Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Laura Vanel-Coytte: écrivaine publique. Entreprise Siret:884 135 807 00011 à votre service - Page 1045
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Régine Deforges dans tous ses éclats
Dans ses Mémoires, celle qui fut la première femme à avoir fondé sa maison d'édition, solde ses comptes sans s'épargner pour autant. Crédits photo : Maurice ROUGEMONT/Opale/Maurice ROUGEMONT/Opale
PORTRAIT - La romancière à succès et éditrice sulfureuse se dévoile sans fard dans ses Mémoires.
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Dans Le Figaro littéraire(suivre les liens)
Bonaparte le moderne
Dans sa biographie de Napoléon Bonaparte, Patrice Gueniffey éclaire de son point de vue l'histoire d'un homme en avance sur son temps.
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Le tour de France (SUIVRE LE LIEN)
INTERVIEW - Après les rues de Paris, le comédien a arpenté les routes de France sur les traces de notre passé celtique, romain et royal. Le fruit de ses recherches et de ses promenades érudites, Hexagone, sort cette semaine en librairie. Une formidable leçon d'histoireet de géographie dont nous vous proposons des extraits exclusifs.
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LE cORBUSIER ET LE BRUTALISME
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Bridget Jones en veuve cougar choque les fans(n'importe quoi!)
Renée Zellweger et Colin Firth (Mark Darcy) dans l'adaptation de L'Age de raison, en 2004.
La célèbre célibataire londonienne n'est pas en grande forme dans le troisième tome de ses aventures, Mad About the Boy, qui sortira le 10 octobre en Angleterre.
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Anna Gavalda, Billie le bide
Billie, le nouveau roman d'Anna Gavalda, tient de l'entreprise d'autodémolition... Dommage. Crédits photo : M.Heinry
Dans son dernier roman, paru ce mercredi, la romancière raconte le parcours de deux éclopés de la vie. Les pauvres.
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A lire (suivre les liens)
Lemaitre, préféré
des jurys et librairesSon roman Au revoir là-haut est présent dans six listes de prix littéraires. Et se retrouve premier au palmarès des livres préférés des libraires.
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Douglas Kennedy: la blouse de M. Homais
Douglas Kennedy profite d'un certain succès en France. Mais son dernier roman, Cinq Jours, ressemble à un mauvais remake de Madame Bovary.
Si Douglas Kennedy jouit en France d'une certaine faveur, les amateurs -qui se comptent par milliers- vantent ses romans, qui ont pour titre L'homme qui voulait vivre sa vie ou Piège nuptial. Les initiés savent qu'il possède un pied à terre près du canal Saint-Martin. Des petits détails comme celui-ci suffisent pour asseoir une réputation flatteuse à Paris. La rumeur est là: il ne faut pas négliger Douglas Kennedy.
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Le romancier Tom Clancy est mort
Tom Clancy est décédé à l'âge de 66 ans. Crédits photo : David Burnett/ASSOCIATED PRESS
L'auteur de best-sellers portés à l'écran comme Octobre rouge, est décédé mardi à Baltimore. Il avait 66 ans.
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Dans Le Figaro littéraire(suivre les liens)
Deux nouveaux candidats à l'Académie
Deux personnalités fortes postulent au fauteuil de Félicien Marceau.
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Dans le Figaro littéraire(suivre les liens)
Le petit livre rouge de Mao en version luxe
L'ouvrage devenu symbole de la pensée de Mao Zedong va être republié en Chine, 120 ans après la naissance du leader communiste. Une première depuis la précédente version, datant de 1979.
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Prix Nobel de littérature : derniers pronostics
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La maison brésilienne de Stefan Zweig
Mots clés : Le Monde d'hier, Brésil, Stefan Zweig
Lapaque, Sébastien
02/10/2013 | Mise à jour : 17:58Le « petit chalet » de Petrópolis où l'auteur du Monde d'hier s'est donné la mort en 1942 a été transformé en musée. Un émouvant lieu de mémoire.
À qui appartient la mémoire de Stefan Zweig? À l'Autriche, son pays natal? Au Royaume-Uni, dont il est devenu citoyen en 1940? Au Brésil, où il est mort le 22 février 1942 à Petrópolis, après avoir i... -
Pino Cacucci dans la peau de Frida Kahlo
Après Tina Modotti et Carmen Mondragon, l'écrivain italien clôt sa trilogie littéraire consacrée à ses icônes féminines avec Frida Kahlo, dans Viva la vida!. Il imagine dans un touchant monologue les derniers mots du peintre mexicain, disparu en 1954 au terme d'un vie douloureuse et tragique, mais surtout flamboyante.
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Catégories : A lire
AVEC UN PEU PLUS DE CIEL
Si Éluard ne l’avait déjà fait sien, le titre de ce livre aurait pu être L’amour la poésie tant il n’est ici question que de ces deux pôles d’intensité et de désir. Entre eux, une musique, un vif sentiment d’urgence et le goût du risque incarné. Aussi les poèmes d’Avec un peu plus de ciel apparaissent-ils comme des partitions funambules qui, par delà chaos, tragédies, étreintes ou vertiges, se vouent à un autre équilibre, à une autre harmonie. Ils surgissent avec la soudaineté d’un coup d’aile, la ferveur d’un rêve éveillé, la fierté d’un pari tenu. Dans le ressac des jours, ils sont parties prenantes des enchantements et des alarmes, des plaisirs souverains et des aveux de haut vol.
Dans l’avenir à découvert
Comme dans une larme de feu
Où rien ne va à la cendre
Où rien ne va au remords
On comprend qu’il y a de l’or
Qui règne sous la peau
Et une vague violente qui n’espérait que çaESCALADER LA NUIT - France Culture - L'Atelier de la Création - Diffusé le Jeudi 29 septembre 2011 à 23 heures.
Par Sophie Nauleau & Véronik Lamendour
avec la participation amicale et anonyme d'un exceptionnel premier de cordée.
Prise de son au pied de Notre Dame : Marcos Darras.
Mixage de retour en studio : Sébastien Labarre.D’UNE ÉQUIPÉE NOCTURNE
Comme parfois, quand la musique est là et qu’il n’y a qu’à transcrire la partition, ces poèmes m’ont été offerts. D’où est venu ce don au moment même que j’en faisais l’offrande à celle qui était près de moi ? Sans doute d’un azur plus transparent soudain, et d’un cœur à l’écoute d’un cœur mystérieusement plus vaste. Aussi d’une équipée nocturne, assez risquée pour ouvrir plus d’une voie à la fois, tout en gravissant en toute illégalité la flèche de Notre-Dame de Paris, ce dont témoigne un enregistrement, funambule et clandestin, de France Culture. Accomplissant cela, avec Sylvain T. en exceptionnel premier de cordée, Sophie m’a légué assez d’ondes verticales pour que je tente d’accéder à un peu plus de ciel.
Escalader la nuit fait explicitement référence à cet alpinisme cathédral et à cet exploit radiophonique.
Les autres lieux et personnages de ce livre me sont familiers : le Rajasthan, le désert de Thar, la forteresse de Jaisalmer ; le salut à Alexandre le Grand qui épousa Roxane à Bactres en 327 avant notre ère ; le site bouddhique d’Angkor Thom au Cambodge ; le village de Sils Maria dans les Grisons où résida Nietzsche, le rocher de Duino où Rilke composa ses Élégies ; enfin la tombe d’Antonio Machado à l’entrée du cimetière de Collioure avec sa boîte aux lettres toujours en éveil.
Quant aux œuvres vives, elles se tiennent sous la ligne de flottaison et ne se révèlent que lors des réparations, le navire ayant été mis en carène.A.V.
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Enfin une librairie francophone à New York
Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, en a posé la « première pierre »
Les amoureux des livres francophones de New York peuvent se réjouir, eux qui n'avaient plus d'endroit où feuilleter, compulser, prendre en main, soupeser des volumes en français depuis trop longtemps. Laurent Fabius, présent dans la première ville des Etats-Unis, la semaine dernière, pour cause d'assemblée générale de l'ONU, a posé vendredi la « première pierre » d'une librairie francophone hébergée dans une superbe demeure, au coin de la 5e Avenue
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Denis Kessler : « Le gouvernement sous- estime la gravité de la situation en France »
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Travail le dimanche : un millefeuille kafkaïen de dérogations
En matière de travail dominical, l’interdit est la règle, mais les dérogations sont nombreuses.
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Irish Celtic » : la vague irlandaise déferle sur la France
Les grandes fresques touristiques musicales sont la marque de fabrique de la société Indigo Productions .
Le producteur Indigo est sur le pied de guerre. La trentaine de danseurs et musiciens d’« Irish Celtic » répètent cette superproduction qui va déferler sur la France le 26 octobre – pour une soixantaine de dates et de villes, sans compter l’étranger. Le
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Galerie Emmanuel Perrotin (Paris 3 e)
« L’antre du visionnaire »présentation
Et dire que pour son premier emploi en galerie, à 17 ans, Emmanuel Perrotin s'était plus ou moins demandé ce qu'il faisait là. Avec deux galeries à Paris, une à Miami et une réputation internationale de visionnaire, la réponse tombe sous le sens. D'abord installé rue Beaubourg en 1992, il migre en 1997 dans la rue Louise-Weiss. Moins de dix ans plus tard, il occupe l'un des plus beaux lieux de Paris, un hôtel particulier de 700 mètres carrés rue de Turenne. Cette trajectoire s'explique par la formidable notoriété qu'il a su développer dans le monde de l'art. Emmanuel Perrotin organise les premières expositions parisiennes d'artistes comme Damien Hirst, Maurizio Cattelan, Takashi Murakami, et compte aujourd' hui quelques-uns des plus grands artistes contemporains (Sophie Calle, Wim Delvoye, Bernard Frize, Jean-Michel Othoniel, Piotr Uklanski, Xavier Veilhan.. .). À son flair incomparable, s'ajoute une conception encore rare du métier de galeriste : pour lui, la production d'oeuvres est essentielle. Il a donc idéalement aménagé sa galerie parisienne avec l'aide de deux architectes, Pauline Manser et François-Xavier Bourgeois : un showroom réservé aux collectionneurs, des espaces pour la production, des espaces d'expositions revisités. L'agenda de la galerie est pour le moins chargé : plus de dix expositions et foires d'art contemporain par an, un journal trimestriel Bing et une bonne vingtaine d'assistantes, la galerie Emmanuel Perrotin est une véritable entreprise.
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J'ai lu aujourd'hui:Arts Magazine n°80 Octobre 2013
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J'ai lu aujourd'hui:Masculin-masculin
25 septembre 2013
Entre voile pudique et nudité provocatrice, le musée d’Orsay présente une exposition dédiée au corps masculin dans l’art, du xixe siècle à nos jours. Le musée ne se contente pas de mettre en scène le nu masculin, mais cherche à éclairer les multiples facettes et les métamorphoses de la représentation de l’homme nu. La nudité masculine n’a pas toujours un lien avec l’érotisme ou la sexualité. C’est ce que l’exposition et ce hors-série montrent de manière saisissantehttp://www.beauxartsmagazine.com/0125-721-Masculin-masculin.html
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Connaissance des Arts octobre 2013
Frida Kahlo, un destin tragique traduit en peinture - Octobre 2013Connaissance des Arts Octobre 2013
7,90€Au sommaire de ce numéro :
- Portfolio : Paris, capitale de la photo 2013
- L'événement : Frida er Diego, les amants terribles
- Visite d'atelier : Yan Pei-Ming, retour en force
- Collection privée : La collection aiguë de Jacques et Galila Hollander
- L'oeil d'Isabelle Cahn : Félix Vallotton, le peintre de l'étrange
- Architecture : Jakob et McFarlane, les rois de la 3D
- Style :1400-1600 : le printemps de Florence
- Civilisation :L'Inde aux mille visages
- Nouveau talent : Dewar et Gicquel / Annina Roescheisen/ Muchir et Desclouds
- Marché de l'art
- Portfolio : Paris, capitale de la photo 2013