Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Laura Vanel-Coytte: écrivaine publique. Entreprise Siret:884 135 807 00011 à votre service - Page 1087
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Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Le paysage
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Caspar David Friedrich (1774-1840),Rivage avec la lune cachée par des nuages
(Clair de lune sur la mer), 1836
Huile sur toile - 134 x 169,2 cm
Hambourg, Hamburger Kunsthalle
Photo : BPK, Berlin-RMN-Grand Palais/Elke Walfordhttp://www.latribunedelart.com/l-ange-du-bizarre-le-romantisme-noir-de-goya-a-max-ernst
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Carl Friedrich Lessing (1808-1880) ,Paysage montagneux : ruines dans une gorge, 1830(vu à Paris il y a un mois)
Huile sur toile - 138,2 x 120 cm
Francfort-sur-le-Main, Städel Museum
Photo : Städel Museum – Artothek
http://www.latribunedelart.com/l-ange-du-bizarre-le-romantisme-noir-de-goya-a-max-ernst
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai aimé
Julien-Adolphe Duvocelle , Crâne aux yeux exorbités(vu à Paris il y a un mois)
Julien-Adolphe Duvocelle (1873-1961)
Crâne aux yeux exorbités et mains agrippées à un mur (détail)
Crayon et fusain
H. 36 ; L. 25 cm
© DR - RMN-Grand Palais (Musée d'Orsay) / Jean-Gilles BerizziCrâne aux yeux exorbités et mains agrippées à un mur
Cette oeuvre appartient à la veine macabre de l'artiste. Elle paraît peu conforme aux visées moralisantes et religieuses des memento mori. Par cette locution latine, signifiant "Souviens-toi que tu vas mourir", on désigne les représentations traditionnelles de squelettes, qui doivent éveiller chez le spectateur une méditation sur la fragilité de l'existence humaine.
On sait que lors de sa formation sa formation aux Beaux-Arts, Julien-Adolphe Duvocelle fut élève de Bonnat, lui-même peintre académique célèbre pour ses portraits dont plusieurs sont conservés au musée d'Orsay. La lecture des livrets des Salons des artistes français, où Duvocelle expose régulièrement entre 1897 et 1927, apprend qu'il se consacre essentiellement, lui aussi, au genre du portrait, et de manière plus précise, aux portraits de femme. A l'Exposition universelle de 1900, il obtient une médaille de bronze avec le Portrait de ma mère.
Le rictus narquois et les yeux exorbités du crâne qui se penche, les mains comme agrippées au bord d'un linceul, évoquent un symbolisme morbide exacerbé, et presque provocateur. L'impression est encore soulignée par le cadre qui joue sur l'alignement des os comme dans les décors de catacombes. On pense, sans que l'oeuvre puisse y être directement comparée, aux squelettiques et grimaçantes sorcières de Goya ou d'Ensor. -
Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, J'ai aimé, J'ai vu, Le paysage
William Degouve de Nuncques, La maison rose(vu à Paris, il y a un mois)
William Degouve de Nuncques
" La Maison Rose " 1892
63cm x 43 cm
© Coll. Part. -
Catégories : CEUX QUE J'AIME, Goethe Johann Wolfgang von, Les couleurs
"Contribution au Traité des couleurs" de J.W. von Goethe par Jean-Christophe Sekinger
"Si tu sais quelque chose de plus juste que cela, [sache que] c'est de bonne foi que je t'en ai fait part ; sinon, sers-toi comme moi de ces réflexions."
Goethe (1749-1832), avant-propos du Traité des Couleurs
Dans les descriptions modernes de "l'expérience classique de Newton qui consiste à faire tomber sur un prisme un faisceau de lumière blanche"*, on mentionne l'apparition de sept couleurs : rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo, violet. La lumière solaire est donc déviée par le prisme et se colore en s'étirant. On dit que la lumière est dispersée. Ces couleurs sont ce qu'il est convenu d'appeler le "spectre" de la lumière blanche. On précise alors qu'elles sont contenues dans la lumière. On en donne pour preuve que les couleurs spectrales réfractées par un second prisme, inversé par rapport au premier, redonnent de la lumière. On explique enfin qu'une tomate est rouge parce qu'ayant absorbé toutes ces couleurs, elle ne rejette que le rouge...
Cette explication est très généralement admise : elle est facile à transmettre, facile à résumer. Mais cette théorie vous-paraît-t'elle évidente ?
On peut dire qu'une table est faite de bois ou de fer, mais qu'est-ce qui permettrait de dire que la lumière est faite de couleurs ? Le rapport de contenant à contenu se prévoit quand il s'agit de chapeau et de lapin, mais quand il s'agit de lumière et de couleurs ? Les expériences de Newton l'ont-elles vraiment montré ?
En cherchant à reconstituer cette experimentum crucis, à travers ses diverses descriptions (notamment celle qu'en fit Newton lui-même), en examinant toutes les possibilités de réfraction de la lumière par un prisme, en comparant les différentes théories de la couleur depuis l'Antiquité, d'autres questions se posent :
. Pourquoi au XVIIème siècle y-a-t'il eu soudain sept couleurs fondamentales, au lieu de deux ou trois depuis l'Antiquité ?
. Pourquoi la confusion est-elle souvent faite entre violet et magenta ?
. Pourquoi le vert disparaît-il souvent des couleurs spectrales ?
. L'image d'une source lumineuse et incolore nous apparaît colorée après être passée à travers un prisme de verre : peut-on en conclure raisonnablement que la lumière est faite de "couleurs mélangées" ?
. Comment une tomate peut-elle absorber les couleurs et rejeter sélectivement le rouge ?
. Où se trouve exactement le magenta ?
• Pourquoi cette théorie de la lumière composite a-t'elle autant de succès ?Il y a eu, dès la publication des travaux de Newton, à partir de 1672 et jusqu'à nos jours, d'âpres discutions autour de cette théorie de la lumière et des couleurs, voire une franche opposition à la démarche scientifique inaugurée par Newton. Cette contestation a eu, depuis le XVIIème siècle, de nombreux représentants : des physiciens (Hooke, Pardies, Huygens, Gouy...), des philosophes (Schopenhauer, Schelling, Hegel...), des peintres (Runge, Eastlake, Turner, Klee, Kandinsky...) mais elle a surtout été brillamment personnifiée, dès 1810 par la Farbenlehre ("Traité des couleurs") de Johann Wolfgang von Goethe.
Depuis sa parution, La Farbenlehre a été abondamment critiquée : Pour sa simplicité, son bon sens, sa "visibilité" (on n'y trouve aucune expérience de laboratoire, ni aucune théorie mathématique) et pour ce qui fait sa grandeur, sa beauté : Goethe, comme ses prédécesseurs depuis Aristote, voit l'origine des couleurs dans les archétypes fondamentaux lumière et obscurité ; il montre (il n'est ici pas besoin de démontrer) comment elles "agissent" ou "pâtissent", comment de leurs "actes et de leur souffrance" naissent les couleurs.
WAS ES GILT
Dem ChromatikerBringst du die Natur heran,
Daß sie jeder nutzen kann,
Falsches hast du ersonne,
Hast der Menschen Gunst gewonnenMöget ihr das Licht zerstückeln,
Farb und Farbe draus entwickeln,
Oder andre Schwänke führen,
Kügelchen polarisieren,
Daß der Hörer ganz erschrocken,
Fühlet Sinn und Sinne stocken :
Nein ! Es soll euch nicht gelingen,
Sollt uns nicht beiseite bringen ;
Kräftig, wie wirs angefangen,
Wollen wir zum Ziel gelangen.CE QU'EST L'ENJEU
(Au spécialiste du chromatisme)Si tu rends la nature proche
Au point qu'en puisse user chacun,
Tu n'as rien inventé de faux,
Mais gagné la faveur des hommes.Décomposez donc la lumière,
Tirez-en couleur sur couleur,
Ou livrez-vous à d'autres farces,
Polarisez ses particules,
Au point qu'effrayé l'auditeur
En perde l'esprit et les sens :
Vous n'y réussirez pas,
Vous n'allez pas nous écarter ;
Comme à l'origine, avec force,
Nous voulons parvenir au butDans ce poème, publié en 1817 dans Zur Naturwissenschaft überhaupt, comme dans de nombreux autres, Goethe évoque avec ironie la "spaltung", la division : Réduire, par exemple, un flot lumineux (échappant à la description géométrique) à une droite (le rayon lumineux d'Euclide) est une commodité : la mesure des angles ou des longueurs est désormais permise ; mais cette réduction nous éloigne du monde sensible, de ce qui est accessible aux sens.
Mais que serait une étude des couleurs qui chercherait à réunir ce qui a été divisé ? Ce ne serait pas l'étude d'une couleur séparée des autres, dont la présence serait réduite à des vibrations de photons et d'influx nerveux – toutes choses imaginaires, dans le sens où, voulant nous les représenter, nous ne pouvons que les imaginer – et qui se ramifierait infiniment, se perdrait dans l'univers abstrait des mathématiques, une couleur incolore...
Que serait l'étude de la naissance des couleurs : comment de l'obscurité où elles n'existaient pas, elles apparaissent, miraculeusement ; comment elles se métamorphosent, comment le violet devient bleu ? comment la lumière brille en elles ? une "chromophanie"...Dans le Traité des couleurs Goethe écrivit à plusieurs reprises qu'il souhaitait réunir artistes, physiciens, philosophes, chimistes, etc., afin que chacun puisse prolonger son Traité et y contribuer par ses expériences particulières ; par ces pages, j'apporterai donc ma petite contribution de peintre, d'enseignant et d'amoureux des couleurs au Traité des couleurs de Goethe.
On m'a souvent fait la remarque qu'une contribution au Traité, si petite soit-elle, devrait être plus illustrée : je n'ai en effet utilisé qu'un minimum d'illustrations et elles sont, sauf une qui montre quelques traces de couleur, en noir et blanc ; explications : D'abord, (je cite ici l'Avant-propos au Traité des couleurs de Goethe) : "On ne peut cerner par des lignes ni esquisser en coupe un phénomène naturel qui exerce ses effets en tous sens. (...) très souvent ces figures ne représentent que des concepts ; ce sont des moyens de fortune symboliques, des modes de transmission hiéroglyphiques qui peu à peu prennent la place du phénomène et de la nature, et entravent la véritable connaissance au lieu de la favoriser."* Ensuite, des illustrations colorées ne me semblent pas indispensables ; elles sont lentes à charger, même compressées et n'ajoutent rien à mon propos : cherchez plutôt à expérimenter directement !http://jc.sekinger.free.fr/dessin-peinture/couleur-goethe/contribution.php
Je suis très flattée parce que Jean-Christophe Sekinger m'a écrit pour me dire qu'il était arrivé sur mon blog et avait apprécié.
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Carl Gustav Carus, Haute Montagne, vers 1824, Huile sur toile, Essen, Museum Folkwang(que j'ai vu il y a un mois à Paris)
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Joseph Anton Koch, "Les chutes de Schmadribach", 1822 Nouvelle Pinacothèque de Munich
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Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CEUX QUE J'AIME, Chagall Marc, Le paysage
Marc Chagall, Le paysage bleu, 1949. Wuppertal - Von der Heydt-Museum
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Marc Chagall, Dans la nuit,1943, pHILADELPHIA mUSEUM OF ART(que j'ai vu à Paris il y a un mois)
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Catégories : Voyage
Marc Chagall, Vue de la fenêtre à Zaolchie, 1915,Moscou, The State Tretyakov Gallery(que j'ai vu à Paris il y a un mois)
De retour dans sa ville natale, l’artiste est confronté à la guerre qui l’oblige à rester en Russie. Cette période a joué un rôle important dans sa vie et son œuvre car, malgré la guerre, il vit des instants de bonheur.
A Vitebsk, il retrouve Bella Rosenfeld, son amour de jeunesse, qu’il épouse en 1915 ; un an plus tard nait leur fille Ida. La ville, ses habitants, ses paysages et sa famille deviennent ses sujets de prédilection comme le montre Vue de la fenêtre à Zaolchie, près de Vitebsk où il se représente avec Bella – sa muse et son modèle - au cours de leur voyage de noces.
http://www.museeduluxembourg.fr/fr/expositions/p_exposition-18/parcours-numerique/thematique-3/
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Catégories : CEUX QUE J'AIME, Chagall Marc
Marc Chagall, "Belle et Ida à la fenêtre, 1916, collection particulière"(que j'ai vu il y a un mois à Paris)
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Catégories : CEUX QUE J'AIME, Chagall Marc
Ulysse et les Sirènes par Marc Chagall
Lithographie pour l'Odyssée. Traduction d'André Dacier et Émile Ripert.Paris, Fernand Mourlot, 1974-1975. 325 p., ill. en noir et en coul. (43 cm.)BnF, Réserve des livres rares, RES G-YB-37-(1). © ADAGPQuand il réalise en 1974-1975 dans l'atelier parisien de Fernand Mourlot une grande suite lithographiée de l'Odyssée, ce n'est pas la première fois que Chagall aborde le monde d'Homère. Sur le thème d'Ulysse, il a en effet réalisé pour la faculté de droit de l'université de Nice une mosaïque inaugurée en 1969 et intitulée Le Message d'Ulysse. Homère ne nous donne strictement aucun détail sur l'apparence physique des Sirènes. Tout notre univers mental est en fait inspiré par les vases antiques, dont le célèbre stamnos à figures rouges du Ve siècle avant J.-C. attribué au Peintre de la Sirène (British Museum, E440). Chagall, qui n'ignore pas cette référence artistique, joue avec elle en mêlant les représentations de Sirènes-oiseaux et de Sirènes-poissons issues d'horizons chronologiques et géographiques différents. -
Marc Chagall, Sirène et poisson, 1956-60
http://www.revendeurs.rmngp.fr/fr/catalogue/produit/8075-sirene-et-poisson.html
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Marc Chagall, La danse, 1950-52, Nice(que j'ai vu au Musée du Luxembourg il y a un mois)
http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/chagall-entre-guerre-et-paix
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Marc Chagall, "Sous le palmier, 1969"(vu au musée du Luxembourg il y a un mois)
http://www.revendeurs.rmngp.fr/fr/catalogue/produit/8068-sous-le-palmier-cap-antibes.html
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Catégories : Musique
Léo Ferré, toujours aussi extra
Après l'intégrale Serge Gainsbourg publiée en 2011 à l'occasion des vingt ans de la disparition du chanteur, la belle anthologie consacrée l'an passé à Barbara, quinze ans après sa mort, et avant Jacques Brel, dont on célébrera les 35 ans du décès plus tard cette année, Léo Ferré est le chanteur du patrimoine français à bénéficier d'un traitement de choix par la multinationale Universal Music. Si Pascal Nègre ne fait pas toujours dans le bon goût sur les réseaux sociaux à l'heure des condoléances - il salua la disparition récente de Georges Moustaki en rappelant que son catalogue était disponible au sein de la maison de disques qu'il dirige -, les grandes figures de la chanson française sont traitées avec égard par ses équipes.
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Retraites : tout le monde devra contribuer à l'effort
Les fonctionnaires[...]concernés Interrogée sur l'épineuse question de la modification du mode de calcul des pensions des fonctionnaires, Marisol Touraine[...]«les fonctionnaires[...]de très faibles pensions
Les pensions des fonctionnaires sont plus élevées que dans le privé
plus élevées que dans le privéLes pensions des fonctionnaires[...]mode de calcul des retraites des fonctionnaires, à l'origine de fortes inégalités en défaveur des salariés du privé[...]de ne plus déterminer leurs pensions sur la base des six derniers mois de carrière mais des trois ou des dix dernières années, contre les ...
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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Le cyclisme
Dauphiné: victoire finale de Froome
Le Britannique Chris Froome (Sky) a remporté le Critérium du Dauphiné, dimanche à Risoul (Hautes-Alpes), après la 8e étape gagnée par l'Italien Alessandro de Marchi (Cannondale).
Froome, favori du prochain Tour de France, a pris la deuxième place de l'étape. Il a devancé au classement final l'un de ses coéquipiers, l'Australien Richie Porte. -
Catégories : CEUX QUE J'AIME, Daho Etienne, Musique
Etienne Daho : "J'aurais dû mettre un casque comme les Daft Punk"
- 10/06/2013
- 7h00
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LA REOUVERTURE DU RIJKSMUSEUM A AMSTERDAM
Après dix ans de travaux et un chantier qui a suscité bien des polémiques, le plus célèbre des musées hollandais rouvre ses portes. Sa réhabilitation a permis de remettre en valeur l’architecture et le décor originels conçus par Pierre Cuypers et de déployer avec une plus grande lisibilité des collections pléthoriques. Elle a aussi et surtout permis de confronter le vieux Rijksmuseum à des défis nouveaux, ceux du XXIe siècle, qui vont bien au-delà de la traditionnelle mission conférée aux musées encyclopédiques. Wim Pijbes, directeur du musée, revient sur les enjeux qui ont marqué ces dix années de rénovation, sur les acquisitions qui sont venues enrichir les collections et sur les orientations futures du musée.
Articles
- Les défis d’une réouverture
- L’aventure d’une rénovation
- Art et histoire, les deux âmes d’un musée
- Moyen Âge et Renaissance : une redécouverte
- Le musée du Siècle d’or hollandais
- Arrêts sur huit chefs-d'oeuvre
- Les peintures des écoles étrangères
- Fleurons des arts décoratifs européens
- Le nouveau Pavillon asiatique
Actualités
- Amsterdam au Siècle d’or
- Pierre le Grand, le tsar omniscient
- Le Stedelijk Museum, l’art moderne et contemporain
- Le Van Gogh Museum un quadragénaire rajeuni
http://www.dossier-art.com/numero-206/reouverture-rijksmuseum-a-amsterdam.3788.php
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Catégories : Les polars
Dans la tête du tueur
Par Françoise Dargent
29/09/2010 | Mise à jour : 17:51L'hypnotiseur de Lars Kepler : nouveau best-seller suédois et nouvelles méthodes d'investigation au royaume du crime.
Il fut un temps où la méthode pour obtenir des aveux se résumait à peu de chose : le suspect se mettait à table à la nuit tombée après avoir été éprouvé par un inspecteur passablement énervé. Une lampe pouvait être utile. Il y eut ensuite l'arsenal un brin fanfaron des brigades scientifiques avec leurs éprouvettes à conviction. Les gants de chirurgien étaient de rigueur. Puis Stieg Larsson est arrivé avec ses hackers compulsifs capables de débusquer un coupable en restant devant leur ordinateur. Lars Kepler, dernière recrue suédoise de l'écurie noire d'Actes Sud, ne prône aucune de ces méthodes. Dans L'Hypnotiseur , l'enquêteur par qui la vérité arrive n'est même plus policier mais psychiatre. Erik Maria Bark a expérimenté une méthode thérapeutique à base d'hypnose pour aider des patients victimes de traumatismes à exprimer ce qu'ils refoulent. Quand le jeune Josef arrive à l'hôpital, seul survivant d'un massacre dans lequel toute sa famille a péri, l'inspecteur Joona Linna pense immédiatement à faire appel au médecin.
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Éblouissants Reflets
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Arts et Nature 2013 - Domaine de Chaumont-sur-Loire
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