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Rechercher : louise bourgeois

  • Succès olympique pour la Tate Modern

    Par Valérie Duponchelle
    04/06/2010 | Mise à jour : 21:35 Réactions (4)

    Projet d'extension des architectes suisses Herzog et de Meuron, concepteurs de la Tate Modern.
    Projet d'extension des architectes suisses Herzog et de Meuron, concepteurs de la Tate Modern.

    Le grand musée londonien fête ses 10 ans en s'agrandissant avant les JO de 2012. 

    Tate Modern ? En dix ans, ce nom de guerre simple et chic, en forme de trouvaille marketing, s'est imposé dans le paysage londonien, comme dans celui, compétitif et féroce, de l'art international. Plus possible d'ignorer cet énorme musée ouvert à tous ! Il s'est épanoui comme une fleur de luxe en plein Bankside, quartier déshérité de Londres, transformant l'ex-centrale électrique en une serre bénéfique à l'art et à ses riches perspectives. La cathédrale Saint-Paul est dans l'axe, de l'autre côté de la Tamise et du Millennium Bridge dessiné par l'architecte sir Norman Foster et le sculpteur sir Anthony Caro. Les chiffres, tout aussi démesurés, placent cet édifice de briques noires aux deux tours blanches, dessiné par Giles Gilbert Scott dans les années 1940, dans la catégorie des records du Guinness Book.

    Depuis son ouverture, le 12 mai 2000, plus de 45 millions de visiteurs ont fait de la Tate Modern une des attractions touristiques phare de la «grande île». La réhabilitation du Turbine Hall par le duo d'architectes suisses Herzog et de Meurona a été propice aux projets monumentaux de l'art contemporain le plus inspiré, des araignées monstres de feu Louise Bourgeois à la fleur carnivore géante d'Anish Kapoor et à l'aurore boréale d'Olafur Eliasson. L'objectif originel de 1,8 million de visiteurs par an a été explosé dès la première année (4,77 millions). Tant l'émergence de cette 4e dimension dans la ville de Turner, Gainsborough et Constable coïncidait avec l'appétit contemporain et la vitalité d'une nouvelle scène, les YBA (Young British Artists) dans le sillage de Damien Hirst et son collectionneur Charles Saatchi.

     

    «Promenade intime dans l'art» 

     

    Avec 4,65 millions de visiteurs entre mai 2008 et mai 2009, la Tate Modern bat en affluence le Centre Pompidou (3,53 millions en 2009), les MoMA (2,8 millions) et Guggenheim (1,3 million) de New York, ainsi que celui de Bilbao (0,9 million) et laisse le San Francisco MoMA loin derrière (0,7 million).

    La contrainte fait l'artiste ? La formule n'a pas vieilli depuis Picasso. La Tate Modern l'a assumée, avec le pragmatisme que l'on sait britannique. Avec un pic record de 42 000 visiteurs le samedi 13 mai 2000 et un score encore spectaculaire de 31 374 visiteurs le samedi 12 septembre 2009, ce musée a résisté au simple effet de curiosité comme à l'usure des ans.

    À la veille de cet anniversaire, Nicholas Serota, son directeur énigmatique, a souligné avec humour combien cette évolution avait été une bonne surprise. «On parle toujours de la Tate Modern comme de la réussite exemplaire d'un bâtiment. Elle ne doit pas oblitérer le contenu, notre politique résolue d'accrocher différemment nos collections permanentes en juxtaposant l'ancien et le nouveau, en privilégiant le plaisir de l'œil plutôt que le classique fil chronologique.» Depuis la Tate, bien des musées ont copié cette «promenade plus intime dans l'art», dans l'air du temps.

    Le moins peut le plus ? La collection de la Tate n'est pas, loin s'en faut, celle, royale, du Centre Pompidou qui se réinvente tous les deux ans (65 000 œuvres, dont 2 693 ont fait l'objet de prêts en 2009, dont 700 prêtées en 2010 au Centre Pompidou-Metz). Ni celle du MoMA, qui va du plus contemporain au plus ancien depuis octobre 2004, alignant ses 170 000 œuvres souvent légendaires (le nombre des prêts reste top secret).

    Prochaine étape ? L'agrandissement de la Tate par le duo Herzog et de Meuron, une extension propice aux expositions temporaires (52 expositions temporaires majeures et payantes en 10 ans, de «Matisse-Picasso» à «Cy Twombly» et «John Baldessari»). Coût de Tate Modern Two : plus de 200 M£ dont la Tate n'a trouvé encore que 75 M£. D'ici à 2012, année des JO, les premiers travaux devraient déjà dégager les trois citernes enfouies sous les pelouses.

  • La Tate Modern turbine avec succès depuis dix ans

    Lors de l'exercice budgétaire 2008-2009, on comptait ainsi 4,65 millions de visiteurs (en moyenne 13 000 par jour). Soit, pour la même période, plus que le Centre Pompidou - 3,53 millions de visiteurs - et que le MoMA - 2,8 millions. Elle est aujourd'hui la troisième attraction de Londres, après le British Museum et la National Gallery. La Tate Britain, restée dans les bâtiments de l'ancienne Tate, rive nord de la Tamise, et exclusivement consacrée aux artistes britanniques, a reçu quant à elle 1,58 million de visiteurs en 2008-2009.

    Ce succès est le produit d'une conjonction de facteurs. D'abord, le bâtiment lui-même et sa situation dans un quartier de la rive sud, Bankside. L'extérieur de la colossale usine électrique construite jadis le long de la Tamise a été peu modifié, hors la création d'un balcon face au fleuve, avec vue sur la cathédrale Saint-Paul et les tours de la City. Mais l'intérieur a été intelligemment aménagé, d'une part en créant des plateaux vastes, lumineux et neutres pour les oeuvres côté fleuve, et d'autre part en faisant du Turbine Hall, haute nef désormais vidée de ses machines, le lieu d'interventions demandées à des artistes reconnus. Les Unilever Series, du nom du mécène, ont fait travailler Louise Bourgeois, Bruce Nauman, Olafur Eliasson ou Anish Kapoor. La spécificité architecturale, qui aurait pu être un embarras, a été tournée en avantage.

    Autre adresse : la politique muséale que conduit Nicholas Serota, patron charismatique de la maison. Les collections permanentes sont loin d'être aussi riches que celles du Centre Pompidou et du MoMA. L'astuce est de les montrer d'une manière inattendue. Alors que ces musées préfèrent l'ordre chronologique et le classement par mouvements, ici a cours une répartition selon des notions telles que geste, matière, poésie ou nature. Les oeuvres sont supposées dialoguer plus librement. Ce principe, bien que d'une pertinence historique douteuse, séduit : parce que la Tate Modern est la seule à s'y tenir et parce qu'il donne au visiteur l'impression de flâner à sa guise et non de suivre une leçon. Avantage plus concret : les deux étages du musée sont d'accès gratuit, une exception en Europe.

    FACES DE VERRE TRAPÉZOÏDALES

    Une deuxième faiblesse est devenue une force. Jusqu'en 2000, les grandes expositions d'art contemporain international étaient rares à Londres et se tenaient soit dans les salles moroses de la "vieille" Tate, soit dans le triste béton de la Hayward Gallery. La Tate Modern s'est lancée dans un programme de rattrapage, en montrant tout ce qui ne l'avait pas été - ou mal - en Grande-Bretagne : Morandi, Warhol, Matisse, Picasso, Beckmann, Newman, Hopper, Kahlo, Rousseau, Kandinsky, Duchamp, Man Ray et Picabia parmi les morts ; Sigmar Polke, Bill Viola, Paul McCarthy ou Cy Twombly parmi les vivants. S'y ajoutent des expositions sur le surréalisme, l'arte povera italien ou le pop art en 2009. En octobre prochain, jouant de ce même ressort, la Tate célébrera Gauguin, qui n'a pas été vu à Londres depuis des lustres...

    En une décennie, la ville a ainsi acquis un rang nouveau, l'une des deux ou trois capitales européennes de la création. On ne saurait oublier que l'action de la Tate, tout en étant déterminante dans cette évolution, est inséparable d'autres événements. L'émergence d'une génération d'artistes britanniques hyperactive - les Young British Artists, de Damien Hirst à Tracey Emin - s'est appuyée sur la puissance de la collection de Charles Saatchi, devenue Fondation Saatchi. Cette conjoncture a suscité la création en 2002 de Frieze Art Fair, foire d'art contemporain qui, après des débuts brillants auxquels les fortunes rapides de la City n'étaient pas étrangères, connaît des jours moins fastes.

    Conséquence du succès, la Tate est à l'étroit dans son usine. Il lui faut une extension. Dessinée par le cabinet suisse Herzog & de Meuron, la Tate Modern Two, haute de 76 mètres, doit sortir de terre en même temps que le village olympique de l'East End. L'édifice, aux faces de verre triangulaires et trapézoïdales, sera accolé à la façade sud du bâtiment. Son ouverture doit être le moment culturel des Jeux olympiques de 2012 à Londres.

    Le 6 janvier, le maire de Londres, Boris Johnson, a donné le coup d'envoi des travaux : démolir des réservoirs pour faire de la place et couler 165 piliers de soutènement jusqu'à 25 mètres de profondeur. Le coût est estimé à 215 millions de livres (247 millions d'euros). Pour l'heure, la Tate n'en a que le tiers, 76,5 millions de livres, dont 50 viennent du gouvernement, 7 de la London Development Agency et le reste du privé. Mais autorités et financiers n'ont pas oublié que l'investissement initial de 137 millions de livres en 2000 fut amorti dès la deuxième année. On estime aujourd'hui à 100 millions de livres la contribution annuelle de la Tate Modern à l'économie londonienne.

    Le hall de la Tate Modern en 2000, peu après la reconversion de l'ancienne centrale électrique en musée.
    AFP/HUGO PHILPOTT
    Le hall de la Tate Modern en 2000, peu après la reconversion de l'ancienne centrale électrique en musée.

    Vos réactions
      Je trouve qu’à Beaubourg il y a bcp plus de choses à voir c’est sur. A la Tate Modern il y a la ’déco’ sur un immense mur avec tous les différents mouvements de peinture qui me plait bcp. Les tarifs... je ne sais pas. Je vais à Londres ces jours ci et la Tate Modern ne me tente pas trop; il y a à Londres des galeries qui m’interessent davantage  
    Philippe Dagen et Marc Roche

    http://www.lemonde.fr/culture/article/2010/05/03/la-tate-modern-turbine-avec-succes-depuis-dix-ans_1345940_3246.html#xtor=EPR-32280229-%5BNL_Titresdujour%5D-20100504-%5Bderoule%5D&ens_id=1346004

  • Decorum

    Tapisettapisseriesd'artistes

    / 11 octobre 2013 - 9 février 2014 /

    Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris met l’art textile en lumière avec l'exposition Decorum qui présente plus d’une centaine de tapis et de tapisseries signés par des artistes modernes (Fernand Léger, Pablo Picasso) et contemporains (Dewar & Gicquel, Vidya Gastaldon).

    Decorum permet de découvrir les œuvres tissées, souvent insoupçonnées, d’artistes majeurs et le travail d’artistes injustement méconnus (Guidette Carbonell). Des pièces anonymes de différentes époques et régions sont également exposées afin de déceler des influences et d’engager des confrontations.

    Objets à la fois visuels et tactiles, esthétiques et fonctionnels, facilement transportables (Le Corbusier qualifiait ses tapisseries de « Muralnomad »), tapis et tapisseries transcendent les habituelles frontières des arts décoratifs et du design

    Helene Frances Gregor, Totem n°5, 1976, Tapisserie de basse-lice en laine, 250 x 180 x 25 cm, Fondation Toms Pauli, Lausanne © Helen Frances GREGOR Photo: Fibbi-Aeppli, Grandson

    Jusqu’à la fin du XIXème siècle, les peintres se limitaient au dessin du carton destiné à être tissé ou à la représentation de tapis orientaux dans leurs tableaux (Lotto, Holbein, Delacroix). Au cours du XXème siècle, les avant-gardes artistiques européennes révolutionnent l’esthétique et la technique de l’art textile. Les artistes tissent eux-mêmes leurs tapis en faisant référence à des pièces anciennes ou en utilisant des motifs ethniques et géométriques.

    Souvent porteurs d’un message politique ou féministe à partir des années 1960, tapis et tapisseries suscitent un regain d’intérêt sensible depuis les années 2000. De jeunes artistes contemporains comme Caroline Achaintre ou Pae White produisent des pièces tissées originales qui intègrent tradition, modernité ou influences extra-occidentales et expérimentent de nouvelles techniques, comme le tissage numérique.

    L’exposition va ainsi à l’encontre des idées reçues présentant la tapisserie comme un art mineur ou anachronique. Elle permet par ailleurs de renouer avec une histoire peu connue du musée qui possédait un département Art et Création Textile dans les années 1980.

    L’artiste londonien Marc Camille Chaimowicz, directeur artistique invité, a conçu la scénographie inédite de l’exposition en collaboration avec l’architecte Christine Ilex Beinemeier. Jean-Philippe Antoine, professeur d’esthétique, propose une programmation de « musique d’ameublement », diffusée en fond sonore dans l’exposition.

    Un catalogue largement illustré et co-édité par Skira Flammarion est publié à cette occasion (graphisme : Huz&Bosshard)

     

    / Artistes

    Magdalena Abakanowicz; Caroline Achaintre; Anni Albers; Olga de Amaral; Leonor Antunes; Stefano Arienti; John M Armleder; Atelier E.B. (Lucy McKenzie et Beca Lipscombe); Ateliers Wissa Wassef; Michel Aubry; Tauba Auerbach; Francis Bacon; Giacomo Balla; Mark Barrow et Sarah Parke; Nina Beier; Anna Betbeze; Michael Beutler; Pierrette Bloch; Alighiero Boetti; Louise Bourgeois; Brassaï; Geta Brătescu; Jagoda Buić; Pierre Buraglio; Alexander Calder; Guidette Carbonell; Gillian Carnegie; Marc Camille Chaimowicz; Claude Closky; Isabelle Cornaro; Lucien Coutaud; Alexandre da Cunha; Pierre Daquin; Sonia Delaunay; Dewar & Gicquel; Latifa Echakhch; Marius Engh; Noa Eshkol; Frederick Etchells (Omega Workshops); Gustave Fayet; Lissy Funk; Ryan Gander; Vidya Gastaldon; Yann Gerstberger; Françoise Giannesini; Elsi Giauque; Piero Gilardi; Thomas Gleb; Daniel Graffin; Josep Grau-Garriga; Helen Frances Gregor; Marcel Gromaire; Sheila Hicks; Jim Isermann; Johannes Itten; Sergej Jensen; Asger Jorn et Pierre Wemaëre; Mike Kelley; Abdoulaye Konaté; Maria Lai; François-Xavier Lalanne; Bertrand Lavier; Le Corbusier Jules Leclercq; Fernand Léger; Jean Lurçat; Märta Måås Fjetterström; Karin Mamma Andersson; Mathieu Matégot; Gustave Miklos; Yves Millecamps; Joan Miró; Aldo Mondino; William Morris; Barbro Nilsson; Albert Oehlen; Nathalie du Pasquier; Mai-Thu Perret; Jean Picart Le Doux; Pablo Picasso; Présence Panchounette; Otto Prutscher; Robert Camille Quesnel (Frères Braquenié); Elizabeth Radcliffe; Carol Rama; Dom Robert; Gerwald Rockenschaub; Willem de Rooij; Dieter Roth & Ingrid Wiener; Mariette Rousseau-Vermette; Hannah Ryggen; Wojciech Sadley; Akiko Sato; Judith Scott; Kay Sekimachi; Shirana Shahbazi; Ivan da Silva Bruhns; Gunta Stölzl; Sophie Taeuber-Arp; Rosemarie Trockel; Maryn Varbanov; Victor Vasarely; Vincent Vulsma; Franz West; Vivienne Westwood; Pae White; Evelyn Wyld.



    / Avec le soutien de :

    cmp          prohelvetia    

               


    Cité internationale des arts à Paris
    École nationale supérieure des Arts Décoratifs
    École Nationale Supérieure d'Art de Dijon
    École supérieure des beaux-arts de Nantes Métropole
    Groupe Galeries Lafayette
    Institut national d'histoire de l'art 
    Institut national du patrimoine
    Josef and Anni Albers Foundation
    Laboratoire de recherche des monuments historiques de Champs-sur-Marne
    Office for Contemporary Art Norway

    Franco Soffiantino Contemporary Art Productions
    Galerie Ivan, Bucarest
    Galerie Kate Werble, New York

    Anker
    Carpet Care France

    http://mam.paris.fr/fr/expositions/decorum

  • LE NOBEL

    http://www.lefigaro.fr/livres/apres-les-scandales-un-nouveau-chapitre-pour-le-nobel-de-litterature-20201008

    https://video.lefigaro.fr/figaro/video/qui-est-louise-gluck-gagnante-du-prix-nobel-de-litterature-2020/

    https://video.lefigaro.fr/figaro/video/qui-est-emmanuelle-charpentier-la-francaise-colaureate-du-prix-nobel-de-chimie/

    https://www.la-croix.com/Prix-Nobel-medecine-ouvre-saison-2020-annee-coronavirus-2020-10-05-1301117654

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/deces-de-mario-molina-prix-nobel-de-chimie-en-1995-20201008

    http://www.lefigaro.fr/livres/peter-handke-le-nobel-m-a-apporte-la-paix-20201007

    https://www.la-croix.com/Culture/Le-prix-Nobel-litterature-recompense-Louise-Gluck-2020-10-08-1201118339

    https://www.la-croix.com/JournalV2/Nobel-ledition-genome-2020-10-08-1101118217

  • J'ai lu hier soir:Voir en peinture : la jeune figuration en France / [sous la direction de Anne Dary(nouveauté médiathè

    Voir en peinture. La jeune figuration en France - 1

    Livre

    Brugerolle, Marie de | Laget, Denis (1958-....) | Semin, Didier (1954-....)

    Edité par Lienart - 2023

    Avec des œuvres de : Marion Bataillard, Louise Belin, Guillaume Bresson, Nadjib Ben Ali, Mireille Blanc, Elvire Caillon, Ymane Chabi-Gara, Clémentine Chalançon, Mathieu Cherkit, Corinne Chotycki, Jean Claracq, Cyril Duret, Valentin Guichaux, Aurélie de Heinzelin, Nathanaëlle Herbelin, Simon Leroux, Thomas Levy-Lasne, Jérémy Liron, Clémentine Margheriti, Simon Martin, Eva Nielsen, Ainaz Nosrat, Marius Pons de Vincent, Laurent Proux, Shu Rui, Christine Safa, Louise Sartor, Manon Vargas, Marine Wallon, Miranda Webster..

    https://mediatheques.saint-etienne.fr/Default/doc/SYRACUSE/3179390/voir-en-peinture-la-jeune-figuration-en-france-sous-la-direction-de-anne-dary

  • Édition N°2078 - La péniche de Le Corbusier remise à flot

    Le Quotidien de l'Art
    Édition du 06 janvier 2021
     
    À la une du N°2078
    La péniche de Le Corbusier remise à flot
    Législation américaine renforcée sur le marché de l'art
    Louise Phillips à la tête de la BADA
    La galerie Afikaris s'installe rue Quincampoix
    Le chiffre du jour : 60% de baisse de fréquentation au Grand Palais
    Les télex du 6 janvier
    TÉLÉCHARGER MON ÉDITION
    Toutes les éditions de Quotidien de l’Art sont disponibles sur
    www.lequotidiendelart.com

  • J'ai fini ce soir:Poésie au féminin

    Collection Folio Junior Poésie (n° 1435), Gallimard Jeunesse
    Parution : 08-02-2007
    96 pages, ill., sous couverture illustrée, 124 x 178 mm
    Achevé d'imprimer : 01-02-2007

    À partir de 11 ans
    Genre > Sous-genre : Poésie > Anthologies
    Catégorie > Sous-catégorie : Jeunesse > Littérature
    Époque : Recueils diachroniques

    http://www.gallimard.com/Catalogue/GALLIMARD-JEUNESSE/Folio-Junior/Folio-Junior-Poesie/Poesie-au-feminin

     

  • J'ai craqué hier soir à la médiathèque et je l'ai commencé:Enterrez vos morts

    Enterrez vos morts | Penny, Louise (1958-....)

    Louise Penny ; traduit de l'anglais (Canada) par Claire Chabalier et Louise Chabalier

    Edité par Actes Sud , DL 2015

    L'inspecteur-chef Armand Gamache tente de se remettre du traumatisme d'une opération policière qui a mal tourné. Il s'est mis au vert quelques jours chez un ami, à Vieux-Québec, et vous ses journées à sa marotte, l'Histoire, dans les bibliothèques de la vieille ville. C'est alors qu'on découvre, dans les caves de la Literary and Historical Society, le corps sans vie d'un archéologue amateur qui avait consacré sa vie à une quête obsessive : retrouver la sépulture de Samuel de Champlain, le fondateur du Québec. Existerait-il donc, enfoui depuis quatre cents ans, un secret assez terrible pour engendrer un meurtre ? Confronté aux blessures de l'Histoire, hanté par ses dernières enquêtes, Gamache doit replonger dans le passé pour pouvoir enfin enterrer ses morts. Avec Enterrez vos morts, Louise Penny signe un roman d'une richesse dramatique rare. C'est sans doute ce qui lui a valu d'être consacrée par six des prix policiers les plus prestigieux - les Anthony, Dilys, Macavity, Arthur-Ellis, Agatha et Nero Awards - et de rester plusieurs semaines dans les meilleures ventes du New York Times.

    mediatheques.saint-etienne

  • Le travesti de 14-18

    Voici l'étonnante histoire de Paul Grappe, alias Suzanne Landgard: un déserteur de la Grande Guerre devenu travesti avant d'être tué par sa femme...

    Suzanne (Paul Grappe travesti) au Bois. (c) Archives Nationales Fonds Maurice Garçon

    Suzanne (Paul Grappe travesti) au Bois. (c) Archives Nationales Fonds Maurice Garçon

    C'est l'histoire d'un homme qui ne s'est jamais remis de ne plus être une femme. Il s'appelait Paul Grappe. Il ne voulait pas faire la guerre, la Grande, celle des tranchées, du casse-pipe. Après avoir tenté de se mutiler l'index, le caporal Grappe déserte en 1915.

    Pour échapper à la justice, il se travestit en femme, avec le soutien amoureux de la sienne, Louise. Commence alors une nouvelle vie pour le Parisien Paul Grappe/Suzanne Landgard, alias Suzy. Prostitution, échangisme, partouzes. Le tout accompagné par la mode des garçonnes, ces femmes aux cheveux courts qui firent tourner les têtes dans les années 1920.

    On comprend mieux pourquoi on a appelé cette période les Années folles...
    Suzy au bois de Boulogne, Suzy et les lesbiennes, Suzy fait du parachute à Vincennes... Et, toujours, Louise qui fait bouillir la marmite tout en participant aux effusions de son monsieur-madame. Sur sa demande, elle accepte même de prendre un amant puis d'héberger sa maîtresse au domicile conjugal.

       

            Paul Grappe en 1925              Suzanne (Paul travesti) en 1925

    [(c)Archives Nationales - Fonds Maurice Garçon]

    Après un court exil en Espagne, le couple se réinstalle à Paris en 1922. Entre 1923 et 1925, la période la plus chaude de ses activités nocturnes, Paul tient son journal intime, très intime. De tout cela, nous n'aurions sans doute rien su s'il n'y avait eu la loi d'amnistie de 1925. Après dix ans d'une existence débridée, Suzanne redevient Paul. Mais il lui manque quelque chose. Quelque chose qu'il remplace par l'alcool. Cinq litres de vin par jour!

    Dans leur petit appartement du 20ème arrondissement, les insultes sont fréquentes; les coups aussi. Les voisins sont incommodés, la concierge observe, mais chacun se garde bien d'intervenir dans ces violences privées hypocritement évacuées d'un «Cela ne nous regarde pas». Chaque soir, Paul rentre saoul et frappe Louise. Elle part un temps avec le fameux amant, puis revient, enceinte de Paul junior, en 1925.

    La vie continue ainsi, entre brutalité et misère, jusqu'à cette nuit du 21 juillet 1928. Protégeant son enfant malade, que le père veut aussi frapper, Louise saisit un revolver et tire ; Paul est mortellement atteint. Trois semaines plus tard, Paul junior meurt d'une méningite turberculeuse à l'âge de 2 ans et 8 mois. Après un procès retentissant, Louise est acquittée en 1929.

    Paul, sa femme Louise et leur bébé en 1926 

    [(c)Archives Nationales - Fonds Maurice Garçon]

    Ce fait divers fit la une des journaux. Fabrice Virgili et Danièle Voldman racontent fort bien ce drôle de drame d'une drôle de dame en expliquant ce qu'il nous dit de l'époque, de la face cachée des Années folles: «L'histoire hors du commun de Paul et de Louise peut se lire de bien des manières selon que l'on privilégie l'étude de la guerre de 1914, celle du genre, des violences conjugales, des rapports amoureux ou de la justice dans les années 1930.»

    Dans cette atmosphère digne du «Violette Nozière» de Chabrol, les auteurs montrent en quoi l'histoire particulière de ce couple d'ouvriers parisiens éclaire un pan du fonctionnement de la société française de l'entre-deux-guerres. En toile de fond, 14-18 bien sûr:

    «C'est la guerre qui a mis Paul hors jeu et l'a orienté vers un chemin au bout duquel se trouvait la mort. C'est elle aussi qui l'a enfoncé dans une névrose douloureuse. Elle enfin qui a été l'occasion de lui révéler une bisexualité que rien, dans les documents à notre disposition, ne laissait présumer.»

    Six mois après son acquittement, Louise épousa un ouvrier tourneur du nom de Jean-Marie Machin ce qui fait dire aux historiens qu'«après avoir été l'épouse d'un ivrogne nommé Grappe, un temps célèbre sous le nom de Jolie Suzie, elle devint la femme d'un inconnu nommé Machin» ... Louise est morte à l'hôpital Sainte-Anne en 1981, à près de 90 ans.
    Grâce à l'habileté de son avocat, Maurice Garçon, le souvenir de cette tragédie fut transformé.

    Du passé de Louise, on oublia son soutien à un déserteur, l'échangisme, l'adultère. Elle ne transgressait plus les règles comme Violette Nozière, qui tua son père, ou les soeurs Papin, qui trucidèrent leurs patronnes. Par un subtil retournement moral, la meurtrière devint la victime: «Une belle affaire, qui restaurait l'ordre des familles et donnait bonne conscience à tous ceux que son désordre antérieur n'avait pas vraiment gênés.» Chabrol aurait adoré...

    Laurent Lemire

    «La Garçonne et l'Assassin: histoire de Louise et de Paul, déserteur travesti, dans le Paris des Années folles»par Fabrice Virgili et Danièle Voldman
    Payot, 170 p., 16 euros.

    Source: "le Nouvel Observateur" du 9 juin 2011.

  • 1 ère du café thé 92 avec ”Cher petit frère”

    our ce 92ème Café Thé, je vous ai proposé de broder autour de cette photo de deux suricates, qui semblent se faire la tête (photo prise au zoo de La Palmyre près de Royan en 2016)

     

     

    et de nous raconter une brouille, une fâcherie, une discorde ou un quiproquo dans un couple ou entre deux amis... 

    Les consignes étaient : Ecrivez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

    Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant le résultat des votes (le 1er février 2018)

     

    Vous êtes 3 avoir participé et 45 à avoir voté.

    Vos votes ont désigné comme gagnante  Laura du blog : "Le blog de Laura Vanel-Coytte : ce que j'écris, ce(ux) que j'aime..." avec 27 voix devant Jill Bill (17 voix) etRenée (10 voix).

     

    Bravo à Laura, la gagnante et aux deux autres participantes !

    Et merci à tous ceux et celles qui ont voté !

    1ère) Laura du blog du blog "Le blog de Laura Vanel-Coytte : ce que j'écris, ce(ux) que j'aime..." : Petit frère...

    Cher petit frère, 

     J’espère que tu vas bien ainsi que Géraldine, sa famille, Elsa et Marius. Nous ne  nous verrons pas pendant ces fêtes et je pense que ce sera mieux pour nous tous à cause des tensions qu’il y a entre nous et qui ne vont pas avec NOEL.

    La suite ici

    2ème) Jill Bill du blog : "Melting-pot" : Dispute...

     

     

     

    Dispute, quand elle en voit partout...

     

    Ziz Annie, tu portes bien ton nom...

    Toujours à semer la bisbrouille

    A nous brouiller comme pas deux... !

    Oh Zanini ça va hein !

     

    Tu veux ou tu veux pas aller au cinéma... ?

    J'veux pas,

    Tant que tu regarderas l'autre-là

    De ton oeil libidineux...

    Qui, que, quoi, Brigitte, l'écureuil,

    Oh la jalouse, si, tu vois la femelle partout !

     

    Qu'est-ce qu'elle a de plus que moa ?

    Du pa na che !

    Et pas dépensière, elle !

    Me casserait pas les noisettes

    Et ma tirelire dans les boutiques... !

     

    Mon p'tit bonhomme

    Un jour JE vais m'casser !

     

    Ah si j'avais écouté ma mère,

    Epouse plutôt Cate ou la Palmyre...

     

    Ta mèèère, parlons-en tiens !

    3ème) Renée du blog "Envie de" : Jules et Louise...

     

     

    Jules et Louise attendent des amis pour midi.

    Tout est prêt ou presque si ce n’est qu’un différend risque de gâcher la tablée.

    Voyez vous-même, un aperçu de l’échange qui, commence par Jules

     

    t’as baissé le four Louise ?

    (S’agirait pas que tout soit trop cuit comme souvent…)

     

    Bien sûr, et toi tu as débouché le vin pour l’tempérer.

    (Jamais content ce Jules toujours à râler mais à manger comme 4 et boire comme un trou)

     

    Mais oui, Louise, tu poses d’ces questions!

    (faut toujours qu’elle mette son grain de sel, elle m’énerve)

     

    Jules t’a chercher l’gâteau à la boulengrie? t’as pris quoi au fait ?

    (aucune fantaisie, va encore yavoir une forêt noire, c’est lassant ! comme lui…)

     

    Oui Louise j’ai pris de la forêt noire, une valeur sûre.

    (j’sais pas pourquoi qu’elle y vas pas vu qu’elle aime jamais c’que rapporte)

     

    Guette bien si y arrivent Louise, bon sang pourquoi tu r’garde de c’côté, j’t’ai dit qu’y v’nait par l’autoroute…

    (fait tout pour m’énerver c’te bonne femme)

     

    Je r’garde ou j’veux, Jules, pis z’on p’tête changé d’avis et pris la nationale qu’est-c’t’en-sait ?

    Je r’garde ailleurs surtout pas voir ta tronche oui !)

     

    On ne saura pas comment c’est passé ce repas mais je vous laisse imaginer !

  • CONSPIRATION À VENISE

    EN LIBRAIRIE. Venise au XVIIIème siècle. Lorenzo, désireux de prouver son amour et sa bravoure à sa bien aimée Chiara, se lance dans une action, au demeurant romantique, qui va le propulser dans un tourbillon d’aventures romanesques aussi imprévisibles que déstabilisantes. Plongé dans un complot contre le Doge, pourchassé sans répit par les soldats de l’inquisition et par les membres d’une confrérie secrète auquel appartient le père de la jeune fille, il verra sa famille persécutée, ses amis arrêtés, sa fiancée séquestrée au couvent et sa vie de jeune bourgeois se transformer ...
     

  • La dernière librairie Libris de Bruxelles va fermer

    Libris Espace Louise, dernier point de vente de la chaîne en région bruxelloise, fermera ses portes le 1er septembre 2015. Le groupe a échappé de peu à la faillite, selon son directeur.

    La dernière librairie Libris de la région de Bruxelles va fermer le 1er septembre 2015, rapporte le site de la Dernière Heure. Cette annonce intervient après la fermeture du magasin Libris de Fort Jaco, à Uccle, une des communes du sud de Bruxelles.

    La librairie Libris, située dans le centre commercial de la Toison d’Or, avenue Louise, appartient au groupe Libris Agora. Pour son directeur général, Nicolas Lebeau, il n’y avait pas le choix. "Vous pouvez savoir que nous avons échappé de peu à la faillite il y a quelques mois. Libris Agora a failli suivre le sort des librairies Chapitre, en France, dont tout le réseau de 53 librairies a été mis en liquidation judiciaire, le 2 décembre." Selon son site web, Libris Agora emploie 85 personnes. On ignore encore combien d'entre elles seront licenciées.

    Avec la fermeture de l’Espace Louise, il espère sauver l’ensemble du groupe, qui représente 296 emplois. En effet, le groupe chapote également la chaîne Belgique Loisirs, le plus grand club de livres francophones de Belgique. Il a déjà annoncé la fermeture de deux magasins bruxellois de la chaîne : City 2 (au cœur de Bruxelles) et Woluwe Shopping Center. Ils fermeront au plus tard au printemps 2015.

    Concurrence du livre numérique

    La direction de Libris parle d’une "situation dramatique". Pour Nicolas Lebeau, l’enseigne a souffert de la concurrence du livre numérique, qui en 12 ans a gagné "de 0 à 18%" de parts de marché, de "quatre années consécutives de recul des ventes (...), un recul allant crescendo", des coûts salariaux et de la hausse des loyers dans les centres commerciaux. "Et ce dans un secteur difficile et l’un de ceux dont les marges bénéficiaires sont les plus réduites", ajoute le directeur.

    Belgique Loisirs et Libris Agora font partie du groupe Actissia. Contacté par Livres Hebdo, le groupe n’a pas souhaité faire de commentaires.

    Libris Agora a annoncé se battre désormais pour sauver les autres points de ventes Libris à Namur, Liège et Louvain-la-Neuve, ainsi que les autres activités du groupe, notamment le site web Meslivresnumériques.be. Les fermetures programmées se feront "avec le moins de casse sociale", a promis la direction.

    http://www.livreshebdo.fr/article/la-derniere-librairie-libris-de-bruxelles-va-fermer

  • Femmes artistes, passions, muses et modèles

    Femmes artistes : passions, muses et modèles@Conseil Général du Loiret 

    Du 16 juin 2012 au 19 août 2012

    Après le succès de l'exposition sur le peintre Foujita, la Grande Halle de Chamerolles, accueillera  l'exposition « Femmes artistes : passions, muses et modèles ». De Louise-Elisabeth Vigée-Lebrun à Niki de Saint Phalle, elle retrace à travers 150 oeuvres le destin d'une cinquantaine de femmes artistes nées ou ayant vécu dans l'entourage professionnel, intellectuel et familial d'autres génies de leur époque, du XVIIIème au XXème siècle.

    http://www.tourismeloiret.com/fr/0/0/1/135/actualites/d/0/femmes-artistes-passions-muses-et-modeles

  • ”Le Roi Lézard” de Dominique Sylvain

     

     

    Dans Le Roi Lézard, Louise Morvan élucide le mystère de l’assassinat de son oncle détective, Julian Eden, dont elle a hérité l’agence à la fin des années 70. En effet, le commissaire Serge Clémenti retrouve la piste de l’inspecteur Casdès qui avait été en charge de l’enquête et qui se l’était vu retirer sans raison apparente.

    http://www.viviane-hamy.fr/catalogue/collections/chemins-nocturnes/le-roi-lezard/article/le-roi-lezard

    Je précise que cette article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

  • Les amants de l'ombre

    Les amants de l'ombre 

    (2009, France)    | 

    Résumé

    ( en ) Les amants de l'ombre est un téléfilm français de Philippe Niang, diffusé pour la première fois le 8 décembre 2009 sur France 3. ----
    Résumé : Alors que la Seconde Guerre mondiale s'achève en Europe, des soldats américains s'installent dans un village français. Louise tombe amoureuse de Gary, un soldat noir, alors qu'elle est déjà mariée. Elle va devoir affronter le rascisme de ses proches. Sa parente Blanche, elle, va être sigmatisée pour avoir aimé un soldat allemand.

    http://fr.ulike.net/Les_amants_de_l'ombre

  • J'ai lu dans le train en rentrant de Paris: Le point grand tour Paris

    Paris

    Paris est plus que jamais une fête. Et peut-être bien la plus joyeuse de cette nouvelle collection de hors série «Grand Tour» auquel vous invite Le Point, à travers les lieux de civilisation qui font la joie des esthètes éclairés. Après Rome, Paris s’éveille.

    Les choix de la rédaction du Point entre bonnes planques, jolis lits et nouveaux artisans.

    Les repaires de créateurs, architectes, fleuristes, artistes comme Victoire de Castellane, Jean-Michel Othoniel, Rabih Kayrouz, Véronique Nichanian, Guillaume Henry, Youssouf Fofana ou Benoît Astier de Villatte et Ivan Pericoli...

    Les lieux de mémoire sur les traces de Marie de Médicis, Louise Michel, les Amanzones de la Nouvelle Athènes ou Dalida...

    Voici comment vivre Paris en 2021

    https://boutique.lepoint.fr/paris-1775?affiliate=15

  • J'ai lu hier:ELLES... CES PEINTRES DE L'ÉCOLE LYONNAISE DES 19E ET 20E SIÈCLES(ramené du musée de Montbrison)

    elles-ces-peintres-de-l-Ecole-lyonnaise-des-19e-et-20e-siEclesPrécédente note

     sous la direction de Sandrine Montagnier et Marie Picard-Daillère. Catalogue de l'exposition présentée au musée d'Allard, Montbrison, du 28 février au 21 septembre 2014.
     
    Le musée d'Allard s'est intéressé à celles qui ont laissé une oeuvre, parfois importante, et dont les noms n'évoquent pas toujours quelque chose (Emilie Charmy, Suzanne Valadon, Georgette Agutte, Louise Veilleux, Gabrielle Brama...) : plus de 60 artistes exposées.
     
    https://www.librairie-descours.com/catalogues-d-exposition/catalogue-d-exposition/28831/elles-ces-peintres-de-l-Ecole-lyonnaise-des-19e-et-20e-siEcles#.Wtw4NsiFOiw
  • À MON SEUL DÉSIR

    À MON SEUL DÉSIR

    Film français de Lucie Borleteau (2023 - 1h57min)

    avec Zita Hanrot, Louise Chevillotte, Laure Giappiconi, Pedro Casablanc, Sieme Miladi...

    Vous n’avez jamais été dans un club de strip-tease ? Mais vous en avez déjà eu envie ... au moins une fois... vous n’avez pas osé, c’est tout. Ce film raconte l’histoire de quelqu’un qui a osé.

    https://www.lemelies.com/spip.php?page=aujourdhuijeanjaures

    Le cinéma

    comme tout ce(ux) que j'aime

    inspire ce que j'écris

    comme Mes paysages de Nerval et Baudelaire à acheter ici

    MES PAYSAGES DE NERVAL ET BAUDELAIRE

  • Je n'ai pas aimé samedi au cinéma: trop long, lent... L'autre Laurens

    Le cinéma, comme tout ce qui m'intéresse, inspire ce que j'écris à acheter ici

     

    Synopsis

    Ce film est présenté à la Quinzaine des Cinéastes au Festival de Cannes 2023

    Le détective privé Gabriel Laurens, spécialisé dans les affaires conjugales, voit sa vie chamboulée lorsque débarque chez lui sa nièce Jade. La jeune fille a des doutes sur la mort accidentelle de son père et lui demande de mener l’enquête.
     
  • SOIS BELLE ET TAIS TOI !

    SOIS BELLE ET TAIS TOI !

    Film français de Delphine Seyrig (1976 - 1h52min)

    avec Jenny Agutter, Juliet Berto, Ellen Burstyn, Candy Clark, Jill Clayburgh, Patti D'Arbanville, Rose de Gregorio, Marie Dubois, Louise Fletcher, Jane Fonda...

    En 1976, Delphine Seyrig s’entretient avec 23 actrices sur leurs conditions de femmes dans l’industrie cinématographique, leurs rapports avec les producteurs et réalisateurs, les rôles qu’on leur propose et les liens qu’elles entretiennent avec d’autres comédiennes.
    Un documentaire culte, qui permet de réaliser ce qui a changé (ou pas).

    https://www.lemelies.com/-A-l-affiche-

    Ce blog est celui d'une autrice qui vend ses livres et qui le fait parce qu'elle est en a besoin, pas pour s'amuser

  • Maroc : African Arty, une nouvelle galerie pour Casablanca

    Logo The Art Newspaper France Daily

    Casablanca a inspiré "Paysages marocains" à acheter ici

    Maroc : African Arty, une nouvelle galerie pour Casablanca

    Par Alexandre Crochet


    Implantée à proximité du quartier des affaires, la galerie défend les artistes africains et de la diaspora, et dotera à terme d’une résidence d’artistes.
     
    Retrouvez tous nos articles ici
     
    Rafael Moreno reçoit le Prix Révélation Arts plastiques de l’ADAGP 2023

    Par Louise Menard


    L’artiste, qui a participé au Salon de Montrouge 2023, bénéficiera d’une dotation de 5 000 euros. Son travail sera en outre exposé par la Société des auteurs dans les arts graphiques et plastiques (ADAGP).
     
    Le mensuel d'octobre 2023

    Disponible en kiosque et en ligne sur
    www.artnewspaper.fr
     
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  • Jai fini ce midi:1812, Le fiancé de Russie / Anne Villemin-Sicherman

    1812, Le Fiancé de Russie par Villemin-Sicherman

    1812, Le fiancé de Russie / Anne Villemin-Sicherman

    Livre

    Villemin-Sicherman, Anne (1951-....)

    Edité par 10/18. Paris - 2024

    1812. La ville de Metz est en ébullition. L'Empereur est de passage avec la jeune impératrice Marie-Louise. Alors que les préparatifs de la campagne de Russie battent leur plein, le corps d'un jeune garde est découvert. Malgré les réticences de son mari, le commissaire Montfort, Victoire décide de se mêler à l'enquête. Querelle d'officiers ? Dettes de jeu ? Contrebande ? Les pistes sont multiples et certaines personnes semblent avoir tout intérêt à ce que cette affaire ne soit jamais résolue...

    https://mediatheques.saint-etienne.fr/Default/doc/SYRACUSE/3247705/1812-le-fiance-de-russie-anne-villemin-sicherman