Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Marc Mimram, tête de pont du prix Aga Khan
Le prix Aga Khan dArchitecture 2013 pour son projet au Maroc : le pont Hassan II entre Rabat et Salé. (Photo agence Mimram)
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Le prix Aga Khan dArchitecture 2013 pour son projet au Maroc : le pont Hassan II entre Rabat et Salé. (Photo agence Mimram)
Mots clés : 12e Parcours des mondes, Charles Ratton, Salon international des arts premiers
Sasportas, Valérie
12/09/2013 | Mise à jour : 06:00
Mots clés : Lyon Confluence, Lyon, Gérard Collomb
de Rochebouët, Béatrice
Mots clés : Biennale de Lyon, Lyon, Petra Cortright
Duponchelle, Valérie
12/09/2013 | Mise à jour : 16:08
les femelles moustiques sont capables de sentir leurs victimes à plus de trente mètres de distance.
Mots clés : La 4L du Pape, Vatican, Pape François, Vatican
Guénois, Jean-Marie
11/09/2013 | Mise à jour : 09:16
La France compte 859.294 enseignants pour un peu plus de dix millions d'élèves. Crédits photo : Philippe ARNASSAN/PHOTOPQR/NICE MATIN
Masse salariale, agents administratifs, nombre d'écoles : selon une étude de l'Ifrap, la France consacre 30 milliards de plus que l'Allemagne et le Royaume-Uni à ce secteur.
Traduit de l'anglais (canada) par Gérard de Chergé
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Genre : Policier Collection : Rivages/Thriller |
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Grand format | 240 pages. | Paru le : 22-08-2012 |
GENCOD : 9782743623791 | I.S.B.N. : 2-7436-2379-9 Editions : Rivages |
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C'est l'histoire de Lilia, enlevée à sept ans par son père, et de la longue cavale qui dura toute son adolescence. C'est l'histoire de Christopher, le détective engagé par la mère de Lilia pour la retrouver et de sa fille Michaela, qui rêvait d'être funambule avant de finir dans une boîte minable de Montréal. Michaela sait ce que Lilia a toujours ignoré : la raison de sa cavale. C'est enfin l'histoire d'Eli, étudiant passionné par les langues et la fragilité des sentiments qu'elles servent à exprimer, qui a hébergé Lilia à New York suffisamment longtemps pour tomber amoureux d'elle et partir à sa recherche lorsque, une fois de plus, elle s'enfuit. C'est dans une Montréal hypnotique que se dénouera cette "histoire de fenêtres brisées et de neige", une histoire en forme d'éclats de miroir brisé qui, une fois reconstitué, dessine une vision déchirante du monde. |
Jordaens. La gloire d'Anvers
N° 210 - Septembre 2013
Mots clés : Journées du patrimoine, Yves Saint Laurent
Bommelaer, Claire
13/09/2013 | Mise à jour : 19:08
Mots clés : Manuscrit, BNF, Guillaume Apollinaire
Clermont, Thierry
13/09/2013 | Mise à jour : 18:53
Titre original : El ciclista de Chernóbil |
Traduit de l'espagnol par François Gaudry |
Un vieil homme hagard, entouré de sacs remplis de vêtements, est abandonné dans un self-service sur les Champs-Élysées. « Ne les laissez pas me tuer », c’est tout ce qu’il sait dire. |
A la fin du XVIe siècle, à Venise, le peintre vieillissant Giacomo Robusti dit le Tintoret repense à sa vie et à son rôle de père. Il évoque sa fille illégitime Marietta, artiste et femme libre, qui guide le lecteur à travers des anecdotes sur Venise et une galerie de personnages typiques.
Elle en a marre, elle part. Les reproches sur sa gestion hasardeuse de l'auberge familiale, sa vieille môman qui lui parle toujours comme si elle avait 15 ans, son amant qui vient de la larguer pour une jeunesse: tout, dans sa vie, lui apparaît soudain comme un échec, une impasse, une agonie sociale, familiale et sentimentale. Si Miss Bretagne 1969 porte le même prénom que l'héroïne de 37°2 le matin, cette Bettie-là a la soixantaine bien sonnée, un âge où la résignation l'emporte normalement sur l'esprit d'aventure et où il est rare de trouver sa vie étriquée au point de tout lâcher pour des lendemains incertains. Elle le fait pourtant. Après avoir servi son 783e civet de lapin, elle pose son carnet de commandes, quitte les cuisines, grimpe dans sa vieille Mercedes et commence à rouler sur ces petites routes désertes joliment célébrées naguère par l'écrivain Jérôme Leroy (Départementales, 1996). Sans but, sans raison, sans direction, sans sens de l'orientation. Vivre, enfin. C'est-à-dire: regarder un paysan rouler pendant deux plombes une cigarette en lâchant un borborygme tous les quarts d'heure ; se faire draguer dans une boîte de nuit dont le nom sonne à lui seul comme une alarme - le Ranch - et dont les clients font d'élégants concours d'imitation du bruit du marcassin ; retrouver de très anciennes connaissances, mais aussi sa fille, son petit-fils et un nouvel amant sans les avoir cherchés ; finir dans le lit d'un homme de 30 ans qui, au réveil, vous lâche un cruel «Le prends pas mal, mais quand on faisait l'amour, je t'imaginais quand t'étais jeune»…
VIDÉO - Le trio se reforme le temps d'un film réalisé par Campan et Bourdon. Les Trois Frères, le retour sortira en février prochain.
Bernard Campan entre dans l'église, les cheveux en bataille et la dégaine mal assurée. «Ça fait un bail qu'on s'était pas vus!» Didier Bourdon lui lance à peine un regard, pressé d'en finir. Visiblement agacé, il refuse de parler de leur troisième «frère», celui que tout le monde attend pourtant.
Pascal Légitimus pénètre enfin dans le champ, et la magie opère immédiatement. Ce n'est plus une information à mettre au conditionnel: Les Inconnus sont bien de retour. L'un a quelques cheveux en moins, l'autre quelques rondeurs en plus, mais leurs visages restent les mêmes. Et nous voilà dix-huit ans en arrière.
Dans leur prochain film Les Trois Frères, le retour, Bernard, Pascal et Didier «Latour» sont une nouvelle fois réunis suite au décès de leur mère. À la fois pathétiques et émouvants, les trois personnages se montrent plus égarés que jamais.
«La société a changé, pas eux», résume Pascal Légitimus. Les ressorts comiques sont là pour en attester. Comme cette scène, à l'intérieur de l'église, dans laquelle un prêtre (l'excellent Christian Hecq) reste sans voix lorsque Pascal se présente comme le frère de ses deux comparses «caucasiens». Que l'on se rassure, Les Trois Frères, le retour, ne sera pas seulement une pâle copie de leur précédent film. Les personnages ont évolué. Bernard apprend qu'il est papa d'une adolescente. Pascal se fait entretenir par une vieille dame fortunée. Didier, toujours plus cynique, attend la mort de sa belle-mère pour toucher son héritage. Trois frères que tout oppose, incarnés par trois acteurs qui ne se sont jamais vraiment quittés.
Si Légitimus et Bourdon étaient partants depuis un moment pour se lancer dans ce projet, Bernard Campan a, un peu, traîné les pieds. Il s'est décidé après être remonté sur scène à l'Olympia en 2011, aux côtés de ses amis de trente ans. Un «déclic» pour le comédien. «Mille sept cents personnes debout, à nous applaudir… Certains pleuraient, on ne pouvait plus parler. Là, je me suis dit: “OK, on peut repartir”», confiait-il au Journal du Dimanche en juillet.
Pascal Légitimus n'hésite pas à promouvoir ce retour à grands coups de messages sur la Toile. De son compte Twitter, il distille depuis quelques mois des informations sur le tournage du film, dont la sortie est programmée le 19 février 2014.
Une chose est sûre: les acteurs n'auront pas à faire beaucoup de promotion pour leur come-back. Ils n'ont pas tourné ensemble depuis Les Rois mages, en 2001, mais leur public, lui, n'a jamais cessé de les attendre. Espérons qu'il ne soit pas déçu. La complicité des trois quinquagénaires et leur humour ne semblent pas avoir pris trop de rides.
Les Inconnus reviennent, c'est leur destin!
VIDÉO - Le trio se reforme le temps d'un film réalisé par Campan et Bourdon. Les Trois Frères, le retour sortira en février prochain.
Débat | Selon Pierre Pigot, spécialiste en “disneylogie”, la souris indomptable a été vidée de sa substance par le conformisme. Histoire d'une déchéance.
LE MONDE | 10.09.2013 à 16h49 • Mis à jour le 10.09.2013 à 17h42 | Par Renaud Machart
Il y a souvent quelque chose de fascinant et réconfortant chez ceux qu'on appelait naguère les "anciens". Leur fréquentation déclenche un sentiment de félicité par procuration, de l'admiration pour l'âge dit de sagesse, pour une quiétude automnale qu'on imagine désexualisée et débarrassée de l'inessentiel.
C'est exactement ce que j'ai ressenti en écoutant Marcel Conches, le grand philosophe - mais moins connu du grand public qu'André Comte-Sponville, son disciple -, dans "Bibliothèque Médicis", le magazine hebdomadaire qu'anime Jean-Pierre Elkabbach sur Public Sénat. (Ce numéro date de la fin de la saison dernière, mais il était rediffusé le lundi 9 septembre à 21 heures, et le site Internet de la chaîne le propose toujours en visionnage.)
Mais Marcel Conches, lui, déteste qu'on lui rappelle qu'il a 91 ans et ne semble...
http://www.expoishinomaki.com/
le Jeudi 7 Juin 2012 à 10:55
Une réflexion sur l'inventaire du patrimoine français comme lien social © Gallimard
L'Inventaire général du patrimoine culturel réunit désormais des biens disparates comme des fermes, des chapelles, des sentiers de randonnée, des raffineries, des phares ou des usines. Michel Melot, ancien directeur du patrimoine, écrit, dans son livre, que cette inflation et cette métamorphose du patrimoine soudent notre société.
Leon Kaufman a révélé son talent de photographe à travers des clichés hautement provocants. Décidé à créer l'événement pour sa prochaine exposition, il est prêt à aller encore plus loin dans l'exploration des aspects les plus sombres de l'humanité. Lancé dans une quête obsessionnelle des pires aspects de l'homme, Leon s'intéresse à un tueur en série, Mahogany, qui traque les banlieusards prenant les derniers métros pour rentrer chez eux, avant de les tuer avec une sauvagerie inimaginable. La fascination de Leon pour Mahogany va le conduire de plus en plus loin dans les méandres du métro, au cœur même du mal. Sans le vouloir, il va entraîner Maya, sa petite amie, avec lui. Chaque ticket est peut-être un aller simple vers la mort...