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J'ai lu - Page 120

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'ésotérisme, Les polars

    J'ai fini cette nuit:La trilogie Nostradamus Tome 1 : Les prophéties perdues

    Sur les 1000 quatrains rédigés par le mage Nostradamus et constituant ses célèbres prophéties, seuls 942 ont été retrouvés. Qu'est-il advenu des 58 quatrains manquants ? Et que peuvent-ils bien annoncer pour qu'on ait cherché à les soustraire aux yeux du monde ? C'est la question qui fait avancer deux hommes aux objectifs très différents : Adam Sabir, un auteur américain qui désespère de mettre la main sur ce manuscrit afin de pouvoir relancer sa carrière et Achor Bale, un adepte du Corpus Maleficus, une antique société secrète dédiée à la protection et à la promulgation des trois antéchrists annoncés dans les versets de Nostradamus - Napoléon, Adolf Hitler, et "Celui qui doit venir"...

    Globe-trotter insatiable, Mario Reading a eu l'occasion de s'exercer au dressage en Autriche, de gérer des plantations de café au Mexique ou de faire du commerce de livres anciens. Mais il est surtout l'un des grands spécialistes de Nostradamus avec 150 000 exs vendus pour son dernier essai.

     

    http://bibliotheque.eleusis.pagesperso-orange.fr/trilogie%20nostradamus.htm

     

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai aimé, J'ai lu

    J'ai lu hier:Dürer - Autoportrait tenant un chardon

    Le Musée du Monde - vol. 19

    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Son dix-neuvième numéro célèbre l’une des ruptures dans l’histoire de la peinture : l’autoportrait d’Albrecht Dürer qui, à la toute fin du XVe siècle, bouleverse la Renaissance.

    Autoportrait tenant un chardon
    Introspectif et indépendant, le jeune peintre qui se campe, en 1493, énigmatique et tendre dans son Autoportrait ou Portrait de l’artiste tenant un chardon, pose déjà les bases de son esthétique. Une touche soignée, attentive aux moindres détails de la matière, un symbolisme sobre mais évident, un soin porté aux accents d’une anatomie vibrante et aux effets voluptueux des volumes… Dürer, à 22 ans, est un jeune maître qui va bientôt conquérir, en plus du coeur de sa fiancée, la destinée flamboyante d’un maître européen. Le délicat chardon qu’il tient entre ses doigts en est un signe annonciateur qui nourrit les interprétations des spécialistes, y voyant ici une promesse de mariage, là – dans ses épines pouvant rappeler la couronne du Christ – la profession de foi d’un artiste déterminé à sur monter toutes les épreuves. A chaque étape de sa vie, Dürer s’observe évoluer, vieillir, glissant dans ses autoportraits la virtuosité et la finesse acquises dans l’ensemble de son oeuvre y compris dans ses gravures, dont la diffusion étendra sa renommée et son prestige. Pourfendeur d’une sagesse équilibrée et d’un goût convenu, rebelle pourtant respectueux des traditions d’Italie et du Nord, Dürer invente une manière que saisiront au vol, longtemps après, les peintres expressionnistes, dans la traduction juste et crue de l’émotion. Avec et par lui la Renaissance fait un bond, notre regard également.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

    http://boutique.lemonde.fr/catalog/product/view/id/11507/?nouveaute=1

  • Je viens de finir:Viollet-le-Duc

    Le tour de France des 100 monuments restaurés par l'architecte

     
    05 février 2014

    Sous la Monarchie de Juillet (1830-1848), la volonté de remettre à l’honneur de grands édifices symboliques de l’Ancien Régime, comme le Louvre, Versailles ou Saint-Denis, conduit l’État à mettre en place un appareil administratif pour les monuments historiques. Dirigé par Ludovic Vitet, puis par Prosper Mérimée, le nouveau service d’inspection a pour mission de classer les édifices et d’y entreprendre des travaux de conservation, ceux-ci pouvant aller d’une simple réparation à la rénovation complète du bâtiment.
    Les édifices médiévaux sont les premiers à bénéficier de cette politique de conservation. En 1840, Mérimée confie au jeune architecte Eugène Viollet-le-Duc la restauration de l’église de la Madeleine de Vézelay, qu’il avait visitée
    lors de sa première tournée. Réputé exemplaire et consciencieux malgré sa radicalité, le sauvetage de l’église de Vézelay marque le début d’une longue série de restaurations : la Sainte-Chapelle (1842), Notre-
    (1843), Carcassonne et ses remparts (1844), Saint-Sernin de Toulouse (1846), Saint-Denis (1846)... Dès son vivant, et plus encore à partir de la fin du siècle, les restaurations de Viollet-le-Duc ont été jugées excessives, parfois même démesurées, et ont suscité énormément de polémiques.

    Pour les deux cents ans de naissance de Viollet-le-Duc, publie un hors-série presse, l’occasion de revenir sur les théories et idées de l’architecte, qu’il affirme dès 1858, très clairement et sur ses succès, ses erreurs et la controverse qui continue d’animer les historiens de l’art. Il parlera aussi des chantiers, des secrets de restauration.


    Informations sur ce numéro: 108 pages - 23 x 30 cm
    EAN : 9791020400628
    Reliure : Broché
  • J'ai terminé hier soir:Retour à Jericho

    Retour à Jerichode

    Ace Atkins

     

    Pour Ace Atkins, le fléau qui ravage le Mississipi rural est double : les promoteurs immobiliers véreux et les bouilleurs de meth. La ville imaginaire de Jericho, dans le comté de Tibbehah possède les deux. 
    Quinn Colson, tout juste revenu de missions en Afghanistan et en Irak, s’y rend pour assister aux obsèques de son oncle, le shérif local, qui s’est apparemment « suicidé » avec son calibre .44. L’adjointe du shérif, Lilly Virgil, pense qu’on l’a aidé. L’horrible Johny Stagg, malfrat de l’immobilier, souhaite récupérer la ferme du shérif, dont Colson a hérité, et qu’il aurait gagné au poker. Colson n’est pas près de se laisser faire. Il fait appel à son vieux camarade, vétéran lui aussi, pour régler ses comptes. Il croise aussi la route d’une adolescente de seize ans, enceinte jusqu’aux dents, à la recherche du père de l’enfant, probablement sous les verrous dans la prison du coin. 
    Elle est  « recueillie » dans la ville champignon qui a fleuri sur un terrain vague à l’entrée de Jericho et dont le chef de tribu, un gourou de la suprêmatie blanche, a un labo de meth. Bref, il faudra toute la force de caractère et l’expérience acquise à l’armée pour que Colson démêle cette histoire. 

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jean Esch

     

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art, La presse

    J'ai fini cet après-midi:Dossier de l'Art n° 214 VAN GOGH LES DERNIERES DECOUVERTES

    Véritable temple dédié au peintre, le Van Gogh Museum est dépositaire de la plus grande collection d’œuvres de Vincent, et se situe à la pointe des recherches sur son travail. Le directeur et les conservateurs du musée reviennent point par point sur le génie et l'unicité de son oeuvre. Le Van Gogh Museum a également été un soutien essentiel lors de l'écriture de la biographie à?quatre mains de Steven Naifeh et Gregory White Smith parue très récemment aux éditions Flammarion, deux auteurs qui nous livrent dans ce numéro leur vision du peintre.

     

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art

    J'ai lu hier soir:Boucher - Le Déjeuner Le Musée du Monde - vol. 17

    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Dans ce dix-septième opus, François Boucher nous entraîne dans l’intimité des palais. Ses oeuvres traduisent avec délicatesse la frivolité de l’époque.

    Le Déjeuner
    Protégé de Madame de Pompadour, premier peintre de Louis XV, François Boucher traduira dans son oeuvre les palais dorés d’une vie insouciante, les froissements de soie, le claquement des éventails et le murmure d’alcôves abritant des amours débridées que la morale de l’époque ne semblait nullement réprouver. Mais ce peintre du secret mal gardé, au ton moqueur parfois grivois, sait aussi surprendre les instants les plus anodins, dans l’intimité respectueuse d’une simple réunion familiale. S’il réalise dans Le Déjeuner une scène d’intérieur à l’architecture savante, à la lumière subtile et bienveillante, où chaque objet dit son époque rococo, c’est pour en livrer, avec délicatesse et tendresse, la sensualité joyeuse. L’ordinaire devient une fête, des retrouvailles, un rendez-vous sensuel, transformant le premier repas de la journée en instant d’éternité. Ce dessinateur d’exception, qui se forma très jeune à la gravure, dépeint la grâce du quotidien et du temps présent. Il incarne par son habileté le siècle des Lumières et ce goût français qui marquera tout l’Occident. Témoin, acteur et commentateur, il sait aussi bien habiller le réel que déshabiller une femme pour en suggérer le désir et l’émoi. Ses scènes pastorales ou mythologiques, ses portraits de l’aristocratie poursuivent, avec humilité et liberté, l’oeuvre de Watteau dont il a abondamment gravé les oeuvres. Mais le néoclassicisme, revenant à une plus grande sévérité, aura raison de sa douce légèreté rocaille. Pourtant, il appartient à ce monde utopique qui, malgré ses apparences désinvoltes, bouleversera le monde des idées. On lui reprocha ses artifices, mais c’était peut-être sa façon de peindre une vérité.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

    http://boutique.lemonde.fr/musee-du-monde-17-boucher.html

  • J'ai terminé hier soir:De Dakar à Paris

    De Dakar à Paris - © Scott Michael / Millenuim / Plaimpicture

    De Dakar à Paris

    Pierre Cherruau

    Non-Fiction / Documents

    Quitter Dakar, au rythme des foulées, aller jusqu’à Paris, se déplacer au gré des rencontres : tel était le pari de Pierre Cherruau. Ce reporter-écrivain a choisi de longer l’Atlantique à pied, d’emprunter des chemins de traverse pour raconter le continent africain. Nulle prouesse physique ou sportive, il a pris le pouls de l’Afrique, donné la parole aux habitants, écouté leurs colères, leurs enthousiasmes et leurs passions pour la terre rouge, couleur de latérite, qui les a vus naître.

    Ce voyage est aussi personnel à plus d’un titre. La course est l’occasion de renouer en esprit avec un père parti trop tôt, cet autre Pierre Cherruau, lui aussi journaliste et écrivain, disparu avant d’avoir eu le temps d’écrire tous les livres rêvés. Un père qui en initiant son fils à la course, sur les rives de la Garonne lui a donné le goût de la liberté. Et puis, ses liens avec l’Afrique sont familiaux : sa femme est Sénégalaise et ses enfants, des héritiers de la culture nomade des peuls.

    Ce récit, intime et sensible, est aussi un moment d’égarement volontaire, un « temps volé », où le professionnel de l’information cesse enfin d’être pressé et connecté, où il échappe à la frénésie de l’actualité. Il renoue avec ce qui fait l’essence de ce métier : les hommes et les imprévus

    http://calmann-levy.fr/livres/de-dakar-a-paris/

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai aimé, J'ai lu, Les polars

    J'ai fini hier soir:Fétiches

    Et si la folie était ce qu'on pouvait leur souhaiter de mieux ? Une nouvelle enquête de Jack Caffery.


    Les patients de l'établissement psychiatrique de haute sécurité Beechway sont très sensibles à la suggestion. Une hallucination peut se répandre tel un virus. Aussi, lorsque plusieurs malades se livrent à des actes d'automutilation, et que l'un d'entre eux va jusqu'à se donner la mort, le fantôme de « la Maude », une infirmière sadique qui terrorisait les pensionnaires à l'époque où Beechway était un hospice, ressurgit.
    Afin de mettre un terme à l'hystérie collective qui gagne même son équipe, AJ, infirmier psychiatrique fraîchement nommé coordinateur, décide de faire appel aux services du commissaire Jack Caffery. Il soupçonne l'un de ses patients, Isaac Handel, d'être à l'origine de la psychose. Si son intuition est juste, il faut agir rapidement. Car Handel vient d'être libéré. Et qui sait ce dont il est capable ?

    Dans ce thriller dérangeant et rythmé construit à la manière d'un huis clos, Mo Hayder brosse une série de tableaux, plus inquiétants les uns que les autres, qui semblent donner vie à nos pires cauchemars.

    http://www.pressesdelacite.com/site/fetiches_&100&9782258092389.html

  • J'ai lu hier:1925, quand l'Art Déco séduit le monde

     

     

     

    mercredi 16 octobre 2013 - lundi 03 mars 2014

    Théâtre des Folies-Bergères, bas-relief de la façade d'entrée (représentant la danseuse Anita Barka). Maurice Pico, 1928. Photo : Bérangère Lomont. design : guillaume lebigre © capa 2013

    Formes géométriques, pures et dynamiques : le style Art Déco (1919-1940) se caractérise par son attractivité et sa vivacité.

    Né de l’impulsion des créateurs français tels que les architectes Henri Sauvage, Robert Mallet-Stevens, Pierre Patout, les décorateurs André Véra, Louis Süe, André Mare et Jacques-Émile Ruhlmann, le couturier Paul Poiret ou encore le sculpteur François Pompon, il est le fruit d’une vision d’ensemble émanant de champs artistiques variés.

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  • J'ai fini hier soir:Le numéro 26 de Grande Galerie, le Journal du Louvre

    Le numéro 26 de Grande Galerie, le Journal du Louvre vous invite à parcourir la remarquable collection Moreau-Nélaton, autour de Corot au Louvre et de Delacroix au musée Delacroix : l'histoire de trois générations de passionnés d'art.

    Un grand dossier est également consacré au Louvre-Lens pour le 1e anniversaire du musée et l'ouverture de l'exposition « Les Etrusques et la Méditerranée. La cité de Cerveteri ».

    Ce numéro vous propose aussi de découvrir le chantier de fouilles de Gabies, à proximité de Rome, ainsi qu'une sélection d'expositions à voir cet hiver au Louvre et ailleurs, en France et à l'étranger.

     http://editions.louvre.fr/fr/grande-galerie.html

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art, Voyage

    J'ai lu hier:Gauguin - Sur la plage

    La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Le quinzième volume nous entraîne dans le sillage de ce voyageur au regard simple et incisif. Un artiste loin des préjugés de son temps, qui réconcilie l’être et la nature.

    Sur la plage
    Une enfance péruvienne, une guerre de 1870 passée à bourlinguer pour la marine marchande ont nourri chez Paul Gauguin un goût de l’ailleurs. L’abandon de soi et des siens fut le prix de sa liberté dans un territoire immense et inconnu. Laissant derrière lui une brève carrière de courtier en Bourse et le possible confort d’une vie bourgeoise, il choisit l’aventure. Celle de la peinture, de l’impressionnisme aux nabis, du groupe de Pont-Aven à l’ambitieux projet de Van Gogh et de son grand atelier du Midi… Celle d’une recherche plastique, où l’imbrication harmonieuse et épaisse des formes unit figure et paysage. Dans l’élan de la découverte, sa quête le met à distance de son époque et de la course effrénée d’un progrès corrosif, voire illusoire. En visionnaire de l’essentiel, Gauguin capte le rythme de gens simples, leur immédiateté, leurs attitudes ordinaires, leur grâce discrète. Du même oeil, il immortalise Bretonnes et Polynésiennes, s’en faisant l’humble chroniqueur et l’éloquent avocat. Avec passion, et une douceur empreinte de mysticisme, il tente de réconcilier l’être et la nature. Les îles lointaines furent sa terre promise. Là, Sur la plage [Femmes de Tahiti], où le temps se traîne sans exotisme, où une mer d’huile épouse une indolence maorie dans des aplats colorés et massifs, ses Tahitiennes deviennent des déesses terriennes et maternelles. Pourtant leur silence parle à chacun et Gauguin y clame sa foi de peintre et d’homme. Semblant lancer une gifle à une modernité convenue, il revient aux sources, à l’originel : à l’autre. Comme Van Gogh ou Cézanne, il emprunte cette voie où l’épure, la sensation simple et vraie, la justesse appartiennent soudain à une vision philosophique du monde.

    Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.

    http://boutique.lemonde.fr/musee-du-monde-15-gauguin.html

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, L'art, La presse

    J'ai lu hier:L'Estampille/L'Objet d'Art n° 497

    ° 497 - Janvier 2014 -

    ISSN : 0998-8041

    Sommaire

    L'objet surréaliste exposé au centre Pompidou. Les...

    Lire la suite...http://www.estampille-objetdart.com/

  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai lu, La presse

    J'ai lu hier:Les Merveilles du monde chrétien

    Dans ce numéro, les Cahiers de Science&Vie vous présentent une sélection des plus beaux chefs-d’œuvre de l’architecture et de l’art religieux.
    Un florilège d’édifices et d’œuvres d’art tous plus impressionnants les uns que les autres.
    « Pour l’Église, il était nécessaire de faire voir pour mieux faire croire » Daniel Russo, Page 104

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  • Catégories : J'ai lu, L'art

    J'ai lu ce soir:Piero della Francesca - Conversation sacrée

    Le Musée du Monde - vol. 13

    La collection « Le Musée du Monde » décrypte les chefs-d’œuvre des grands peintres. Treizième invitation à plonger dans l’histoire de la peinture, Piero della Francesca lève le voile sur les mystères de la première Renaissance italienne.

    Conversation sacrée
    A Florence, Arezzo ou à la cour d’Urbino, l’artiste témoigne des intentions, des connaissances et des croyances de son temps. En humaniste, il campe avec finesse et brio ses contemporains tout en brossant les traits d’une société sûre d’elle et de ses conquêtes. En érudit, au fait des derniers traités mathématiques, il cultive l’art de la perspective et ravive, avec modernité, une symbolique issue du Moyen âge. En précurseur, à l’instar de Fra Angelico, il instille au sein des églises un nouvel espace en prolongeant leur architecture de retables monumentaux, ouverts, épurés, équilibrés. En habile compositeur, il campera une nature idéale, en souvenir des paysages toscans de son enfance et des remparts de Borgo Sansepolcro auprès desquels il a grandi. Un air d’éternité emplit son œuvre dont le doute, la peur ou l’inquiétude semblent absents. Sa Conversation sacrée porte en elle tous les traits de son caractère précis et généreux, humble et majestueux, inventif et intérieur, vif et serein. Cette Vierge placée à l’exact centre de la composition en prière devant un Enfant Jésus nu, abandonné à son sommeil, possède la douceur d’une mère et la plastique altière d’une sainte. Son regard d’une insondable profondeur est l’unique point de convergence de l’ensemble du tableau. Avec une apparente simplicité, Piero della Francesca orchestra savamment une esthétique naissante paisible et lumineuse, nous livrant avec subtilité ses secrets qui aujourd’hui encore piquent la curiosité de regards neufs. Sa poésie d’un autre âge aura su traverser les siècles avec la force inventive et universelle des temps modernes.

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    J'ai fini hier:L'Oeil N°663

    L'OeilDécembre 2013

    Plurielles comme les « modernités » du nouvel accrochage réussi du Centre Pompidou. Courageusement, le Musée national d’art moderne réalise avec le quatrième accrochage thématique de ses collections permanentes une relecture critique de l’histoire de l’art de 1905 à 1970. Fini le récit progressiste et dominant de l’histoire de l’art occidental qui voit s’enchaîner seuls les mouvements européens d’avant-garde – le cubisme après le fauvisme, etc. –, place à une histoire globale de l’art qui prend en compte les « autres » modernités, celles d’Asie, d’Afrique, des Amériques latine et du Nord… « “Modernités plurielles” élargit ce principe à une relecture non plus thématique, mais générale et historique de l’histoire de l’art », écrit dans le catalogue Catherine Grenier, directrice adjointe du MNAM et grand ordonnateur de ce nouvel accrochage qui ajoute, par ...

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