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Le mur des Canuts est la plus grande fresque d'Europe. Elle s'étend sur environ 1200 m². Il a était créé en 1987 et refait en partie en 1997. Ce mur situé Boulevard des Canuts dans le quartier de Croix-Rousse, représente la vie des Canuts.
Vous ne connaissez pas le mot "Canuts" ? Les Canuts étaient des ouvriers tisserands de la soie, ils oeuvraient sur les métiers à tisser Jacquard. Ils résidaient principalement dans le quartier de la Croix-Rousse au 19eme siècle. A plusieurs reprises, en 1831 et en 1834, les Canuts se révoltèrent contre leurs condition de travail (18 heures par jours). Le plus célèbre des Canut est la marionnette Guignol.
Une spécialité gastronomique lyonnaise porte le nom de "cervelle de canut", il s'agit en fait d'une spécialité à base de fromage blanc.
Rome, maîtresse du monde. Les douze siècles de l'histoire romaine ont longtemps constitué le passage obligé d'une éducation humaniste. Ils pâtissent aujourd'hui des clichés et des anachronismes répandus par le cinéma et le roman. Aristocrates républicains idéalisés en défenseurs des libertés modernes ; empereurs rabaissés au rang de tyrans maniaques ; premiers chrétiens confinés dans l'obscurité des catacombes. Un Constantin le Grand, naguère converti miraculeux, devient un cynique calculateur (« Rome vaut bien une messe ») ; un Julien, naguère scandaleux apostat, se voit paré de toutes les vertus du paganisme. Autant de généralités hâtives que Lucien Jerphagnon s'emploie à combattre, avec un bonheur d'écriture, une densité de réflexion et un humour souvent corrosif qui sont un véritable régal. Le lecteur trouvera ici un véritable tour de force, à la fois synthèse d'histoire politique, militaire, sociale et intellectuelle, nourrie des derniers acquis de la recherche, et vaste fresque où se côtoient grands seigneurs, soldats, administrateurs, mécènes, poètes et philosophes. Tous ont contribué à bâtir cette civilisation fascinante, dont l'héritage imprègne, aujourd'hui encore, notre pensée et notre langage.
Bommelaer, Claire 13/09/2013 | Mise à jour : 19:08
Nos coups de cœur à visiter samedi et dimanche dans toute la France, à l'occasion des Journées du patrimoine.
Elle fut longtemps menacée: aujourd'hui, elle ouvre exceptionnellement. Commandée par Paul Cavrois, industriel du textile roubaisien, inaugurée en 1932, la villa conçue par l'architecte Robert Mallet-...
À la découverte des conservateurs anonymes du patrimoine
Bommelaer, Claire 13/09/2013 | Mise à jour : 19:15
Ce week-end est l'occasion de mettre en valeur le combat des milliers de bénévoles pour protéger les monuments en péril.
Un christ en bois rongé par l'humidité, une fresque défraîchie... Sur le site Facebook des étudiants de la junior entreprise de l'École du Louvre défilent des photos du patrimoine religieux en péril....
Adjugée chez Christie’s pour 1 million d’euros, cette version pourrait être plus ancienne que ce que l’on pensait. Une hypothèse fondée sur l’observation d’un détail de la composition.
Après le premier tome de la nouvelle trilogie explosive du maître du polar Don Winslow, La Cité en flammes, voici le deuxième volume, La Cité des rêves. Sur la côte est, la guerre des gangs a fait rage et Danny Ryan a perdu. La Mafia, les flics, le FBI veulent tous le voir mort ou en prison. Avec son fils, son père vieillissant et les quelques rescapés de sa bande, il part tenter sa chance en Californie. A Hollywood, la ville où les rêves les plus fous se réalisent. Le sien est de mener enfin une existence tranquille et paisible. Sauf que les fédéraux le traquent : ils veulent lui demander une faveur qui fera de lui un homme riche, ou mort. Des rives du Rhode Island aux déserts californiens, des couloirs du pouvoir à Washington aux studios légendaires d'Hollywood, La Cité des rêves happe le lecteur et l'emporte dans une fresque épique, inoubliable.
Selon la légende, elle portait dans son pommeau de nombreuses reliques, entre autres celle de la Sainte Lance, celle qui aurait percé le flanc du Christ sur la croix, ce qui explique son nom.
« Nous avons fort à dire sur la lance Dont Notre Seigneur fut blessé sur la Croix. Charles, grâce à Dieu, en a la pointe. Il l'a fait enchâsser dans un pommeau d'or. ; En raison de cet honneur et de cette grâce, Le nom de Joyeuse fut donné à l'épée. Les barons français ne doivent pas l'oublier : C'est de là que vient « Montjoie », leur cri de guerre C'est pourquoi aucun peuple ne peut leur résister. »
En réalité, l'étymologie du cri « Montjoie » est discutée, il n'est pas certain qu'il soit en rapport avec le nom de l'épée de Charlemagne2.
La ville de Joyeuse (Ardèche) devrait son nom à l'épée de Charlemagne. Égarée sur un champ de bataille, celle-ci aurait été retrouvée par un des lieutenants de l’empereur qui, pour le remercier de sa fidélité, lui remit un fief rebaptisé Joyeuse et le droit d'en porter le nom.
Nous sommes ton collier France Venus des Atlantides ou bien des Négrities Des Eldorados ou bien des Cimméries Rivière d'hommes forts et d'obus dont l'orient chatoie Diamants qui éclosent la nuit Ô Roses ô France Nous nous pâmons de volupté À ton cou penché vers l'Est
Nous sommes l'Arc-en-terre Signe plus pur que l'Arc-en-Ciel Signe de nos origines profondes Étincelles Ô nous les très belles couleurs
Athlétisme, Chpts Monde, 8e Journée, Compte Rendu de la nuit Florian Egly, Sport24.com
L’équipe de France ne repartira pas bredouille d’Osaka. Champion d’Europe en titre, Yohan Diniz a sauvé l’honneur en décrochant une superbe médaille d’argent sur 50 km marche !
Heureusement, Diniz Ce n’est pas juste une médaille d’argent que Yohan Diniz a ramenée à Osaka. C’est aussi et surtout un lumineux rayon de soleil qui vient de percer le brouillard tricolore. De déceptions en désillusions, l’équipe de France avait bien besoin de ce coup de fouet, alors que la crainte de repartir du Japon sans médaille devenait de plus en plus présente à deux jours de la fin des Mondiaux. En dépit de toute cette pression qu’il aimantait sur ses épaules, malgré lui, Yohan Diniz a répondu présent le jour J, là où tellement ont échoué. Venant du capitaine de l’équipe de France, on ne pouvait pas attendre autre chose. Son statut de favori dégagé par son titre de champion d’Europe acquis l’année dernière, les espérances de toute une délégation, le Champenois a ôté tout cela de sa tête pour se concentrer sur sa marche et cueillir une superbe médaille d’argent. Et si l’orage et une douche suédoise avaient accompagné son sacre européen à Göteborg en 2006, le Rémois a dû affronter cette fois-ci la chaleur nipponne (30°C) et son taux d’humidité extrêmement élevé malgré un départ donné sur les coups de 7h du matin. 3heures, 44 minutes et 22 secondes plus tard, la récompense était là. «Je croyais en moi. Je savais que j’avais les moyens d’aller chercher ce résultat. Cette deuxième place est le fruit d’une année de travail. Et le résultat d’une course prudente. Ce n’est pas une victoire, mais c’est beau quand même», réagissait-il, la ligne à peine franchie.
Pas loin de l’or Ainsi, Diniz a longtemps été en mesure de taquiner l’or mondial. Partagé entre le fait de ne pas puiser dans ses réserves tout de suite et la volonté de ne pas non plus laisser partir un wagon dangereux, le champion d’Europe effectuait d’abord une première partie de course à son rythme, naviguant à une dizaine de secondes d’un groupe de quatre marcheurs où l’on retrouvait notamment l’Australien Nathan Deakes, détenteur du record du monde. Puis, au 30e kilomètre, l’athlète français accélérait brutalement pour revenir puis déposer ce quatuor, où seul Deakes tentait de s’accrocher. Mais dans ce brusque changement de rythme, les juges y décelaient quelques irrégularités, infligeant deux avertissements en quelques minutes. Sous la menace d’un troisième carton rouge, synonyme de disqualification, le Rémois était contraint d’assurer ses arrières, laissant filer l’Australien. Il fallait encore contenir le retour de l’Italien Alex Schwazer, revenant très fort de l’arrière, ce qu'il réussissait sans peine. A l’arrivée, Diniz devait donc «se contenter» de l’argent. «J’aurais pu aller chercher l’Australien, mais je n’aurais peut-être pas terminé la course. Avec ces conditions de course, la médaille d’argent est un exploit. Quand j’ai attaqué pour prendre la tête, je l’ai sans doute fait un peu fort. Cette accélération a alerté les juges. Et j’ai reçu deux cartons rouges. Après, j’ai préféré assurer», expliquait le marcheur.
Désillusion pour le 4x100 Finalement, entre l’Australien, vainqueur envahi par l’émotion dans la dernière ligne droite, et l’Italien, frustré d’avoir démarré trop tard, Yohan Diniz était le seul à ne pas laisser couler quelques larmes sur son visage. Mais c’est bien un large sourire qui illuminait le sauveur de l’équipe de France lorsqu'il effectuait son tour d'honneur avec le drapeau français. Car pendant que le Champenois résistait à la douleur sur ses 50 kilomètres, le relais 4x100 m féminin a été piteusement éliminé dès les séries, laissant échapper une nouvelle chance de médaille. Avec leur équipe-type, Carima Louami, Muriel Hurtis, Fabienne Béret-Martinel et Christine Arron ont été incapables de faire mieux que 7es de leur demi-finale, la faute en partie à un passage de témoin catastrophique entre les deux dernières relayeuses. Christine Arron était même obligée de s’arrêter pour ne pas recevoir le bâton hors zone. Sans vitesse, la 6e de la finale du 100 m ne pouvait pas rattraper le retard. Un échec de plus pour un sprint français calamiteux. Mais rien ne servait de courir, il fallait marcher à point.
Podium du 50 km marche 1. Deakes (Aus) en 2h43’53 2. Diniz (Fra) en 3h44’22 3. Schwazer (Ita) en 3h44’38 … 13. Riva (Fra) en 4h00’44 14. Boulanger (Fra) en 4h01’30
Résultats des Français 50km marche H Finale Yohann Diniz : 2ème, Vice champion du Monde en 3h44'22 Eddy Riva : 13ème 4h00'44 David Boulanger : 14ème 4h01'30
Son nom On le désigne par la lettre grecque ( phi ) en hommage au sculpteur grec Phidias (né vers 490 et mort vers 430 avant J.C) qui décora le Parthénon à Athènes. C'est Théodore Cook qui introduisit cette notation en 1914.
L' histoire ...
Il y a 10 000 ans : Première manifestation humaine de la connaissance du nombre d'or (temple d'Andros découvert sous la mer des Bahamas).
2800 av JC : La pyramide de Khéops a des dimensions qui mettent en évidence l'importance que son architecte attachait au nombre d'or.
Vè siècle avant J-C. (447-432 av.JC) : Le sculpteur grec Phidias utilise le nombre d'or pour décorer le Parthénon à Athènes, en particulier pour sculpter la statue d'Athéna Parthénos . Il utilise également la racine carrée de 5 comme rapport.
IIIè siècle avant J-C. : Euclide évoque le partage d'un segment en "extrême et moyenne raison" dans le livre VI des Eléments.
1498 : Fra Luca Pacioli, un moine professeur de mathématiques, écrit De divina proportione ("La divine proportion").
Au XIXème siècle : Adolf Zeising (1810-1876), docteur en philosophie et professeur à Leipzig puis Munich, parle de "section d'or" (der goldene Schnitt) et s'y intéresse non plus à propos de géométrie mais en ce qui concerne l'esthétique et l'architecture. Il cherche ce rapport, et le trouve (on trouve facilement ce qu'on cherche ...) dans beaucoup de monuments classiques. C'est lui qui introduit le côté mythique et mystique du nombre d'or.
Au début du XXème siècle : Matila Ghyka, diplomate roumain, s'appuie sur les travaux du philosophe allemand Zeising et du physicien allemand Gustav Theodor Fechner ; ses ouvrages L'esthétique des proportions dans la nature et dans les arts (1927) et Le Nombre d'or. Rites et rythmes pythagoriciens dans le développement de la civilisation occidentale (1931) insistent sur la prééminence du nombre d'or et établissent définitivement le mythe .
Au cours du XXème siècle : des peintres tels Dali et Picasso, ainsi que des architectes comme Le Corbusier, eurent recours au nombre d'or.
1945 : Le Corbusier fait bréveter son Modulor qui donne un système de proportions entre les différentes parties du corps humain.
Florian Egly (Sport24.com) 13/07/2010 | Mise à jour : 17:59
Andy Schleck prend la tête du général devant Alberto ContadorCrédits photo : Panoramic
Sandy Casar a signé une troisième victoire française à Saint-Jean-de-Maurienne, lors de la 9e étape du Tour de France. Andy Schleck, qui s'empare du Maillot Jaune, et Alberto Contador ont frappé fort. Blessé, Cadel Evans a craqué.
On ne sait pas vraiment si c'était ça le «plan» d'Andy Schleck. Au terme de la deuxième étape alpine, le Luxembourgeois se retrouve en tout cas, pour la première fois de sa carrière, avec le Maillot Jaune sur le dos. Il sait aussi qu'il n'a plus qu'un seul adversaire à surveiller. On avait craint que l'ogre pyrénéen, avec ses quatre étapes dans la dernière semaine, n'avale les joutes alpestres. Mais l'interminable col de la Madeleine s'est chargé à lui seul d'apporter une partie des réponses aux interrogations soulevées par la montée sur Avoriaz dimanche. Non, le courage de Cadel Evans ne lui a pas suffi pour s'accrocher au Maillot Jaune. Esseulé, l'Australien a vécu un véritable calvaire sur les pentes de la Madeleine. Diminué (fracture au coude !), en pleurs sur la ligne d'arrivée, il a lâché plus de 8 minutes. Oui, Andy Schleck, nouveau leader, a bien le potentiel pour gagner ce Tour de France. Mais il n'est pas le seul. Alberto Contador, en légère difficulté à Avoriaz, est rentré à son tour dans le jeu.
Contador contrôle Schleck On était à 9 km du sommet du col de la Madeleine, situé lui-même à 32 km de l'arrivée de cette 9e étape. Comme prévu, la Colombière, les Aravis et les Saisies n'avaient rien donné auparavant. On semblait se diriger vers un nouvel épisode de poker menteur lorsque la défaillance de Cadel Evans, le bras gauche momifié après sa chute de dimanche, déclencha tout. Ses rares équipiers venaient de lâcher, s'épuisant à courir derrière la diversion créée un temps par Vinokourov. Les Saxo Bank et Astana se relayaient devant à user les organismes et il n'y avait personne pour secourir l'Australien, en totale perdition. Peu de temps après, lorsque les seconds rôles eurent fini leur travail de sape, Schleck et Contador entrèrent alors en scène. Comme à Avoriaz, le Luxembourgeois accéléra mais cette fois-ci, l'Espagnol tenait sa roue. Facilement même.
Les écarts sont faits Le tenant du titre contrôlait, jouait comme à la piste, se comportait comme si c'était lui le leader de la course. Parce qu'il sait très bien qu'il aura l'avantage lors du contre-la-montre final. On le vit ainsi discuter avec son rival pour le convaincre de devenir son complice. Lorsque Schleck comprit enfin qu'il n'arriverait pas à décrocher Contador, les deux hommes mettaient leurs intérêts dans le même panier et le duo collaborait ainsi jusqu'au sommet puis dans la descente. Le duel aura bien le temps d'avoir lieu dans les Pyrénées. Car derrière, hormis Samuel Sanchez limitant la casse à 51 secondes et nouveau 3e au général (à 2'45'' de Schleck), la grande lessive a été faite (Leipheimer, Menchov, Gesink relégués à 2'06'', Basso-Armstrong à 2'50''). Il s'en fallait de peu même pour que les deux grands gagnants de la journée ne se disputent la victoire d'étape.
Casar, sous le signe du 3 A se regarder en chiens de faïence dans le final, Sandy Casar, Luis Leon Sanchez, Damiano Cunego et Anthony Charteau faillirent gâcher un travail de près de six heures. La Caisse d'Epargne avait admirablement joué le coup en plaçant trois hommes dans une échappée de 12 coureurs. Parmi eux, Jérôme Pineau défendait son Maillot à Pois jusqu'à une Madeleine trop grosse, qui transfère le paletot de meilleur grimpeur sur les épaules de Charteau. L'abattage de Jose Ivan Gutierrez et Christophe Moreau dans la Madeleine réduisait ainsi ce groupe à quatre unités, avec un favori désigné pour la victoire d'étape, Luis Leon Sanchez. Mais alors qu'ils étaient rattrapés sous la flamme rouge par le tandem Schleck-Contador, Sandy Casar se remémorait l'arrivée de Saint-Girons en 2009 quand, dans une arrivée similaire, le Francilien avait dû se contenter de la deuxième place derrière Sanchez. Si souvent placé, rarement récompensé, le coureur de la FDJ prenait les choses en main au bon moment, la ligne d'arrivée se situant derrière un virage. Il signe sa troisième victoire d'étape sur le Tour. La troisième victoire française également depuis le départ de Rotterdam. Des miettes à partager dans un Tour qui se résume désormais à un duel.
Classement de la 9e étape : 1. Casar (Fra, FDJ) 5h38'10'' 2. L. Sanchez (Esp, Caisse d'Epargne) m.t. 3. Cunego (Ita, Lampre) m.t. 4. Moreau (Fra, Caisse d'Epargne) à 2'' 5. Charteau (Fra, Bbox) m.t.
Une image peut signifier bien plus que des mots ; c’est le cas de cette fresque, où nous pouvons lire une métaphore de notre confinement actuel, en même temps l’expression d’une pleine confiance : être dans la main de Dieu.
Une période inédite vient de s’ouvrir pour nous, en phase avec l’ascèse du Carême. Il nous est demandé de nous retirer du monde. Cette démarche au ‘désert’ nous permet de prendre conscience des vraies priorités, d’aspirer à la Lumière et à la Vie, dans l'attente d'un printemps nouveau et de l'espérance de Pâques.
En cette Mi-Carême, fête de St Joseph, nous allons continuer à vous accompagner sur le chemin de l’art avec Narthex, envers et contre tout. Alors que la basilique du Sacré-Cœurde Montmartre annonce sa fermeture pour la première fois depuis sa construction et propose des initiatives pour rester en lien de prière, voici une autre manière de se rendre au sanctuaire, à travers les écrits de Karl Rahner : en allant dans les profondeurs du Mystère du Sacré-Cœur et de sa spiritualité.
Au cœur de notre ‘désert’, un rendez-vous nous est proposé lors de la fête de l’Annonciation, le 25 mars prochain, tandis que les cloches des églises de France sonneront à 19h30. Nous sommes tous invités par l’ensemble des évêques de France à déposer une bougie sur nos fenêtres, signe de communion en pensée et en prière avec les défunts, les malades et leurs proches, avec tous les soignants et tous ceux qui rendent possible la vie de notre pays.
Tout au long du Carême, chaque mercredi, nous vous proposons de découvrir des haltes de méditation et de contemplation pour avancer sur cette bénéfique traversée du désert, et cheminer vers la Lumière de Pâques. Notre troisième étape est en compagnie de Thérèse d’Avila et du Livre de la vie, récit de sa conversion, où elle passe, au sens étymologique où l’entendra Pascal, du « di-vertere » mondain au « con-vertere », sous l’action de l’Esprit Saint.
Tout au long du Carême, chaque mercredi, nous vous proposons de découvrir des haltes de méditation et de contemplation à travers l'art et la création, pour avancer sur cette bénéfique traversée du désert, et cheminer vers la Lumière de Pâques. Notre deuxième étape est au désert dont la vitalité et la fécondité pour nos vies intérieures jaillit comme une eau vive, à l'image de cette fresque des catacombes de Calixte commentée par Sylvie Bethmont.
Les grandes fresques touristiques musicales sont la marque de fabrique de la société Indigo Productions .
« Irish Celtic », un spectacle tout public qui joue sur l'authenticité. - Photo Philippe Fretault
« Irish Celtic », un spectacle tout public qui joue sur l'authenticité. - Photo Philippe Fretault
Le producteur Indigo est sur le pied de guerre. La trentaine de danseurs et musiciens d’« Irish Celtic » répètent cette superproduction qui va déferler sur la France le 26 octobre – pour une soixantaine de dates et de villes, sans compter l’étranger. Le
show investira de grandes salles, dont le Zénith de Paris en novembre. Un pari pour Nicolas Feru, patron d’Indigo, qui a misé sur une version des danses irlandaises proche du théâtre musical, cherchant à se distinguer des deux best-sellers du genre, « Riverdance » (trois troupes dans le monde) et « Lord of the Dance ». Il s’adresse ainsi à un public plus familial et joue l’authenticité. Pas de bande-son comme certains concurrents, tout est live. « Cela se passe dans un pub, lieu de convivialité qui réunit toutes les générations en Irlande. Nous revenons au berceau de la culture locale, pour donner aux spectateurs une vraie expérience et peut-être l’envie d’aller sur le terrain »,commente Toby Cough, directeur artistique.
L’Office de tourisme irlandais s’est d’ailleurs impliqué dans la promotion de cette production, inspirée de récits glanés dans ces pubs, de faits historiques autour du « Titanic » ou de films mythiques comme « Braveheart ». Côté casting, rien n’a été laissé au hasard, avec une chorégraphie de Denise Flynn, ex-« lead dancer » de « Lord of the Dance ».
Devant le succès d’« Irish Celtic », lancé il y a deux ans, Nicolas Feru a enrichi cette année le spectacle d’une succession de tableaux, de projections de paysages, moyennant des coûts de création de 350.000 euros. Les prix resteront abordables néanmoins (de 36 à 49 euros), crise oblige. Le géant BB Promotion, producteur de « West Side Story » au Châtelet la saison dernière, a déjà acheté le show pour le faire tourner en Allemagne jusqu’en 2017. Une tournée sud-américaine est prévue en 2014.
VIDEO La bande annonce de « Irish Celtic »
Une comédie musicale sur la danse en projet
Créé en 1996 à Niort, la société de production qui réalise 8 millions de chiffre d’affaires, a choisi en 2005 de se spécialiser dans les grandes fresques musicales permettant de découvrir la culture d’un pays. « Il y a beaucoup de concurrence, il est difficile de survivre en région et nous avons pris ce virage en rencontrant les Ballets de Tahiti Ora. Puis nous avons produit des spectacles inspirés par l’Afrique du Sud avec “African Footprint”, par la musique cubaine avec “Soy de Cuba”, par les légendes indiennes avec “Bollywood”. Les offices de tourisme nous soutiennent, c’est pour eux une autre façon de vendre leur territoire. » Un genre porteur mais complexe : « African Footprint » a laissé une ardoise de 450.000 euros et « Soy de Cuba » a dû être repensé ; une nouvelle version sera proposée à Cannes en fin d’année, puis en Allemagne, en Amérique latine et à Paris l’an prochain.
Indigo ne se limite toutefois pas aux fresques touristiques musicales. Après avoir coproduit avec le Palais des Congrès « Le Lac des cygnes », interprété par le Saint-Pétersbourg Ballet Théâtre, le producteur récidive avec une quatrième tournée de 60 dates à partir du 1er novembre, alternant ce spectacle déjà vu par 200.000 personnes avec « Casse-Noisette » et « La Bayadère », en fonction des villes visitées. Et Nicolas Feru négocie d’arrache-pied pour monter une comédie musicale sur la danse, tirée d’un film célèbre. « Pour une fois, Paris n’aurait pas un train de retard sur Broadway ou le West-End », remarque le patron d’Indigo.
Délivrance / Jussi Adler-Olsen ; traduit du danois par Caroline Berg
Edition :
A. Michel, impr. 2012
Description :
1 vol. (665 p.) : couv. ill. en coul. ; 23 cm
Collection :
Les enquêtes du département V ; 3
Résumé :
A Wick, aux confins de l'Ecosse, une bouteille en verre dépoli traine depuis des années sur le rebord d'une fenêtre du commissariat. A l'intérieur, une lettre que personne n'a remarquée. Et quand on l'ouvre enfin, personne ne se préoccupe non plus de savoir pourquoi les premiers mots, Au secours, sont écrits en lettres de sang et en danois. La lettre finit par arriver sur le bureau des affaires classées de Copenhague où l'inspecteur Carl Mørck croit à une mauvaise plaisanterie.
« Soyez saints, car moi, le Seigneur votre Dieu, je suis saint … Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » (Lv 19, 1.18)
« Jamais le Seigneur ne se fatigue de donner, et ses miséricordes sont inépuisables : de notre côté, ne nous lassons pas de recevoir. Qu’il soit béni éternellement. Et que toutes les créatures chantent ses louanges ! Amen. »
(Livre de la Vie 19, 15)
Est-ce que je rends grâce pour cet appel à la sainteté, à aimer, que m’adresse le Seigneur ? Pour mieux y répondre, je (re)lis les n° 14 à 18 de l’exhortation « Gaudete et exultate » du Pape François.
En partenariat avec la province de Paris des Carmes Déchaux, cette retraite en ligne vous est proposée par MAGNIFICAT
Vous connaissez tous la grande fresque de Michel-Ange, dans la chapelle Sixtine, qui représente la création d’Adam ! Dieu est représenté sous les traits d’un homme âgé, puissant et majestueux, porté par des anges, qui donne la vie à l’homme. Cette image est sublime, mais est-elle juste ?
Dieu, me direz-vous, n’a pas de cheveux blancs. Il n’a pas d’âge, car il est éternel. Et d’une. Et puis de toute façon, Dieu n’a pas de corps, puisqu’il est Esprit, comme le dit Jésus à la Samaritaine*. Et de deux. Il n’est donc ni homme ni femme. Mais pourquoi, alors, s’est-il révélé à Israël comme un père ? Un père bon et fidèle qui a tout créé et qui veut faire de nous ses enfants d’adoption ?
Pour le savoir, regardons, de nouveau, la fresque de Michel-Ange, et en particulier le petit espace que le peintre a laissé entre l’index de Dieu et celui d’Adam. Le doigt de Dieu et le doigt de l’homme sont tout proches, mais ils ne se touchent pas. Cet espace représente la distance qui existe entre Dieu et l’homme, l’écart qui demeure, malgré la ressemblance, entre le Créateur et sa créature. C’est pour signifier cette séparation que Dieu s’est toujours présenté comme un père. Car le père engendre, mais à distance. Il ne porte pas, comme la mère, le bébé dans son ventre. D’une certaine manière, c’est lui qui coupe le cordon. L’image de la paternité est donc plus parlante que celle de la maternité pour exprimer le mystère de la transcendance de Dieu. Mais si Dieu est père, pourquoi le prophète Isaïe dit-il que Dieu console ses enfants « comme une mère»** ?
* Evangile selon st Jean, ch.4 , v.24 ** Livre d’Isaie ch. 66, v.13
Venez découvrir, à bord d'un de nos trains superbement restaurés, l'une des plus belles baies du monde préservée à l'état sauvage, située dans le nord de la France sur la Côte Picarde. Entre mollières et prés salés, saules et roseaux, le long de la côte ou sur le fond de la Baie de Somme, vous pourrez voyager en famille, entre amis ou en groupe, et découvrir le charme des voyages d'antan, dans un cadre exceptionnel, grace au "Réseau des Bains de Mer" reconnu depuis 1887.
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ROME (ITALIE) [23.01.15] - Un ensemble de plus de 5 000 antiquités d’époque romaine d’une valeur totale estimée à quelque 45 millions d'euros a été récupéré par les carabiniers italiens. Ces objets archéologiques seront bientôt exposés au public, dans des modalités encore à définir. PAR LeJournaldesArts.fr
Ahmed Slamti est né à Sefrou au Maroc en 1944. Après une carrière comme banquier il se lance dans la peinture pour s’évader et renouer avec son enfance montagnarde où l’authenticté, la simplicité et la nature sont les fresques de la vie . Son art révèle une palette infinie de couleurs chaudes à l’image du Maroc. Les tableaux de cet artiste peintre respirent la vie de tous les jours du premier coup d’oeil. Son style joue de tous les contraires: du figuratif à l’art abstrait, de l’ombre à la lumière. Ses œuvres chatoyantes sont exécutées aussi bien avec de la peinture à l’huile que de l’acrylique. Quand on lui demande ce qu’il cherche à travers sa peinture, il répond: “la liberté, l’émotion, la beauté”. L’originalité de l’art de ce peintre est l’utilisation de la peau de chèvre comme support à ses œuvres et le subtil mélange de pigments marocains rares. Son œuvre est un hommage à des villes comme Marrakech, Chefchaouin, Essaouira mais surtout aux marocains.
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1868-1927 : de l'invention de l'impressionnisme à la traversée de l'Atlantique par Lindbergh, un Normand établi à Etretat entreprend le récit de sa vie. Orphelin de mère, jamais reconnu par son père, il s'est installé chez son oncle, dans la splendeur des falaises, après avoir été blessé lors de la sanglante aventure coloniale en Algérie. Sous son regard, un homme peint : c'est Monet. Pour le jeune homme, qui ne connaît rien à la peinture, c'est un choc. La naissance d'un art et d'une époque se joue là, et, dès lors, il n'aura de cesse d'en suivre les métamorphoses, guidé par deux amantes, Mathilde, une bourgeoise mariée, sensuelle, puis Anna, passionnée. Elles l'initient à Monet, présent de bout en bout, mais aussi à Courbet, Boudin, Degas, Flaubert, Hugo, Maupassant... Tous passent à Etretat ou dans son voisinage. De la débâcle de la guerre de 1870 à la découverte de New York, de l'affaire Dreyfus au gouffre de la Grande Guerre, c'est tout un monde qui surgit, passe et cède la place à un autre. Dans la permanence des falaises lumineuses, la folie de Monet affrontant l'infini des Nymphéas. Le tout sous la plume d'un homme qui a beaucoup vécu, beaucoup ressenti, aimé et perdu. Fresque historique vertigineuse, saga familiale et amoureuse, évocation puissante de la pulsion créatrice : avec Falaise des fous, Patrick Grainville signe son roman le plus accompli, le roman d'une vie.
Quatre ans après « Les Chansons de l’innocence retrouvée », leurs cordes cinématographiques, leur décor clair-obscur du Londres mondain et interlope de Francis Bacon et des frères Kray, ce Diskönoir entêtant qui donnera lieu à la tournée de toutes les extases, Étienne Daho était prêt pour une nouvelle aventure. Celle-ci prend corps sous le nom de « Blitz », cette « guerre éclair » que le chanteur a voulu comme un défi, un bras d’honneur à la torpeur ambiante, nous enjoignant à rester « léger face au danger », lui qui ces dernières années est ressorti plus fort de bien des batailles et n’a jamais perdu sa légèreté de vivant, ni sa prodigieuse inspiration. En témoigne l’un des albums les plus aventureux de ses (presque) quarante années de funambulisme pop, à la fois fresque psychédélique de haut vol et recueil de ballades planantes qui ajoutent quelques chapitres (« Les Flocons de l’été », « L’Etincelle ») à cette déclinaison de l’élégance française dont Daho est l’incontesté souverain.
Ce spectacle est présenté par ELDORADO (Lic . 3-1037340) en accord avec TS3.
Réédition largement augmentée de l’édition de 2003, cette monographie richement illustrée revient sur le parcours de Roger Capron (1922-2006), seul céramiste français de son époque qui ait à la fois accompli une importante œuvre artistique et fondé une entreprise individuelle de premier plan. Après avoir suivi l’enseignement du décorateur René Gabriel, Capron crée en 1946 avec Robert Picault l’atelier de céramique Callis à Vallauris participant à la renaissance de la céramique, faisant du beau à la portée de tous. Apparaissent à cette époque les formes et représentations emblématiques de son travail, tels que des personnages stylisés, des inspirations animalières ou encore des soleils. En 1952, il rachète une poterie désaffectée et commence son aventure industrielle en fabriquant carreaux émaillés, mobilier d’appoint et panneaux décoratifs. A la fin des années 50, la commande d’une fresque de 174 m2 pour la gare maritime de Cannes lui fait découvrir la céramique architecturale qu’il mettra en oeuvre dans d’autres productions telles que la piste de danse en grès de l’hôtel Byblos de Saint Tropez. Enfin dans les années 80, Capron aborde un travail nouveau avec des pièces uniques proches de la sculpture. Basée sur le texte original de Pierre Staudenmeyer, cette version est enrichie par un entretien exclusif entre Jacotte Capron et Flavien Gaillard, spécialiste des arts décoratifs du xxe siècle, ainsi que par une iconographie abondante.
Nous connaissons tous ces faux prophètes, intellectuels désabusés, qui expliquent très sérieusement qu'on n'a plus le temps de lire, et qu'il faut désormais offrir des oeuvres raccourcies, des livres brefs - quelque chose de plaisant pour sept ou huit stations de métro.
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