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Catégories : A lire, Istanbul(Turquie):travail et séjour, Loti Pierre

J'ai acheté dans une librairie française à Istanbul

Un jeune officier, rencontre à Salonique une jeune Circassienne appartenant au harem d'un riche vieillard à Istanbul. Son amant, officier de marine britannique, rappelé en Angleterre, la quitte malgré lui. Quand il la retrouve, la jeune femme est morte de chagrin. Il meurt à son tour au combat. « Si tout n'est pas fini dans la sombre poussière, je le saurai bientôt peut-être. Je vais tenter de mourir pour le savoir... » Un roman quasi autobiographique de Pierre Loti qui séjour en Turquie et rencontre Azidayé en 1877.

Extrait des notes et lettres d'un lieutenant de la marine anglaise - entre au service de la Turquie le 10 mai 1876, tué dans les murs de - Kars, le 27 octobre 1877.

1893 Ce roman, publié en 1879, fait l’objet d’une suite titrée : Fantôme d’Orient qui paraît en 1892.

« Les descriptions vivantes que fait l‘auteur des quartiers d’Eyüp et d’Haskeuy ne tombent jamais dans l’ornière d’un orientalisme facile, et le récit se déroule sur un fond historique et politique remarquable : le sacre tumultueux du sultan Abdülhamid, la crise des Balkans, le traité de San Stefano qui boute la Turquie hors du territoire européen. À l’époque, le turcophile Loti avait réussi, avec ce livre quasi autobiographique, à retourner l’opinion occidentale en faveur des turcs. » (extrait d’un commentaire du Guide du routard)

« - Avant mon arrivée en Turquie, que faisais-tu, Aziyadé ? - Dans ce temps-là, Loti, j'étais presque une petite fille. Quand pour la première fois je t'ai vu, il n'y avait pas dix lunes que j'étais dans le harem d'Abeddin, et je ne m'ennuyais pas encore. Je me tenais dans mon appartement, assise sur mon divan, à fumer des cigarettes, ou du hachisch, à jouer aux cartes avec ma servante Emineh, ou à écouter des histoires très drôles du pays des hommes noirs, que Kadidja sait raconter parfaitement. » (extrait)

« Loti est en somme un hippy dandy : comme lui, les hippies ont le goût de l'expatriation et du travestissement. Cette forme de refus ou de soustraction hors de l'Occident n'est ni violente, ni ascétique, ni politique : c'est très exactement une dérive : Aziyadé est le roman de la Dérive. » (Roland Barthes)

http://www.bibliomonde.com/livre/aziyade-fantome-orient-3297.html

Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog

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