Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, La télévision, Les polars

«Sherlock, l’inverse d’un monolithe poussiéreux»

 

Sophie GINDENSPERGER 2 avril 2014 à 18:06

Sherlock Holmes (Benedict Cumberbatch, à gauche) épie son ami Watson (Martin Freeman) qui le croit mort.Sherlock Holmes (Benedict Cumberbatch, à gauche) épie son ami Watson (Martin Freeman) qui le croit mort. (Photo Hartswood Films)

INTERVIEW

Alors que la troisième saison de la série débute ce soir sur France 4, le réalisateur Steven Moffat détaille la façon dont il a modernisé le héros de Conan Doyle.

Il est de retour, toujours aussi brillant, insupportable et magnétique : Sherlock, la minisérie de la BBC qui donne un ébouriffant coup de jeune au héros de Conan Doyle, entame sa troisième saison ce soir sur France 4. Steven Moffat, qui a aussi participé à la résurrection de la célèbre série Doctor Who, était de passage à Paris la semaine dernière et a raconté à Libération comment il a, avec Mark Gatiss, transformé le «Superman de Baker Street».

Vous utilisez généralement le mot «réactualisé» pour évoquer ce que vous avez fait du Sherlock de Conan Doyle. Y a-t-il des éléments que ...

http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2014/04/02/sherlock-l-inverse-d-un-monolithe-poussiereux_992650

Les commentaires sont fermés.