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  • Catégories : A lire, J'ai aimé, L'art

    Géo Art. Les impressionnistes

    Geoart07052012

    Geo Art, nouvelle extension de la marque Geo, a investit les kiosques le 9 mai. Chaque édition de ce nouveau magazine monothématique est consacrée à un courant artistique, à une période d’histoire de l’art ou à un artiste majeur connu du grand public. Ainsi le numéro de lancement est entièrement dédié à l’Impressionisme. Afin de faire la part belle au visuel (70 % du contenu) Geo Art a adopté un grand format : 23,3 * 30 cm.

    “GEO Art a pour volonté de rendre l’art accessible au grand public en donnant aux lecteurs les clés pour comprendre un courant artistique ou l’œuvre d’un artiste”, explique Eric Meyer, rédacteur en chef de Geo.

    Vendu 12,90 €, Geo Art compte 132 pages et restera en kiosques 2 mois. Le magazine est proposé avec un plus produit DVD relatant la naissance des Impressionnistes.

     http://www.tarifmedia.com/actualites/prisma-media-lance-geo-art

  • Catégories : A lire, Voyage

    Satori à Paris

    Satori à Paris

    "De retour d'un voyage en France à la recherche de ses origines, Jean Louis Lebris de Kerouac, le chef de file du mouvement beat, s'aperçoit qu'il a reçu une sorte d'illumination, un satori. Ne sachant à quel épisode précis attribuer cette révélation, il décide de revivre avec le lecteur ces dix journées passées dans notre pays, journées où abondent les situations inattendues, et où l'on sent ce besoin de sympathie et de chaleur humaine que Kerouac manifestait en maintes occasions."
    Présentation de l'éditeur

     

    Traduit de l'anglais par Jean Autret

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  • Catégories : Musique

    POP SATORI DELUXE

     Vingt ans après, il est une évidence qui d’emblée s’impose. Succès platiné à l’époque de sa sortie, Pop Satori est avant tout un album risqué. Un album qui fait alors rimer envergure avec futur. Il est un fier représentant de cette electropop visionnaire dont on pensait que seuls nos voisins britanniques avaient l’apanage. Entre arrangements idéalistes et mélodies osées, ambiances feutrées ou atmosphères désaxées, il excelle dans l’art du contre-pied. Ce sont ces qualités qui en font, aujourd’hui encore, une œuvre étourdissante. Et pas seulement pour cause de réhabilitation d’une décennie, les années 80, bien longtemps répudiées mais désormais exaltées. Ni pour les souvenirs qu’il ne manquera pas d’évoquer à tous ceux qui l’ont déjà croisé. Il s’agit d’un disque d’émois et de premières fois, de sentiments et de tâtonnements. Toujours en équilibre. Un jeu de piste que l’on se plaît à suivre, sans forcément savoir où il va nous mener. Où l’on désire même se perdre. Et où l’on se perd, d’ailleurs, une fois encore, étourdis entre autres par ces vingt-huit titres peu ou prou inédits – existe-t-il encore d’autres trésors comme ce Paris Le Flore murmuré avec les paroles anglaises originelles ? –, par cet incroyable remix signé Fischerspooner qui montre à quel point Tombé Pour La France était, de fait, en avance sur son temps. Par cette version sombre d’un Soleil De Minuit enfin à son zénith. Par ces versions live délurées – portées par un public déchaîné –, ces maquettes à peine déflorées – l’impertinence ensoleillée de Centerfold Romance“Merci beaucoup”, se surprend-on alors à murmurer. Sans même savoir si le principal intéressé nous entendra.


    Christophe Basterra.

    http://www.etiennedaho.com/

     

    Dans cet album, Etienne Daho reprend "Late night" de Syd Barret(cf. ci-dessous) et rend hommage à jACK kEROUAC(cf. ci-dessous) avec le Satori

  • Catégories : Des musées, J'ai aimé, J'ai lu

    J'ai lu hier :Le Figaro musées N°38 - Le Musée Condé du Château de Chantilly

    N°38 - Le Musée Condé du Château de Chantilly

    "Princier, c’est le qualificatif qui vient immédiatement à l’esprit du visiteur qui découvre par une belle journée d’automne le Château de Chantilly ! Tout ici est princier, la forêt, le parc et ses allées dessinés par Le Nôtre, le château qui apparaît comme échappé d’un manuscrit des Très Riches Heures du Duc de Berry, les écuries, rêve de pierre extravagant et démesuré, les collections dont l’inventaire semble ne pouvoir jamais s’achever et enfin les princes tristes et splendides qui se sont succédé dans cette maison. Pendant cinq siècles, les familles les plus puissantes du royaume de France vont se léguer de branche en branche un domaine qui aurait fait l’orgueil d’un roi. Jusqu’en 1898 où le duc d’Aumale offrait à la France, le château de Chantilly et ses trésors.”

    Patrick de Carolis, Journaliste et écrivain
     
     
  • Catégories : Chagall Marc

    La Cour Chagall

     

    En 1964 pour agrémenter sa demeure parisienne, Ira Kostelitz commande à Marc Chagall une mosaïque monumentale ainsi que les deux sculptures Oiseau et Poisson. Quelque quarante ans plus tard, le mari d’Ira offre ces œuvres à Annette et Léonard Gianadda qui les exposent dans le Parc de sculptures de la Fondation Pierre Gianadda. Un pavillon est reconstitué à l’identique dans les Jardins pour accueillir définitivement La Cour Chagall. Ce don exceptionnel contribue à embellir le Parc de la Fondation, véritable panorama de la sculpture du XXe siècle.
    Il s‘agit de la première mosaïque de la collection de la Fondation, mais également de l’arrivée d’un nouvel artiste prestigieux, Marc Chagall, dans le Panthéon déjà renommé du Parc de sculptures.
    Les mosaïques sont peu nombreuses dans l’œuvre de Chagall. Celle-ci, montrée pour la première fois en public, a été inaugurée le 19 novembre 2003, jour du 25e anniversaire de la Fondation.
    Pouvait-on rêver d’un plus beau cadeau pour ce jubilé ?

    http://www.gianadda.ch/wq_pages/fr/expositions/la-cour-chagall.php
    Léonard et Annette Gianadda entourant Georges Kostelitz

  • Catégories : Des expositions, Des musées

    PORTRAITS - COLLECTIONS DU CENTRE POMPIDOU

    Exposition organisée par la FONDATION PIERRE GIANADDA et le CENTRE POMPIDOU - Paris
    2 mars au 24 juin 2012
    tous les jours de 10 h à 18 h

    Parmi les genres picturaux issus de l’Académie, le portrait, dont on pouvait penser qu’il serait rétif aux diverses révolutions esthétiques, modernistes notamment, a produit la plupart des icônes de l’art du XXe siècle. On ne fait pas un portrait impunément sans que surgissent d’emblée des présupposés philosophiques, religieux, mythiques ou métaphysiques.

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  • Catégories : Des expositions

    Léonard de Vinci – L'inventeur

     

    Au Vieil Arsenal de la Fondation Pierre Gianadda
    d'avril à septembre 2012 : tous les jours de 10 h à 18 h

    Avec Léonard de Vinci – L'inventeur à Martigny, la Fondation Pierre Gianadda présente l'une des plus grandes personnalités de la Renaissance.
    Auteur de la Joconde et de la Cène, Léonard de Vinci est connu dans le monde entier: à l'exposition de Martigny, le visiteur rencontre le visionnaire, le savant passionné et l'inventeur technique.

    Une exposition didactique et interactive

    L'exposition est consacrée à l'homme fascinant que fut Léonard de Vinci (1452-1519) et elle donne une vue approfondie de l'activité de ce génie universel. La fascination qu'il exerce encore sur nous, quelque 500 ans plus tard, est due à sa curiosité et à sa passion indéfectible d'explorer le monde et ses secrets.

    Les exploits d'inventeur et de chercheur de ce savant universel fixent des repères dans le développement de l'humanité. Léonard de Vinci caressait le rêve de voler et d'être mobile.
    On lui doit l'invention de l'hélicoptère et du parachute, de la première automobile propulsée par ressort et de la bicyclette.

    Léonard a anticipé le scaphandre, a développé des instruments optiques et s'est toujours préoccupé de mesurer exactement le temps. Plus d'une centaine de fac-similés, dont certains coloriés à la main, d'après ses dessins et ses études, illustrent la puissance créatrice de Léonard, ingénieur et architecte, constructeur de ponts et urbaniste, anatomiste et horloger polyvalent.

    Réalisés selon ses croquis, les modèles mobiles que le visiteur peut prendre en main permettent de saisir – au sens propre du terme – les idées de Léonard.

    Les différentes bornes interactives offrent une information approfondie qui, en plus des 8000 images, fournit moult détails intéressants sur la Renaissance et sur la vie et l'?uvre de Léonard.

    Reliées ici de façon ludique, les différentes disciplines artistiques, scientifiques et techniques permettent au visiteur d'appréhender avec convivialité les connaissances de Léonard.

    Le génie et son temps

    Léonard de Vinci, fils illégitime d'un notaire et d'une jeune paysanne, vint au monde dans le petit village de Vinci, près de Florence. Certes, Léonard n'eut jamais accès à une instruction supérieure, mais il vécut au bon moment et au bon endroit. Dominée par la puissante famille de banquiers Médicis, la ville de Florence était, à cette époque, l'un des principaux centres de la Renaissance.

    Dans une extraordinaire ambiance de renouveau reprenant le modèle de l'Antiquité classique, l'art et la culture qui débutaient faisaient déjà aux contemporains l'effet d'une «renaissance». Les révolutions économiques et scientifiques créèrent une nouvelle cosmologie.

    C'est dans ce climat que Léonard œuvra comme artiste, chercheur, inventeur et technicien, ingénieur et musicien.
    Il était le plus curieux de tous, l'incarnation de «l'homme de la Renaissance».

    Ses innombrables carnets où il notait minutieusement ses observations de la nature, ses connaissances et ses idées démontrent sa soif de savoir et sa passion de la recherche.

    A sa mort, à l'âge de 67 ans, au château de Clos, près d'Amboise, Léonard laisse plus de 6000 dessins scientifiques et techniques, ainsi que des manuscrits illustrant son talent d'inventeur génial, ouvrant ainsi la voie à la concrétisation de ses rêves d'avenir les plus audacieux.

    Le chercheur

    Léonard croyait reconnaître dans la nature un plan scientifique parfaitement exécuté. Il utilisa les méthodes scientifiques les plus variées pour saisir les phénomènes de la vie et les documenter pour la postérité.
    Ses études géométriques et mathématiques, physiques et mécaniques, astronomiques et anatomiques sont d'une extrême importance.

    Entre 1472 et 1515, en dépit de l'interdiction de l'Eglise, il effectua trente autopsies afin d'étudier la structure et la mécanique du corps humain, les systèmes nerveux et musculaire, le cœur et la circulation sanguine. Le résultat de ses recherches est une représentation anatomique d'une exceptionnelle qualité plastique et d'une exactitude scientifique jamais égalée avant la fin du XVIIIe siècle.

    L'inventeur

    Comme aucune autre personne, Léonard était capable de comprendre les mondes opposés de l'art et de la science. Ses innombrables recherches et études lui permirent d'acquérir de nouvelles connaissances dans les domaines les plus divers: bateau équipé d'une roue à aubes, clinomètre et hygromètre et même machine volante.

    La cosmologie élaborée par Léonard est celle d'une grande machinerie. Il ambitionnait de construire «des machines permettant de déplacer des mondes entiers» afin de faciliter mainte tâche technique.

    Tout en restant uniformes et précis, les travaux devaient être réalisables plus vite et plus facilement. Il chercha de nouvelles possibilités de transformer le mouvement rotatif en un mouvement de va-et-vient, élément essentiel de toute machine.

    Dans ce but, il expérimenta des engrenages, des palans, des manivelles et des roues dentées; il se servit de l'énergie éolienne et de la force musculaire, de l'entraînement par ressort et du volant. Il inventa notamment des machines hydrauliques et des mécanismes d'horlogerie, ainsi que des ponts tournants et la presse à imprimer.

    Outre un grand nombre de constructions mécaniques, les inventions les plus connues de Léonard sont l'automobile et l'engrenage, que l'on peut considérer comme l'ancêtre de la boîte de vitesses de l'automobile moderne. Avec un grand enthousiasme, Léonard étudia le vol des oiseaux et l'anatomie de l'aile de l'oiseau, et, après diverses expériences, il abandonna l'idée de l'avion à ailes oscillantes pour des constructions à ailes rigides, un appareil volant doté d'une hélice – le précurseur de l'hélicoptère moderne.

    De même, son projet de parachute est en relation étroite avec ses inventions de machines volantes. Conseiller de plusieurs souverains, chefs militaires et familles de la noblesse, Léonard œuvra en tant que constructeur, architecte et géologue. Bien qu'il ait détesté la guerre et l'ait qualifiée de «folie bestiale», il se recommanda même comme ingénieur militaire.
    Souhaitant présenter cette relation fascinante entre science, technique invention, l'exposition Léonard de Vinci – L'inventeur jette donc un pont entre la Renaissance et la période contemporaine.

    Ce qui jadis relevait de l'utopie est aujourd'hui devenu une réalité et témoigne de l'attitude typique de Léonard de Vinci, celle d'un savant moderne conscient de sa valeur et de son importance.

    Commissaire de l'exposition:

    Dr Otto Letze

    Le catalogue

    Léonard de Vinci - L'inventeur
    Auteur:Otto Letze

    Prix: CHF 45.–, € 31.50
    Trilingue: Français - Allemand - Anglais

    http://www.gianadda.ch/wq_pages/fr/expositions/davinci.php



    L'homme de Vitruve, ~1490
    Plume et encre, aquarelle légère sur crayon argenté
    Galleria dell'Accademia, Venise

  • Catégories : L'art, MON TRAVAIL

    Un Livre blanc préconise de repenser l'enseignement de l'histoire des arts à l'école

     

    Enseignants non formés, programmes inexistants ou évaluations incohérentes : les spécialistes de la discipline énumèrent les dysfonctionnements. L'histoire des arts enseignée à l'école relève-t-elle de l'escroquerie intellectuelle ? L'interrogation peut sembler provocante.

    http://www.lemonde.fr/sujet/0050/college-de-france.html

  • Catégories : A lire, Dürer Albrecht

    La vie et l'oeuvre d'Albrecht Dürer.

    Nouvelle EditionErwin Panofsky
    Collection : Bibliothèque Hazan

     
     
    La vie et l'oeuvre d'Albrecht Dürer. Nouvelle Edition
    Erwin Panofsky
    Historien et théoricien de l’art d’origine allemande (1852-1968), Panofsky a fait école par sa méthode consistant à dégager les modalités créatrices de chaque période par une confrontation des formes artistiques avec leur contexte culturel. Son approche sophistiquée et raisonnée de l’iconographie a abouti, dans ses Essais d’iconologie (1934), à une théorie de la représentation en art.

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  • Catégories : Bradbury Ray

    Ray Bradbury

    «Il n'y a pas besoin de brûler des livres pour détruire une culture. Juste de faire en sorte que les gens arrêtent de les lire.»

    «La paix, Montag. Proposez des concours où l'on gagne en se souvenant des paroles de quelque chanson populaire, du nom de la capitale de tel ou tel État ou de la quantité de maïs récoltée dans l'Iowa l'année précédente. Bourrez les gens de données incombustibles, gorgez-les de «faits», qu'ils se sentent gavés, mais absolument «brillants» côté information. Ils auront alors l'impression de penser, ils auront le sentiment du mouvement tout en faisant du sur-place. (...) Ne les engagez pas sur des terrains glissants comme la philosophie ou la sociologie pour relier les choses entre elles. C'est la porte ouverte à la mélancolie. Tout homme capable de démonter un télécran mural et de le remonter, et la plupart des hommes en sont aujourd'hui capables, est plus heureux que celui qui essaie de jouer de la règle à calcul, de mesurer, de mettre l'univers en équations, ce qui ne peut se faire sans que l'homme se sente solitaire et ravalé au rang de bête.»

    Fahrenheit 451

    http://www.lefigaro.fr/livres/2012/06/07/03005-20120607ARTFIG00714-ray-bradbury-en-dix-citations.php

  • Catégories : Bradbury Ray

    Ray Bradbury

    "Rien de ce qu'un ordinateur peut faire n'est comparable à un livre. On ne peut pas vraiment mettre un livre sur Internet. Trois compagnies m'ont proposé de mettre certains de mes livres sur la Toile et j'ai dit: «Si vous pouvez faire quelque chose qui a une jolie couverture, un beau papier avec une bonne odeur, alors on pourra discuter». Tout ce qu'un ordinateur peut vous donner, c'est un manuscrit. Les gens ne veulent pas lire des manuscrits. Ils veulent lire des livres. Les livres sentent bons. Ils sont beaux.» En août 2000, dans une interview auPeoria Journal Star

    http://www.lefigaro.fr/livres/2012/06/07/03005-20120607ARTFIG00714-ray-bradbury-en-dix-citations.php