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Rechercher : paris de mars 2009

  • Musée Fernet-Branca 2 le 28 mars 2009

    pollock.jpg

    Réunissant quelque 120 oeuvres, l'exposition Charles Pollock, organisée par l'Espace d'art contemporain Fernet Branca à Saint Louis/Alsace, constitue la première exposition d'envergure internationale consacrée au peintre américain Charles Pollock dans une institution publique en France et en Europe

    Grâce au prêt généreux des Archives Charles Pollock, elle révèle au public une partie d’une œuvre méconnue et complexe d’un artiste discret qui a pleinement participé à l’aventure de l’art américain au vingtième siècle.

    L’histoire de sa peinture rend compte de l’évolution de l’art américain : du Social Realism d’avant guerre, sous l’égide de Thomas Hart Benton, à la fabuleuse naissance de l’abstraction américaine dès les années 1950, puis du Color-Field painting dont l’artiste s’est avéré maître.

    Charles Pollock est d’abord un peintre figuratif, puis devient un peintre abstrait et un coloriste raffiné, maîtrisant les nuances, les valeurs et les atmosphères tout autant que Rothko, mais à sa manière, toute en retenue. A l’instar de nombreux artistes américains, la peinture de Charles Pollock s’oriente vers l’abstraction à la fin des années 40, de manière nette, sans être totalement radicale. Il devient aussi moderne que ses contemporains Still ou Newman.

    L’exposition de l’Espace d’art contemporain Fernet Branca concentre son attention sur la production des séries réalisées entre 1950 et 1964, axe chronologique qui permet de découvrirl’évolution de son oeuvre, entre une première forme d’abstraction calligraphique (1950-56) auxtableaux sombres (début des années 60), à laquelle succédera une abstraction colorée et lumineuse(à partir de 1964). Cette exposition cherche à montrer le fil invisible qui existe entre les différentesséries et époques dans l’oeuvre et la vie de l’artiste. Elle cherche aussi à affirmer l’approcheexpérimentale et raisonnée qui anime toutes les créations de Charles Pollock.

    Les premières salles offrent au public ce que l’on pourra appeler «l’enfance de l’art », à travers des travaux figuratifs. Au cours des années 30, Charles Pollock peint de nombreux paysages de l’Ouest américain, ainsi que de nombreux personnages, dans le style régionaliste. Les paysages contiennent cependant les éléments, notamment les lignes de couleur, les aplats, les teintes crues, qui vont plus tard composer ses abstractions.

    Pour en savoir plus, cf. mon site source pour cette note:

    http://www.museefernetbranca.fr/page000100b7.html

    Et ma précédente note sur ce musée:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/02/musee-fernet-branca-a-saint-louis-alsace-le-28-mars-2009.html#comments

    Photo de moi d'un des paysages de l'expo.

     

    Si cette note ne vous intéresse pas ou si vous voulez en voir plus, vous pouvez aller voir :

     

    1. Du nouveau dans ma bibliothèque Babelio(en haut de la colonne de droite) :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/01/07/un-nouveau-livre-lu-sur-babelio.html#comments

     

    2. Mes  textes publiés:

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/01/09/mes-derniers-textes-publies-ici.html#comments

     

    3. Dernier récapitulatif de mon avant-dernier voyage :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/10/recapitulatif-de-mon-voyage-a-paris-du-4-au-6-mars-2009.html#comments 

     

     

    4. Mes  notes publiées (hors photos et textes) :

     http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/01/mes-dernieres-notes-publiees-hors-photo-et-textes-perso.html

     

     

    5. Mes photos publiées:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/01/mes-dernieres-photos-publiees-de-la-plus-recente-a-la-plus-a.html

     

     

    6. Mes réponses à vos commentaires:

     

     http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/02/mes-dernieres-reponses-a-vos-commentaires.html#comments

     

    7. Des nouvelles de ma blogosphère :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/04/03/des-nouvelles-de-ma-blogosphere.html#comments

     

     

     

    Pour commander mes livres publiés  allez voir le haut de ce blog.

    Enfin, pour comprendre ce blog, allez voir le haut de ce blog et la colonne de droite.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Au jardin du Luxembourg

    paris 16 septembre 2009 051.jpgparis 16 septembre 2009 050.jpgPour la communauté de Kri ,et sur une idée de Véronelle , sur le thème : les troncs et les branches bizarres

    Vu chez Lilounette:

    http://reveries.over-blog.net/article-36814102-6.html#anchorComment

    Mon poème ci-dessous:

    paris 16 septembre 2009 049.jpgAu Luxembourg, j'ai marché

    Au bout de la douleur ressassée

    Sur tes pas de poète desespéré.

    J'ai vu un tronc au visage déformé

    Qui se glissait dans mes cauchemars éveillés.

    Comme ces branches, je suis une tordue assumée

    Vivante jusque dans mes excès de félicité

    Et mes abus de tristesse désabusée.

    2 OCTOBRE 2009

  • J'ai fait découvrir samedi à mon mari:Musée Jacquemart André(où je vais régulièrement)

    musée jacquemart andré le 16 septembre 2009,paris,mes photosmusée jacquemart andré le 16 septembre 2009,paris,mes photosphotos perso de vendredi dernier à Paris

    paris 16 septembre 2009 006.jpgSitué à côté des Champs Elysées, le Musée Jacquemart-André présente la plus belle collection privée d’œuvres d’art de Paris, associée à l’atmosphère d’une grande demeure du XIXème siècle. Découvrez avec une visite audioguidée ce magnifique hôtel particulier, la passion d’Edouard André et de Nelie Jacquemart et leur éblouissante collection de peinture flamande, du XVIII siècle français, de la Renaissance Italienne, de mobilier rare… Le café Jacquemart-André offre l’un des plus beaux décors de Paris. Un moment inoubliable dans le musée préféré des Parisiens

    http://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/jacquemart/

    Photo perso de l'entrée du musée du 16 septembre 2009

    Précédente publication:23/09/2009 15:57

     

  • Jardin du Luxembourg

    paris 16 septembre 2009 041.jpgUne des entrées du jardin le 17 septembre 2009

    Numériser0001.jpg

    Et je pense à Nerval :

    Une allée du Luxembourg


    Elle a passé, la jeune fille
    Vive et preste comme un oiseau :
    A la main une fleur qui brille,
    A la bouche un refrain nouveau.

    C'est peut-être la seule au monde
    Dont le cœur au mien répondrait,
    Qui venant dans ma nuit profonde
    D'un seul regard l'éclaircirait !

    Mais non, ma jeunesse est finie...
    Adieu, doux rayon qui m'as lui,
    Parfum, jeune fille, harmonie...
    Le bonheur passait, il a fui !

    Gérard de Nerval (Odelettes)

    Photos perso du 10 février 2009

     

    Numériser0001.jpgUne allée du Luxembourg expliqué sur le net :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Une_all%C3%A9e_du_Luxembourg

    http://www.telemaque.net/telemaque/nerval2.htm

    Autres notes de ce blog ayant un rapport avec ce coin de Paris :

    http://www.lauravanel-coytte.com/search/luxembourg

    Le jardin du Luxembourg sur Wikipédia :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Jardin_du_Luxembourg

    Il ne neigeait pas (mais l'aspect est tout de même hivernal) pas mais beaucoup de vent et un léger grésil ; ambiance fantomatique qui aurait plu à Nerval, je pense, même si ce n'est pas celle de son poème dont le cadre est plutôt agréable et bucolique, on peut parler de locus amoenus.

    Depuis la première publication de cette note, mes photos ont été développées et scannées.

    La 2 e est imparfaite mais c'est pour donner une idée des merveilles de ce jardin.

    Récapitulatif complet du voyage:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/02/17/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-a-paris-de-fevrier.html#comments

    Je parle aussi de ce jardin dans mon mémoire "Des paysages de Baudelaire et Nerval" que vous pouvez acheter en passant par la bannière en haut de ce blog.

     

  • Votez pour mon Château chez Dana

    C'est une photo de février 2009, le numéro 24 chez Dana:

    chateau chantilly dana hf.jpghttp://la-tribu-de-dana.over-blog.com/article-30104682.html

    Merci à l'avance.

    Cf. ci-dessous d' autres photos et ma note de février.

     

    chantilly.jpgSortie par le nord de Paris et arrivée à Chantilly  sous la neige.

    Pendant que mon mari monte une tête d'enduction dans une usine, je visite le musée Condé de Chantilly :

    http://www.museeconde.com/

    3 petits marque-pages en souvenir et des tonnes de dépliants pour approfondir la visite.

    Les grandes écuries et le musée du cheval sont fermés mais on aperçoit dans la brume le célèbre hippodrome où se court le prix de Diane.

    Je suis dans le Valois de Nerval !!!!

    Une belle balade dans l'histoire et l'art.... très fatigante. Des épaules aux pieds, des piques de douleur dont j'ai eu confirmation de la cause avec une radio hier : écrasement d'un disque qui pince le nerf sciatique.

    J'étais contente de partir... mais aussi bien contente de rentrer chez moi à22h30 après plus de 5h de route.

    Impossible de vous parler de toutes les choses vues, les impressions.

    J'ai aussi plein de notes et de lectures à propos de ce voyage.

    Récapitulatif complet du voyage:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/02/17/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-a-paris-de-fevrier.html#comments

     

     

  • Voyage à Paris 2

    Gare_de_lest_-_front.jpg2. Mardi 10 février 2009 : départ à 7h, voyage avec le vent(moins qu’annoncé) et arrivée à Paris vers 12h.


    Après avoir déposé nos affaires, mon mari part pour son salon à Villepinte(cf. son blog CV)


    Je range un peu nos affaires, me rafraîchit et pars vers la Gare de l’Est que je voulais voire refaite en mon absence : réussi.


    Première destination : Gibert Boulevard Saint-Michel dont j’ai déjà parlé :
    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/27/mon-texte-en-prose-inedit-sur-ce-blog-il-y-a-un-an-a-paris-4.html#comments


    Je continue dans le boulevard Saint-Michel, Place de la Sorbonne d’où la librairie PUF ( où j’achetais des livres quand j’étais en prépa à Paris(il y a 20 ans) a disparu.


    Photos et article Insecula :
    http://www.insecula.com/salle/MS01536.html


    Photo (et article) gare de l’est Wikipedia :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Gare_de_l'Est

    Récapitulatif complet du voyage:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/02/17/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-a-paris-de-fevrier.html#comments

  • Voyage à Paris 9: D'autres notes sur Paris

    Gare_de_lest_-_front.jpg

    Librairies de Paris et d'ailleurs:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/27/mon-texte-en-prose-inedit-sur-ce-blog-il-y-a-un-an-a-paris-4.html#comments

    Passage Brady, hôtel et gare de l'est :

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/26/il-y-a-un-an-en-france-a-paris-3.html#comments

    Expo Hugo, Place des Vosges et Bastille

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/25/il-y-a-un-an-en-france-paris-2.html#comments

    Expo Hugo et Place des Vosges :

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/25/il-y-a-un-an-en-france-paris-1.html#comments

    Catégorie Paris :

    http://www.lauravanel-coytte.com/paris/

    Pour voir les nouveaux livres ramenés de mon voyage (achetés ou offerts ou reçus en mon absence), cf. ma note Babelio :

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/01/07/un-nouveau-livre-lu-sur-babelio.html#comments

    Récapitulatif complet du voyage:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/02/17/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-a-paris-de-fevrier.html#comments

  • Voyage à Paris 1:avant et après

    quai de bercy.jpgBilan par rapport à la note faite avant le départ:


    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/02/09/je-pars-ce-matin-pour-quelques-jours.html#comments


    Projets: revoir des lieux que je n'ai pas vus depuis trois ans... et en découvrir d'autres notamment :


    La gare de l'est refaite : Fait


    Manger indien(Fait) et de quoi cuisiner... indien à mon retour(j’avais déjà tellement de livres à ramener que je n’’ai pas voulu rajouter)


    Faire une virée chez Gibert boulevard Saint-Michel... et dans quelques librairies connues et aimées/ou que j'ai envie de découvrir : des librairies connues et des découvertes.


    Aller au musée du Quai Branly ouvert quand j'étais au Maroc : Fait


    Une expo... de peinture sans doute : 2 musées avec leurs collections permanentes et leurs expo temporaires


    Revoir ma Sorbonne et ma bibliothèque :Fait


    Revoir mon ancien appart :Fait


    Retourner sur les lieux baudelairiens et nervaliens : Fait

    Photo: Quai de Branly par lequel nous arrivons à Paris:

    http://fr.wrs.yahoo.com/_ylt=A0WTf2vNcJpJ2nsB.jpuAQx./SIG=129oe17pc/EXP=1234944589/**http%3A//www.flickr.com/photos/23050688@N04/2457451326/

    Récapitulatif complet du voyage:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/02/17/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-a-paris-de-fevrier.html#comments

    Merci de ne pas mettre tous vos commentaires sous cette première note; il y en a 8 autres commentables sur ce voyage. Cela vous prendra juste un tout petit peu plus de temps; il m'en a fallu pas mal pour faire ce topo qui est mon écrit du moment. Merci de respecter ce travail en ne mettant pas de coms hors sujet: le livre d'or est là pour ça.

    Enfin, en ce qui concerne les coms, j'ai reçu dernièrement des coms que je qualifierais d "insultants"... alors dans la mesure où ce blog est comme un carnet de notes d'une partie de ma vie et que le nombre de coms est minime par rapport au nombre de visites; je pense de plus en plus à fermer les coms.

     

  • Montparnasse

    Photo développée et scannée(mal cadrée) depuis la note ci-dessous.

    Cf. autres notes à ce sujet:

    http://www.lauravanel-coytte.com/search/montparnasse

    montparnasse.jpg

    Voyage à Paris 4: Déambulations

    Mardi 10 février 2009 : Déambulations

    tour montparnasse.jpgDu jardin du Luxembourg, on voit la tour Montparnasse :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Tour_Montparnasse

     

    En continuant à marcher, je vois :

    LaCloseriedesLilas.jpgLa closerie des Lilas :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Closerie_des_Lilas

     

     

     

    L'ENA :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_nationale_d%27administration_(France)#L.27ENA_aujourd.27hui

    ENA-Paris.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

    L'Institut d'Art et d'Archéologie, Université Paris IV, Sorbonne

     

    fac archéo.jpg

     

     

     

     

     

     

    L'Université Paris V, Paris Descartes

    univparisV.jpg

    L'observatoire de Paris

    observatoire.jpg

    http://www.obspm.fr/implantation.fr.shtml

     

     

     

     

     

     

     

    Le Val de Grâce

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Val-de-Gr%C3%A2ce

    Val_de_Grace_dsc04637.jpg

    Beaucoup d'autres lieux, monuments et rues au fil de mes pas.

    Et le soir, un repas indien passage Brady :

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/02/26/il-y-a-un-an-en-france-a-paris-3.html#comments

    Anecdote : nous avions envie d'une bonne bière mais nous avions choisi le seul restaurant du passage où on ne sert pas d'alcool.

    Ca nous a rappelé le Maroc....

    Récapitulatif complet du voyage:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/02/17/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-a-paris-de-fevrier.html#comments

     

  • Voyage à Paris 6:Mercredi 11 février :souvenirs

    Eglise_St-Ambroise_Bd_Voltaire.jpgUn petit tour rue Saint-Ambroise où j'ai fait une année de prépa HEC après le bac

    http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Saint-Ambroise_(Paris)

    Re-métro jusqu'à Saint-Mandé où j'ai vécu à la même époque pendant un an dans une chambre de bonne au 6 e sans ascenseur (escalier en colimaçon super quand on arrive ou repart avec ses valises) , WC sur le palier.

    J'ai pris l'immeuble en photo et j'ai trouvé sur un petit marché chez un bouquiniste un super livre sur Nerval :

    http://www.babelio.com/livres/Richer-Gerard-de-Nerval-Experience-vecue-et-creation-eso/111677

    J'aurais pu aller voir aussi mon logis vers Bastille à une certaine époque... mais on ne peut pas tout faire...

    Re-métro vers ma fac (études de lettres par correspondance ) :Paris 3 Sorbonne Nouvelle :

    http://www.univ-paris3.fr/

    La bibliothèque, la fac et la librairie en face « Palimpsestes » n'ont pas changé.

    Le nom de cette librairie est très intéressant :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Palimpseste

    La librairie « L'arbre à lettres », elle non plus, n'a pas beaucoup changé.

    J'en ai déjà parlé dans cette note.

    Le bistrot  en face de la fac où j'allais parfois lui a bien changé.

    Le quartier est très sympa avec(j'y suis retournée le lendemain matin pour manger avec mon papa que je n'avais pas vu depuis 6 mois) :

    -Le Jardin des Plantes :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Jardin_des_plantes_de_Paris

    Jardin_Plantes.jpg

     

     

     

     

     

     

     

    -Les Arènes de Lutèce :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Ar%C3%A8nes_de_Lut%C3%A8ce

    Arene_de_Lutece.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

    - La grande mosquée  de Paris

    2 découvertes pour finir la journée :

    -Biblipo : une bibliothèque spécialisée dans la littérature policière

    - Terminus polar : une librairie spécialisée-comme son nom l'indique - en polar

    Récapitulatif complet du voyage:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/02/17/recapitulatif-de-mes-notes-sur-mon-voyage-a-paris-de-fevrier.html#comments

  • Lambert Wilson : rue Saint-Honoré

    Par Armelle Heliot
    14/04/2010 | Mise à jour : 10:48 Réagir

    «Depuis mon balcon, je vois le ciel et les façades XVIIe siècle du coeur de Paris» (Photo: Marcel Hartmann)
    «Depuis mon balcon, je vois le ciel et les façades XVIIe siècle du coeur de Paris» (Photo: Marcel Hartmann) Crédits photo : Le Figaro Magazine

    Il a vécu dans ce tout petit appartement sous les toits à plusieurs époques de sa vie. Il y revient désormais comme à un point fixe au cœur de ce Paris qu'il arpente d'un pas vif lorsqu'il ne sillonne pas la ville sur son scooter. L'acteur n'est qu'amitié et curiosité pour les autres. 

    Rien ne pèse en lui, rien ne pèse sur lui. Lambert Wilson est un homme libre, un artiste en éveil. Il vit comme un étudiant. Il n'est pas attaché aux biens matériels. Sa quête est spirituelle. Mais c'est en garçon qui aime les belles et bonnes choses de la vie, qui fréquente la rue Saint-Honoré et ses abords. Il vient de triompher au Châtelet dans Little Night Musicet signe la mise en scène de La Fausse Suivante, de ­Marivaux, aux Bouffes du Nord. Après la sortie le 5 mai d'Imogène , avec Catherine Frot, deux grands films se profilent. L'un de Bertrand ­Tavernier, La Princesse de Montpensier, dans lequel il est un huguenot qui ressemble à ­Montaigne, et l'autre, de Xavier Beauvois, intitulé Des dieux et des hommes.Cette œuvre très importante est consacrée aux moines trappistes du monastère de Tibéhirine, en ­Algérie. Sept d'entre eux furent enlevés et ­assassinés en mars 1996. Lambert Wilson est le prieur. Un rôle de méditation et d'action.

     

    Décor idéal

     

    Il serait dommage de vivre au cœur de Paris et de ne pas avoir sa belle brasserie à beau décor : L'Épi d'Or est idéal. C'est joli comme dans un film, la nourriture est excellente, l'accueil agréable, pas trop de bruit… On peut manger très bien sans avoir la tête cassée. Très important !

    L'épi d'or, 25, rue Jean-Jacques-Rousseau (Ier). Tél. : 01 42 36 38 12.

     

    Me faire une toile

     

    J'aime aller au cinéma le matin. Je fréquente beaucoup les salles de l'UGC des Halles car il y a des séances dès 9 h 30 le matin, ce qui est très plaisant. En allant au cinéma à cet endroit, j'ai même appris à apprivoiser le Forum et à ne m'y rendre que pour des raisons précises. Il y a un bon usage du Forum que je maîtrise désormais…

    UGC ciné cité les Halles , Forum des Halles (Ier). Tèl : 01 40 39 63 67

     

    Procopio Angelo(Ph: S. Soriano)
    Procopio Angelo(Ph: S. Soriano) Crédits photo : Le Figaro

     

     

    Cette bonne pâte d'Angelo

     

    Pourrait-on être un honnête homme sans une bonne adresse italienne ? Ici, le patron est un merveilleux cuisinier qui travaille devant vous aux fourneaux… et lorsqu'il n'est pas l'heure de faire la pasta, il est sur le pas de sa porte, bateleur qui parle à tout le monde et à qui tout le monde parle !

    Procopio Angelo, 89, rue Saint-Honoré (Ier). Tél. : 01 40 41 06 25.

     

    Fleuriste de mère en fille

     

    Dans ma rue, il y a plusieurs fleuristes, mais ma boutique préférée est celle qui se nomme Les Fleurs de Georges Gay, un nom d'homme. Mais ici, on est fleuriste « de mère en fille ». Les fleurs sont fraîches, on voudrait tout acheter…

    Les Fleurs de Georges Gay, 110, rue Saint-Honoré (Ier). Tél. : 01 42 36 28 05.

     

    Passage des rêves

     

    J'adore, tout près de chez moi, la galerie Vérot-Dodat. Mes amies font des folies pour les chaussures de Christian Louboutin. Il y a la fascinante boutique de maquillage By Terry. Mais la plus charmante des vitrines est celle des instruments à cordes.

    Galerie Vérot-Dodat, entre les rue du Bouloi et J.-J.-Rousseau (Ier). Luthiers Rosine et François Charle, n o 17. Tél. : 01 42 33 38 93. Christian Louboutin, no 6. Tél. : 01 42 36 03 14. By Terry, no 36. Tél. : 01 44 76 00 76.

     

    A la japonaise

     

    J'apprécie la nourriture japonaise. Takara est mon adresse préférée dans ce domaine, car c'est le plus ancien restaurant japonais de Paris et il y règne, par le décor simple, une humeur années 1950 très séduisante. Isao Ashibe a succédé à son père, Takumi, et la cuisine demeure d'un exquis raffinement.

    Takara , 14, rue Molière (Ier). Tél. : 01 42 96 08 38.

     

    Celal Coiffeur (Ph: S.Soriano)
    Celal Coiffeur (Ph: S.Soriano) Crédits photo : Le Figaro

     

     

    Mon figaro personnel

     

    Un coiffeur de quartier, mais un esthète, un esprit toujours en éveil qui tient d'ailleurs une galerie, laquelle est aussi l'une de mes adresses préférées, c'est unique. Et je suis heureux de le connaître.

    Celal coiffeur, 70, rue Saint-Honoré (Ier). Tél. : 01 42 36 26 06.

     

    Pour l'amour de l'art

     

    Celal, mon coiffeur, a ouvert une galerie dans la rue. Il fait des choix très intéressants de jeunes artistes. J'ai découvert là des plasticiens, des photographes, américains no­tamment, qui ont beaucoup de personnalité.

    Galerie Celal , 45, rue Saint-Honoré. Tél. : 01 40 26 56 35.

     

    Sur son agenda

     

    16/04 : Ma maison de Bourgogne pour les plantations de printemps. L'hiver a été sévère : il faut surveiller la végétation et imaginer le jardin à venir.

    05/05 : Sortie de Imogène McCarthery d'Alexandre Charlot et Franck Magnier, suite des aventures de cette détective, avec Catherine Frot et ­Michel Aumont.

    Du 12 au 23/05 : Festival de Cannes. Que l'on soit ou non en compétition, c'est un passage obligé pour les cinéphiles.

    15/05 : Dernière de La Fausse Suivante aux ­Bouffes du Nord. Je ne quitte jamais longtemps les comédiens que j'ai dirigés…

    AOÛT : Festival de ­musique de  Salon-de-Provence, un lieu enchanteur à l'écart des circuits obligés.

    Septembre-octobre :Sortie en salles de deux films qui me tiennent à cœur, La Princesse de Montpensier de Bertrand Tavernier et Des dieux et des hommes de Lucas Belvaux à propos des moines de Tibéhirine.

    » Découvrez toutes les bonnes adresses des personnalités parisiennes avec notre rubrique Mon Quartier

  • Balade du dimanche 19 avril 2009

    barrage avril 2009 001.jpgvers le barrage d'Arras-sur -Rhône(Ardèche) dont je parlais déjà en juillet 2008 à la fin de la note ci-dessous.

    Pour en savoir plus sur la commune d'Arras:

    http://www.medarus.org/Ardeche/07commun/07comTex/arras.htm

    Les cygnes étaient un peu loin...

    ozon 5.jpg

    Balade du lundi 14 juillet 2008

    S’écrivait au Moyen Age AUZON ou ALZON, avec ou sans E. L’histoire de ce village est assez compliquée. Mais le mieux est d’abord de le situer géographiquement : OZON est perché sur une colline dominant le Rhône de façon abrupte. A peu prés à mi-chemin de Eclassan, Sarras et d’Arras, OZON a pris le nom de la petite rivière qui vient de Sècheras et se jette dans le fleuve à Arras. Pourquoi est le village où ne coule pas la rivière qui en a pris le nom ? Mystère….
    Les vestiges du passé à Ozon sont peu nombreux : ils résident uniquement dans la chapelle de style roman au belvédère exceptionnel, édifiée aux environs de l'an 1000 par les moines de Saint-Chaffre.
    L'histoire d'Ozon est aussi marquée par son activité économique agricole dynamique : abricot Bergeron, vin d'appellation Saint-Joseph dont la cave coopérative de Sarras vinifie l'essentiel de la production.
    Ozon fait aujourd'hui partie du District Intercommunal "Les Deux Rives" dont les activités sont basées sur l'axe économique Sarras/Saint-Vallier.
    Ce groupement de communes accorde la priorité au développement économique sur une zone géographique districale.

     

    Le paysage d'Ozon est très contrasté selon l'altitude puisque la commune comprend à la fois la plaine Rhodanienne à 120 m et les coteaux élevés à plus de 400 m, sur lesquels on rencontre des forêts de feuillus subissant une influence méditerranéenne : chênes verts, robiniers et figuiers.
    L'environnement est marqué par la présence de nombreux vergers : vignobles, framboisiers, abricotiers et cerisiers.
    Les bords du fleuve constituent également des aires naturelles intéressantes avec une magnifique lône alimentée par deux ruisseaux, où l'on peut observer hérons, cormorans, guêpiers et castors. C'est un lieu de prédilection pour les pêcheurs à la ligne.

    ozon 4.jpghttp://page1.inforoutes-ardeche.fr/07169/page2.html

    De là-haut, une vue magnifique notamment sur le défilé de Saint-Vallier.

    Ensuite balade dans la campagne par Eclassan, Sarras et Arras.

    A Arras, visite du barrage qui a crée un canal à côté du Rhône pour réguler le cours du grand fleuve.

    Si cette note ne vous intéresse pas ou si vous voulez en voir plus, vous pouvez aller voir :

     

    1. Du nouveau dans ma bibliothèque Babelio(en haut de la colonne de droite) :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/01/07/un-nouveau-livre-lu-sur-babelio.html#comments

     

    2. Mes  textes publiés:

     

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    3. Dernier récapitulatif de mon avant-dernier voyage :

     

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/03/10/recapitulatif-de-mon-voyage-a-paris-du-4-au-6-mars-2009.html#comments 

     

     

    4. Mes  notes publiées (hors photos et textes) :

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    5. Mes photos publiées:

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    6. Mes réponses à vos commentaires:

     

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    7. Des nouvelles de ma blogosphère :

     

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    Ces récapitulatifs sont là pour vous conduire à aller voir ailleurs sur ce blog et dans la blogosphère.

     

     

     

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  • Musée Fernet-Branca à Saint-Louis(Alsace) le 28 mars 2009

    fernet branca.jpg

    L'histoire de cette distillerie ludovicienne commence à Bâle, le 22 juillet 1907, date à laquelle l'entreprise de construction Broggi et Appiani, « entrepreneurs de travaux en maçonnerie et ciment », dépose une demande d'autorisation de bâtir au maire de Saint-Louis pour le compte de la famille Branca de Milan, selon les plans de l'architecte milanais G. Merlini.

    Pour en savoir plus:

    http://www.museefernetbranca.fr/page00010006.html

    Si cette note ne vous intéresse pas ou si vous voulez en voir plus, vous pouvez aller voir :

     

    1. Du nouveau dans ma bibliothèque Babelio(en haut de la colonne de droite) :

     

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  • Aéroport de Lyon le 21 juin 2009

    Précédente note à ce sujet:

    lyon 21 juin 2009 022.jpghttp://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/06/22/aeroport-de-lyon-saint-exupery-le-21-juin-20091.html

    dans la catégorie "Lyon" de la partie "Ce que j'aime"

    Photos perso

    lyon 21 juin 2009 023.jpg

    La décision de construire un nouvel aéroport est prise à la fin des années 1960, afin de pallier la saturation progressive de l'aéroport de Lyon-Bron. En effet, celui-ci, situé en milieu urbain, ne possédait pas de possibilité d'extension, et ses pistes trop courtes étaient inadaptées à l'accueil de vols long-courrier. Par ailleurs, la Chambre de commerce et d'industrie de Lyon souhaitait de doter la région Rhône-Alpes d'un aéroport à la mesure de son développement et de ses ambitions internationales.

    Après quatre ans de travaux, le nouvel aéroport est inauguré le 12 avril 1975 par le président de la République Valéry Giscard d'Estaing, le préfet de région Pierre Doueil et le président de la CCI de Lyon, Fernand Blanc. Les activités de l'aéroport de Lyon-Bron y sont transférées dans la nuit du 19 au 20 avril et l'aéroport accueille ce même jour son premier vol commercial, un Mercure de la compagnie Air Inter en provenance de Paris.

    Gare Lyon TGV, dessinée par l'architecte espagnol Santiago Calatrava.

    En 1994 est inaugurée la gare TGV. Dessinée par l'architecte espagnol Santiago Calatrava, son architecture audacieuse et visible plusieurs kilomètres à la ronde évoque un oiseau prenant son envol. Vue du ciel, la nouvelle configuration de l'aéroport (terminaux, parkings et gare) fait immédiatement penser à une tête d'oiseau.

    Le 29 juin 2000, l'aéroport est renommé Lyon-Saint-Exupéry, à l'occasion du centième anniversaire d'Antoine de Saint-Exupéry, né à Lyon[1].

    En 2005, un rapport commandé par le gouvernement au groupe de travail des Conseillers au Commerce Extérieur (CCE) sur Saint-Exupéry critique violemment la gestion de l'aéroport, pointant du doigt son retard de développement par rapport à d'autres aéroports européens de taille comparable, le manque de compagnies régulières et low cost, l'insuffisance de la desserte ferroviaire (pas de TER allant jusqu'à l'aéroport) et de la signalisation routière, des dysfonctionnements internes (notamment la livraison des bagages au terminal 2), et un manque flagrant de cohérence de la politique commerciale de la plate-forme. Les conseillers accusent très clairement le directeur de l'aéroport d'alors, remercié quelques mois après[2].

    Suite à ce rapport et au vote d'une nouvelle loi sur la gestion des aéroports français, la société Aéroports de Lyon, destinée à gérer les deux aéroports lyonnais et attirer des capitaux privés dans leur gestion est créée le 21 décembre 2006. La concession est cédée par la CCIL le 6 mars 2007, et la société est officiellement lancée le 9 mars. À cette occasion, la concession de l'aéroport est renouvelée jusqu'en 2047

    http://fr.wikipedia.org/wiki/A%C3%A9roport_Lyon-Saint-Exup%C3%A9ry

  • Votez pour mon Château de Chantilly en février 2009

    chateau chantilly.jpgVous pouvez voter pour mon château sur le blog de Dana ... pour le numéro 24:

    http://la-tribu-de-dana.over-blog.com/article-30104682.html Merci à l'avance.

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  • Musée de la vie romantique(Paris) le 1 er septembre 2009

    Arrivé à Paris en 1811, le peintre Ary Scheffer, artiste d’origine hollandaise, s’installe avec sa famille le 17 juillet 1830 au n° 7 de la rue Chaptal (actuel n° 16), dans une propriété construite par l’entrepreneur Wormser, où courent déjà treilles et glycines sous un toit à l’italienne, typique de l’époque Restauration.

    http://www.paris.fr/portail/Culture/Portal.lut?page_id=5851&document_type_id=5&document_id=13420&portlet_id=12984


    Photos perso

    Précédente note à ce sujet:

    http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2009/09/07/paris-le-1-er-septembre-2009.htmlparis 1er septembre 2009 004.jpgparis 1er septembre 2009 003.jpg

    Une fièvre de construction s’est emparée de Paris, en pleine explosion démographique. Sur les premiers contreforts de la butte Montmartre, vergers et terrains maraîchers ne résistent pas longtemps à l’appétit des spéculateurs. A partir de 1820, ils cèdent la place à des lotissements où des architectes de renom, nourris de tradition antique, font surgir de belles demeures néoclassiques, immeubles de rapport et ateliers d’artistes…

    En prenant ses quartiers dans cette « nouvelle république des arts et des lettres », Ary Scheffer, professeur de dessin des enfants du duc d’Orléans depuis 1822, digne représentant de l’école romantique, affirme sa réussite.

    Au bout de l’allée qui mène à sa propriété, Ary Scheffer fait alors construire deux ateliers à verrière, orientés au nord, de part et d’autre de la cour pavée : un atelier de travail et un atelier de réception.

    Cette demeure connut durant 30 année, une intense activité politique et littéraire. Dans l’atelier-salon, Scheffer, portraitiste renommé sous la monarchie de Juillet, recevait le Tout-Paris artistique et intellectuel. Chacun exposait ses œuvres ou donnait lecture de ses pièces. Delacroix, Géricault viennent en voisin ; ils retrouvent George Sand avec Chopin et Liszt, mais aussi Rossini, Tourgueniev, Dickens.
    En face, dans un délicieux fouillis de seringas et de rosiers, l’atelier de travail était utilisé par Ary Scheffer et son frère Henry, lui aussi peintre.

    Il y ouvre ses portes à d’autres artistes, comme Théodore Rousseau qui acheva rue Chaptal, La Descente des vaches. Ce tableau ayant été refusé au Salon de 1835, Ary Scheffer l’exposa en même temps que des toiles de Paul Huet et Jules Dupré, instituant ainsi une sorte de Salon des Refusés. Scheffer abrita également dans cet atelier une partie des collections de la famille royale qui devait quitter la France.

    Cet atelier, récemment rénové d’après le tableau de Arie Johannes Lamme, Le Grand atelier de la rue Chaptal en 1851, accueille aujourd’hui des expositions temporaires.


    Agrémentée d’une serre et d’un jardin, cette propriété qu’Ary Scheffer loua pendant près de trente ans, fut achetée à sa mort en 1858 par sa fille unique Cornélia Scheffer-Marjolin.

    Elle va préserver le cadre où a évolué son père, conserver son œuvre et perpétuer une tradition familiale de philanthropie. Elle organise un an plus tard une exposition rétrospective de son père, 26 boulevard des Italiens à Paris.
    Cornélia et son mari René Marjolin vont recevoir des personnalités telles que Henri Martin, Ivan Tourgueniev ou Charles Gounod .

    Les ateliers furent délaissés quelques temps avant d’abriter un hôpital de secours en 1870 -1871, hôpital auquel les époux Marjolin se dévouèrent. Ils servirent ensuite de lieu d’exposition sommaire aux principales toiles de Scheffer.

    En 1899, Cornélia Scheffer-Marjolin meurt. Elle lègue les toiles de son père au musée Ary Scheffer de Dordrecht aux Pays-Bas (ville d’origine de l’artiste), et la propriété de la rue Chaptal à Noémi Renan-Psichari (petite-nièce de Scheffer). Cette dernière installe un grand salon et une bibliothèque consacrée aux œuvres de son père Ernest Renan dans un atelier, et loue le second à des artistes.

    C’est dans cet atelier-salon que Noémi Renan-Psichari, puis sa fille Corrie Psichari-Siohan continuèrent à accueillir le monde des arts et des lettres. Anatole France ou Puvis de Chavannes à la Belle Epoque, Maurice Denis dans les années vingt, ou plus récemment André Malraux prirent la suite de Chopin, de Delacroix ou de Pauline Viardot dans l’atelier de la rue Chaptal.


    La maison est vendue à l’Etat pour un montant symbolique en 1956, afin qu’y soit établit une institution culturelle. Après avoir accueilli un centre universitaire d’enseignement et de recherche consacré à l’étude des sons et des couleurs, les époux Siohan entreprennent en 1980 des démarches afin de créer dans l’ancienne demeure du peintre « une institution culturelle à dominante muséographique ». L’Etat remet alors la gestion de l’immeuble à la ville de Paris en 1982 pour une durée de 18 ans.


    L’annexe du musée Carnavalet, crée en 1981 prend ainsi le nom de « Musée Renan-Scheffer ». Son lancement se fait principalement grâce à une exposition organisée en 1984 par Dominique Morel. Néanmoins, sans réelles collections, le musée devait être re-pensé. Une nouvelle approche du musée est proposée en mettant en valeurs les bâtiments et la présentation des souvenirs de George Sand. Le musée prend alors l’ appellation de « Musée de la Vie Romantique ».

    http://www.paris.fr/portail/Culture/Portal.lut?page_id=5851&document_type_id=5&document_id=13420&portlet_id=12984

  • Musée de la vie romantique(Paris) le 1 er septembre 2009

    paris 1er septembre 2009 007.jpg

    L'orientation muséographique du musée a permis de reconstituer , avec le concours du décorateur Jacques Garcia, un cadre historique harmonieux pour évoquer l'époque romantique: au rez-de-chaussée, les mémorabilia de la femme de lettres George Sand: portraits, meubles et bijoux des XVIIIe et XIXe siècles - légués par sa petite fille Aurore Lauth-Sand - et au premier étage, les toiles du peintre Ary Scheffer entourées d'oeuvres de ses contemporains.
    Le charme évocateur du musée tient aussi à la reconstitution de l'atelier-salon, avec la bibliothèque enrichie par quatre générations: Scheffer, Renan, Psichari et Siohan.

    http://www.paris.fr/portail/Culture/Portal.lut?page_id=5867&document_type_id=4&document_id=12183&portlet_id=13043

    Photos perso

    Précédente note à ce sujet hier

     

    paris 1er septembre 2009 005.jpg

  • Marville dans les mues de Paris

     

    La rue Constantine (IVe arrondissement de Paris), en 1866, devenue aujourd'hui la rue de Lutèce.La rue Constantine (IVe arrondissement de Paris), en 1866, devenue aujourd'hui la rue de Lutèce. (Photo Charles Marville. The Metropolitan Museum of Art New York.)

    PHOTO

    Le Met de New York expose jusqu’en mai les clichés de l’artiste français du XIXe siècle, qui immortalisa les travaux haussmanniens de la capitale.

    ANew York, on peut voir jusqu’au 4 mai une splendide exposition parisienne qui ne viendra pas à Paris : la première véritable rétrospective de l’œuvre du photographe français Charles Marville (1813-1879), de son vrai nom Charles-François Bossu (1). Certaines de ses photos de Paris sont fameuses, the right man in the right place at the good moment, leur auteur l’est moins. On ne sait toujours pas ce qu’il fit pendant la guerre de 1870 et sous la Commune. Ce n’est qu’en 2010 qu’un archiviste lié à l’équipe de l’exposition, Daniel Catan, trouve son véritable nom et, du même coup, ses dates de naissance, de mort, et son testament : «Je déclare ici que le nom de Charles Marville est un pseudonyme que je porte depuis quarante-sept ans […]. Lorsque je rentrais dans les arts, j’éprouvais la crainte que la singularité de mon nom ne me cause les ennuis que j’avais éprouvés en classe, c’est pourquoi je pris, il y a quarante-sept ans, le pseudonyme de Charles Marville.» L’exposition américaine permet de faire le point sur l’homme, de voir surtout l’étendue de son parcours iconographique. Elle est moitié Baudelaire, moitié Woody Allen.

    Sur le même sujet
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      Marville dans les mues de Paris

      Par Philippe Lançon
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      Panache d’Apaches

      Par Pierre-Henri Allain

    Baudelaire, car la ville qu’on voit sur un quart de siècle, saisie avant, pendant et après les destructions et reconstructions du baron Haussmann, ce sont exactement les vers du «Cygne» : «Le vieux Paris n’est plus (la forme d’une ville / change plus vite, hélas ! que le cœur d’un mortel).» Baudelaire écrit ces vers en 1859, après avoir traversé le Carrousel et vu un cygne qui, échappé, cherche en vain de l’eau dans un ruisseau. Ce n’est pas la faute à Voltaire ni à Rousseau. C’est celle à Napoléon III. C’est l’époque où Marville commence, en 1858, à travailler pour les institutions impériales. Au début, c’était un talent romantique. Sur un autoportrait en clair-obscur, debout près d’une fenêtre, il ressemble à Théophile Gautier. Sur un autre, il est en chapeau sur les marches d’une église, comme un personnage de théâtre donnant l’échelle. Peintre, graveur et dessinateur, il a voulu d’abord réussir comme tel. Il a entre autres illustré Paul et Virginie. En 1851, demandant l’autorisation d’entrer dans des bâtiments publics pour faire des «vues intérieures des monuments de France», il se présente comme «artiste peintre». Le Metropolitan Museum (Met) expose certains de ses premiers travaux photographiques : de magnifiques ciels et des portraits en clair-obscur romantiques, des clichés de vieilles églises aux vapeurs hugoliennes que des médiévistes, aujourd’hui, étudient avec attention. Le talent est là, précis et tamisé, d’un grain à la caresse délicate. Le génie du lieu, pas encore. A la mort d’Ingres, en 1867, il photographie le visage du peintre sur son lit de mort. Le gisant est découpé de profil par le blanc du drap, comme un masque, comme un hommage de l’art qu’il abandonne à celui qui le révèle. La fermeture de l’imprimeur qui l’emploie principalement, en 1855, l’a obligé à évoluer. Il devient le photographe institutionnel baudelairien de la ville. Et, du même coup, un grand photographe : un homme qui sait où poser son pied et comment prendre la lumière de ce qu’il veut montrer, tandis que la ville, changeante, ne dort plus.

    Éternité. Il n’y a pas de cygne sur ses photos et il y a très peu d’hommes, ou alors à l’arrêt : les temps de pose ne permettent pas de saisir le mouvement. Les ouvriers, les badauds, les chiens, pourquoi pas les chats, sont probablement dans le champ, mais à l’état fantôme, parfois révélés par un flou, comme si l’image tremblait sous la pression de ceux qu’elle ne peut retenir. Sur une extraordinaire photo montrant la percée du boulevard Henri-IV vers la Bastille, entre les ruines et les dernières maisons debout, sur l’avenue de terre bordée par une voie ferrée, il y a deux chevaux noirs. Leur maître est peut-être là, dans l’ombre translucide du négatif. Ils attendent Godot - ou l’ont vu passer. Au loin, la colonne de Juillet - seul repère évident pour le visiteur d’aujourd’hui -, comme un doigt levé vers le ciel qu’on imagine poussiéreux.

    Cat. No. 60 / File Name: 3209-035.jpgCharles MarvillePassage Saint-Guillaume (vers la rue Richelieu) (first arrondissement), 1863-1865albumen print from collodion negativeimage: 31.91 x 27.62 cm (12 9/16 x 10 7/8 in.)Joy of Giving Something, Inc.Passage Saint-Guillaume, 1863-1865. Photo JGS. INC.

    Ce sont d’abord les monuments, les parcs, les chantiers, les axes percés, les rues qui vont disparaître, le mobilier urbain qu’on voit. C’est l’objet des commandes. On a vu la raison technique à l’absence de mouvement populaire, de foule. André Rouillé, dans la Photographie (Folio, 2005), donne une explication politique et sociologique : «La ville a largement échappé à la photographie qui, des bouleversements de la ville, ne voit à ses débuts rien ou presque : ni les ateliers, les magasins, les entrepôts qui, au cours de la période balzacienne, se mêlent au Paris historique ; ni les prolétaires qui s’installent dans la périphérie, près des barrières, et dans les taudis du cœur de la capitale ; ni l’émergence de la foule, si emblématique de la modernité. La vie des rues tortueuses promises à la destruction par le baron Haussmann lui reste étrangère, ou elle n’en retient, chez Charles Marville, que des spectres. […] La photographie ne voit alors de la ville que la scène du pouvoir : les monuments qui l’ancrent dans le passé, les grands travaux urbains qui la projettent dans l’avenir.»

    Virgules. La qualité du travail de Marville vient justement du fait qu’on y sent autre chose : le flottement spatial de tout ce qui échappe à l’exercice du pouvoir qui le commandite. Sa photographie enquête, informe, fait sentir - et imperceptiblement regretter. Le Parisien regrette Paris comme le photographe, peut-être, regrette l’artiste qu’il aurait voulu être. Le document joue avec l’éternité qui lui manque, mais qu’il suggère.

    Les tirages exposés à New York ont tous été faits ou refaits par l’artiste lui-même, qui avait conservé les négatifs. Pour l’Empire, il a commencé par photographier le bois de Boulogne naissant. Les clichés les plus remarquables sont issus de commandes qu’on lui passe plus tard, d’abord dans les années 1860, puis à partir de 1873. La curée spéculative se poursuit. Bientôt, ce sera l’exposition universelle de 1878. En communication permanente avec la préfecture, il saisit les «voies détruites ou à détruire», posant son pied dans les pas des décrets. Ce qu’on voit est d’autant plus beau que ça porte l’écho de l’expropriation et des coups de masse, de toute une vie populaire de centre-ville à effacer. Les bâtiments parlent pour les hommes et la photographie rejoint son essence : donner un cadre mémorable aux formes de la disparition.

    En 1876, il photographie le percement de l’avenue de l’Opéra. C’est une petite colline de terre entourée d’immeubles quasiment en ruine. Ici, il y a des hommes, qui posent. Sur la tranche des dernières façades à détruire, comme sur un décor, on voit aussi une foule de silhouettes ouvrières, fourmis de la casse, virgules d’une phrase immobilière en décomposition : petits créneaux d’un donjon architectural, fixant le chemin de ronde du vieux Paris. Quatorze ans plus tôt, les photos de la Bièvre à découvert, dans le Ve arrondissement, montrent les vieilles maisons au bord de l’eau. Il faut aller aujourd’hui dans certaines petites villes de province pour voir ça. Il y a des lieux où le temps retrouvé survit au temps perdu.

    L'entrée de l'école des Beaux-Arts, 1870. Photo Col. W. Bruce and D.H. Lundberg

    Baudelaire, mais aussi Woody Allen, car le public américain contemple au Met, à travers ce dear old Paris sans curée apparente, une sorte de territoire so charming dans lequel il continue de s’ébattre fantasmatiquement, comme si, d’un musée à l’autre, ni Paris ni la France n’avaient changé : la forme d’une ville change beaucoup plus vite que le cœur d’un touriste. Les New-Yorkais se penchent sur les originaux et, en topographes sentimentaux, replient la carte du tendre sur la géographie urbaine. Ils observent les vieux réverbères, déchiffrent les vieilles enseignes où on propose de guérir les gerçures des seins (il y avait beaucoup de nourrices, souvent venues du Morvan). C’est toujours minuit à Paris. L’effet touristique est accentué par le fait qu’une dernière salle est consacrée à d’autres photographes, comme Atget, dont les œuvres appartiennent à l’énorme fonds du musée new-yorkais. Belles photos, conclusion incohérente : mieux aurait valu tout concentrer sur l’extraordinaire travail de Marville.

    Prêteurs. L’exposition a été pensée et voulue par une jeune Américaine, Sarah Kennel, spécialiste de la photo du XIXe siècle. Une équipe de quatre commissaires, dont deux français, l’a accompagnée. Sarah Kennel travaille à la National Gallery de Washington, où les photos de Marville ont d’abord été présentées de manière plus exhaustive. C’est en travaillant sur Fontainebleau qu’elle a découvert l’œuvre du photographe et pris contact, à Paris, avec le musée Carnavalet. Après Washington et New York, l’exposition ira non pas au musée d’Ottawa, annoncée dans le superbe catalogue et qui s’est dédit, mais à Houston. Elle ne passera donc pas à Paris, comme elle aurait pu et dû. C’est là que se trouve une grande partie du fonds Marville, dans trois lieux : bibliothèque historique de la Ville de Paris, bibliothèque de l’Hôtel de Ville, musée Carnavalet. Celui-ci, qui a prêté 41 photos, n’avait pas les conditions atmosphériques nécessaires pour accueillir un tel projet. Le Petit Palais, d’abord ouvert, a finalement renoncé. Les prêteurs américains n’étaient pas enthousiastes à l’idée d’envoyer leurs propriétés pour un quatrième voyage, outre-Atlantique.

    L’une des photos les plus connues est aussi l’une des plus émouvantes : les ruines de l’hôtel de ville, après l’incendie déclenché en 1871 par les communards. On dirait une gare après un bombardement de type Berlin, 1945. A terre, partout, les décombres. Des tas de documents ont été détruits. Parmi eux, des milliers de tirages de Marville. C’est un tombeau de son œuvre qu’il saisit.

    (1) Il n’y a eu qu’une petite expo au Louvre des Antiquaires en 2009. Pour le reste, ses photos entraient dans des expositions thématiques sur le Paris de Haussmann ou la Commune.

    Philippe LANÇON Envoyé spécial à New York

    Charles Marville : photographer of Paris Metropolitan Museum of Art, New York. Jusqu’au 4 mai. Rens. : www.metmuseum.org

    http://www.liberation.fr/photographie/2014/03/05/marville-dans-les-mues-de-paris_984724