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Florence, 1557. Le peintre Pontormo est retrouvé assassiné au pied des fresques auxquelles il travaillait depuis onze ans. Un tableau a été maquillé. Un crime de lèse-majesté a été commis. Vasari, l'homme à tout faire du duc de Florence, est chargé de l'enquête. Pour l'assister à distance, il se tourne vers le vieux Michel-Ange exilé à Rome. La situation exige discrétion, loyauté, sensibilité artistique et sens politique. L'Europe est une poudrière. Cosimo de Médicis doit faire face aux convoitises de sa cousine Catherine, reine de France, alliée à son vieil ennemi, le républicain Piero Strozzi. Les couvents de la ville pullulent de nostalgiques de Savonarole tandis qu'à Rome, le pape condamne les nudités de le chapelle Sixtine. Perspective(s) est un polar historique épistolaire. Du broyeur de couleurs à la reine de France en passant par les meilleurs peintres, sculpteurs et architectes, chacun des correspondants joue sa carte. Tout le monde est suspect.
Légende : le Tour en mode Formule 1 vers le Col du Portet en 2018 !
Le 25 juillet 2018, le Tour se réinvente au départ de Bagnères de Luchon avec une grille de départ façon Formule 1 et une étape composée de 3 cols en 65 km vers l'arrivée du jour au Col du Portet... du jamais vu, retour en images s
Echappée, sprint massif, puncheuse ou grimpeuse? Analysez le profil de l’étape à venir et faites les bons pronostics pour tenter de remporter des abonnements Zwift de 3 mois ou 1 an, et des goodies #Watchthefemmes !
Cent mètres mythiques. Huit des hommes les plus rapides du monde. Une course pour le très convoité sacre au 100 m hommes.
Préparez-vous pour l'une des finales olympiques les plus attendues ainsi que d'autres épreuves à médailles époustouflantes en natation, tennis et cyclisme sur route féminin.
S'agit-il de votre équipe préférée ? Confirmez ou mettez à jour ici.
Résultats provisoires. Dernière mise à jour le 04 août 2024 à 01 h 00 CEST (heure de Paris). Votre équipe favorite n'apparaîtra que si un ou une athlète du CNO a remporté une médaille olympique.
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Regardez Paris 2024 sur un écran géant aux côtés de milliers de fans et d'athlètes ! Le programme DANCE CAM x DJ Performance de Panasonic donne le ton pour célébrer les Jeux Olympiques comme il se doit. La bonne nouvelle ? L'entrée est gratuite.
Qui est Nikola Stankovic ? Un graffeur de génie, assurant des performances insensées, la nuit, sur les lieux les plus improbables de la capitale belge, pour la seule gloire de l'adrénaline ? Un peintre virtuose qui sème des messages profonds et cryptés dans ses fresques ultra-violentes ? Un meurtrier ? Un fou ? Nikola est la dernière personne à avoir vu vivante une jeune femme criblée de coups de couteau dans son appartement. La police retrouve des croquis de la scène de crime dans son atelier. Arrêté, interrogé, incarcéré puis confié à une expertise psychiatrique, Niko nie en bloc et ne sort de son mutisme que pour répéter une seule phrase : C'est pas moi. Entre Bruxelles et Vukovar, Paul Colize recompose l'Histoire. Au-delà de l'enquête, c'est dans les replis les plus noirs de la mémoire, à travers les dédales de la psychologie et la subtilité des relations humaines qu'il construit son intrigue.
Un narrateur contemporain déniche chez un antiquaire un livre rare du XVIe siècle : les Mémoires du peintre florentin Bronzino. Les enfances de l'artiste auprès de son maître Pontormo, les leçons de vie que lui prodigue ensuite ce casse-cou de Benvenuto Cellini, la manière dont Bronzino devient peintre officiel des Médicis tout en s'affranchissant habilement des contraintes : à travers la vie trépidante d'une génération de génies entravés, pourchassés, menacés de mort pour leurs pensées hérétiques ou leurs amours interdites, Dominique Fernandez peint à fresque une époque de violences où la férule des Médicis et les dogmes catholiques imposent aux créateurs un carcan qui les contraint à crypter, chiffrer, coder et contrefaire. Le lecteur est introduit dans cette « Société du mystère » qui contourne la censure et atteint au sublime par la transgression : l'envers de la Renaissance à Florence telle que le vernis officiel nous en a légué l'histoire.
Description du numéro Dossiers d'Archéologie n° 366
De la Grèce hellénistique à la Gaule romaine, en passant par Pompéi, les maisons ont été décorées de fresques qui ont connu des évolutions stylistiques importantes. Si les innovations formelles sont réalisées à Rome dans les milieux impériaux, elles se répandent ensuite sur les parois des demeures de tout l’Empire. Imitations d’architecture publique, trompe-l’œil, tableaux mythologiques se retrouvent donc en Gaule, où se créera progressivement un style régional propre.
À l’occasion de l’exposition au musée des Antiques de Toulouse «L’empire de la couleur. De Pompéi au sud des Gaules», ce numéro des Dossiers d’Archéologie propose une synthèse de la peinture romaine, depuis ses origines grecques jusqu’à sa réception en Gaule et sa permanence au Moyen Âge.
Le mur des Canuts est la plus grande fresque d'Europe. Elle s'étend sur environ 1200 m². Il a était créé en 1987 et refait en partie en 1997. Ce mur situé Boulevard des Canuts dans le quartier de Croix-Rousse, représente la vie des Canuts.
Vous ne connaissez pas le mot "Canuts" ? Les Canuts étaient des ouvriers tisserands de la soie, ils oeuvraient sur les métiers à tisser Jacquard. Ils résidaient principalement dans le quartier de la Croix-Rousse au 19eme siècle. A plusieurs reprises, en 1831 et en 1834, les Canuts se révoltèrent contre leurs condition de travail (18 heures par jours). Le plus célèbre des Canut est la marionnette Guignol.
Une spécialité gastronomique lyonnaise porte le nom de "cervelle de canut", il s'agit en fait d'une spécialité à base de fromage blanc.
À Alexandrie, à la fin des années 1950, une bande d’amis se retrouve régulièrement au bar du restaurant Artinos, sur la corniche, pour de longues soirées animées durant lesquelles, l’alcool aidant, ils se plaisent à refaire le monde. Unis par un attachement profond à leur ville – presque un pays à part entière, même pour ceux qui viennent d’ailleurs –, ils sont divisés face à l’actualité nationale et au leader charismatique Gamal Abdel Nasser. Alors que l’Égypte connaît de profonds bouleversements sociaux et politiques, qu’adviendra-t-il de ces femmes et hommes épris de justice, de beauté et d’amour, acquis à la cause – ou à l’illusion – cosmopolite d’Alexandrie ? Au sommet de son art, Alaa El Aswany compose une fresque humaine et historique tout en chatoiements tragiques, faisant une fois encore résonner avec brio les voix de personnages pris dans une tourmente qui les dépasse : la fin d’une époque.
Rome, maîtresse du monde. Les douze siècles de l'histoire romaine ont longtemps constitué le passage obligé d'une éducation humaniste. Ils pâtissent aujourd'hui des clichés et des anachronismes répandus par le cinéma et le roman. Aristocrates républicains idéalisés en défenseurs des libertés modernes ; empereurs rabaissés au rang de tyrans maniaques ; premiers chrétiens confinés dans l'obscurité des catacombes. Un Constantin le Grand, naguère converti miraculeux, devient un cynique calculateur (« Rome vaut bien une messe ») ; un Julien, naguère scandaleux apostat, se voit paré de toutes les vertus du paganisme. Autant de généralités hâtives que Lucien Jerphagnon s'emploie à combattre, avec un bonheur d'écriture, une densité de réflexion et un humour souvent corrosif qui sont un véritable régal. Le lecteur trouvera ici un véritable tour de force, à la fois synthèse d'histoire politique, militaire, sociale et intellectuelle, nourrie des derniers acquis de la recherche, et vaste fresque où se côtoient grands seigneurs, soldats, administrateurs, mécènes, poètes et philosophes. Tous ont contribué à bâtir cette civilisation fascinante, dont l'héritage imprègne, aujourd'hui encore, notre pensée et notre langage.
Bommelaer, Claire 13/09/2013 | Mise à jour : 19:08
Nos coups de cœur à visiter samedi et dimanche dans toute la France, à l'occasion des Journées du patrimoine.
Elle fut longtemps menacée: aujourd'hui, elle ouvre exceptionnellement. Commandée par Paul Cavrois, industriel du textile roubaisien, inaugurée en 1932, la villa conçue par l'architecte Robert Mallet-...
À la découverte des conservateurs anonymes du patrimoine
Bommelaer, Claire 13/09/2013 | Mise à jour : 19:15
Ce week-end est l'occasion de mettre en valeur le combat des milliers de bénévoles pour protéger les monuments en péril.
Un christ en bois rongé par l'humidité, une fresque défraîchie... Sur le site Facebook des étudiants de la junior entreprise de l'École du Louvre défilent des photos du patrimoine religieux en péril....
Adjugée chez Christie’s pour 1 million d’euros, cette version pourrait être plus ancienne que ce que l’on pensait. Une hypothèse fondée sur l’observation d’un détail de la composition.
Après le premier tome de la nouvelle trilogie explosive du maître du polar Don Winslow, La Cité en flammes, voici le deuxième volume, La Cité des rêves. Sur la côte est, la guerre des gangs a fait rage et Danny Ryan a perdu. La Mafia, les flics, le FBI veulent tous le voir mort ou en prison. Avec son fils, son père vieillissant et les quelques rescapés de sa bande, il part tenter sa chance en Californie. A Hollywood, la ville où les rêves les plus fous se réalisent. Le sien est de mener enfin une existence tranquille et paisible. Sauf que les fédéraux le traquent : ils veulent lui demander une faveur qui fera de lui un homme riche, ou mort. Des rives du Rhode Island aux déserts californiens, des couloirs du pouvoir à Washington aux studios légendaires d'Hollywood, La Cité des rêves happe le lecteur et l'emporte dans une fresque épique, inoubliable.
Selon la légende, elle portait dans son pommeau de nombreuses reliques, entre autres celle de la Sainte Lance, celle qui aurait percé le flanc du Christ sur la croix, ce qui explique son nom.
« Nous avons fort à dire sur la lance Dont Notre Seigneur fut blessé sur la Croix. Charles, grâce à Dieu, en a la pointe. Il l'a fait enchâsser dans un pommeau d'or. ; En raison de cet honneur et de cette grâce, Le nom de Joyeuse fut donné à l'épée. Les barons français ne doivent pas l'oublier : C'est de là que vient « Montjoie », leur cri de guerre C'est pourquoi aucun peuple ne peut leur résister. »
En réalité, l'étymologie du cri « Montjoie » est discutée, il n'est pas certain qu'il soit en rapport avec le nom de l'épée de Charlemagne2.
La ville de Joyeuse (Ardèche) devrait son nom à l'épée de Charlemagne. Égarée sur un champ de bataille, celle-ci aurait été retrouvée par un des lieutenants de l’empereur qui, pour le remercier de sa fidélité, lui remit un fief rebaptisé Joyeuse et le droit d'en porter le nom.
Nous sommes ton collier France Venus des Atlantides ou bien des Négrities Des Eldorados ou bien des Cimméries Rivière d'hommes forts et d'obus dont l'orient chatoie Diamants qui éclosent la nuit Ô Roses ô France Nous nous pâmons de volupté À ton cou penché vers l'Est
Nous sommes l'Arc-en-terre Signe plus pur que l'Arc-en-Ciel Signe de nos origines profondes Étincelles Ô nous les très belles couleurs
Athlétisme, Chpts Monde, 8e Journée, Compte Rendu de la nuit Florian Egly, Sport24.com
L’équipe de France ne repartira pas bredouille d’Osaka. Champion d’Europe en titre, Yohan Diniz a sauvé l’honneur en décrochant une superbe médaille d’argent sur 50 km marche !
Heureusement, Diniz Ce n’est pas juste une médaille d’argent que Yohan Diniz a ramenée à Osaka. C’est aussi et surtout un lumineux rayon de soleil qui vient de percer le brouillard tricolore. De déceptions en désillusions, l’équipe de France avait bien besoin de ce coup de fouet, alors que la crainte de repartir du Japon sans médaille devenait de plus en plus présente à deux jours de la fin des Mondiaux. En dépit de toute cette pression qu’il aimantait sur ses épaules, malgré lui, Yohan Diniz a répondu présent le jour J, là où tellement ont échoué. Venant du capitaine de l’équipe de France, on ne pouvait pas attendre autre chose. Son statut de favori dégagé par son titre de champion d’Europe acquis l’année dernière, les espérances de toute une délégation, le Champenois a ôté tout cela de sa tête pour se concentrer sur sa marche et cueillir une superbe médaille d’argent. Et si l’orage et une douche suédoise avaient accompagné son sacre européen à Göteborg en 2006, le Rémois a dû affronter cette fois-ci la chaleur nipponne (30°C) et son taux d’humidité extrêmement élevé malgré un départ donné sur les coups de 7h du matin. 3heures, 44 minutes et 22 secondes plus tard, la récompense était là. «Je croyais en moi. Je savais que j’avais les moyens d’aller chercher ce résultat. Cette deuxième place est le fruit d’une année de travail. Et le résultat d’une course prudente. Ce n’est pas une victoire, mais c’est beau quand même», réagissait-il, la ligne à peine franchie.
Pas loin de l’or Ainsi, Diniz a longtemps été en mesure de taquiner l’or mondial. Partagé entre le fait de ne pas puiser dans ses réserves tout de suite et la volonté de ne pas non plus laisser partir un wagon dangereux, le champion d’Europe effectuait d’abord une première partie de course à son rythme, naviguant à une dizaine de secondes d’un groupe de quatre marcheurs où l’on retrouvait notamment l’Australien Nathan Deakes, détenteur du record du monde. Puis, au 30e kilomètre, l’athlète français accélérait brutalement pour revenir puis déposer ce quatuor, où seul Deakes tentait de s’accrocher. Mais dans ce brusque changement de rythme, les juges y décelaient quelques irrégularités, infligeant deux avertissements en quelques minutes. Sous la menace d’un troisième carton rouge, synonyme de disqualification, le Rémois était contraint d’assurer ses arrières, laissant filer l’Australien. Il fallait encore contenir le retour de l’Italien Alex Schwazer, revenant très fort de l’arrière, ce qu'il réussissait sans peine. A l’arrivée, Diniz devait donc «se contenter» de l’argent. «J’aurais pu aller chercher l’Australien, mais je n’aurais peut-être pas terminé la course. Avec ces conditions de course, la médaille d’argent est un exploit. Quand j’ai attaqué pour prendre la tête, je l’ai sans doute fait un peu fort. Cette accélération a alerté les juges. Et j’ai reçu deux cartons rouges. Après, j’ai préféré assurer», expliquait le marcheur.
Désillusion pour le 4x100 Finalement, entre l’Australien, vainqueur envahi par l’émotion dans la dernière ligne droite, et l’Italien, frustré d’avoir démarré trop tard, Yohan Diniz était le seul à ne pas laisser couler quelques larmes sur son visage. Mais c’est bien un large sourire qui illuminait le sauveur de l’équipe de France lorsqu'il effectuait son tour d'honneur avec le drapeau français. Car pendant que le Champenois résistait à la douleur sur ses 50 kilomètres, le relais 4x100 m féminin a été piteusement éliminé dès les séries, laissant échapper une nouvelle chance de médaille. Avec leur équipe-type, Carima Louami, Muriel Hurtis, Fabienne Béret-Martinel et Christine Arron ont été incapables de faire mieux que 7es de leur demi-finale, la faute en partie à un passage de témoin catastrophique entre les deux dernières relayeuses. Christine Arron était même obligée de s’arrêter pour ne pas recevoir le bâton hors zone. Sans vitesse, la 6e de la finale du 100 m ne pouvait pas rattraper le retard. Un échec de plus pour un sprint français calamiteux. Mais rien ne servait de courir, il fallait marcher à point.
Podium du 50 km marche 1. Deakes (Aus) en 2h43’53 2. Diniz (Fra) en 3h44’22 3. Schwazer (Ita) en 3h44’38 … 13. Riva (Fra) en 4h00’44 14. Boulanger (Fra) en 4h01’30
Résultats des Français 50km marche H Finale Yohann Diniz : 2ème, Vice champion du Monde en 3h44'22 Eddy Riva : 13ème 4h00'44 David Boulanger : 14ème 4h01'30
Son nom On le désigne par la lettre grecque ( phi ) en hommage au sculpteur grec Phidias (né vers 490 et mort vers 430 avant J.C) qui décora le Parthénon à Athènes. C'est Théodore Cook qui introduisit cette notation en 1914.
L' histoire ...
Il y a 10 000 ans : Première manifestation humaine de la connaissance du nombre d'or (temple d'Andros découvert sous la mer des Bahamas).
2800 av JC : La pyramide de Khéops a des dimensions qui mettent en évidence l'importance que son architecte attachait au nombre d'or.
Vè siècle avant J-C. (447-432 av.JC) : Le sculpteur grec Phidias utilise le nombre d'or pour décorer le Parthénon à Athènes, en particulier pour sculpter la statue d'Athéna Parthénos . Il utilise également la racine carrée de 5 comme rapport.
IIIè siècle avant J-C. : Euclide évoque le partage d'un segment en "extrême et moyenne raison" dans le livre VI des Eléments.
1498 : Fra Luca Pacioli, un moine professeur de mathématiques, écrit De divina proportione ("La divine proportion").
Au XIXème siècle : Adolf Zeising (1810-1876), docteur en philosophie et professeur à Leipzig puis Munich, parle de "section d'or" (der goldene Schnitt) et s'y intéresse non plus à propos de géométrie mais en ce qui concerne l'esthétique et l'architecture. Il cherche ce rapport, et le trouve (on trouve facilement ce qu'on cherche ...) dans beaucoup de monuments classiques. C'est lui qui introduit le côté mythique et mystique du nombre d'or.
Au début du XXème siècle : Matila Ghyka, diplomate roumain, s'appuie sur les travaux du philosophe allemand Zeising et du physicien allemand Gustav Theodor Fechner ; ses ouvrages L'esthétique des proportions dans la nature et dans les arts (1927) et Le Nombre d'or. Rites et rythmes pythagoriciens dans le développement de la civilisation occidentale (1931) insistent sur la prééminence du nombre d'or et établissent définitivement le mythe .
Au cours du XXème siècle : des peintres tels Dali et Picasso, ainsi que des architectes comme Le Corbusier, eurent recours au nombre d'or.
1945 : Le Corbusier fait bréveter son Modulor qui donne un système de proportions entre les différentes parties du corps humain.
Florian Egly (Sport24.com) 13/07/2010 | Mise à jour : 17:59
Andy Schleck prend la tête du général devant Alberto ContadorCrédits photo : Panoramic
Sandy Casar a signé une troisième victoire française à Saint-Jean-de-Maurienne, lors de la 9e étape du Tour de France. Andy Schleck, qui s'empare du Maillot Jaune, et Alberto Contador ont frappé fort. Blessé, Cadel Evans a craqué.
On ne sait pas vraiment si c'était ça le «plan» d'Andy Schleck. Au terme de la deuxième étape alpine, le Luxembourgeois se retrouve en tout cas, pour la première fois de sa carrière, avec le Maillot Jaune sur le dos. Il sait aussi qu'il n'a plus qu'un seul adversaire à surveiller. On avait craint que l'ogre pyrénéen, avec ses quatre étapes dans la dernière semaine, n'avale les joutes alpestres. Mais l'interminable col de la Madeleine s'est chargé à lui seul d'apporter une partie des réponses aux interrogations soulevées par la montée sur Avoriaz dimanche. Non, le courage de Cadel Evans ne lui a pas suffi pour s'accrocher au Maillot Jaune. Esseulé, l'Australien a vécu un véritable calvaire sur les pentes de la Madeleine. Diminué (fracture au coude !), en pleurs sur la ligne d'arrivée, il a lâché plus de 8 minutes. Oui, Andy Schleck, nouveau leader, a bien le potentiel pour gagner ce Tour de France. Mais il n'est pas le seul. Alberto Contador, en légère difficulté à Avoriaz, est rentré à son tour dans le jeu.
Contador contrôle Schleck On était à 9 km du sommet du col de la Madeleine, situé lui-même à 32 km de l'arrivée de cette 9e étape. Comme prévu, la Colombière, les Aravis et les Saisies n'avaient rien donné auparavant. On semblait se diriger vers un nouvel épisode de poker menteur lorsque la défaillance de Cadel Evans, le bras gauche momifié après sa chute de dimanche, déclencha tout. Ses rares équipiers venaient de lâcher, s'épuisant à courir derrière la diversion créée un temps par Vinokourov. Les Saxo Bank et Astana se relayaient devant à user les organismes et il n'y avait personne pour secourir l'Australien, en totale perdition. Peu de temps après, lorsque les seconds rôles eurent fini leur travail de sape, Schleck et Contador entrèrent alors en scène. Comme à Avoriaz, le Luxembourgeois accéléra mais cette fois-ci, l'Espagnol tenait sa roue. Facilement même.
Les écarts sont faits Le tenant du titre contrôlait, jouait comme à la piste, se comportait comme si c'était lui le leader de la course. Parce qu'il sait très bien qu'il aura l'avantage lors du contre-la-montre final. On le vit ainsi discuter avec son rival pour le convaincre de devenir son complice. Lorsque Schleck comprit enfin qu'il n'arriverait pas à décrocher Contador, les deux hommes mettaient leurs intérêts dans le même panier et le duo collaborait ainsi jusqu'au sommet puis dans la descente. Le duel aura bien le temps d'avoir lieu dans les Pyrénées. Car derrière, hormis Samuel Sanchez limitant la casse à 51 secondes et nouveau 3e au général (à 2'45'' de Schleck), la grande lessive a été faite (Leipheimer, Menchov, Gesink relégués à 2'06'', Basso-Armstrong à 2'50''). Il s'en fallait de peu même pour que les deux grands gagnants de la journée ne se disputent la victoire d'étape.
Casar, sous le signe du 3 A se regarder en chiens de faïence dans le final, Sandy Casar, Luis Leon Sanchez, Damiano Cunego et Anthony Charteau faillirent gâcher un travail de près de six heures. La Caisse d'Epargne avait admirablement joué le coup en plaçant trois hommes dans une échappée de 12 coureurs. Parmi eux, Jérôme Pineau défendait son Maillot à Pois jusqu'à une Madeleine trop grosse, qui transfère le paletot de meilleur grimpeur sur les épaules de Charteau. L'abattage de Jose Ivan Gutierrez et Christophe Moreau dans la Madeleine réduisait ainsi ce groupe à quatre unités, avec un favori désigné pour la victoire d'étape, Luis Leon Sanchez. Mais alors qu'ils étaient rattrapés sous la flamme rouge par le tandem Schleck-Contador, Sandy Casar se remémorait l'arrivée de Saint-Girons en 2009 quand, dans une arrivée similaire, le Francilien avait dû se contenter de la deuxième place derrière Sanchez. Si souvent placé, rarement récompensé, le coureur de la FDJ prenait les choses en main au bon moment, la ligne d'arrivée se situant derrière un virage. Il signe sa troisième victoire d'étape sur le Tour. La troisième victoire française également depuis le départ de Rotterdam. Des miettes à partager dans un Tour qui se résume désormais à un duel.
Classement de la 9e étape : 1. Casar (Fra, FDJ) 5h38'10'' 2. L. Sanchez (Esp, Caisse d'Epargne) m.t. 3. Cunego (Ita, Lampre) m.t. 4. Moreau (Fra, Caisse d'Epargne) à 2'' 5. Charteau (Fra, Bbox) m.t.
Une image peut signifier bien plus que des mots ; c’est le cas de cette fresque, où nous pouvons lire une métaphore de notre confinement actuel, en même temps l’expression d’une pleine confiance : être dans la main de Dieu.
Une période inédite vient de s’ouvrir pour nous, en phase avec l’ascèse du Carême. Il nous est demandé de nous retirer du monde. Cette démarche au ‘désert’ nous permet de prendre conscience des vraies priorités, d’aspirer à la Lumière et à la Vie, dans l'attente d'un printemps nouveau et de l'espérance de Pâques.
En cette Mi-Carême, fête de St Joseph, nous allons continuer à vous accompagner sur le chemin de l’art avec Narthex, envers et contre tout. Alors que la basilique du Sacré-Cœurde Montmartre annonce sa fermeture pour la première fois depuis sa construction et propose des initiatives pour rester en lien de prière, voici une autre manière de se rendre au sanctuaire, à travers les écrits de Karl Rahner : en allant dans les profondeurs du Mystère du Sacré-Cœur et de sa spiritualité.
Au cœur de notre ‘désert’, un rendez-vous nous est proposé lors de la fête de l’Annonciation, le 25 mars prochain, tandis que les cloches des églises de France sonneront à 19h30. Nous sommes tous invités par l’ensemble des évêques de France à déposer une bougie sur nos fenêtres, signe de communion en pensée et en prière avec les défunts, les malades et leurs proches, avec tous les soignants et tous ceux qui rendent possible la vie de notre pays.
Tout au long du Carême, chaque mercredi, nous vous proposons de découvrir des haltes de méditation et de contemplation pour avancer sur cette bénéfique traversée du désert, et cheminer vers la Lumière de Pâques. Notre troisième étape est en compagnie de Thérèse d’Avila et du Livre de la vie, récit de sa conversion, où elle passe, au sens étymologique où l’entendra Pascal, du « di-vertere » mondain au « con-vertere », sous l’action de l’Esprit Saint.
Tout au long du Carême, chaque mercredi, nous vous proposons de découvrir des haltes de méditation et de contemplation à travers l'art et la création, pour avancer sur cette bénéfique traversée du désert, et cheminer vers la Lumière de Pâques. Notre deuxième étape est au désert dont la vitalité et la fécondité pour nos vies intérieures jaillit comme une eau vive, à l'image de cette fresque des catacombes de Calixte commentée par Sylvie Bethmont.
Délivrance / Jussi Adler-Olsen ; traduit du danois par Caroline Berg
Edition :
A. Michel, impr. 2012
Description :
1 vol. (665 p.) : couv. ill. en coul. ; 23 cm
Collection :
Les enquêtes du département V ; 3
Résumé :
A Wick, aux confins de l'Ecosse, une bouteille en verre dépoli traine depuis des années sur le rebord d'une fenêtre du commissariat. A l'intérieur, une lettre que personne n'a remarquée. Et quand on l'ouvre enfin, personne ne se préoccupe non plus de savoir pourquoi les premiers mots, Au secours, sont écrits en lettres de sang et en danois. La lettre finit par arriver sur le bureau des affaires classées de Copenhague où l'inspecteur Carl Mørck croit à une mauvaise plaisanterie.
La série de vingt-huit fresques, peintes entre 1290 et 1300, dans la basilique supérieure d’Assise en hommage au fondateur de l’ordre des Franciscains évoque les étapes majeures de la vie de saint François (1182-1226).
Dans un style pictural d’une exceptionnelle nouveauté, Giotto (1267 -1337) révolutionne en ce lieu l’art de son époque, encore sous influence byzantine, en créant un espace réaliste, en perspective, assorti de scènes figuratives d’une grande expressivité. Ce cycle de fresques révèle là, dès sa jeunesse, le talent de ce peintre florentin, précurseur de la Renaissance qui va fleurir au siècle suivant en Italie au XVe siècle (Quattrocento). La peinture s’engage résolument avec lui dans une voie moderne.
Michelle Fayet
Une nouvelle vision du monde
C’est au sein de la basilique San Francesco d’Assise, achevée en 1253, que cette œuvre a été réalisée. Chose rare pour un ordre mendiant, les papes ont voulu parer le siège de l’ordre des Franciscains d’une somptueuse décoration. Nicolas IV, le premier pape (1288-1292) issu de cet ordre, en est certainement le commanditaire.
En cette fin du XIIIe siècle (Duecento), plusieurs grands peintres de l’époque ont été sollicités pour y travailler, en l’occurrence Cimabue et ses disciples, le grand peintre siennois Duccio di Buoninsegna et son homologue florentin Giotto di Bondone, assistés de compagnons de leur atelier, et certainement de renforts venus de Rome et de Sienne.
La paternité de ces scènes de la vie de saint François a été contestée à Giotto par certains spécialistes en raison d’archives perdues. Mais de nos jours, de nombreux experts les lui attribuent, même s’ils retiennent l’hypothèse d’un travail collaboratif.
Ces scènes très réalistes (2,70m X 2,30m pour la plupart), évoquant la vie de saint François d’Assise, illustrent fidèlement le texte de sa légende transmise en latin par saint Bonaventure (« Docteur séraphique », 1217-1274). Au bas des fresques, des commentaires descriptifs explicitent de manière didactique chaque épisode. Elles sont situées dans la basilique supérieure réparties en saillie sur les murs latéraux, à portée de vue des fidèles qui se pressaient nombreux à Assise, foyer intellectuel très actif.
La réputation des peintres reposait alors en grande partie sur les réactions admiratives des pèlerins qui découvraient ces chefs-d’œuvre. Ainsi, grâce aux traces de Giotto en différents lieux, on peut comprendre comment le style « giottesque » a pu se répandre à travers l’Italie et au-delà, faisant de ce peintre à la créativité novatrice la grande référence artistique du XIVe siècle (Trecento).
En rupture avec l’art du Moyen-Âge, ce moment de transition, dont Giotto est un des plus illustres représentants, sera qualifié au XIXe de « Pré-Renaissance » (les peintres y sont parfois appelés aussi « primitifs italiens »). Une nouvelle vision du monde y voit le jour par le biais des humanistes : l’Homme est placé désormais au centre de l’univers.
Giotto, en choisissant de peindre la profondeur en perspective, de manière sobre, puissante et organisée, donne à la perception humaine la place centrale : le monde est vu par le regard du spectateur et non plus de Dieu. Contemporains de Giotto, les premiers grands poètes de la littérature italienne, Dante, Pétrarque et Boccace, ont loué son talent alliant continuité et rupture selon cette nouvelle façon d’aborder la peinture : les sujets traités en perspective vont s’imposer dans l’art occidental.
Giotto : un précurseur de génie
Les soixante-dix ans de la vie hors du commun du toscan Giotto di Bondone, peintre, mosaïste et architecte, sont marqués par un foisonnement de commandes qu’il doit honorer dans toute l’Italie, terrain très favorable au développement de son art.
Les grandes fresques touristiques musicales sont la marque de fabrique de la société Indigo Productions .
« Irish Celtic », un spectacle tout public qui joue sur l'authenticité. - Photo Philippe Fretault
« Irish Celtic », un spectacle tout public qui joue sur l'authenticité. - Photo Philippe Fretault
Le producteur Indigo est sur le pied de guerre. La trentaine de danseurs et musiciens d’« Irish Celtic » répètent cette superproduction qui va déferler sur la France le 26 octobre – pour une soixantaine de dates et de villes, sans compter l’étranger. Le
show investira de grandes salles, dont le Zénith de Paris en novembre. Un pari pour Nicolas Feru, patron d’Indigo, qui a misé sur une version des danses irlandaises proche du théâtre musical, cherchant à se distinguer des deux best-sellers du genre, « Riverdance » (trois troupes dans le monde) et « Lord of the Dance ». Il s’adresse ainsi à un public plus familial et joue l’authenticité. Pas de bande-son comme certains concurrents, tout est live. « Cela se passe dans un pub, lieu de convivialité qui réunit toutes les générations en Irlande. Nous revenons au berceau de la culture locale, pour donner aux spectateurs une vraie expérience et peut-être l’envie d’aller sur le terrain »,commente Toby Cough, directeur artistique.
L’Office de tourisme irlandais s’est d’ailleurs impliqué dans la promotion de cette production, inspirée de récits glanés dans ces pubs, de faits historiques autour du « Titanic » ou de films mythiques comme « Braveheart ». Côté casting, rien n’a été laissé au hasard, avec une chorégraphie de Denise Flynn, ex-« lead dancer » de « Lord of the Dance ».
Devant le succès d’« Irish Celtic », lancé il y a deux ans, Nicolas Feru a enrichi cette année le spectacle d’une succession de tableaux, de projections de paysages, moyennant des coûts de création de 350.000 euros. Les prix resteront abordables néanmoins (de 36 à 49 euros), crise oblige. Le géant BB Promotion, producteur de « West Side Story » au Châtelet la saison dernière, a déjà acheté le show pour le faire tourner en Allemagne jusqu’en 2017. Une tournée sud-américaine est prévue en 2014.
VIDEO La bande annonce de « Irish Celtic »
Une comédie musicale sur la danse en projet
Créé en 1996 à Niort, la société de production qui réalise 8 millions de chiffre d’affaires, a choisi en 2005 de se spécialiser dans les grandes fresques musicales permettant de découvrir la culture d’un pays. « Il y a beaucoup de concurrence, il est difficile de survivre en région et nous avons pris ce virage en rencontrant les Ballets de Tahiti Ora. Puis nous avons produit des spectacles inspirés par l’Afrique du Sud avec “African Footprint”, par la musique cubaine avec “Soy de Cuba”, par les légendes indiennes avec “Bollywood”. Les offices de tourisme nous soutiennent, c’est pour eux une autre façon de vendre leur territoire. » Un genre porteur mais complexe : « African Footprint » a laissé une ardoise de 450.000 euros et « Soy de Cuba » a dû être repensé ; une nouvelle version sera proposée à Cannes en fin d’année, puis en Allemagne, en Amérique latine et à Paris l’an prochain.
Indigo ne se limite toutefois pas aux fresques touristiques musicales. Après avoir coproduit avec le Palais des Congrès « Le Lac des cygnes », interprété par le Saint-Pétersbourg Ballet Théâtre, le producteur récidive avec une quatrième tournée de 60 dates à partir du 1er novembre, alternant ce spectacle déjà vu par 200.000 personnes avec « Casse-Noisette » et « La Bayadère », en fonction des villes visitées. Et Nicolas Feru négocie d’arrache-pied pour monter une comédie musicale sur la danse, tirée d’un film célèbre. « Pour une fois, Paris n’aurait pas un train de retard sur Broadway ou le West-End », remarque le patron d’Indigo.
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