Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
J'ai lu - Page 119
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J'ai lu
A l'occasion de la rétrospective Keith Haring au musée d'Art moderne de la Ville de Paris et au Cent Quatre, ce hors série revient sur la fulgurance de cet artiste engagé politiquement et socialement à la ligne "pop" si caractéristique.
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J'ai fini hier:L'Estampille/L'Objet d'Art n° 499
Spécial dessin
N° 499 - mars 2014 - 8,50 €
ISSN : 0998-8041
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J'ai lu hier:L'Estampille/L'Objet d'Art hors série n° 74
CLEMENCEAU, LE TIGRE ET L'ASIE
N° 74 - mars 2014 -
ISSN : 0998-8041
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J'ai fini ce matin d'insomnie:Le Justicier d'Athènes
Petros Markaris
Traduit par Michel Volkovitch
Date de parution 26/09/2013
Seuil Policiers
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J'ai lu hier soir:Le Musée du monde 25:Botticelli - La Naissance de Vénus
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J'ai fini hier:Van Gogh .Le soleil noir de la mélancolie
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J'ai fini hier soir:Tapis rouge
de James Patterson, Marshall Karp, Philippine Voltarino
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J'ai lu hier:Grande Galerie n°27
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J'ai terminé hier:Comment devenir écrivain quand on vient de la grande plouquerie internationale
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Beaux-Arts mars 2014
Beaux Arts magazine - N°357
Prochain numéro le 20 février 2014
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J'ai lu hier:Le Musée du Monde - vol. 24 Cézanne - Le Pont de Maincy
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J'ai terminé hier:Arts magazine mars 2014
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J'ai terminé hier soir:La trilogie Nostradamus Tome 2L'Hérésie maya
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J'ai lu en voiture pendant notre voyage:Phares !
L'Estampille/L'Objet d'Art hors-série n° 73
Phares !N° 73 - mars 2014 -
ISSN : 0998-8041
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J'ai terminé hier soir:Le saut de Tibère(que ma mère m' a offert)
Avec "Le saut de Tibère", Gilda Piersanti dit ciao à Capri
LIVRES - Polar, thriller, roman noir... Chaque jeudi, retrouvez le coup de coeur de Marc Fernandez, cofondateur et rédacteur en chef de la revue "Alibi". Aujourd'hui "Le saut de Tibère", de Gilda Piersanti.
Gilda Piersanti, la plus française des auteurs italiennes. Photo : BALTEL/LAMACHERE AURELIE/SIPA -
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J'ai lu ce matin:Vinci - La Joconde
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J'ai terminé cette nuit d'insomnie:Les nuits de Topkapi
Depuis que les portes du harem de Soliman le Magnifique se sont refermées sur sa jeunesse et sa beauté, Hürrem, la petite esclave tartare, n'a qu'une idée en tête : se venger des Ottomans. Aussi déploie-t-elle des trésors d'ingéniosité pour se faire remarquer du Conquérant de Rhodes, devenir d'abord sa favorite, puis son épouse, et enfin sa conseillère... Elle n'hésitera pas à user du poison et à intriguer pour éliminer tous ceux qui se mettent en travers de sa route, qu'il s'agisse du grand vizir ou du propre fils du sultan... Lorsque, en 1558, elle meurt en maudissant Soliman et sa descendance, son fils est sur le trône et le déclin de l'Empire ottoman déjà amorcé. Tableau saisissant du harem de Soliman le Magnifique, monde de violence et de sensualité où se mêlent plaisirs délicats et cruauté effrénée ; documentation historique de premier ordre... Un roman remarquable !
http://www.amazon.fr/Les-Nuits-Topkapi-Colin-Falconer/dp/2266072412
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J'ai lu hier:Magazine Connaissance des Arts mars 2014
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J'ai fini cette nuit:La trilogie Nostradamus Tome 1 : Les prophéties perdues
Sur les 1000 quatrains rédigés par le mage Nostradamus et constituant ses célèbres prophéties, seuls 942 ont été retrouvés. Qu'est-il advenu des 58 quatrains manquants ? Et que peuvent-ils bien annoncer pour qu'on ait cherché à les soustraire aux yeux du monde ? C'est la question qui fait avancer deux hommes aux objectifs très différents : Adam Sabir, un auteur américain qui désespère de mettre la main sur ce manuscrit afin de pouvoir relancer sa carrière et Achor Bale, un adepte du Corpus Maleficus, une antique société secrète dédiée à la protection et à la promulgation des trois antéchrists annoncés dans les versets de Nostradamus - Napoléon, Adolf Hitler, et "Celui qui doit venir"...
Globe-trotter insatiable, Mario Reading a eu l'occasion de s'exercer au dressage en Autriche, de gérer des plantations de café au Mexique ou de faire du commerce de livres anciens. Mais il est surtout l'un des grands spécialistes de Nostradamus avec 150 000 exs vendus pour son dernier essai.
http://bibliotheque.eleusis.pagesperso-orange.fr/trilogie%20nostradamus.htm
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J'ai lu hier:Dürer - Autoportrait tenant un chardon
Le Musée du Monde - vol. 19
La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Son dix-neuvième numéro célèbre l’une des ruptures dans l’histoire de la peinture : l’autoportrait d’Albrecht Dürer qui, à la toute fin du XVe siècle, bouleverse la Renaissance.
Autoportrait tenant un chardon
Introspectif et indépendant, le jeune peintre qui se campe, en 1493, énigmatique et tendre dans son Autoportrait ou Portrait de l’artiste tenant un chardon, pose déjà les bases de son esthétique. Une touche soignée, attentive aux moindres détails de la matière, un symbolisme sobre mais évident, un soin porté aux accents d’une anatomie vibrante et aux effets voluptueux des volumes… Dürer, à 22 ans, est un jeune maître qui va bientôt conquérir, en plus du coeur de sa fiancée, la destinée flamboyante d’un maître européen. Le délicat chardon qu’il tient entre ses doigts en est un signe annonciateur qui nourrit les interprétations des spécialistes, y voyant ici une promesse de mariage, là – dans ses épines pouvant rappeler la couronne du Christ – la profession de foi d’un artiste déterminé à sur monter toutes les épreuves. A chaque étape de sa vie, Dürer s’observe évoluer, vieillir, glissant dans ses autoportraits la virtuosité et la finesse acquises dans l’ensemble de son oeuvre y compris dans ses gravures, dont la diffusion étendra sa renommée et son prestige. Pourfendeur d’une sagesse équilibrée et d’un goût convenu, rebelle pourtant respectueux des traditions d’Italie et du Nord, Dürer invente une manière que saisiront au vol, longtemps après, les peintres expressionnistes, dans la traduction juste et crue de l’émotion. Avec et par lui la Renaissance fait un bond, notre regard également.Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.
http://boutique.lemonde.fr/catalog/product/view/id/11507/?nouveaute=1
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Je viens de finir:Viollet-le-Duc
Le tour de France des 100 monuments restaurés par l'architecte
Sous la Monarchie de Juillet (1830-1848), la volonté de remettre à l’honneur de grands édifices symboliques de l’Ancien Régime, comme le Louvre, Versailles ou Saint-Denis, conduit l’État à mettre en place un appareil administratif pour les monuments historiques. Dirigé par Ludovic Vitet, puis par Prosper Mérimée, le nouveau service d’inspection a pour mission de classer les édifices et d’y entreprendre des travaux de conservation, ceux-ci pouvant aller d’une simple réparation à la rénovation complète du bâtiment.
Les édifices médiévaux sont les premiers à bénéficier de cette politique de conservation. En 1840, Mérimée confie au jeune architecte Eugène Viollet-le-Duc la restauration de l’église de la Madeleine de Vézelay, qu’il avait visitée
lors de sa première tournée. Réputé exemplaire et consciencieux malgré sa radicalité, le sauvetage de l’église de Vézelay marque le début d’une longue série de restaurations : la Sainte-Chapelle (1842), Notre-
(1843), Carcassonne et ses remparts (1844), Saint-Sernin de Toulouse (1846), Saint-Denis (1846)... Dès son vivant, et plus encore à partir de la fin du siècle, les restaurations de Viollet-le-Duc ont été jugées excessives, parfois même démesurées, et ont suscité énormément de polémiques.
Pour les deux cents ans de naissance de Viollet-le-Duc, publie un hors-série presse, l’occasion de revenir sur les théories et idées de l’architecte, qu’il affirme dès 1858, très clairement et sur ses succès, ses erreurs et la controverse qui continue d’animer les historiens de l’art. Il parlera aussi des chantiers, des secrets de restauration.Informations sur ce numéro: 108 pages - 23 x 30 cm
EAN : 9791020400628
Reliure : Broché -
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J'ai terminé ce matin:Beaux Arts magazine - N°356
En couverture
Ces artistes fascinés par le visage
Et aussi : le tour du monde des projets les plus ... -
J'ai terminé hier soir:Retour à Jericho
de
Ace Atkins
Pour Ace Atkins, le fléau qui ravage le Mississipi rural est double : les promoteurs immobiliers véreux et les bouilleurs de meth. La ville imaginaire de Jericho, dans le comté de Tibbehah possède les deux.
Quinn Colson, tout juste revenu de missions en Afghanistan et en Irak, s’y rend pour assister aux obsèques de son oncle, le shérif local, qui s’est apparemment « suicidé » avec son calibre .44. L’adjointe du shérif, Lilly Virgil, pense qu’on l’a aidé. L’horrible Johny Stagg, malfrat de l’immobilier, souhaite récupérer la ferme du shérif, dont Colson a hérité, et qu’il aurait gagné au poker. Colson n’est pas près de se laisser faire. Il fait appel à son vieux camarade, vétéran lui aussi, pour régler ses comptes. Il croise aussi la route d’une adolescente de seize ans, enceinte jusqu’aux dents, à la recherche du père de l’enfant, probablement sous les verrous dans la prison du coin.
Elle est « recueillie » dans la ville champignon qui a fleuri sur un terrain vague à l’entrée de Jericho et dont le chef de tribu, un gourou de la suprêmatie blanche, a un labo de meth. Bref, il faudra toute la force de caractère et l’expérience acquise à l’armée pour que Colson démêle cette histoire.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jean Esch