Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Stendhal, curieux bonhomme
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http://www.la-croix.com/Culture/Livres/Livres/Stendhal-curieux-bonhomme-_NG_-2013-01-30-905554
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Traduit par Marianne MILLON |
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« Un miracle de fiction intelligente, un des thrillers essentiels de ces dernières années. »The Washington Post
Après Le Livre de l'air et des ombres, le nouveau chef-d'oeuvre de Michael Gruber. Un puzzle passionnant, plein de chausse-trappes et de trompe-l'oeil, qui ensorcelle littéralement le lecteur.
Fils d'un peintre réputé, Chaz Wilmot a un don pour reproduire les tableaux de maîtres anciens. Lorsqu'il accepte de restaurer une fresque de Tiepolo dans un palais vénitien, il est loin de se douter qu'il va, pour la première fois, être amenéà réaliser un faux. Et, pourtant, il se révèle bien vite un faussaire de tout premier ordre, à la ferveur créatrice inédite. Ce nouveau talent le conduit peu à peu à découvrir un univers sans pitié où, dans l'ombre, marchands d'art, experts, riches collectionneurs et historiens mènent la danse. Obsédé par un nu de Vélasquez, il va vite être entraîné malgré lui dans une affaire aux multiples rebondissements.
Avec ce thriller obsédant, d'une rare intelligence, Michael Gruber s'empare de l'esprit du lecteur et le captive jusqu'à la dernière page, grâce à une intrigue vertigineuse où le vrai et le faux se mêlent et se confondent et où toutes les apparences se révèlent trompeuses. Il nous offre un formidable voyage dans le monde fascinant des faussaires, avec ce roman qui, de la vie de Vélasquez à la spoliation des oeuvres d'art des victimes de l'Holocauste, fourmille de détails passionnants relatifs à l'art et à l'histoire. Salué par une critique unanime, il confirme ainsi avec cette oeuvre son statut de grand maître du thriller érudit.
L'auteur
Michael GRUBER
Michael Gruber est docteur en biologie marine. Il vit à Seattle. Après Le Livre de l’air et des ombres, L’Énigme Vélasquez est son deuxième roman publié au cherche midi éditeur.
http://www.cherche-midi.com/theme/L_Enigme_Velasquez-Michael_GRUBER_-9782749113432.html
Un grand nombre de locutions proverbiales, de dictons populaires et de phrases toutes faites ont pris place dans notre langue, surtout dans la langue de la conversation, et, en général, on serait fort en peine d'expliquer le véritable sens des unes ou l'origine des autres. On n'ignore pas que ces expressions sont empruntées, soit à certains usages, soit à l'usage, soit à nos chefs d'œuvre littéraires : mais le plus souvent la trace est perdue, les souvenirs sont effacés et les livres ne sont pas sous la main. - Ce sont ces locutions diverses que nous nous sommes proposé de réunir en recherchant, autant que possible, la source de chacune.
Elle fut la "grande tsarine", se disait "pauvre impératrice", les historiens l'ont baptisée la "Messaline russe" : Catherine II (1729-1796) fascine, deux siècles plus tard, le cinéaste Oleg Erdmann qui a décidé de tourner un film sur la vie de cette personnalité hors norme, née en Poméranie princesse Sophie Augusta Frédérique d'Anhalt-Zerbst et envoyée en Russie à l'âge de 15 ans pour épouser le futur Pierre III. Lequel sera renversé par un coup d'Etat puis tué par les fidèles de Catherine, célèbre pour ses "fringales sexuelles", qui étendra son règne autoritaire, mais aussi éclairé, sur toutes les Russies. Etabli à Leningrad dans un appartement communautaire, Oleg Erdmann veut "tout savoir" sur "cette petite Allemande devenue la Grande Catherine", qui se levait à cinq heures du matin, se frottait alors le visage avec un glaçon, travaillait quinze heures par jour, s'habillait très simplement, prisait du tabac, buvait du café très fort, collectionnait les amants, clamait son "âme républicaine", séduisait les philosophes - de Voltaire à Diderot. Mais Oleg veut surtout sonder le mystère d'une femme défigurée par les clichés, et qui confiera : "Le vrai mal de ma vie, c'est que mon coeur ne peut vivre un seul instant sans aimer..." Alternant les évocations d'un XVIIIe siècle effervescent et d'une Russie moderne cadenassée par ses idéologies, le nouveau roman d'Andreï Makine transcende la simple biographie, même si l'on s'intéresse davantage au destin de Catherine qu'à celui d'Oleg. Reste que l'écrivain parle à nouveau de violence, de liberté, d'amour, avec cette éloquence qui lui est propre, son style érudit et fiévreux, aux accents si slaves.
http://www.lexpress.fr/culture/livre/une-femme-aimee-par-andrei-makine_1207437.html
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Le commissaire Martin est appelé au milieu de la nuit : le corps d’une fillette vient d’être retrouvé sur le périphérique entre Paris et Pantin. Malgré ses années de service, Martin ne peut s’habituer aux meurtres d’enfants et c’est animé d’une rage folle qu’il se rend sur les lieux du crime. Très vite, l’enquête le conduit au domicile d’un certain Akim Fédiche. Mais l’homme, récemment sorti de prison, semble impossible à confondre et les recherches pour l’interroger restent vaines. Jusqu’à ce qu’on le retrouve pendu, en pleine forêt, à une centaine de kilomètres de Paris dans un simulacre de suicide…
LE TRAIN «grâce auquel l'homme n'a plus rien à envier aux poissons et aux oiseaux» ! C'est du verbe tramer que vient le mot train... Pour autant, ce moyen de locomotion ne traîne pas pour s'imposer, dans le quotidien comme dans l'extraordinaire. Traîner, c'est étymologiquement tirer, d'où le train assimilé à la «file de choses» en mouvement, au XIIe siècle, puis dès le XV siècle, à la «partie de la voiture à cheval à laquelle sont attachées les roues», avant que naissent, en 1825, la machine locomotive tirant voitures et wagons et, au XXe, le TGV, un sigle stimulant, synonyme de modernisme.
Le train sillonnera la terre en «abrégeant le temps et l'espace», s'exclame-t-on en 1870. Ainsi, c'est au chemin de fer que sera consacré le plus gros article du Dictionnaire universel du XIX siècle de P. Larousse, 25 pages ! A J. Verne de son côté d'évoquer dans le Tour du monde en 80 jours, le train et sa locomotive étincelante, munie de son chasse-vache, qui «mêlait ses mugissements à ceux des torrents et des cascades, et tordait sa fumée à la noire ramure des sapins». On peut désormais aller «d'un pôle à l'autre, plus vite que ces énormes cétacés qui traversent les océans des deux mondes», lit-on dans un dictionnaire du XIXe. Propos étonnant car comment surnommera-ton parfois le TGV ? Cachalot...
En offrant ici à foison mots et expressions, d'hier à demain, en racontant l'univers rayonnant du chemin de fer et de la SNCF, on donne raison à J. Renard : le train «agite» merveilleusement «notre cerveau» !
LES AUTEURS Amélie Rozet, esprit curieux et efficace, travaille dans la communication et se passionne tout naturellement, dans la tradition familiale, pour l'univers du train et celui des dictionnaires. Jean Pruvost, tout petit, rêvait de dictionnaires et de trains...
LA COLLECTION CHAMPION LES MOTS dirigée par Jean Pruvost offre un voyage totalement inédit au coeur des mots, à travers les dictionnaires du XVIe siècle à aujourd'hui, voyage propre à surprendre et enchanter celles et ceux qui veulent découvrir ou approfondir le thème présenté.
Déjà parus : Le vin, Le loup, La mère, Le citoyen. Le mariage, Le chat, Le chocolat, Le parfum, Le fromage, Les élections, Le cirque.
Sites. De la saline du Jura à la centrale nucléaire de Chinon, en passant par l’île Seguin, un ouvrage met en lumière six siècles de patrimoine industriel en France.
Un petit garçon, après le décès de son père et le départ de sa mère, est élevé, dans la petite ville de Manisa, par ses grands-parents. Le grand-père, propriétaire terrien, juriste, mutilé de guerre et musulman d’une grande piété, s’efforce d’inculquer à son unique petit-fils les principes de l’islam. L’imaginaire de l’enfant se nourrit ainsi des versets du Coran et des légendes que lui conte inlassablement sa grand-mère. Il se crée sa propre vision, hantée par le bien et le mal et les épisodes de la vie de Mahomet, qu’il partage avec ses camarades, et surtout avec le petit Ismaïl, fils d’un émigré des Balkans, qui l’initie en retour aux aventures de Tarzan. Le récit prend un autre chemin lorsque le narrateur, devenu adulte, découvre, parmi les papiers de son grand-père décédé, un carnet de notes prises pendant la Seconde Guerre mondiale. Envoyé en Arabie, dans le Hedjaz, comme officier de l’Inspection du Ministère de la Marine, en tant que juriste maîtrisant parfaitement la langue arabe, il se trouve amené à combattre d’autres musulmans et à défendre la ville sainte de Médine contre les Arabes insurgés devenus alliés des Anglais. Ce qui aurait pu être un pèlerinage devient une sorte de cauchemar.
Un jeune officier, rencontre à Salonique une jeune Circassienne appartenant au harem d'un riche vieillard à Istanbul. Son amant, officier de marine britannique, rappelé en Angleterre, la quitte malgré lui. Quand il la retrouve, la jeune femme est morte de chagrin. Il meurt à son tour au combat. « Si tout n'est pas fini dans la sombre poussière, je le saurai bientôt peut-être. Je vais tenter de mourir pour le savoir... » Un roman quasi autobiographique de Pierre Loti qui séjour en Turquie et rencontre Azidayé en 1877.
Extrait des notes et lettres d'un lieutenant de la marine anglaise - entre au service de la Turquie le 10 mai 1876, tué dans les murs de - Kars, le 27 octobre 1877.
1893 Ce roman, publié en 1879, fait l’objet d’une suite titrée : Fantôme d’Orient qui paraît en 1892.
Le mardi 8 octobre 2002 par catherinem
La mère d’Hassan est mariée à un homme qu’elle n’aime pas et qu’elle fait assassiner. La famille du père n’a alors de cesse de réclamer vengeance, et le père lui même, revenant, apparaît aux yeux des villageois sous diverses formes, clamant haut et fort que seul l’assassinat de sa femme pourra lui rendre le repos éternel.
Tous font pression sur Hassan pour qu’il accomplisse ce geste, dont personne ne parvient à se charger, tant la beauté de sa mère est exceptionnelle et semble d’essence divine. En Hassan se bousculent un sentiment d’impuissance à commettre un acte aussi odieux, et l’envie d’en finir avec tout ça et de voir disparaître sa mère pour ne plus subir toutes ces pressions.
http://www.livres-online.com/Tu-ecraseras-le-serpent.html
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
« Oh ! Stamboul ! De tous les noms qui m'enchantent encore, c'est toujours celui-là le plus magique. [...] Aucune capitale n'est plus diverse par elle-même, ni surtout plus changeante d'heure en heure, avec les aspects du ciel, avec les vents et les nuages - dans ce climat qui a des étés brûlants et une admirable lumière, mais qui, par contre, a des hivers assombris, des pluies, des manteaux de neige tout à coup jetés sur ses milliers de toits noirs. Et ces rues, ces places, ces banlieues de Constantinople, il me semble qu'elles sont un peu à moi, comme aussi je leur appartiens. » (extrait)
Metin Arditi pour son roman «Le Turquetto» (Actes Sud).
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Sur la couverture du «Turquetto» apparaît la main de «l’Homme au gant» du Titien, célèbre tableau exposé au Louvre. Et si ce tableau n'était pas du pinceau du maître, mais de celle d'un peintre tombé dans l'oubli? Une anomalie relevée dans la signature permet toutes les suppositions...
Elevé à Constantinople, le petit Elie n'a qu'une passion: le dessin. Mais quand on est fils de marchand d'esclaves – activité réservée aux juifs par les Turcs –, dessiner est inimaginable. Pourtant, le jeune garçon s'obstine, s'initie à la calligraphie avec un musulman, copie les fresques de Saint-Sauveur... Parti de Constantinople pour Venise, Elie change de nom, prenant celui de «Turquetto», et travaille auprès des maîtres italiens du Cinquecento, dont il devient l’égal – Véronèse, Titien. Il dévoile ses origines juives en peignant une «Cène» somptueuse. L'église le fait immédiatement arrêter et juger. Condamné à mort, ses toiles brûlées, il échappe de peu à la pendaison grâce à un prélat. De son œuvre, il ne restera que cet « l’Homme au gant » miraculé. Réflexion sur la création et sur la difficulté d’échapper à un destin tracé, ce récit «historique» est enlevé et profond. Un beau prix Giono.
http://bibliobs.nouvelobs.com/actualites/20111018.OBS2713/prix-jean-giono-a-metin-arditi.html
2012Deux enfants s’égarent dans le bush australien. Un seul réapparait. Tom, amnésique, déchiré de culpabilité. Il se jure, du haut de ses dix ans, qu’il retrouvera Flynn, quatre ans. Ni à cause des coups de fouets de son beau-père, qui le hait d’être rentré seul, ni des pleurs de leur mère terrassée par le chagrin. Mais parce qu’il a promis à son petit frère de le ramener.Darcy, à peine une ado, presqu’encore une petite fille, originaire de la même petite ville « Angel Rock » est retrouvée morte à Sydney. Suicidée. Comment est-elle arrivée si loin, pourquoi ce geste définitif ?Ces enfants sont-ils les victimes de lointaines haines conçues et nourries par les générations précédentes ?Deux figures de policiers vont s’opposer tout en se respectant. D’un côté Gibson, le citadin, que motive le souvenir du suicide de sa sœur bien des années auparavant. De l’autre, Pop Mather, le lieutenant de la police locale, qui connait l’histoire de chacun, et celle des relations dans les familles depuis bien des décennies. Lui trouve qu’il y a eu bien assez de souffrance comme cela et que sa petite communauté mérite le silence et le recueillement. L’autre, toujours au bord de ses propres précipices intimes, préfère la brulure de la vérité. Sa recherche obstinée va l’entrainer loin, aussi bien dans le passé que dans l’espace, puisqu’il va poursuivre de vieux fantômes jusqu’aux limites de l’out back, là où les pluies représentent un rare miracle.Darren Williams est doté d’une rare force d’évocation de la nature. Je n’ai lu la pareille que chez un maître comme James Lee Burke. Williams ne raconte pas le bayou, bien sur, mais des chemins d’argile rouge bordés d’eucalyptus, sur lesquels les enfants courent nu pieds, et le ciel se chargeant d’orages furieux qui éclatent sur les pentes forestières de la table montagneuse.Le personnage de Tom, petite ossature terriblement attachante, le fantôme de Darcy, les souvenirs qui se refusent, l’humanité de l’officier Pop Mather, l’atmosphère étrange de maison vides et de villages fantômes, « Conséquences » enferme dans ses pages une mélancolie subtile mais bien plus encore. Car la force tellurique de la montagne de l’Ange passe aussi dans les cours d’eau, le vol des oiseaux dans le ciel et la naissance de l’amour chez des enfants affrontant pourtant la peur et la mort.Le premier roman de Darren Williams « Swimming in Silk » a été primé en Australie. Celui-ci mériterait incontestablement de l’être. A tout le moins, on doit espérer que la critique saura le saluer comme il le mérite et que le public trouvera le chemin de ses pages, pleines de forces terribles mais aussi de poésie.
JEANNE DESAUBRY
http://www.editionsphebus.fr/les-routes-de-la-demesure-nathalie-courtet-9782752907288
On ne peut pas faire plus somptueux ! Toute l’œuvre peinte de Gustav Klimt est là, illustrée en gros plan, ses paysages, ses portraits, ses frises et les mosaïques dont le Viennois décora le légendaire palais Stoclet, à Bruxelles. On les voit en détail dans des pages qui se déplient. Cette monographie magistrale fête les 150 ans de la naissance de l’artiste...
http://madame.lefigaro.fr/art-de-vivre/editions-originales-151212-308808
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog
Publié à l'occasion de l'exposition Léonard de Vinci, Projets, Dessins, Machines présentée à la Cité des sciences et de l'industrie du 23 octobre 2012 au 18 aout 2013.
Quelle était la méthode de Léonard de Vinci, artiste et savant ? Comment retracer l'intelligence léonardienne à l'œuvre ? De la nature à l'invention, comment se décompose l'aventure du savoir?
Dessinateur, peintre, inventeur de machines de guerre et de divertissement, anatomiste, Léonard de Vinci fascine. S'appuyant autant sur sa curiosité transdisciplinaire que sur son ancrage dans les traditions savantes de l'époque, Léonard a embrassé toutes les connaissances. L'observation de la nature, de l'eau à la botanique, de l'anatomie humaine au vol des oiseaux, est omniprésente dans la genèse de ses créations artistiques et techniques. Ses inventions, décrites et dessinées dans ses fameux carnets et codex, font de lui un des plus grands ingénieurs et humanistes de la Renaissance.
PAUL KLEE, VIE ET ŒUVRE
de Christine Hopfengart et Michael Baumgartner
Éditions Hazan, 336 p., 200 ill., 69 €
Une œuvre monde, avec ses langues, sa mythologie, sa géographie, ses villes et ses royaumes peuplés d’Elfes, de Hobbits, de mages et autres créatures imaginaires. Qui, toutes générations confondues, ne connaît pas Bilbo ou Frodo ? Écrivain, poète, critique, philologue, médiéviste, J.R.R. Tolkien est devenu, dès les années 1960, avec Le Seigneur des Anneaux puis récemment, avec les adaptations cinématographiques de Peter Jackson, un phénomène de société.