Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai lu - Page 102
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J'ai relu pour préparer notre voyage:Bretagne sacrée et légendaire
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Dictionnaire amoureux de la Bretagne (Mon père nous a offert pour nos anniversaires)
Dans son Dictionnaire amoureux de la Bretagne, Yann Queffélec assume les clichés avec malice.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/le-dictionnaire-amoureux-de-la-bretagne-de-queffelec_1251539.html#dwEgx8lVPt4lKOYm.99 -
J'ai terminé hier soir:Z le roman de Zelda
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J'ai lu hier
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J'ai lu hier:Dossier de l'Art n° 241
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Catégories : A voir, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, J'ai lu, L'art, Ma bibliothèque
CATHEDRALES. 1789-1914 : UN MYTHE MODERNE
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La Saga de l'impressionnisme
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J'ai fini hier:L'Oeil N°692 Juillet-août 2016
C’était une promesse des avant-gardes, écrite dans leurs manifestes (ceux du futurisme ou du surréalisme, par exemple) et annoncée dans leurs enseignements (au Bauhaus notamment) : l’art peut se nicher partout, dans nos maisons, dans nos vies et même dans nos villes, à condition de savoir le dénicher. Cela n’a pas échappé à Brassaï qui, dès 1932, photographie au gré de ses flâneries les graffitis qu’il découvre sur les murs des rues. Il les a photographiés jusqu’à la parution de son livre Graffiti, en 1960. À cette époque, beaucoup d’artistes ont déjà quitté leur atelier pour travailler dans la rue, leur nouveau terrain de jeu. Raymond Hains, Jacques Villeglé et Mimmo Rotella, par exemple, y sont descendus non pas, comme le poétisait Breton, « pour tirer au hasard », mais pour extraire les affiches lacérées sur les palissades et révéler au monde leur beauté cachée. Ernest Pignon-Ernest décide quant à lui de faire de la rue le théâtre ...
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Dossier de l'Art n° 239:MASSÉOT ABAQUESNE. L'ÉCLAT DE LA FAÏENCE À LA RENAISSANCE
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J'ai terminé ce soir à la gym:Dossier de l'Art n° 240
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J'ai lu hier:Grande Galerie n°36 (juin-juillet-août 2016)
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J'ai terminé hier:L'Oeil N°691
Juin 2016ET SI… Avec des si on mettrait Paris en bouteille. L’adage est connu : « Le nez de Cléopâtre, s’il eût été plus court, toute la face de la terre aurait changé », dit Pascal dans ses Pensées, qui souligne par là que, sans la beauté de la reine d’Égypte – qu’elle soit inventée ou non par Shakespeare importe peu ici –, Rome serait demeurée une république. Ce mode de raisonnement, appelé « histoire contrefactuelle » ou « uchronie » dans sa version littéraire (mot inventé par Renouvier en 1857), est le sujet d’un livre passionnant écrit par deux historiens français : Pour une histoire des possibles [Seuil, 450 p., 24 €]. En France, « ces fictions plaisantes sont inutiles, la cause est entendue », ironisent Quentin Deluermoz et Pierre Singaravélou dans leur introduction, qui font néanmoins la démonstration au fil de leur enquête de la pertinence de l’approche contrefactuelle – la What if History américaine. Celle-ci ...
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J'ai fini hier:L'Estampille/L'Objet d'Art n° 524
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J'ai terminé hier soir:Bretagne magazine mai-juin 2016
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J'ai lu à la gym:Histoire Antique & Médiévale Hors Série n° 46:Abbayes romanes de Normandie
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J'ai terminé hier soir: le nouveau numéro des Timbrés de l’orthographe.
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J'ai terminé dans mon bain ce matin:Roman
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J'ai terminé hier soir:Indésirable
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J'ai terminé à la gym:
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J'ai terminé hier soir:Ahlam(commencé samedi)
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J'ai terminé hier soir:Le sang de la trahison – Prix du Quai des Orfèvres 2014(commencé le 14)
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Catégories : Camilleri Andrea, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, Les polars, Ma bibliothèque, Oser Venise
J'ai terminé hier soir:Les juges (commencé le 12)
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J'ai terminé hier soir:Le sioux des grands boulevards ; 28-8 police(comencé le 9)