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J'ai lu:Un autre Eden(médiathèque)

Un autre Eden nous emporte sur les traces d'un type génial et malgré tout méconnu, Jack London, accompagné de notre fils Martin car tous les deux sont nés un jour de janvier 76. On y découvre des femmes magnifiques, une robe en feuilles de cocotier, des aventures hors du commun, une machine à best-sellers, la permanence d'une pauvreté qui devrait nous être insupportable, un vélo, des grandes poudreries et les mers vertes du Sud, le poids du chagrin, une joie supérieure, des contradictions en tout genre, l'Enfer et l'Eden, les illusions et les désillusions du socialisme, des eucalyptus et des phoques, des invités surprises, le tumulte des relations entre parents et enfants, des vies, des capricornes, l'impératif " Je me souviens ", la route, le bord de la route, un vieux chien avec des yeux mouillés, notre incurable légèreté.

http://mediatheques.saint-etienne.fr/EXPLOITATION/Default/rsc/436292/un-autre-eden-bernard-chambaz

exergue-p.43

p.64:

 

 Le cinéma est une autre machinerie prodigieuse. Jack s'y précipite, il aime ce qui est neuf, attrayant, apte à cultiver les masses. Il aime les 

p.95:

Savez-vous que j'ai oublié ce que c'est de dormir paisiblement? ... des moments où je suis hanté par ces vers de Longfellow : The sea is still ... Toute chose dort dans son sein; Un seul pas et tout est fini, Un plongeon, une bulle, et plus rien.

p.97:

 en brute, pire qu'une bête de somme, au point que « l'azur du ciel ne lui murmurait plus rien » et qu'il n'a plus l'énergie d'ouvrir un livre.

p.101:

https://www.sitaudis.fr/Parutions/mon-emily-dickinson-de-susan-howe.php

p.105:

 

 tirer notre révérence quand elle avance cet axiome : « SI DIEU ÉTAIT VENU ICI CET ÉTÉ ET AVAIT VU CE QUE J'AI VU, JE PENSE QU'IL ...

p.114:

représente une espèce d'hymne des orpailleurs : Comme Argos dans les temps anciens ... ils prirent à travers Éden leur chemin solitaire ».

p.167:

Que la magie des noms propres nous fasse rêver et qu'elle contribue à nous mettre en route, les atlas et les livres le corroborent.

p.193:

Snark : mot d'origine anglaise, animal fabuleux que personne n'a jamais vu, insaisissable. La description n'aide pas à le cerner puisqu'il .

p.204:

Winnipegj'en rêve depuis des siècles, et le film Winnipeg.

p.206:

la boxe, le monde ouvrier, oui, qui pourrait s'y intéresser ? Et, c'est plus fort que lui, il change encore de registre. ... Il était un peu fêlé.

p.254:

Malgré les droits d'auteur, le succès de Martin Eden lui semble une maigre consolation. La réussite ... Je préfère vivre à écrire.

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