Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Comme tous les vendredis, je lis la presse papier
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LE MONDE | 14 janvier 2010 | Odile de Plas | 1187 mots
LE MONDE DES LIVRES | 28 janvier 2010 | Robert Solé |
Olivia Rosenthal | ![]() |
« Quel film a changé votre vie ? » C’est la question simple et vertigineuse que pose ce livre. Pour y répondre, quatorze voix singulières racontent comment le cinéma est entré par effraction dans leur existence. C’est un livre sur tous ceux qui fréquentent les salles obscures pour se rassurer, pour oublier, pour se divertir, pour comprendre, pour avoir peur. On y rencontre des acteurs, des couleurs et des sons, des histoires de famille, des exemples à suivre, des motifs de rupture, toute une intimité avec des images souvent anciennes qui, passées au crible de la mémoire, continuent à hanter nos esprits et nos corps. On y apprend que l’art n’est pas nécessairement coupé de la vie et on se dit que c’est une information à retenir. http://www.editions-verticales.com/fiche_ouvrage.php?id=345 |
«Je suis un grand patriote cosmopolite !» est une phrase qu’il a prêtée à son personnage de milliardaire écrivain Barnabooth et qui s’applique à Valery Larbaud lui-même dont paraît aujourd’hui une énorme «édition définitive» du Journal.
Un universitaire allemand, qui anime une émission en parlant comme Cicéron et double les péplums en version originale, a écrit l'histoire de cette langue pleine de sortilèges qui n'est pas morte pour tout le monde.
Artiste L’art est une fête. Foraine parfois. Bienvenue à « Dismaland », le « parc d’attractions lugubre » ouvert à la fin du mois d’août par Banksy, le plus secret des artistes internationaux dont nous publions ce mois-ci le portrait forcément « robot ». Dans ce « Bemusement Park »… Pardon, dans ce « parc de la perplexité », on s’amuse, on pleure, on rit au milieu d’agents coiffés d’oreilles de Mickey qui peinent à dissimuler leur état dépressif : « Liberté d’expression, liberté d’expression dans l’ennui », déclame tristement l’un d’eux au journaliste du Journal des Arts. Pour le street artist britannique, il s’agit de faire un état des lieux du monde ; détourner les traditionnelles attractions foraines (pêche aux canards, tir à la carabine, manège) afin de dénoncer les catastrophes écologiques et humanitaires qui font la une des journaux, y compris celle, actuelle, des migrants. Ce n’est pas la première fois qu’un ...
Propos recueillis par Astrid de Larminat
01/10/2009 | Mise à jour : 13:15
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Crédits photo : AFP
Mars 2016
L’Œil du cyclone Ai Weiwei, encore lui ! À peine le plasticien a-t-il récupéré son passeport confisqué en 2011 par les autorités chinoises que cet artiste mégalomane, né à Pékin en 1957, fait de nouveau parler de lui. Publiée en février, la photographie en noir et blanc le montrant gisant sur une plage de l’île de Lesbos, en Grèce, suscite une vague d’indignation. Ai Weiwei y reprend la position du petit Alan Kurdi, cet enfant syrien mort noyé en septembre 2015, et dont l’image a ému le monde entier jusqu’à devenir le symbole du drame des réfugiés en Méditerranée. Michel Onfray en avait déjà fait les frais, qui rappelait pourtant une vérité simple : une photographie n’est pas la réalité, mais une intention légendée qui est, à ce titre, manipulable et manipulatrice. Mais toute vérité n’est pas bonne à dire… À Ai Weiwei, on reproche, comme à Onfray, de manquer d’empathie et de récupérer un drame humain pour ...
N° 520 - février 2016 - 8,50 €
ISSN : 0998-8041