Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Vous n'aurez pas le dernier mot !

de Jean Piat, Patrick Wajsman
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Trad. de l'anglais (États-Unis) par Marie-Odile Fortier-Masek
Le "Piquet-Monségur", en Ariège, près du château où périrent brûlés plus de 200 Cathares en 1244... Les autres photos ont également été prises sur le site. (Photo jacme31 )
Véritable poétesse des temps modernes, Patti Smith quitte le cocon familial chicagoan à l’âge de 21 ans et fait ses débuts dans la ville qu’elle considère comme celle de tous les possibles : New York. Bien avant de connaître le faste et la célébrité, elle lutte pour joindre les deux bouts et enchaîne les petits boulots alimentaires pour financer ses rêves de création. Dès son plus jeune âge, elle s’imagine “comme Frida avec Diego, à la fois muse et créatrice. [Elle] rêvait de rencontrer un artiste pour l’aimer, le soutenir et travailler à ses côtés”. Avant de devenir l’artiste qu’elle est aujourd’hui, c’est ce rêve de petite fille qu’elle a vu être exaucé.
“Outtakes from Patti Smith / Robert Mapplethorpe session” par Norman Seeff

Le secret du docteur Barry Le choix des libraires
C.J. BOX
Traduction (américain) : Aline Weill
Edition originale : Seuil Policiers - Octobre 2009
Rééditions :
Dernière édition poche : Seuil / Points Policier - Octobre 2010
Autres éditions :

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Les lecteurs des Gouttes de Dieu, le manga mondialement connu que Tadashi Agi (scénario) et Shu Okimoto (dessins) ont consacré au monde du vin, attendaient naturellement une cuvée de champagne parmi les treize "apôtres" de la bande dessinée japonaise en 37 tomes dont 30 volumes ont paru et 1 million d'exemplaires ont été vendus en France par les éditions Glénat à ce jour. Rappelons le principe de la série : le jeune Shizuku Kanzaki, en compétition avec l'oenologue Issei Tomine, doit découvrir en moins d'un an les douze vins décrits par son père comme étant les douze meilleurs du monde dans son testament. Au fil d'aventures oenologiques et sentimentales mouvementées, Shizuku a ainsi la révélation de douze "apôtres", auxquels son père a joint in fine un treizième et dernier flacon, le vin idéal. Ceux qui connaissent ce manga savent que ses scénaristes (sous le nom de Tadashi Agi se cachent en fait un frère et une soeur) ont le don de faire alterner les bouteilles de grandes maisons et les vins d'artisans-vignerons. Le champagne apparaît tome 12 avec un Krug rosé millésime 1983 ; tome 13, on passe aux découvertes avec un blanc de noirs de chez René Jolly, un brut Les vignes de Vrigny de chez Egly-Ouriet et un blanc de blancs brut de chez Marc Hebrart ; et tome 15 aux choses sérieuses avec une bouteille de champagne Jacques-Selosse millésime 1996 qui apparaît en couverture... 1996, dites-vous ?
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Je suis charpentier depuis cinquante et un ans, pour être précis, et j'ai travaillé pour toutes sortes de gens. À mes débuts, je comptais parmi mes clientes nombre de femmes célibataires. En guise de règlement, rémunération, récompense, rémunération, pourboire, elles... je vous laisse deviner et je m'envolerai loin du sujet en ayant recours à la technique rhétorique de la prétérition pour reprendre le mot du poète américain Ed Sanders. Aujourd'hui, ce sont des femmes plus âgées, toutes intéressantes, imbues de sagesse, et ayant besoin que quelqu'un fasse ce qu'elles refusent ou sont incapables de faire elles-mêmes. Presque toutes propriétaires, elles ne tolèrent pas la présence d'abrutis ou d'artisans incompétents. Elles en ont épousé assez pour être capables de les identifier au premier coup d'oeil. Mais depuis peu, je sens un changement radical lorsqu'il m'arrive de lever les yeux de mon ouvrage, celui que je répète pour la millième fois. Force est de constater que les choses ne sont plus pareilles
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«Une maison ! Depuis mon enfance, je la cherche. Celle-ci avait touché mon cœur comme un visage. Je savais toute sa beauté. Je devinais les saisons, la lune, les odeurs, le calme ! Ah ! le calme. J’aurais pu comme autrefois lire près des fenêtres, respirer les rosiers, m’endormir, et même m’éveiller ! sans peine. C’était un rêve de poète.Il n'aurait jamais dû exister.»
| Je l'ai tué parce qu'il m'avait tué... C'est l'unique réponse qu'obtient le commissaire Mallock lorsqu'il interroge Manuel Gemoni, homme honnête et sans histoire, parti un matin à l'autre bout du monde pour assassiner un vieillard qu'il ne connaissait même pas. Que s'est-il passé dans la tête ou dans la vie de ce jeune papa, professeur d'université, étranger à toute forme de violence ? À quoi bon, pour Amédée Mallock, persister à mener cette enquête alors même que l'on sait avec certitude que Manuel est coupable ? Et comment parvenir à l'impossible : l'innocenter ? Aux confins du possible, entre l'humidité hostile d'une jungle tropicale et un Paris englouti sous la neige, on retrouve dans Le Cimetière des hirondelles Amédée Mallock, commissaire visionnaire qui, bien que misanthrope, n'a jamais cessé de lutter contre l'iniquité foudroyante du monde... |
Asne Seierstad a vécu le printemps qui suivit la défaite des talibans chez Sultan Khan, libraire à Kaboul. Elle nous fait partager, dans ce récit très vivant et toujours respectueux, la vie quotidienne des épouses, enfants, frères et soeurs d'une famille où chaque destin est riche en émotion et dont le chef incontestable est Sultan, l'amoureux des livres. A travers cette chronique saisissante, c'est un Afghanistan aux mille facettes que l'on découvre, un pays en ruine et en pleine renaissance où un peuple tente timidement de se défaire du passé dans l'espoir d'une vie meilleure.
http://evene.lefigaro.fr/livres/livre/asne-seierstad-le-libraire-de-kaboul-12002.php

Trompée par son mari, tyrannisée par ses enfants en pleine crise d'adolescence, Clarisse craque ! Finies l'épouse idéale et la mère parfaite, Clarisse part à la reconquête de sa vie. Malgré les conseils de son entourage, elle est bien décidée à ne plus fermer les yeux. De rencontres fortuites en voyages impromptus, retrouver sa liberté ne se fait pas sans heurts ni désillusions. C'est alors qu'en solitaire, elle se décide pour une escapade vénitienne... Et si la magie de la ville des amoureux pouvait tout changer ?
http://evene.lefigaro.fr/livres/livre/marie-claude-gay-fugue-venitienne-1872651.php
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Laura Kern est hantée par un rêve, le rêve d’une maison qui l’obsède, l’attire autant qu’elle la terrifie. En plus d’envahir ses nuits, de flouter ses jours, le rêve porte une menace : se peut-il qu’il soit le premier symptôme du mal étrange et fatal qui frappa son père, l’héritage d’une malédiction familiale auquel elle n’échappera pas ?
La collection “Le Musée du Monde” décrypte les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Cette dixième exposition imaginaire dévoile l’univers aérien de l’Italien Tiepolo. Un maître du rococo dont l’oeuvre essaimera dans l’Europe des Lumières.
L'Immaculée Conception
Les yeux mi-clos, les mains jointes, les épaules couvertes d’un manteau bleu gonflé d’un souffle céleste, se dresse, telle une apparition, une Vierge idéale et majestueuse. Absente et toutepuissante, habillée de lumière, L’Immaculée Conception, que dépeint en divinité altière et aérienne Giambattista Tiepolo (1696-1770) à la fin de sa vie, est l’archétype de la vision, du discours et de la tradition catholiques. Parée de ses attributs traditionnels – une auréole d’étoiles, symbole de ses douze vertus, des angelots joufflus et bienveillants, un serpent maléfique tenant une pomme… –, elle vient rejoindre les représentations inspirées qu’en ont données plus tôt Guido Reni, Bartolomé Esteban Murillo ou José de Ribera. Car l’art rococo de ce xviiie siècle s’est imprégné de la culture européenne, marqué par les nuances, les variations et les innovations d’un artiste ou d’une école, d’un royaume et d’un empire. Giambattista Tiepolo s’en émeut pour essaimer à son tour hors d’Italie, à la cour des princesévêques de Würzburg en Bavière comme à celle d’Espagne, où il finira ses jours. Le coloriste, formé à la gravure, marie dans son dessin épuré et allusif humilité et grandiloquence, fastes et brumes. Dans ses toiles allégoriques, mythologiques ou historiques, l’air flotte et respire comme une musique venue des cieux. Mais bientôt, son langage dynamique, ses portraits expressifs et ses trompe-l’oeil saisissants se laisseront dépasser par une vision plus sage et ordonnée. Le classicisme aura-t-il eu raison de la passion ? Francisco Goya ne s’y trompera pas. Dans son Miracle de saint Antoine de Padoue, il jouera de tons froids et d’artifices puisés dans l’œuvre de Giambattista Tiepolo, reprenant à son tour pour mieux la transmettre cette vision puissante, vivante et musicale de
l’éternité comme un socle de modernité.
Chacun des ouvrages du "Musée du Monde" vous convie à explorer les secrets d’un chef-d’oeuvre de la peinture. Plongez au coeur de l’oeuvre à la lumière des explications fournies par notre spécialiste. Le tableau s’éclaire soudain, dévoile ses significations cachées, sa place dans l’histoire de l’art, ses correspondances avec d’autres oeuvres. Et ainsi, chaque semaine, tableau après tableau, vous composerez votre propre musée imaginaire.
http://boutique.lemonde.fr/catalog/product/view/id/11447/?nouveaute=1

Anaïs Nin et Henry Miller ont entretenu pendant vingt ans une correspondance passionnée. Commencée en 1932, celle-ci s'achève vingt ans après, en Californie, alors qu'ils sont tous les deux devenus célèbres. Récit d'un amour fou, qui fait place peu à peu à la tendresse, ces lettres retracent également l'évolution de leur oeuvre littéraire, permettant d'accéder à des éléments très instructifs et concrets comme les conseils et les critiques bienveillantes qu'ils pouvaient s'adresser. Cette correspondance constitue un document de première main sur l'époque qu'ils traversent et les personnalités du monde des lettres et des arts qu'ils fréquentent.
http://evene.lefigaro.fr/livres/livre/anais-nin-et-henry-miller-correspondance-passionnee-24341.php
| Anne PERRY Traduit par Florence BERTRAND |
| LA FIN JUSTIFIE LES MOYENS |
L'infâme proxénète Jericho Philips est mort. Pourtant, Monk reste persuadé que d'innocentes victimes souffrent encore. Quand son instinct lui souffle d'aller fouiller dans les activités du beau-père de Rathbone, l'inspecteur sait qu'il ne va pas aimer ce qu'il va découvrir... Dans l'univers du chantage, du vice et de la corruption, les vérités déclenchent des ouragans. "Une enquête de William Monk, c'est le dépaysement assuré." Michel Parouty, Les Échos Traduit de l'anglais par Florence Bertrand INEDIT |
http://www.10-18.fr/site/la_fin_justifie_les_moyens_&100&9782264054005.html
Ne dites pas à Olivier Widmaier Picasso qu'il ressemble à un Picasso. C'est une évidence un peu courte, tant ce brun Méditerranéen - par sa mère Maya, fille naturelle du Minotaure et de la douce Marie-Thérèse Walter - est chez lui dans la tribu des mâles trapus et toniques dessinés par le maître du XXe siècle. Ce gène fort n'est pas vraiment une spécificité, si l'on connaît sa sœur cadette, Diana, belle chasseresse sortie tout droit d'un tableau de la période néoclassique. Ou, plus frappants encore, ses oncle et tante Claude et Paloma, les enfants de Françoise Gilot, que l'objectif de Richard Avedon a saisis en Picasso plus vrais que nature en 1966. Paradoxe ? Ce précieux patronyme lui est venu par les femmes, puisque Picasso était le nom de la mère de Pablo avant de devenir sa signature, en 1901. D'abord nom d'usage ajouté à Widmaier, il est devenu le nom de famille définitif de sa fratrie, en 2003, par décision de Jean-Pierre Raffarin, alors premier ministre.
Il y a près d’un siècle, Okakura Kakuzô, lettré japonais persuadé de la valeur universelle de la cérémonie du thé, lui consacrait un traité en forme de manifeste à l’intention du public occidental. A l’industrialisation effrénée, il opposait un art de vivre, précieux refuge de l’humain. Le Livre du thé balaie l’aspect sévère et figé que peut revêtir le cérémonial aux yeux d’un étranger. Okakura, passeur passionné, brise la glace, et offre du même coup une introduction synthétique, concrète, à la conception asiatique de la vie et de l’art.
Il n’a pas la prétention de délivrer un « message » sur l’après-vie, ni d’élaborer un discours dogmatique, mais il témoigne d’une vision de la « vie ouverte ». Une vision en mouvement ascendant qui renverse notre perception de l’existence humaine, et nous invite à envisager la vie à la lumière de notre propre mort. Celle-ci, transformant chaque vie en destin singulier, la fait participer à une grande Aventure en devenir.
Les neurosciences, le Talmud et la subjectivité
Comment définir qui nous sommes ? Par tout un ensemble de valeurs subjectives, de souvenirs, d’expériences, de rencontres, d’attitudes, de décisions… et immanquablement aussi par nos croyances. Croyances les plus diverses qui, au-delà de la variété de leurs contenus, n’en demeurent pas moins les manifestations de ce stupéfiant constituant de notre vie mentale : nous sommes des êtres de croyance. Irrésistiblement. Sur les traces de cette composante centrale de notre subjectivité, Lionel Naccache, l’un des très grands neuroscientifiques de la conscience, plonge dans l’univers du Talmud– qui n’est pas étranger à sa propre subjectivité ! – pour mettre en lumière une résolution possible de cette énigme : ou comment apprendre à chérir notre subjectivité sans pour autant l’adorer ! Lionel Naccache nous livre à travers ses lectures talmudiques un exercice brillant d’herméneutique contemporaine qui nous permet de (re)découvrir cette œuvre gigantesque à la fois célèbre et méconnue qu’est le Talmud.
Lionel Naccache est neurologue, professeur de médecine à la Pitié-Salpêtrière et dirige une équipe de recherche à l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM). L’écriture lui procure une voie d’exploration complémentaire à celle du laboratoire et de l’hôpital pour enquêter sur la nature de la subjectivité. Il est l’auteur du Nouvel Inconscient et de Perdons-nous connaissance ?, qui ont été de grands succès.