Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
De la "Génération pigeons" à la "Génération champions" : lettre ouverte à Jean-David Chamborédon
Le Point.fr - Publié le22/04/2013 à 10:59- Modifié le22/04/2013 à 11:26
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Le Point.fr - Publié le22/04/2013 à 10:59- Modifié le22/04/2013 à 11:26
Émission du 26/04/2013
Voir la vidéo:
http://www.france5.fr/emissions/c-a-dire/diffusions/26-04-2013_54193
Date de parution 04/04/2013
Essais (H.C.)
« Des présidents de la République aux bergers nomades, du Maroc au Pakistan, des zones de guerre les plus féroces aux scènes de liesse les plus folles, j’ai eu la chance de travailler presque partout dans le monde arabe, d’y croiser des gens exceptionnels et d’y vivre les moments les plus historiques de ces dernières années. J’ai été blessé, j’ai perdu plusieurs collègues et amis, dont un très proche, j’ai vu souffrir et mourir plus de monde que je n’aurais cru possible en une vie entière. Mais pour toutes ces difficultés, il y a également une vraie joie à être journaliste. Être payé pour voyager et pour écrire : que demander de plus ? »
La poésie des nombres
Le nouveau best-seller de Daniel Tammet, l’auteur de Je suis né un jour bleu et Embrasser le ciel immense.
Auteur reconnu et cerveau d’exception, Daniel Tammet a le don de raconter les mathématiques, de les rendre concrètes et vivantes, à travers sa propre vie, notre quotidien, la poésie ou la grande Histoire.
Les mathématiques sont une science, certes, mais une science de l’imagination qui nous permet de répondre aux questions universelles que pose la littérature : le temps, la vie, la mort, l’amour...
http://www.science.gouv.fr/fr/a-decouvrir/bdd/res/4825/l-eternite-dans-une-heure/
Il n’est pas vrai que le spectacle de Venise soit mortifère. Aveuglé par son égotisme, Barrès nous a, là-dessus, fourvoyés. Insensible à la pompe des rentrées victorieuses, au défilé des galéasses, au ballet des galères pavoisées de couleurs, il avait refusé de se laisser...
http://www.amazon.fr/Monet-LOeil-impressionniste-Collectif/dp/2754103406#
Le port industriel fait une entrée triomphale dans la peinture moderne en 1874 lors de la première exposition impressionniste. Mais c'est Camille Pissarro qui donnera toute sa dimension à ce thème à travers une importante série réalisée pendant vingt années, de 1883 à 1903, dans les trois ports normands de Rouen, Dieppe et Le Havre. Ce hors-série accompagne l'exposition organisée par le musée d'art moderne André Malraux du Havre, dans le cadre du Festival Normandie Impressionniste 2013.
Ce recueil est largement inspiré, dans sa composition, de Meaning in The Visual Arts (1957) dont l'auteur avait souhaité une adaptation au public français. "L'histoire de l'art est une discipline humaniste" définit les trois niveaux de signification d'une oeuvre et leur donne pour principe de contrôle une histoire des styles, des types et des symboles; "L'histoire de la théorie des proportions humaines", conçue comme un miroir de l'histoire des styles, applique la méthode à l'analyse d'un schème structural particulier. "Artiste, savant, génie" (1962) peut apparaître comme la dernière synthèse de la pensée de l'auteur sur la Renaissance. Tandis que des deux articles qui le suivent, l'un, "Le premier feuillet du Libro de Vasari", montre la façon dont cette époque, la Renaissance, a pris conscience d'un style, le gothique, qu'elle tenait pour extérieur à elle-même, l'autre, "Deux projets de façade par Beccafumi", est, sur le maniérisme dans l'architecture du XVIe siècle, une discussion sur les principes qui, aujourd'hui, permettent de caractériser un style. Les trois derniers essais, " Dürer et l'Antiquité L'Allégorie de la Prudence chez Titien" et la merveilleuse étude sur Poussin et la tradition élégiaque, "Et in Arcadia Ego", offrent, parvenus à leur point de perfection, les chefs-d'œuvre de l'interprétation iconographique.
http://www.amazon.fr/Loeuvre-dart-significations-Erwin-Panofsky/dp/2070272613/ref=pd_sim_b_4
Par La Différence, le mercredi 03 avril 2013 à 17:40:42
http://www.actualitte.com/communiques/le-mal-du-pays-de-dominique-jamet-1160.htmCommuniqué
Salim Jay évoque ici l'essai de Dominique Jamet, Le Mal du pays, paru dans la collection Politique des Éditions de la Différence. L'éditorialiste et écrivain prolifique Dominique Jamet, fait ici l'état des lieux d'une France qu'il souhaiterait voir plus épanouie. Son mot d'ordre "N'ayons pas peur".
Longtemps, les Gaulois ont été nos ancêtres. Tout commençait avec Vercingétorix, quelque part entre Gergovie et Alésia. Ensuite venaient tout naturellement Geneviève tenant tête à Attila, et Clovis courbant la sienne sous l’onction de Rémi. Par Bouvines et Crécy, par le malheureux roi de France pleurant sa défaite au soir d’Azincourt et par le sourire de Jeanne d’Arc menant Charles VII jusqu’à Reims, par Marignan et par Pavie, par la Saint-Barthélemy et l’édit de Nantes, par le siège de La Rochelle et les échanges de politesse et de coups de fusil de Fontenoy, par la prise de la Bastille, la Déclaration des droits de l’homme, la nuit du 4 août, le moulin de Valmy, les massacres de Septembre, l’exécution de Louis XVI, par Austerlitz et Waterloo, par les Trois Glorieuses et les journées de Juin, par la Commune de Paris et la condamnation du capitaine Dreyfus, par la Marne et Verdun, par les deux armistices de Rethondes, par De Gaulle et Pétain, par la cathédrale de Chartres et la Sainte Chapelle, par le palais de Fontainebleau et le château de Versailles, par les Invalides et l’Arc de triomphe, par Louis XIV et Napoléon, par l’Obélisque et la tour Eiffel, par Ronsard, La Fontaine, Voltaire et Victor Hugo, par la querelle du Cid, l’interdiction de Tartuffe, la bataille d’Hernani, le triomphe de Cyrano, la première du Sacre du printemps, un fil ininterrompu, qui courait au long du temps, reliait et pour ainsi dire cousait depuis deux mille ans les siècles, les générations et les Français les uns aux autres. Ce fil c’était celui de notre histoire, avec ses hauts et ses bas, ses blessures et ses cicatrices, ses moments d’unanimité, ses guerres, le plus souvent étrangères mais trop souvent civiles, ses fractures plus ou moins ouvertes, ses gloires et ses deuils qui s’inscrivaient dans une continuité.
Ce fil, aujourd’hui, est-il brisé ?
Traduit par Simone Arous
Date de parution 11/04/2013
Seuil Policiers
Résumé / Avis : T. Lentz synthétise dans ce petit livre compact tout ce qu'il y a à savoir sur les différentes facettes de l'Empereur à l'aide de questions, habituelles ou inaccoutumées : Quelle était la langue maternelle de Napoléon ? Croyait-il en Dieu ? A-t-il ruiné la France ? Avait-il peur de la mort ? L'armée de Napoléon était-elle la meilleure du monde ? Napoléon pouvait-il vaincre pendant la campagne de France ?
Après La Sirène, Camilla Läckberg poursuit les aventures d’Erica Falck et Patrick Hedström dans Le Gardien de phare, annoncé chez Actes noirs (Actes sud) pour le 5 juin.
Fidèle au poste, la reine du polar suédois Camilla Läckberg revient avec un nouvel épisode des aventures d’Erica Falck. Après La Sirène, on reste dans le registre maritime avec ce nouvel ouvrage intitulé Le Gardien de phare annoncé dans la collection Actes noirs d’Actes sud le 5 juin.
Encouragé par le succès phénoménal de Métronome, Lorànt Deutsch s'apprête à publier un nouvel ouvrage consacré aux routes et fleuves de France.
Une sélection du Journal de Gide, qui s'est retrouvé au carrefour des enjeux politiques, moraux et esthétiques de son temps.
Cette édition abrégée du journal d’André Gide permet de revenir à l’oeuvre maîtresse de celui qui fut pendant un demi-siècle le «contemporain capital», selon le mot d’André Rouveyre. L’édition complète s’étend sur près de soixante années, 2500 pages, et occupe deux forts volumes de «La Pléiade». Voici donc, en 460 pages, la quintessence de la pensée de cet esprit paradoxal, de ce voluptueux tourmenté, de ce protestant en délicatesse avec la religion, sorte d’agnostique aux élans mystiques, pour qui la plus belle fonction à assumer était celle d’«inquiéteur».
Gide s’est trouvé au rendez-vous de tous les grands enjeux, politiques, moraux ou esthétiques de son siècle. Paludes, ce joyau, est un coup de pied réjouissant dans le mobilier vermoulu du symbolisme et d’une littérature trop solipsiste : les débuts du Journal en portent la trace, même si Gide ne se montre pas toujours exempt de complaisances narcissiques. Il montre aussi, au jour le jour, les angoisses du créateur, notamment lors de la sortie de Corydon, dont «le sujet flotte dans l’air», et qui va faire de son auteur, entre autres, un pionnier de la défense de l’homosexualité, comme il sera plus tard l’observateur attentif du communisme, avant de le tailler en pièces, ou le pourfendeur du colonialisme…
Cette édition d’extraits judicieusement choisis du Journal livre la substantifique moelle de cette conscience en marche, inimitable dans ses hardiesses prudentes, ses coups de griffe caressants, ses hésitations : ah ! les pages écrites pendant la guerre, ce constant balancement entre tous les inconvénients du choix… Et cet aveu ultime, presque au bout du chemin : «Un extraordinaire, un insatiable besoin d’aimer et d’être aimé, je crois que c’est cela qui a dominé ma vie, qui m’a poussé à écrire ; besoin quasi mystique, au surplus, car j’acceptais qu’il ne trouvât pas, de mon vivant, sa récompense.»
De l'oeuvre littéraire des frères Goncourt, abondante, il reste essentiellement le Journal qui a été plusieurs fois réédité, notamment chez Robert Laffont en 1989 (collection «Bouquins»). Le succès de cette édition intégrale a entrainé la réédition de plusieurs des ouvrages littéraires et historiques des Goncourt. Citons, en particulier, le roman Germinie Lacerteux (1865) qui relate les tristes aventures d'une servante hystérique. Emile Zola, un de leurs lecteurs assidus, fera ce commentaire: «Ils ont des nerfs d'une délicatesse excessive qui décuplent les moindres impressions».
La rédaction de leur Journal, dont les premières pages furent écrites au lendemain du coup d'Etat du 2 décembre 1851, assurera la postérité des Goncourt. Car les deux frères, surtout Edmond qui en a écrit les trois quarts, seront sans complaisance envers leurs contemporains mis à nu. Leurs remarques sont de véritables pointes sèches exécutées de main de maître. Après la mort de Jules, Edmond, qui se révélera un extraordinaire reporter sur la société de son temps, décida d'en publier une partie. Neuf volumes parurent entre 1887 et 1896. L'Académie Goncourt qui avait la charge, par testament, de publier l'intégralité du manuscrit, proposera en 1935 une édition tronquée préfacée par Lucien Descaves. Une autre le fut par André Billy.
Au risque de procès en diffamation, il était encore trop tôt pour dévoiler la totalité de ce précieux document qui témoigne, sans fausse pudeur, de la vie artistique et mondaine de la deuxième moitié du XIXe siècle. Le pastiche du Journal des Goncourt par Marcel Proust dans La Recherche du Temps Perdu est sans doute le plus bel hommage rendu aux deux frères.
Orphelin dès l'âge de 13 ans, Amiel est élevé par son oncle dans sa ville natale. Après de brillantes études, il voyage et découvre la Suisse, l'Italie, la France, l'Allemagne et...
Date de parution 04/04/2013
Comment transformons-nous notre vie en récit ? Pour le savoir, et connaître la genèse d’une autobiographie, Philippe Lejeune confronte le texte autobiographique à ses brouillons plutôt qu’à la vie hors texte, plus difficile à saisir.
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akènes, regroupés en glomérule
trois aires de répartition du fantastique le lit,
la maison, la forêt, à lui seul un platane
comment construit-elle sa singularité grammaticale comment face
à une norme mâle de la langue
la langue la baigne, elle baigne ma fille
ta moi et ma moi comment cela aussi dans l’échange quand je la
désigne en disant