons, photographe ambulant, jardinier balayant les feuilles ou statues dévêtues.

    Même empathie naturelle pour les berges de la Seine qu’il parcourt à la rencontre des amoureux, des pêcheurs à la ligne, des sans-abris et même des chiens. Il passe d'un quartier à un autre - Quartier latin, Bercy, Auteuil, et dévoile les activités spécifiques à chacun. S'il documente volontiers la vie réelle de ces espaces, il sait capter "l'esprit" de chaque quartier de Paris : la foule élégante de la rue de Rivoli, les badauds devant les magasins des Grands Boulevards, les charbonniers le long de la Seine à Bercy, mais aussi la majesté des monuments prestigieux, tour Eiffel, Arc de triomphe et surtout Notre-Dame et ses gargouilles qu'il traque de jour comme de nuit. Ainsi, par quelque côté que l'on examine son oeuvre, on y retrouve Paris, toujours Paris.

     

    Pour les écoles

     

     

    Au début des visites chaque élève reçoit un livret-jeu à compléter dans l’exposition et qu’il peut ensuite rapporter à la maison. Un petit logo permet de repérer l’œuvre en lien avec la question. 

    Voir le jeu 
    Voir le livret 

     

     

    Hôtel de Ville, salle Saint Jean
    5, rue Lobau
    75004 PARIS

    Plus d'infos sur ce lieu

    Du 8 novembre 2013 au 8 mars 2014.

    De 10h à 19h du lundi au samedi. 

    Fermé les dimanches et les jours fériés.

    Attention : le 15 novembre, ouverture à 13h30.
    Découvrez l'application gratuite de l'expo pour tablettes iPad et Android >>

    App Store 

    Google Play

    L'application est également disponible pour votre ordinateur au format Adobe Air >>

    >>Application (Adobe Air) 

      • Métros :

        Ligne 1,11: Hôtel de Ville (138m)

        Ligne 4: Cité (292m)

      • 7 place de l'hotel de ville - 75004 paris (81m)

        3 rue lobau - 75004 paris (197m)

    Gratuit
     
  • Chemin de Fer de la Baie de Somme

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    Venez découvrir, à bord d'un de nos trains superbement restaurés, l'une des plus belles baies du monde préservée à l'état sauvage, située dans le nord de la France sur la Côte Picarde. Entre mollières et prés salés, saules et roseaux, le long de la côte ou sur le fond de la Baie de Somme, vous pourrez voyager en famille, entre amis ou en groupe, et découvrir le charme des voyages d'antan, dans un cadre exceptionnel, grace au "Réseau des Bains de Mer" reconnu depuis 1887.

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    Vous trouverez sur ce site tous les renseignements utiles pour passer un agréable moment dans nos trains. Alors n'hésitez plus, le tortillard vous attend :  En voiture !

    Par ailleurs, si vous souhaitez plus d'informations sur notre Association, nos services, nos matériels ou encore notre histoire, ce site a été conçu pour répondre à vos attentes.

    N'hésitez pas à nous contacter pour de plus amples renseignements.

    L'équipe du CFBS            

    http://www.chemin-fer-baie-somme.asso.fr/

  • A la recherche de Jean de La Ville de Mirmont

    Bleus horizons

    L’Horizon chimérique, Les Dimanches de Jean Dézert, et Contes. La Table ronde les réédite, en un volume, de sa collection « La petite vermillon » (240 p., 8,70 €). (1) Sur une génération perdue, de Michel Suffran. Le Festin, 274 p., 22 €.

     

     

     

     

    JEAN-CLAUDE RASPIENGEAS

    http://www.la-croix.com/Culture/Livres-Idees/Livres/A-la-recherche-de-Jean-de-La-Ville-de-Mirmont-_NG_-2013-02-07-908090

  • Maison et jardins de Claude Monet(où nous sommes allés il y a quelques années)

    Fondation Claude Monet

    Propriété de l’Académie des Beaux Arts
    Directeur Hugues R. Gall

     

    L'article : En rose et bleu !

    Depuis les premières heures d'avril, les tulipes roses et myosotis bleus habillent les massifs bordant la maison de Claude Monet. Retour sur un tableau mythique...
     

    Réouverture

    Nous avons le plaisir de vous annoncer que la maison et les jardins de Claude Monet - Giverny rouvriront au public le mercredi 19 mai prochain. Connectez vous sur notre site pour acheter votre billet en ligne !
     

    Un Monet aux enchères

    Copyright : Sotheby's
    Peinte par le génie givernois entre 1917 et 1919, l'oeuvre «le Bassin aux nymphéas» sera vendue aux enchères chez Sotheby's New York le 12 mai prochain. La mise à prix est fixée à 40 millions de dollars, soit plus de 33 millions d’euros !
     

    Lecture impressionniste

     
    Envie de vous procurer l'ouvrage de Gilbert Vahé, «Le jardin de Monet à Giverny - Histoire d'une renaissance» (Editions Gourcuff / Gradenigo) dédié à l'histoire de la restauration du domaine ? Si vous résidez à proximité de Giverny, sachez que nous pratiquons le click ans collect ! Contactez nous par mail (contact@fondation-monet.com) afin que nous puissions vous fixer un rendez-vous.
     

    Vidéos

     
    Saviez-vous qu'un onglet «Vidéo» remanié vient enrichir notre site internet ? Vous y dénicherez d'anciennes pépites, mais aussi et surtout la vidéo mise en boîte le 17 avril dernier et dédiée aux floraisons printanières... Suivez le lien !
     


    MAISON ET JARDINS DE CLAUDE MONET – GIVERNY
    84 rue Claude Monet 27620 Giverny

    Tel : +33 (0) 2 32 51 28 21
    contact@fondation-monet.com
    www.claude-monet-giverny.com

  • Route dans la forêt de Fontainebleau, effet d'orage

    Théodore Rousseau,Route dans la forêt,© RMN-Grand Palais (Musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski

    Théodore Rousseau (1812-1867)
    Route dans la forêt de Fontainebleau, effet d'orage
    Entre 1860 et 1865
    Huile sur toile
    H. 30 ; L. 51 cm
    © RMN-Grand Palais (Musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski

    Route dans la forêt de Fontainebleau, effet d'orage


    Théodore Rousseau reçoit l'essentiel de sa formation du peintre néo-classique Jean-Charles Rémond et de ses séances de travail au Louvre, où il copie notamment les paysagistes du XVIIe siècle, Claude Lorrain, Hobbema ou Ruysdael.
    En 1847, Rousseau s'installe à Barbizon, à l'orée de la forêt de Fontainebleau. Même si les refus au Salon s'accumulent, il est alors fort connu, apprécié et admiré parmi les peintres. La reconnaissance de l'Etat vient en 1848, avec la commande d'une oeuvre importante, Lisière de forêt, soleil couchant (Paris, musée du Louvre). Malgré sa nouvelle renommée, Rousseau demeure à Barbizon, ne quittant le village qu'à de rares occasions. "Homme des forêts", comme il aime se dire, il ne peut vivre longtemps éloigné de son champ d'étude, lui qui ne se consacre qu'au paysage.

    Dans cette toile, c'est la lisière des bois par temps d'orage qui retient l'attention de Rousseau. Au fond d'une plaine sombre, encombrée de broussailles, traversée par un chemin de terre, s'élève un bouquet d'arbres effeuillés. Les rousseurs de l'automne ressortent sur un ciel d'orage passant du gris plombé au jaune et au bleu vif. Dans ce paysage balayé par le vent, tout est mouvement et vibration. La touche nerveuse fragmente la couleur en taches minuscules, selon la dernière manière du peintre, qui n'est pas sans évoquer l'impressionnisme naissant. Mais en dramatisant cette représentation d'un orage sur le point de se déchaîner, c'est aussi au romantisme que Rousseau se réfère.

    http://www.musee-orsay.fr/fr/collections/oeuvres-commentees/recherche/commentaire/commentaire_id/route-dans-la-foret-17903.html

  • La 56e Biennale de Venise a fait un carton

     

    Pour marquer cette 56e Biennale de Venise dont la tonalité était déjà fortement politique, l'artiste suisse Christoph Büchel avait décidé de transformer une ravissante église de Venise, propriété privée fermée depuis 40 ans et laissée quasi à l'abandon, en une mosquée fonctionnelle et de défendre ainsi, au nom de l'art, les couleurs de la tolérance sous la bannière du pavillon islandais. Polémique sur la lagune! Photo M.M.

    Fréquentation record pour cette édition plus longue d'un mois. Le public n'a pas faibli depuis début mai pour découvrir, applaudir ou critiquer cet état des lieux de l'art contemporain en 2015.

     
     

    Tout l'art du monde sur la lagune! La 56e Biennale de Venise, présidée par Paolo Baratta, s'est achevée dimanche 22 novembre avec une série de chiffres positifs qui témoignent de l'engouement croissant du public pour l'art contemporain. Depuis début mai - fait historique, la Biennale a été avancée d'un mois pour cause d'Exposition Universelle à Milan- , ce rendez-vous majeur de l'art contemporain a attiré 500.875 visiteurs en sept mois, contre 475.000 visiteurs pour l'édition de 2013.

    À titre de comparaison, ils n'étaient que 196.000 en 1999, a souligné avec bonheur Paolo Baratta qui gère toutes les biennales (arts, architecture, cinéma) avec la carrure de l'ancien ministre qu'il fut. À noter aussi, monde plat d'internet oblige, qu'en plus des personnes en chair et en os, 1,493 million d'internautes ont exploré le site web de la Biennale, pourtant assez rude d'usage, soit un total de 8,575 millions de vues.

    Il faut ajouter à ce total déjà confortable les quelque 24.065 tout premiers visiteurs de la semaine de vernissage (+17,83% par rapport à 2013), dont 8100 journalistes accrédités (5450 de la presse internationale et 2650 de la presse italienne) et, désormais, les 2768 amateurs particulièrement décidés qui ont payé une «Biennale Card» pour accéder à cette semaine réservée aux professionnels de l'art. À noter que les jeunes et les étudiants ont représenté cette année 31% du total du public. Les étudiants venus en groupes décrypter et analyser la plus ancienne des biennales - cet état des lieux de l'art contemporain à un instant donné - en représentaient 14%.

    Public partagé pour transHumUs, les arbres qui dansaient tout seuls de l'artiste Céleste Boursier-Mougenot dans et devant le Pavillon Francia, jusque sous le perron du pavillon britannique. Les francophones ont souvent été plus sensibles que les Anglo-Saxons à cette poésie dépouillée et surnaturelle. Photo Courtesy de l'artiste et Galerie Xippas, Paris ; Paula Cooper Gallery, New York ; Galerie Mario Mazzoli, Berlin. Dessin: © Pauline Phelouzat 2015

    Public partagé pour transHumUs, les arbres qui dansaient tout seuls de l'artiste Céleste Boursier-Mougenot dans et devant le Pavillon Francia, jusque sous le perron du pavillon britannique. Les francophones ont souvent été plus sensibles que les Anglo-Saxons à cette poésie dépouillée et surnaturelle. Photo Courtesy de l'artiste et Galerie Xippas, Paris ; Paula Cooper Gallery, New York ; Galerie Mario Mazzoli, Berlin. Dessin: © Pauline Phelouzat 2015

    La moyenne par jour ouvrable est plus que dense avec 2899 visiteurs, même s'ils sont de plus en plus disséminés dans la cité lacustre, de la compétition officielle déjà très étoffée à la rituelle mise en abîme de l'art contemporain par le mariage avec les Anciens d'Axel Vervoordt au Palazzo Fortuny (splendide salle Anish Kapoor et Giacometti).

    Encore plus de bouchons cette année dans les vaporetti qui allaient de la place Saint-Marc et du Grand Canal aux Giardini. Les pavillons nationaux y avaient souvent les faveurs du public (57% de la billetterie), avec nombre de coups de cœur pour le Japon (naufrage rouge par Chiharu Shiota), la Suisse (transposition architecturale et sensuelle d'un Rothko par la jeune Pamela Rosenkranz), la Pologne (les deux artistes C.T. Jasper et Joanna Malinowska mêlaient opéra polonais et reportage dans un Haïti délavré avec Halka/Haiti 18°48'05N 72°23'01W ) ou l'Australie qui inaugurait son tout nouveau pavillon, cube noir signé de l'agence Denton Corker Marshall (Fiona Hall y réinventait les arts premiers de demain avec son installation digne d'une sorcière Entitled Wrong Way Time).

    Les femmes sculptées de Wangechi Mutu

    Même foule pressée et avide à l'Arsenal où se déployait le corps principal de All The World's Futures, l'exposition fort politique du commissaire d'origine nigériane, Okwui Enwezor (26% de la billetterie), critique, poète, historien de l'art classé n°24 par ArtReview dans sa liste des 100 personnalités les plus influentes de l'art en 2014 .

    Cet homme fort de la scène contemporaine internationale, dialecticien souriant et bel orateur formé aux États-Unis, a invité nombre d'artistes nés ou émanant du continent africain pour sa démonstration d'un monde artistique reflet des rapports de force et des conflits symboliques de l'histoire: des Camerounais Pascale Marthine Tayou et Barthélémy Toguo, tous les deux nés en 1967, à la belle Kenyane, Wangechi Mutu, qui était à l'honneur dès le mois de mai au tout nouveau Whitney Museum de New York. Une question culturelle et identitaire qu'il a souvent abordée lors de sa longue et brillante carrière et dont on attendait une sorte de révélation ultime à Venise.

    Révélation réussie avec le jeune artiste venu du Ghana, Ibrahim Mahama, dont l'installation sans fin en toiles de jute, Out of Bounds, 2015, rappelait de façon très concrète le poids de l'histoire coloniale et de ses commerces dans le long couloir de l'Arsenal qu'arpentent les festivaliers à longueur de visite.

    Le courage de Sarkis l'Arménien

    Confirmation bienvenue avec le Lion d'or d'honneur décerné au vétéran de la scène africaine, le Ghanéen El Anatsui, bien connu des collectionneurs français, du Centre Pompidou au Festival de Chaumont. Simple et chaleureux, soutenu par un petit groupe de fans spectaculaires comme leurs nattes et leurs rires, venus du Ghana, ce professeur était le seul coup de coeur unanime d'un palmarès assez politiquement correct: de l'artiste américaine Joan Jonas, reine conceptuelle et féministe, au pavillon de l'Arménie, œuvre collective parfaitement inaccessible sur son île de San Lazzaro degli Armeni pour qui n'avait pas son motoscafo personnel. Beaucoup auraient trouvé plus courageux de couronner Sarkis l'Arménien qui a mis toute sa poésie et sa profondeur pour oser représenter la Turquie en son pavillon officiel.

    La blanche Santa Maria della Misericordia abandonnée depuis 40 ans et transformée, le temps d'une œuvre d'art, en fausse mosquée par le pavillon islandais. Photo M. M.

    La blanche Santa Maria della Misericordia abandonnée depuis 40 ans et transformée, le temps d'une œuvre d'art, en fausse mosquée par le pavillon islandais. Photo M. M.

    S'ouvrant sur les œuvres historiques de Bruce Nauman et les bouquets d'armes de l'artiste franco-algérien Adel Abdessemed, finissant en apothéose avec les huit immenses tableaux noirs du peintre allemand Georg Baselitz d'une beauté renversante (aussitôt achetés par François Pinault), cette réflexion d'Okwui Enwezor sur les mondes de l'art en a emballé certains. Comme le Britannique d'origine ghanéenne, David Adjaye, qui en a d'ailleurs signé l'architecture.

    En a intrigué beaucoup qui s'attendaient à plus de vraies découvertes et de choix forts, toujours le paradoxe dans ce marathon de l'art qui enivre, épuise et doit séduire des esprits aussi repus que difficiles. Le choc a souvent été la fausse mosquée du pavillon islandais, si convaincante qu'il a fallu fermer ce faux lieu de culte après un mois d'ouverture, pour excès d'affluence et/ou raisons de sécurité.

    Et, au final, a laissé circonspects nombre des festivaliers les plus aguerris qui y voyaient surtout la difficulté pour un commissaire de tenir la ligne de son idée avec les moyens du bord. Beaucoup d'artistes semblaient s'être greffés sur l'exposition phare du fait de la puissance financière de leurs galeries, notaient les plus sévères.Qui aime bien, châtie bien. C'est vrai en art contemporain, aussi.

    Les retardataires sont en général plus positifs dans leurs jugements, car ils visitent une biennale sans foule ni diktats en associant tourisme et culture. Cette année, l'actualité en a jugé autrement. Nicole et Claude, Parisiens et quadras partis en amoureux découvrir la Biennale, pile l'avant-dernier week-end, sont arrivés sur la lagune au lendemain du massacre du 13 novembre. Ils ont vécu trop en direct le chaos et la violence pour accepter de bon gré le pessimisme et l'âpreté qui se dégageaient de «All The World's Futures». Fuite devant tant de noir, nous disent-ils, et refuge dans les visions océanes du peintre irlandais Sean Scully au Palazzo Falier et les sculptures géantes de Jaume Plensa à San Giorgio Maggiore .

     
     

     

  • Mes photos publiées(de la plus ancienne à la plus récente)

    nature 7 mai 2009 019.jpgMusée Fernet-Branca

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/02/musee-fernet-branca-a-saint-louis-alsace-le-28-mars-2009.html#comments

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/09/musee-fernet-branca-2-le-28-mars-2009.html#comments

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/09/musee-fernet-branca-3.html#comments

    Salon du livre de Paris 2009(avec texte):

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/02/mon-mardi-17-mars-2009-au-salon-du-livre-de-paris.html#comments

    Marseille :

     http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/29/marseille-decembre-2009.html

    Ardoix(Ardèche)(avec texte):

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/05/27/4-petits-vers-inedits-sur-ce-blog-encore.html#comments

    La Tarasque(avec texte):

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    Agneaux(avec texte):

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/25/mes-voisins-les-agneaux.html#comments

    Gran Torino(avec texte):

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/24/nous-avons-vu-et-beaucoup-aime-dimanche-gran-torino.html#comments

    Les paysages chez Lamartine(avec texte):

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/08/mon-travail-universitaire-de-dea-les-paysages-chez-lamartine.html#comments

    Jaune(avec texte):

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/26/mon-poeme-indit-sur-ce-blog-un-petit-jaune.html#comments

    PAL:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/25/une-partie-de-ma-pal-pile-a-lire-en-photo.html#comments

    Violet(avec texte):

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/24/mon-poeme-inedit-sur-ce-blog-violet.html#comments

    Lyon:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/18/revenue.html#comments

    L'Ay:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/03/mon-premier-essai-de-numerisation.html#comments

    Romans:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/03/mon-2-e-essai-de-numerisation.html#comments

    Semaine de la langue française:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/02/mon-poeme-inedit-sur-ce-blog-clair-de-terre.html#comments

    Mon vélo (avec un texte) :

     http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/07/15/mon-texte-inedit-sur-ce-blog-le-velo-c-est.html

    Alsace(2):

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/10/alsace-mars-2009.html#comments

    Mulhouse(2):

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/10/mulhouse-mars-2009.html#comments

    Jardin du Luxembourg(2):

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/02/17/voyage-a-paris-3.html#comments

    Bleu:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/12/12/mon-poeme-inedit-sur-ce-blog-bleu.html

    Chantilly 2:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/10/chantilly-2.html#comments

    Les tulipes:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/14/les-tulipes.html#comments

    Les iris(plusieurs):

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/10/21/les-iris-de-patrick-neu-a-castres-le-16-octobre-2008.html#comments

    Saint-Antoine:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/14/balade-du-lundi-de-paques-saint-antoine-l-abbaye.html#comments

    Arras(avec texte):

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/07/15/balade-du-lundi-14-juillet.html#comments

    Vernissage(2):

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/20/vendredi-a-saint-vallier-vernissage-du-16-e-salon-amil-de-l.html#comments

    Montparnasse(avec texte):

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/02/17/voyage-a-paris-4-deambulations.html#comments

    Coquelicots:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/09/08/blogs.html#comments

    Avril:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/22/avril-de-nerval.html#comments

    Nuages:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/17/mon-poeme-inedit-sur-ce-blog-on-entendrait-voler-un-doute.html#comments

    Richard Bohringer:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/28/samedi-rencontre-avec-richard-bohringer.html#comments

    Coquelicots:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2008/09/08/blogs.html#comments

    Beaucoup de fleurs et d'arbres de printemps ici et là.

    Si je ne mentionne rien, c'est que les photos de moi ou de mon mari.

    Muguet: le 1 er mai évidemment

    Chabeuil:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/05/05/dimanche-3-mai-2009-chabeuil-drome.html

    Pensées:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/20/en-echo-aux-pensees-de-lilounette.html

    Arras:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/05/05/vendredi-1-er-mai-2009-tours-d-arras-sur-rhone-ardeche.html

    La Galaure:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/05/11/la-galaure-a-saint-vallier-drome-le-11-mai-2009.html

    Le Rhône:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/05/11/le-rhone-a-saint-vallier-le-11-mai-2009.html

    La Voulte-sur-Rhône:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/05/11/nous-avons-vu-le-9-mai-2009-la-voulte-sur-rhone-ardeche.html

    Ardèche miniatures:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/05/11/nous-avons-re-vu-le-9-mai-2009-ardeche-miniatures.html

    Gare Perrache:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/05/11/j-ai-vu-le-7-mai-2009-expo-riches-memoires-de-l-aeronautique.html

    Ciel du lundi:

    http://www.lauravanel-coytte.com/search/mon%20ciel%20du%2...

    Anes:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/05/25/concours-etats-d-ane-chez-kri.html

    Roses:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/05/23/mon-poeme-inedit-sur-ce-blog-je-voudrais-pour-didier.html

    Iris jaune:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2006/08/12/dans-un-mois.html

    Alsace:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/10/alsace-mars-2009-3.html

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/10/alsace-mars-2009-2.html

    Musée Fernet-Branca:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/09/musee-fernet-branca-4.html

    Musée du Quai Branly:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/02/17/voyage-a-paris-5-mercredi-11-musee-du-quai-branly.html

    Chantilly:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/10/chantilly.html

    Mulhouse:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/10/mulhouse-mars-2009-2.html

    Commentaires fermés sur cette note; merci de faire des commentaires sous chaque note.

    Ce récapitulatif pour vous inviter à aller plus loin dans ce blog.

    Les autres récapitulatifs:

    1. Du nouveau dans ma bibliothèque Babelio(en haut de la colonne de droite) :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/01/07/un-nouveau-livre-lu-sur-babelio.html#comments

     

    2. Mes  textes publiés:

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/01/09/mes-derniers-textes-publies-ici.html#comments

     

    3. Dernier récapitulatif de mon avant-dernier voyage :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/10/recapitulatif-de-mon-voyage-a-paris-du-4-au-6-mars-2009.html#comments 

     

     

    4. Mes  notes publiées (hors photos et textes) :

     http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/01/mes-dernieres-notes-publiees-hors-photo-et-textes-perso.html

     

      

     

    5. Mes réponses à vos commentaires:

     

     http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/02/mes-dernieres-reponses-a-vos-commentaires.html#comments

     

    6. Des nouvelles de ma blogosphère :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/03/des-nouvelles-de-ma-blogosphere.html#comments

     

  • De la brièveté

    De la brièveté

    Nous connaissons tous ces faux prophètes, intellectuels désabusés, qui expliquent très sérieusement qu'on n'a plus le temps de lire, et qu'il faut désormais offrir des oeuvres raccourcies, des livres brefs - quelque chose de plaisant pour sept ou huit stations de métro.

  • Sur les pas de Matisse...

     

    « Je suis à Vence depuis un mois et demi - très bien à tout point de vue. Le tout me paraît si loin de Nice, ce grand voyage que j’ai fait en moins d’une heure, que je place dans le milieu de tous mes souvenirs de Tahiti. »

    « Ce matin, quand je me promenais devant chez moi en voyant toutes les jeunes filles, femmes et hommes courir à bicyclette vers le marché, je me croyais à Tahiti à l’heure du marché ».

    « Lorsque la brise m’amène une odeur de bois ou d’herbes brûlés, je sens le bois des îles ».

    Sur les Pas de Matisse

    http://www.vence.fr/sur-les-pas-de-matisse,7

  • Deux de Berlin

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    Hiver 1944. Dans un hôpital militaire, Hans Kalterer, un ancien des services de renseignements de la SS, se remet d’une blessure par balle et s’interroge sur son avenir. Il sait que la guerre est perdue et qu’il a besoin de se racheter une conscience. Il rejoint la police criminelle de Berlin où il...
    Lire la suite
     
     
     
     
  • A VOUS DE LIRE

    photo_22936_170.jpgPublié le 07 mai 2010 par Lartino.fr

    Le 30 mars dernier, Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture et de la Communication, a lancé une nouvelle fête du livre et de la lecture. A vous de lire ! sera consacrée quatre jours d’affilée, du 27 au 30 mai 2010, au plaisir de lire sous toutes ses formes, des plus traditionnelles aux plus insolites.

     

    Partout en France où s’épanouit spontanément la lecture, dans les lieux publics, aux terrasses des cafés, sur les places des marchés, dans les parcs et les jardins, dans les bibliothèques aussi, mais également dans les hôpitaux et les centres pénitenciers, les acteurs du livre multiplieront les animations littéraires et feront de notre espace de vie un salon de lecture à ciel ouvert.

    Cafés littéraires, rencontres, performances, lectures en langue des signes inviteront chacun d’entre nous à partager le plaisir de lire. Les librairies indépendantes où se retrouvent traditionnellement les amoureux du livre et où la vie des idées bat son plein occuperont une place de choix.

    Enfin, dans certaines gares, la SNCF proposera à ses voyageurs de participer à un gigantesque « passe-livres » afin de consacrer à la lecture ce temps du voyage, qui lui est naturellement propice.

    Et, parce que le goût de lire donne à l’enfance toute sa saveur, A vous de lire ! s’adressera en particulier au jeune public.
    En partenariat avec le ministère de l’Education nationale et le groupe Jeunesse du Syndicat national de l’édition, un kit pédagogique conçu comme un jeu à usage scolaire sera distribué aux classes d’apprentissage de « la lecture autonome » (CM1 et CM2), afin d’initier les enfants au monde des livres et à ses métiers. Les associations nationales pour la lecture, Lire et Faire Lire, La Ligue de l’enseignement, ADT Quart Monde et le Prix Chronos organiseront des rassemblements ludiques dans les bibliothèques.
    Le groupe de presse Bayard-Milan présentera, dans l’ensemble de ses publications, un livret comprenant 100 propositions de lectures à destination des 0 – 13 ans, élaborée par La Joie par les livres et disponible dans les rayons jeunesse des librairies et des bibliothèques.

    France Télévisions, a choisi d’être le partenaire d’A vous de lire ! en lui consacrant une édition spéciale de « La Grande librairie » animée par François Busnel, et diffusée en ouverture de l’événement le 27 mai prochain.
    Les antennes de Radio France proposeront également à leurs auditeurs des programmes dédiés à la manifestation.

    Liens :