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Laura Vanel-Coytte: écrivaine publique. Entreprise Siret:884 135 807 00011 à votre service - Page 1159

  • Catégories : Des expositions, Des musées, J'ai vu, Kandinsky Vassily

    J'ai aimé voir à la Pinacothèque:Expressionismus & Expressionismi

     la Pinacothèque de Paris, du 13 octobre 2011 au 11 mars 2012

    Berlin-Munich 1905-1920. Der Blaue Reiter vs Brücke

    La Pinacothèque de Paris présentera du 13 octobre 2011 au 11 mars 2012 une étude inédite de l'Expressionnisme allemand. Ce mouvement pictural sera envisagé à travers la confrontation de ses deux courants fondateurs, Der Blaue Reiter et Brücke.

    Le titre Expressionismus & Expressionismi fait référence à l'importante exposition sur le Futurisme, intitulée Futurismo & Futurismi, qui a eu lieu à Venise en 1986. Ce néologisme permettait de montrer la diversité des mouvements constituant le Futurisme italien. De la même façon, Expressionismus & Expressionismi illustre la diversité des origines de l'Expressionnisme allemand, qui, souvent perçu comme monolithique est pourtant composé de deux approches diamétralement opposées.

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  • Catégories : Des expositions, Des musées

    J'aurais voulu voir au Musée d'Orsay

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    Exposition au musée de l'Orangerie
     
    7 octobre 2011 - 9 janvier 2012
     

    Musée de l'Orangerie

     
     

     

     
    Exposition
     
    13 septembre 2011 - 15 janvier 2012
     
     
     
     

     

     
    Exposition internationale
     
    4 juin 2011 - 10 février 2012
     

    Séoul, Singapour

     
     

     

     
    Exposition au musée de l'Orangerie
     
    27 avril - 25 juillet 2011
     

    Paris, musée national de l'Orangerie

     
     

     

     

     

     
    Exposition à l'Hôtel de ville de Paris
     
    12 avril - 30 juillet 2011
     

    Paris, Hôtel de Ville, salle Saint-Jean

     
     

     

  • Catégories : Des expositions, Des musées

    J'ai aimé mercredi l'expo au Musée d'Orsay:Akseli Gallen-Kallela (1865-1931).

    Akseli Gallen-KallelaLa Défense de Sampo© Turku Art Museum / Photo Kari Lehtinen

    Considéré comme l'un des artistes les plus emblématiques du génie finlandais au tournant des XIXe et XXe siècle, Akseli Gallen-Kallela n'a jamais fait l'objet d'une exposition monographique en France. Ses liens avec Paris sont cependant étroits. Il fut élève de l'Académie Julian dans les années 1880, triompha à l'Exposition universelle de 1900 avec les fresques du pavillon finlandais sur des thèmes tirés de l'épopée du Kalevala, exposa de nouveau à Paris en 1908 avant de s'embarquer pour l'Afrique d'où il ramena une série flamboyante de peintures et aquarelles.

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  • Catégories : Des musées, J'ai vu, Mes photos, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    Voyage du 14 au 19 février 7 -Paris-Nouvel Orsay

     
    PARIS 16FEVRIER 2012 097.jpg

    Dévolu depuis l'ouverture du musée d'Orsay en 1986 aux arts décoratifs, le pavillon Amont a fait l'objet d'une rénovation spectaculaire, aboutissant à la réorganisation complète de sa structure et de sa volumétrie intérieure. Tirant parti pour la première fois de toutes les virtualités d'un espace sous-exploité, l'architecte Dominique Brard et son équipe de l'Atelier de l'Ile ont conçu et réalisé cinq niveaux d'exposition, augmentant ainsi la présentation des collections permanentes de près de deux mille mètres carrés.

    Comme pour la galerie impressionniste, plancher et cimaises de couleur ont été retenus pour l'habillage des salles. Un puits de lumière dissipe toute sensation d'enfermement. Au rez-de-chaussée, une salle entière, d'une formidable hauteur sous plafond, permet de mettre en valeur les grands formats de Gustave Courbet.
    Les niveaux 2, 3 et 4 reçoivent l'art décoratif international des années 1900, rapproché pour la première fois de la production tardive des Nabis, Vuillard, Bonnard, Maurice Denis… Au dernier étage du pavillon Amont enfin, le visiteur retrouve le chemin des collections impressionnistes après avoir traversé l'espace dépouillé qu'orne seule l'une des horloges monumentales de l'ancienne gare. Entre les aiguilles, le panorama parisien, l'un des plus saisissants de la capitale.

     
    Pavillon Amont. Niveau 2© Musée d'Orsay / Sophie Boegly



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  • Catégories : Des expositions, Des musées, Paris(75,Ile de France):vécu,études

    J'aurais aimé voir au Musée du Luxembourg

    CRANACH ET SON TEMPS

    du 9 Février 2011 au 23 Mai 2011

    Commissaire : Guido Messling

    Pour marquer l’ouverture sur l’Europe de la partie de sa programmation dédiée à la Renaissance, le musée du Luxembourg rouvre ses portes avec une exposition consacrée à Lucas Cranach (vers 1472-1553), l’un des artistes majeurs de la Renaissance germanique. Ce peintre fécond et polyvalent, dont la carrière couvre toute la première moitié du XVIe siè ...

     

     
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  • Catégories : A voir, Des expositions, Des musées

    Bientôt au Musée du Luxembourg

     

    EXPOSITION A VENIR

    Ouvert tous les jours de 10h à 19h30
    Nocturne le vendredi jusqu’à 22h

    Réservez vos billets individuels
    Réservez vos billets pour les Groupes

     

     
     
     

    TARIFS :

    Plein Tarif : 11,00 euros
    Tarif Réduit : 7,50 euros
    Billet famille (2 adultes/2 jeunes) : 29,50€
    Téléchargez les conditions tarifaires de l’exposition

    COMMISSARIAT GENERAL :

    Giovanni C. F Villa, professeur en histoire de l’art à l’Université de Bergame, spécialiste de la peinture vénitienne de la Renaissance

    PRESENTATION DE L’EXPOSITION :

    Aux côtés de Giovanni Bellini et de Vittore Carpaccio, Giovanni Battista Cima da Conegliano (1459-1517) compte parmi les grands peintres qui travaillent à Venise à la fin du XVe et au début du XVIe siècle, à l’époque où la ville devient un des pôles les plus brillants de la Renaissance italienne.

    À Venise, Cima s’impose très vite comme le maître des grands retables en explorant des effets de composition inédits, où se mêlent de manière originale nature et architecture. Il introduit des asymétries et des échappées insolites, ménage des ouvertures surprenantes, comme dans la Vierge à l’Enfant entre l’archange saint Michel et l’apôtre saint André (Parme, Galleria Nazionale). Partout apparaît son amour des vastes étendues, exaltées par la lumière, encadrées de montagnes et de collines, qui évoquent les reliefs caractéristiques de sa région natale. A la peinture de paysage, il donne un souffle nouveau. Nul autre avant Cima, n’a su rendre l’atmosphère argentée et légère de la Vénétie avec cette poésie qui n’appartient qu’à lui.

    La vie de Giovanni Battista Cima est celle d’un jeune homme sorti du lot, porté par son talent à faire une carrière remarquable. En effet, rien dans ses origines ne le prédestine à réussir à Venise en tant qu’artiste. Il n’y est même pas né, mais a grandi dans l’arrière-pays, dans une bourgade nommée Conegliano, située au pied du massif montagneux des Dolomites. De plus, son père travaille dans le textile (le nom « Cima » vient d’ailleurs du métier de cimatore exercé par son père). C’est donc un destin hors du commun que celui de ce provincial qui parvient à s’imposer comme un maître réputé, et cela en dépit de la concurrence qui fait rage à Venise où des dynasties de peintres, comme celles des Bellini ou des Vivarini, sont déjà fort bien implantées. Dans les années 1490, il est reconnu à Venise comme le peintre d’art sacré par excellence. Dans ce domaine, le doge lui-même le considère meilleur que Bellini ou que Carpaccio.

    Cette ascension sociale, Cima la doit d’abord à une forme de perfection, fondée sur la minutie de son dessin, sa maîtrise de la peinture à l’huile (une technique alors relativement nouvelle dans l’histoire de la peinture vénitienne), l’étendue de sa palette aux couleurs lumineuses. Ce métier virtuose lui permet d’atteindre un haut niveau de précision dans la représentation des détails : la ciselure d’un bijou, la texture chatoyante d’une draperie, les boucles cuivrées d’une chevelure. Le soin fascinant avec lequel il décrit les visages, les expressions et les regards, souvent mélancoliques, lui permet de conférer à ses peintures une profonde humanité, perceptible notamment dans ses nombreuses Vierges à l’Enfant, comme celle conservée aux Offices de Florence.

    La réussite de Cima réside aussi dans sa réceptivité aux idées nouvelles et dans son extraordinaire capacité d’assimilation. Dans le sillage d’Antonello de Messine et de Giovanni Bellini, notamment, il forge d’abord ses premières armes. Il ne tarde pas à proposer à son tour de nouveaux modèles auxquels Bellini lui-même ne sera pas insensible. De passage à Venise, Albrecht Dürer, attiré par la renommée de Cima, lui rend visite et est frappé par ses œuvres. Son influence est aussi déterminante pour les maîtres de la génération suivante, Lorenzo Lotto, Sebastiano del Piombo, Titien, qui tous sauront retenir les leçons de sa peinture et y puiser des idées pour leurs propres compositions. Au sommet de sa carrière, Cima sait encore reconnaître les avancées d’un peintre plus jeune, Giorgione, et modifier sa manière de peindre, en optant pour une touche plus vibrante et suggestive dont le Saint Jérôme au désert des Offices est un des plus beaux exemples. Ainsi, autour de Cima, ce sont plusieurs générations d’artistes qui ne cessent de dialoguer entre elles.

    L’exposition Cima maître de la Renaissance vénitienne réunit des œuvres exceptionnelles, dont de grands tableaux d’autel, qui pour la première fois sont présentés hors de l’Italie. Elle permet de découvrir ainsi l’œuvre d’un artiste en phase avec son temps et de porter un nouveau regard sur la prestigieuse histoire de Venise.

    L’exposition est organisée par la Rmn-Grand Palais en collaboration avec Artematica.

    (Visuel : Cima da Conegliano, Saint Sébastien, 1500-1502 © Musée des Beaux-Arts de Strasbourg, photo M. Bertola)

     http://www.museeduluxembourg.fr/fr/expositions/p_exposition-10/

     

     
     
     
     
     
  • Catégories : Des expositions, Des musées, Le paysage, Voyage

    J'aurais aimé voir au Musée Henner

    Voyages

    Samedi, 17 Septembre, 2011 - Lundi, 28 Novembre, 2011

    De l'Europre du Nord aux rives de la Méditerranée

    Un accrochage renouvelé et une présentation inédite de carnets de dessins permettent de découvrir les pérégrinations de Henner (1829-1905), son regard sur les grands maîtres et le goût pour l'orientalisme de Guillaume Dubufe (1853-1909)...

     
  • J'ai aimé vendredi au Musée Henner

     
    Date: 
    1 Février 2012 - 2 Juillet 2012

    Deux ans après sa réouverture, le Musée national Jean-Jacques Henner renouvelle profondément la présentation de ses collections permanentes et propose une exposition qui met en lumière la place du paysage dans l'œuvre de Henner (1829-1905). Plus de 90 peintures et dessins, sorties spécialement des réserves et restaurées, retracent l'itinéraire artistique du peintre et permettent de saisir de la singularité de sa démarche.

    Alors qu'une partie des artistes de la deuxième moitié du XIX° siècle s'efforcent de témoigner de leur temps et de leur environnement en empruntant leurs sujets dans la vie quotidienne et en utilisant des techniques novatrices, dites impressionnistes, Henner construit, au contraire, un univers pictural qui lui est propre où la réalité observée se transforme en vision onirique. Dès 1864, après cinq années passées comme pensionnaire à la Villa Médicis à Rome, il abandonne ainsi la peinture « d'après nature » pour s'attacher à recréer dans son atelier un paysage idéal en s'inspirant des maîtres anciens, poètes ou peintres. Nus bucoliques, nus idylliques, nymphes et autres naïades peuplent un paysage rêvé, celui de son Alsace perdue.

    Le "petit journal" de l'exposition : à télécharger

    Découvrez quelques images de l'exposition :
    http://www.flickr.com/photos/hennerintime/sets/72157628343329301/

     

    Retrouvez l'exposition sur Facebook : https://www.facebook.com/events/283233748404675/

    Autres actualités
     
  • Catégories : Des expositions, Le paysage

    J'aurais voulu voir au musée Cernuschi

    Trois Peintres de Hangzhou
    • Trois Peintres de Hangzhou
     

    TroisPeintresdeHangzhou

    du2au23octobre2007

    La mairie du VIIIème arrondissement et le musée Cernuschi ont souhaité placer l’automne 2007 sous le signe de la peinture chinoise à l’encre contemporaine. En parallèle avec l’exposition Chan Ky-Yut au musée Cernuschi, la mairie du VIIIème arrondissement présente trois peintres de Hangzhou : He Shuifa (1946-), Jiang Baolin (1942-) et Zeng Mi (1935-).

    Ces peintres, qui appartiennent sensiblement à la même génération, ont également en commun un lieu d’activité qui est aussi une source d’inspiration : la ville de Hangzhou, à proximité de Shanghai, qui a su rester l’un des centres de création les plus stimulants de la Chine au fil de ses mutations. C’est sans doute l’un des lieux privilégiés pour appréhender l’évolution de la peinture chinoise…et c’est tout le mérite de Paul Rouillé, qui a collectionné ces oeuvres, d’avoir su s’y rendre pour nouer des contacts avec ces artistes dès le début des années 80. Les oeuvres de He Shuifa, Jiang Baolin et Zeng Mi, permettent d’entrevoir le mouvement de libre réappropriation des thèmes classiques de la peinture chinoise favorisé par l’ouverture qui a suivi les années de la révolution culturelle. Cette liberté vis-à-vis du sujet se manifeste également par un renouveau formel. Ainsi il est possible de lire en filigrane dans la peinture de He Shuifa l’héritage d’une forme de classicisme, tandis que Jiang Baolin se laisse entraîner vers une forme de simplification géométrique plus radicale. Chez Zeng Mi, le pinceau volontairement gauche est au service d’un regard aiguisé capable de saisir avec humour la poésie du quotidien.

    http://cernuschi.paris.fr/fr/expositions/trois-peintres-de-hangzhou

  • Catégories : Des musées, Le paysage

    J'aurais bien voulu voir au Musée Cernuschi

    Sixsièclesdepeintureschinoises

    Du20févrierau28juin2009

    L’exposition « Six siècles de peintures chinoises, oeuvres restaurées du musée Cernuschi » réunit un ensemble de 120 peintures. Elle évoque
    les plus grands peintres de la Chine impériale, actifs dans les cercles lettrés des Ming (1368-1644) ou à la cour des Qing (1644-1911). Elle
    reflète également le destin des artistes à l’orée du xxe siècle dans une Chine en recomposition, travaillée par la modernité et secouée par les
    mutations historiques. Parmi les peintres chinois tentés par l’Occident, nombreux sont ceux qui, depuis les années trente, ont choisi Paris comme
    lieu de formation et espace de création. Les contacts noués par le musée Cernuschi avec les artistes chinois contemporains ont permis de constituer
    une collection unique en Occident.

    Pour la première fois la collection de peintures chinoises rapportées d’Orient par Henri Cernuschi en 1873 sera exposée. Une campagne
    de restauration de plus de quinze ans a permis de faire renaître cette collection qui est un témoignage unique sur le regard des premiers
    collectionneurs européens de peinture chinoise à l’époque du japonisme. Ces chefs d’oeuvres oubliés surprennent par le traitement audacieux du
    pinceau d’artistes aux visions novatrices. Le travail des restaurateurs et les analyses des scientifiques, en pénétrant dans les profondeurs de
    l’oeuvre, permettent d’en révéler les aspects occultés, et de comprendre la création de l’intérieur.

    Catalogue de l'expositionSix siècles de peintures chinoises

    Six siècles de peintures chinoises

    Broché - 224 pages
    200 illustrations couleur
    ISBN : 978-2-7596-0075-5
    Prix public : 44€

     

    Espacepresse

    http://cernuschi.paris.fr/fr/expositions/six-siecles-de-peintures-chinoises

  • Catégories : A voir

    Prochaines expos au Musée Cernuschi

    RÊVESDELAQUE

    LeJapondeShibataZeshin

    avecleconcoursdelaCollectionCatherineetThomasEdson- SanAntonioMuseumofArt.

    6 avril - 15 juillet 2012

    ensemble de boîtes à décor de saule et de roue à eau

    70 laques, paravents, peintures, objets décoratifs et usuels présentés pour la première fois en France et à Paris, illustreront, au musée Cernuschi, l’art virtuose de Shibata Zeshin (1807-1891).

    La carrière de Shibata Zeshin (1807-1891) se situe à la charnière de deux grandes époques de l'histoire du Japon: le Japon des samouraïs (époque d'Edo) et le Japon de la modernité (époque Meiji). Ses peintures et ses laques témoignent des transformations artistiques, politiques et sociales de la fin du XIXe siècle. Peintre au service des riches marchands, des citadins et des temples sous l'ancien gouvernement, il est nommé peintre du Bureau de la Maison impériale après la restauration de l'empereur Meiji en 1868.
    D’une grande sensibilité, formé à la peinture réaliste auprès des peintres de l’école de Kyôto  Maruyama-Shijô,  il s’illustra dans des peintures à l’encre sur soie, créant des effets de trompe-l’œil, mais inventa encore la peinture à la laque colorée sur papier. Dans l’art du laque, il mit au point des procédés décoratifs uniques, tels que les laques noirs à décor ton sur ton, les laques imitant le fer ou le bronze ou, comble de raffinement, la fine texture du bois de rose.Ses compositions picturales souvent d’une extrême concision évoquent les fameux poèmes japonais dépouillés et incisifs, les haiku dont il était épris.


    Ses œuvres présentées dans les Expositions Universelles, dont celle de Vienne en 1873 et celle de Paris en 1884, ainsi que dans les expositions nationales furent récompensées par de nombreux prix, admirées et collectionnées par les amateurs occidentaux, comme l'Anglais Dresser et l'Allemand Samuel Bing, créateur de l'Art Nouveau. Elles jouèrent un rôle prépondérant sur l'évolution du goût en Occident.

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  • Catégories : Des musées

    Les Masques de jade mayas à la Pinacothèque de Paris

    du 26 janvier 2012 au 10 juin 2012

    Les Masques de jade mayas

    La Pinacothèque de Paris poursuit son exploration des cultures précolombiennes et mésoaméricaines. Après le succès de l’exposition L’Or des Incas : origines et mystères, la Pinacothèque de Paris présente la découverte archéologique la plus importante de la dernière décennie au Mexique : les masques en mosaïque de jade.
    Ces masques exceptionnels, entièrement restaurés par les plus éminents spécialistes en archéologie maya, représentent les visages de la divinité. Créés pour les gouverneurs les plus prestigieux des cités perdues mayas, ils avaient pour mission d’assurer la vie éternelle à ces hauts dignitaires après leur mort.

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  • Catégories : Des expositions

    Les ateliers de l'Ecole de Chaillot (2011-2012)

    Saint-Léonard de Noblat, Nauplie en Grèce, Olténie en Roumanie

    Mardi 08 novembre 2011 - Mercredi 22 février 2012

    L'École de Chaillot présente les travaux des ateliers sur sites réalisés par les élèves de 2e année du DSA «architecture et patrimoine».

    À Saint-Léonard de Noblat, en Haute-Vienne, ils ont travaillé sur trois maisons emblématiques présentant un enjeu patrimonial à l'échelle de la ville et sur les moulins du pont de Noblat, leur périmètre d'influence et leur inscription dans le site.

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  • Catégories : Des expositions

    Esprit(s) des lieux

    Du Trocadéro au palais de Chaillot

    Prolongation jusqu'au 19 mars 2012

    Une cinquantaine de photographies et des documents d'époque retracent l'histoire des palais du Trocadéro (1878) et de Chaillot (1937) depuis les travaux de terrassement de la colline en 1866 jusqu'à aujourd'hui.

    La mémoire des lieux se révèle dans sa plus grande diversité, à travers le temps et au gré des événements historiques qui s'y sont succédés.
    Des portraits d'anonymes et de personnalités saisis par l'objectif se superposent aux vues architecturales.
    Ces esprits des lieux sont les garants de la temporalité des images, photographies d'artistes renommés ou d'anonymes.
    Sur les clichés, les palais se dévoilent sous des angles de vue insolites. Les paysages éphémères conçus lors des Expositions universelles, le site de Chaillot sous l'Occupation et lors de la Libération sont parmi les temps forts de l'exposition.

    Exposition conçue et réalisée par la Cité de l'architecture & du patrimoine / musée des Monuments français en partenariat avec les Archives nationales

    http://www.citechaillot.fr/fr/expositions/expositions_temporaires/24115-esprits_des_lieux.html

  • Catégories : A lire

    L'édition des petits livres. Fabienne Yvert

    Je fais des livres depuis 83.
    Exemplaires uniques tout d’abord, mais les exposer me posait un dilemne sans solution: ouverts à une page, sous vitrine, alors qu’ils étaient faits pour être vus & pour être lus (avec éventuellement abondance de texte).
    Que faire? Sortir du livre unique, trop fermé & confidentiel, pour aller sur le mur. Tout en gardant les caractéristiques qui me sont chères: — prépondérance du texte le plus souvent — accompagné d’une mise en page & en image qui relève d’une pratique artistique (peinture, sérigraphie, lithographie...). Mais là encore, une fois le travail exposé, le voilà rangé & plus du tout accessible, alors que le texte demande des lecteurs. L’autre solution, c’est donc de repenser le travail plastique pour en faire un livre, un «vrai», presque comme chez le libraire. C’est la 2ème version, complémentaire, du travail. Qui m’intéresse aussi parce qu’elle peut toucher un public différent.
    Depuis que je suis à Marseille, je ne fais que des livres. ( c’est bien suffisant !)
    L’Edition des Petits Livres est née en 89. C’est sous ce nom (au singulier) que je publie (& fait imprimer ou imprime moi-même) mes livres. Entre 20 & 1000 exemplaires. En photocopie, imprimante, tampons, sérigraphie, litho, gravure, offset, typo, lino, pomme de terre...
    Il s'agit (la plupart du temps) de parler du (de mon) quotidien; en célébrer les petits moments, les choses infimes & intimes, ordinaires. Sans que ça devienne indiscret, indélicat ou exhibitionniste. Afin que chacun puisse s’y reconnaître et s’y retrouver, se l’approprier.
    Il arrive que l’EdPL invite un(e) autre artiste, dont j’aime le travail, à publier sous sa bannière.

    http://www.hors-normes.com/oldsite/yvert.html

  • Catégories : Courbet Gustave, Nerval Gérard de

    "L'Europe des esprits ou la fascination de l'occulte, 1750-1950»

     

    Jusqu'au 12/02/2012 | Exposition | Strasbourg (67)

    Grâce à une muséographie très subtile, une exposition strasbourgeoise parvient à parcourir quatre mille ans de confluences entre occultisme, art, littérature et science, de l’Égypte antique au surréalisme.

    Lire la suite