Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

salon du livre de casablanca

  • Catégories : Des évènements, Le Maroc:vie et travail

    Des nouvelles du salon du livre de Casablanca (Maroc)

    medium_zagoul.jpg

     « La poésie au Maroc » avec Zaghoul Morsy, Amina Benmansour(que j’ai vu et entendu, cf. café littéraire, notes du 20 décembre 2006), Brahim Allabi,

    , Ghita El Khayyat

     
    ISHMAEL OU L'EXIL
    MORSY ZAGHOUL  
    Est-ce seulement parce que Husseyn est arabe et que Sylvia est juive que leur amour est impossible ? Ou bien, dans ce Maroc du milieu des années soixante, agité par les émeutes qui soulèvent le pays après la disparition de l’emblématique Medhi Ben Barka, les féodalités omnipotentes et arrogantes, les mentalités rétrogrades, les illusions libératrices sur fond de guerre froide, de tragédie israélo-palestinienne... interdisent-elles tout avenir au couple ?
    Entre bien des approches et des interprétations possibles, ce livre magnifique est à la fois une odyssée intérieure, où se pose de façon quasi obsessionnelle la question du destin de l’arabité et celle de la vulnérabilité et de la survie du couple, et un voyage circulaire très précisément circonscrit dans le temps et l’espace, de Rabat à Casablanca en pleine lumière, et de Casablanca à Rabat dans la nuit.
    C’est aussi le passage irréversible du sacré au laïque, de l’aliénation infligée à toute tentative de libération que suggère le mythe Quetzalcoatl évoqué en filigrane.
     

    http://www.gallimardmontreal.com/gallim/site/livre.jsp?pEAN13=9782729114824&pRayonID=29&pPreviousPageID=9&pNOPRESERVECurrentPageNumber=13

     

    Brahim Allabi

    « Incandescence » est à lire en effet comme le lieu d’un feu, à la fois immémorial et spectral, sculpté dans les mots.

    Le poète - la figure du poète - y épouse d’emblée la figure mythique du phénix et s’élance, toutes ailes déployées, pour propager ce qui fait son essence : le feu. Tout doit dès lors s’embraser à son passage, à commencer par les mots eux-mêmes, devenus soudain braises crépitant. D’où la forte intonation " musicale " des vers, soutenus par un rythme haletant. Furtivité et fulgurance s’y conjuguent, ne laissant aucune place à la lenteur, comme s’il s’agissait de faire vite face à la mort toujours prompte à frapper

    http://www.bladi.net/8372-incandescence.html

     

    Ghita El Khayat

    Médecin psychiatre à Casablanca, Ghita El Khayat est née en 1944 à Rabat. Elle est aussi l’auteur de nombreux articles et livres sur la condition féminine dans le monde arabo-islamique. Son portait par le photographe Gérard Rondeau. Parmi ses œuvres  Le Monde arabe au féminin  (L’Harmattan, 1985) : L’ouvrage commence par des généralités, mais s’intéresse aussi à chacun des 21 pays arabes et évoque les particularismes régionaux.  Le Maghreb des femmes  (Ediff, 1992).  Le Somptueux Maroc des femmes  (Dédico, 1994) : Une recherche des traditions des plus fastueuses aux plus quotidiennes.  Une psychiatrie moderne pour le Maghreb  (L’Harmattan, 1994) : L’auteur évoque la situation au Maroc et dans les pays voisins.  Les Sept Jardins  (L'Harmattan, 1996) : roman.  Le Livre des prénoms  (Ediff, 1998).

    http://www.bibliomonde.com/pages/fiche-auteur.php3?id_auteur=61

    Latifa Bennari : « Pédophilie, une approche différente. La fin d’un silence »

    COMPTE-RENDU PLUS PERSONNEL A VENIR AVEC D'AUTRES RENCONTRES...

  • Catégories : Des évènements, Le Maroc:vie et travail

    Le salon du livre de Casablanca (Maroc):13 février : ce qui m’aurait sûrement intéressé

    Au pavillon France : Jean-Marie Villemot, présentation de son ouvrage « Les petits hommes d’Abidjan. »

     

     

    Venu à Abidjan en pleine guerre civile visiter une mourante, le père Brigand n'a pas perdu la foi en Dieu, mais sa légendaire foi en l'être humain est mise à mal. A peine arrivé, il se retrouve face à face avec un cadavre, celui de Modeste Lefort, un blanc assassiné de façon particulièrement macabre : il a été égorgé, on lui a tranché les lèvres, et on l'a coiffé d'un grotesque bonnet violet. Des détails étranges attirent l'attention du prêtre : la présence de fourmis et de talc sur le corps ainsi qu'une forte odeur d'encens dans la pièce. Pour le commissaire Innocent Blé, il s'agit d'un crime racial. Les faits semblent lui donner raison puisque le lendemain, la mort frappe de nouveau, et dans des circonstances similaires. Pourtant, le père Abel Brigand persiste à croire que les victimes n'ont pas été choisies au hasard. Plus exotique, plus sombre aussi que les précédentes enquêtes d'Abel Brigand, les petits hommes d'Abidjan est à la fois un magistral roman d'énigme et un portrait fouillé, terrible malgré l'humour, de la Côte d'Ivoire en perdition.

     

     

     

    http://www.amazon.fr/petits-hommes-dAbidjan-Jean-Marie-Villemot/dp/2743616008

     

     

    Rencontre avec Abdelhak Azzouzi autour de son livre « Autoritarisme et aléas de la transition démocratique dans les pays du Maghreb. »

     

     

    Les trois pays du Maghreb (Maroc, Algérie, Tunisie) illustrent diverses trajectoires de la démocratisation. L'objectif de cette étude est de comprendre la longévité des autoritarismes maghrébins alors que paradoxalement des politiques de "démocratisation" et de "libéralisation" ont été initiées et orientées dans les trois pays, tantôt de façon similaire, tantôt de façon contradictoire.

     

     

     

    http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=22624

    Lire la suite