Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Le roman noir(celui que je lis le soir dans mon lit avant de dormir depuis plus de 30 ans) à l'honneur
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(Pour ceux qui, horreur, ne comprendraient pas le bruxellois "Croustillons et Bigorneaux")
http://samedidefi.canalblog.com/archives/2022/08/06/39584335.html
Gérard Schlosser, considéré comme le pionnier de la Figuration narrative, est décédé le 10 août à l'âge de 91 ans. S'il s'est voué à la peinture dès les années 1950, c'est vers 1970 qu'il s'est tourné vers la photographie et le photomontage.
Le 10 août dernier est décédé Gérard Schlosser dans son sommeil à 91 ans. Né à Lille en 1931, le pionnier de la Figuration narrative a étudié à Paris l’orfèvrerie entre 1948 et 1951 à l’École des arts appliqués, avant de se diriger vers l’École des Beaux-Arts pour approfondir ses connaissances. En parallèle, il s’initie à la sculpture en autodidacte. Suite à la découverte bouleversante en 1953 de la représentation d’En Attendant Godot mise en scène par Roger Blin, il se livre définitivement à la peinture. Il se tourne vers la photographie et le photomontage vers 1970, période à laquelle il participe à l’exposition Mythologies quotidiennes 2 réalisée au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris.
L’œuvre de Gérard Schlosser est imprégnée du théâtre de Samuel Beckett, des titres de ses toiles jusqu’à leur trame narrative. « Quand chez Beckett, Vladimir mange un radis sorti de sa poche, Schlosser va retranscrire ce détail de mise en scène dans un tableau de 1963 intitulé J’aime mieux les radis. L’impression profonde laissée par cette découverte théâtrale va se traduire directement sur ses toiles par deux composantes qui resteront pour toujours sa marque : la phrase qui sert de présentation à chaque œuvre, et une focale toute personnelle, le gros plan », résume la galerie Strouk qui le représente. À l’instar des conversations aussi prosaïques que métaphysiques entre Didi et Gogo d’En Attendant Godot, la peinture de Gérard Schlosser suggère le quotidien par des représentations de loisirs ou de l’oisiveté.
Gérard Schlosser à la galerie Strouk lors de son exposition en 2013 ©Strouk Gallery
Gérard Schlosser est un pionnier de la Figuration narrative, un mouvement pictural né dans les années 1960 en France, qui s’oppose à l’abstraction. S’il revendique un retour à la peinture comme récit, son œuvre narrative s’inspire du cinéma. « Schlosser met en œuvre un story-board qui emmène les adeptes de l’art contemporain vers un univers sublime », rappelle la Galerie PetitJean à Lyon. Comme des petites scènes figées dans le temps et dans l’espace, chaque peinture raconte une histoire que le spectateur est libre d’imaginer. C’est le cas de la toile Il n’a rien dit, qui pourrait ramener le spectateur à un vieux souvenir personnel, sinon à un film de Rohmer ou à « Tropismes » de Nathalie Sarraute.
Vue de la rétrospective Gérard Schlosser au musée des beaux-arts de Dole en 2013 ©Henri Bertrand
Dans son parcours artistique interviennent ensuite les photomontages : Gérard Schlosser travaille plusieurs clichés puis juxtapose des visions prises avec des profondeurs de champs différentes. En 2012, il innove et fait de son spectateur un voyeur : les toiles de Gérard Schlosser prennent des formes de trous de serrures. Une rétrospective 1957-2013 lui a été dédiée au Palais synodal de Sens et au musée des Beaux-Arts de Dole en 2013. La galerie Strouk a exposé son œuvre à trois reprises entre 2008 et 2017. L’année dernière, les Éditions In Fine ont publié un livre-objet d’art, intitulé De-ci, de-là dessins choisis (avec une édition collector limitée) qui réunit un ensemble de dessins inédits embrassant toute la carrière de l’artiste.
Un trait mondialement connu qui saisit le moment, le geste, l’attitude, la situation, avec ou sans texte : le dessinateur a raconté son époque au rythme d’un album par an, de « unes » du magazine américain « The New Yorker », de grands journaux français, ou à travers le personnage du Petit Nicolas, qu’il avait créé en 1960. Il est mort le 11 août, à l’âge de 89 ans.
3,55 km
comme j'attire les bestioles
qui pique
je me suis fait piqué pour la 3 e fois cet été
hiit
Un bateau emblématique du passé maritime de la Ville
L'édifice est une réplique de la proue de la frégate "La Flore", qui était basée à Toulon au XVIIIe siècle. Emblématique du navire, l'original de la figure de proue qui figure Neptune, dieu romain de la mer, se trouve au musée national de la marine.
c'est si agréable d'être nue
et de se baigner nue
LAURENT (Saint), Laurentius (couronné de laurier, en latin), diacre, martyr à Rome, au troisième siècle, honoré le 10 août.
Grâce à l’escalier spécialement créé, il sera en effet possible d’accéder aux 250 m2 aménagés en bar-restaurant au-dessus de l’espace de vente. L’occasion de se rendre compte, de visu, que c’est l’ensemble du secteur qui a bénéficié d’une cure de jouvence. « Les Halles elles-mêmes ont certes fait l’objet d’un renforcement structurel et d’une remise aux normes actuelles, mais dans le plus grand respect de leur architecture Art déco. De même, la place Raspail a été réhabilitée en parfaite harmonie avec son environnement, les arbres ont été préservés, des agrumes ont été plantés et l’ensemble des immeubles refaits s’intègrent dans la même esthétique » indique Jean-Baptiste Arène, directeur de Var Aménagement Développement. « C’était déjà le cas avec la première réalisation du secteur : le bâtiment du Crédit Municipal, juste derrière, et c’est la même chose avec celui du CAUE, précise encore Hubert Falco. C’est très réussi ! »
C’est en effet tout un secteur qui a été repensé et au cœur duquel vont cohabiter logements, commerces et secteur tertiaire. Dans un environnement urbain requalifié. « Ici, c’est un peu, à l’est de la ville, le pendant de ce qui a été créé à l’ouest, autour de la place de l’Équerre, ajoute M. Arène. Le commerce, ça se reconquiert. Et le maillage entre les Halles, la rue d’Astour et le Cours Lafayette, avec une offre élargie, sera un important facteur de redynamisation. » Notons, comme l’a également précisé le maire, que cette réalisation (comme d’autres, ailleurs à Toulon), a été rendue possible grâce à un partenariat public/privé, signe de la confiance revenue dans le dynamisme de la Ville.
Plus que quelques jours de patience pour découvrir les gourmandises de ces nouvelles… Halles gourmandes !
Début septembre 2021, ce sont 24 stands d'artisans et producteurs locaux qui animeront ces Halles gourmandes, ainsi que le café Biltoki à l'entrée, pour offrir aux toulonnais et aux visiteurs un espace convivial. À l'étage et en plein air, un rooftop de 180 m2 permettra de savourer un apéritif ou une salade avec une vue unique sur les toits du centre-ville. Près de la moitié de ces espaces ont déjà été commercialisés, attribués à des commerçants soigneusement sélectionnés parmi plus d'une centaine de candidatures. Les professionnels intéressés peuvent d'ailleurs toujours présenter leur projet.
Créée en 2009, l'entreprise Biltoki - "l'endroit qui rassemble" en basque - affiche une solide expérience dans l'animation de halles commerçantes - elle en gère 5 dans le sud-ouest - et fera vivre celles de Toulon avec une équipe présente au quotidien sur place.
Entre 1200 et 1900, Toulon s'enferma derrière des murailles de
Enceinte mythique et atypique, le Stade Mayol est un symbole à part entière du rugby varois et de Toulon, situé au cœur de la ville, à deux pas de la place Besagne.Il fut construit en 1919 grâce à Félix Mayol, un chanteur toulonnais s’étant entiché du rugby.
La structure se modifie d’années en années, touchée tour à tour par une tempête en 1930 puis les bombardements de la Seconde Guerre mondiale en 1943.En 1965, le Club cède le stade à la Ville de Toulon qui lance alors un plan de rénovation.
Toutes sortes de légendes auront foulé la pelouse du « Temple de Besagne » et pas seulement les crampons au pied : différentes stars de la musique y donneront des concerts comme Johnny Halliday en 1977, Bernard Lavillier et même Bob Marley pour un de ses derniers concerts en 1980.Les constructions fleurissent aux abords du stade au début des années 1990, actant la position centrale de Mayol dans la ville varoise (construction d’un centre commercial, d’un parking de 3 000 places sous le Stade, d’un Palais des Congrès et d’un hôtel pour les congressistes).
Une nouvelle série de rénovations est engagée par la Mairie à l’intersaison 2005-2006 afin de remettre en état les tribunes et le réaménagement des vestiaires. Antre du rugby et des « Barbares de la Rade », le stade fait le plein de spectateurs au fil des saisons.
Depuis la saison 2013-2014, le stade Mayol a porté sa capacité à 15250 places et 39 loges.
Des travaux ont été entrepris durant la saison 2015-2016 avec dans un premier temps l’agrandissement de la tribune Bonnus puis la construction d’un quart de virage entre la tribune Delangre et la tribune Bonnus. Depuis ces travaux terminés (saison 2017-2018), le stade Mayol bénéficie d’une capacité de plus de 17 300 places.
Il y a 50 ans, la nouvelle mairie était inaugurée après six ans de chantier. Elle est l'exemple type du style de son architecte, Jean de Mailly.