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Catégories : Mes poèmes

J'aime les villes

J’aime les villes, les grandes villes où fourmille la foule en grappes compactes.

La rue est le cordon ombilical qui relie l’individu à la société.

Ma tristesse s’y dissout en volutes  nicotiniques et bleutées.

J’aime les villes, les grandes villes avec leurs mille libraires.

 

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Pour lire la suite et d'autres textes de moi, cf. mes 13 livres en vente sur ce blog

Dans les villes

Nouveau jeu (20/10) sans limite de temps et ouvert à tous.

Publiez votre participation sur votre blog et prévenez-moi en commentaire.

Ecrivez un poème ou une prose, ou faites un visuel sur le thème de la ville.

 En vous inspirant ou non de la chanson de Michel Sardou "Dans les villes".

Les participations : Jill Bill... Fransua... ABC...


Michel sardou - Dans Les Villes
envoyé par val6210. - Regardez plus de clips, en HD !
Pour rigoler, la même en espagnol :

http://www.dailymotion.com/video/xbh6qy_michel-sardou-ciudad-de-soledad-les_creation

Un texte cher à mon coeur de professeur d'éducation civique :

 

Dans les villes de grande solitude, 

Moi, le passant bien protégé 
Par deux mille ans de servitude 
Et quelques clous sur la chaussée, 

Dans les villes de grande solitude, 
De nouvel an en nouveaux nés, 
Quand j'ai bu plus que d'habitude, 
Me vient la faim d'un carnassier, 

L'envie d'éclater une banque, 
De me crucifier le caissier, 
D'emporter tout for qui me manque 

Et de disparaître en fumée

Mais dans les villes de grande solitude, 
Tous les héros se sont pollués 
Aux cheminées du crépuscule 
Et leurs torrents se sont calmés. 

Alors je fonce comme une bête 
Sur le premier sens interdit. 
Aucun feu rouge ne m'arrête. 
Je me sens bien dans ma folie. 

J'ai envie de violer des femmes, 
De les forcer à m'admirer, 
Envie de boire toutes leurs larmes 
Et de disparaître en fumée 

Mais dans les villes de grande solitude, 
Quand l'alcool s'est évaporé, 
Je replonge dans la multitude 
Qui défile au pas cadencé. 

J'ai peur d'avoir brisé des vitres, 
D'avoir réveillé les voisins 
Mais je suis rassuré très vite : 
C'est vrai que je ne casse rien. 

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