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Laura Vanel-Coytte: écrivaine publique. Entreprise Siret:884 135 807 00011 à votre service - Page 953

  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Des musées

    Le violon d'Ingres... de Montauban(nous l'avons vu le 8 juillet 2014)

     

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    C'est l'histoire d'un modeste violon d'étude devenu une véritable icône. Mais les archives prouvent que le peintre possédait un autre instrument.

    Le violon de Jean-Auguste-Dominique Ingres a été utilisé pour la première fois lors d'un concert en 2005 au théâtre de Montauban, par Flavio Losco.Le violon de Jean-Auguste-Dominique Ingres a été utilisé pour la première fois lors d'un concert en 2005 au théâtre de Montauban, par Flavio Losco. © Georges Gobet/ AFP

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  • Nous avons visité le 8 juillet 2014:Musée Ingres de Montauban

    Ancien Palais épiscopal du XVIIè siècle, le musée Ingres abrite les collections de deux illustres Montalbanais, le peintre Jean-Auguste-Dominique Ingres et le sculpteur Antoine Bourdelle. La salle du Prince Noir vestige du château érigé par les anglais lors de la guerre de 100 ans abrite les collections archéologiques gallo-romaine.

    Le rez de chaussée accueille les sculptures de Bourdelle, Montalbanais célèbre. Le sous-sol dans lequel s'installent régulièrement les expositions du musée, présente des oeuvres contemporaines de la seconde moitié du XXè siècle (Olivier Debré, Zao-Wou-Ki, Vieira da Silva...). Deux salles sont réservées à la céramique française et étrangère des XVIIIè et XIXè siècles. On y découvre notamment les pots à pharmacie d'Ardus et le célèbre pot à thériaque de Montauban.

    Six salles du premier étage sont consacrées à Ingres. On y trouve de grandes compositions révélant l'influence de l'Antiquité et de Raphaël mais aussi des oeuvres de jeunesse.

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  • Catégories : Avons vu, visité etc., CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Nous

    Nous avons admiré le 8 juillet 2014:Naissance des Muses : un rêve néo-grec d’Ingres

     

                    Du 3 juillet au 2 novembre 2014

                     Présentation d’études dessinées d’Ingres pour La Naissance des Muses (1856).

                    Cette aquarelle conservée au musée du Louvre fut commandée par le Prince Napoléon qui la destinait à la tragédienne Rachel. Elle devait prendre                   place sur la « façade » arrière d’un petit temple dessiné par Hittorff.

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    JAD Ingres "La Naissance des Muses"
    Ensemble de la composition
    MI.867.2005 – Legs Ingres, 1867

    http://www.museeingres.montauban.com/Expositions_temporaires-15.html

  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Des musées

    Le vœu de Louis XIII(nous l'avons vu le 8 juillet 2014 au musée et dans la Cathédrale)

     

     

    Le musée de Montauban conserve plus de 4500 dessins d’Ingres légués par l’artiste à sa ville natale. Ils sont  présentés par roulement pour des raisons de conservation étant donné la sensibilité des œuvres graphiques à la lumière, autour d’un thème, d’un tableau ou d’une époque.

    L’exposition actuelle traite de la gestation, à travers une centaine de feuilles, du Vœu de Louis XIII, tableau majeur d’Ingres peint pour la cathédrale de Montauban.

    Commandé par le Ministère de l’Intérieur en 1820, il devait représenter « le Vœu de Louis XIII qui met sous la protection de la Sainte Vierge à son Assomption le Royaume de France ».  Ce sujet n’alla pas sans poser à l’artiste quelques problèmes qui y voyait deux sujets distincts et anachroniques : une scène religieuse, l’Assomption de la Vierge et une scène historique : la remise du royaume de France sous la protection à la Vierge par Louis XIII en 1638 après les divisions sanglantes des guerres de religion. 
    Toutefois Ingres finit par accepter de relever le défi et commença à travailler dès 1821 dans son grand atelier de la via des Belle Donne, à Florence, réunissant tout d’abord une abondante documentation faite de copies et de gravures. Celles  d’après Raphaël vont lui servir pour le registre supérieur occupé par la Vierge.  Ainsi les images de la Madone de Dresde, de la Vierge de Foligno ou de la Madone du Grand Duc , provenant des collections de l’artiste montrent clairement l’influence de l’Urbinate sur le Montalbanais même si la pose finale de la Vierge fut prise par Ingres lui même, complètement nu et juché sur un escabeau avec un chapeau dans les bras en guise d’enfant Jésus. Un dessin croqué par son ami Constantin rappelle cette anecdote. 
    Pour le registre inférieur, inquiet de l’éventuel manque de noblesse des habits du XVII° siècle,  il trouve son modèle dans le Portrait d’Henri IV par Pourbus, exposé au musée des Offices, écrivant à son ami Gilibert qu’il allait « habiller le fils de l’habit du père ».  Plusieurs des dessins exposés témoignent de cette recherche.

    Ce tableau, dans lequel Ingres assimile si brillamment l’influence de la Renaissance italienne et du Classicisme français avec quelques accents baroques très présents dans la figure des anges, l’impose au Salon de 1824 où il séduit même la jeunesse romantique. 
    Le triomphe est tel que le gouvernement cherche à retenir l’œuvre pour une église parisienne. Mais Ingres s’y oppose fermement et le Vœu e Louis XIII rejoint enfin Montauban en 1826 où après quelques jours d’exposition triomphale à l’Hôtel de Ville (actuel musée Ingres), il arrive enfin à la Cathédrale. Plusieurs dessins témoignent des réflexions autour de l’emplacement à donner au tableau. D’abord envisagé dans le chœur puis dans la sacristie pour des raisons d’éclairage, il est définitivement installé dans le transept nord où il se trouve encore aujourd’hui.

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  • Catégories : Avons vu, visité etc., CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Nous

    Nous avons admiré le 8 juillet 2014:Le bestiaire d'Ingres

     

                  Du 30 mai au 2 novembre 2014

                  Avec la collaboration exceptionnelle du Museum d’Histoire Naturelle de Montauban.

                  Présentation d’une centaine de dessins d’Ingres représentant des animaux.

         
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
    JAD Ingres  " Aigle de Jupiter", 1811
    Etude pour Jupiter et Thétis
    MI.867.2125 –Legs Ingres, 1867
     

    http://www.museeingres.montauban.com/Expositions_temporaires-15.html

  • À l'émotion pure, au renouveau,

     «à la peinture qui vous emporte et ne vous quitte plus»,

    dirait Michel Ragon qui signe à point nommé son Journal d'un critique d'art désabusé(Albin Michel). Un exercice nostalgique. Les confessions d'un promeneur solitaire. Il y a beaucoup à apprendre des digressions de ce grand critique, ami de Soulages, Atlan, Poliakoff, Zao Wou-ki et Dubuffet, qui navigua sans cesse des grands textes aux grandes amitiés, se risqua à l'aventure de l'art, discuta avec Asger Jorn et défendit la France contre Dotremont dans les rangs de COBRA, dansa avec Ca lder comme «deux ours se piétinant les orteils» et comprit «l'Outrenoir» tout seul, sans qu'on lui fasse un dessin. Homme de lettres, il cite son cher Soulages, géant bien français qui «aime répéter ce mot d'Ingres: “Les artistes qui ont du talent font des merveilles ; moi qui ai du génie je fais ce que je peux”».

     

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Des musées

    Le musée des Beaux-Arts d’Agen(nous l'avons visité le 6 juillet 2014), fondé en 1876, est installé au coeur de la ville dans quatre hôtels particuliers de la Renaissance et du XVIIe siècle.

    Musée

    Plus de 3 000 objets y sont exposés en permanence, parmi lesquels des chefs d'œuvre de Goya, Tintoret, Corot, Boudin, Sisley et Caillebotte dans 26 salles. Plus de 20 000 visiteurs y sont accueillis chaque année. Le musée participe à des échanges d’œuvres avec d’autres musées et organise deux grandes expositions par an. Plus de 6 000 enfants par an y sont pris en charge dans le cadre d’animations scolaires. Les adultes peuvent aussi bénéficier de conférences, découvrir la pratique artistique en ateliers ou assister à des concerts. 

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  • Catégories : CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Les oeuvres d'art, Voyage

    Autopsie pour 5 tableaux de Goya au musée d'Agen(qui m'ont scotché)

    par Élisabeth Martin et Christiane Naffah | Article publié en septembre 1997, dans Le Festin n°23-24

    Dès 1903, cinq tableaux de Goya entraient au musée d'Agen grâce au legs de la collection du comte Damase de Chaudordy. Il s'agissait du Ballon, de l'Autoportrait, de l'esquisse du Portrait de Ferdinand VII à cheval, de la Messe des relevailles et du Caprice.
    Cependant, aucune étude scientifique suffisamment approfondie n'avait réussi à lever le mystère des Goya d'Agen, car de nombreuses questions restaient en suspend, notamment quant aux dates, aux circonstances de leur exécution et même, pour certaines œuvres, au sujet. Ainsi, la présence inexpliquée d'une mongolfière, d'un crayon – et non d'un pinceau – pour l'Autoportrait, ou l'absence de décoration sur la poitrine de Ferdinand VII restaient sujets à caution. C'est grâce à la campagne d'analyses et de restauration menées par le laboratoire de recherches des musées de France que des réponses sont apparues au terme d'une passionnante enquête. Ces découvertes fournissent de nouvelles pistes pour les historiens de l'art qui pourront désormais progresser dans leur analyse artistique. Le fruit de ces investigations a fait l'objet d'une exposition à Agen qui a montré les différentes étapes de ce voyage au cœur de la peinture de Goya.

    L'œuvre d'art est en sol un lieu de mémoire accumulant des indices matériels que certaines analyses scientifiques aident souvent à déchiffrer. Les découvertes peuvent concerner l'œuvre avant même qu'elle n'existe, lorsqu'une autre composition a été peinte sur la toile utilisée. Elles peuvent aussi mettre en évidence les modifications effectuées par l'artiste en cours d'exécution ou révéler les aléas de la vie des tableaux bien après leur achèvement.

    - See more at: http://www.lefestin.net/inedit/autopsie-pour-5-tableaux-de-goya-au-muse%CC%81e-dagen#sthash.3tfTrKak.dpuf

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  • J'ai aimé la semaine dernière au Musée d'Agen:La donation Aboussouan

    Par Marie-Dominique Nivière
    Extrait de Visions d'Orient, des cités mésopotamiennes à la Jérusalem des Croisés

    Une exceptionnelle donation d’archéologie orientale – près de 1600 pièces – est désormais présentée au musée des Beaux-Arts d’Agen grâce à la générosité du diplomate libanais Camille Aboussouan.

    Constituée sous les auspices de la légende de l’Enlèvement d’Europe, princesse phénicienne que Zeus séduisit avant de la déposer en Crète, carrefour des civilisations africaine, asiatique et européenne, la collection Aboussouan, marquée par la double origine du donateur (français par sa mère, libanais par son père), rappelle les liens étroits et historiques entre l’Orient et l’Occident ; elle constitue aujourd’hui un des aspects majeurs de la section archéologique du musée.
    Camille Aboussouan a commencé très jeune à acquérir des objets sur le marché de l’art, provenant principalement du Liban, de la Syrie et de l’ancienne Mésopotamie. Figurines féminines, chars miniatures ou animaux de terre cuite, tablettes cunéiformes, bijoux, précieuses verreries ou vaisselle quotidienne, armes et outils de bronze, monnaies : tous ces objets sont d’émouvants témoignages de la vie quotidienne, des usages et des croyances des populations qui ont vécu dans cette région du monde du IVe millénaire av. J.-C. jusqu’à l’époque des Croisades. Ils permettent de suivre les grandes évolutions historiques, culturelles et techniques qui ont marqué l’Orient ancien, berceau de la civilisation occidentale.
    Parmi les pièces les plus remarquables de la donation, celles datant des âges du Bronze et du Fer (du IIIe au Ier millénaire) méritent une attention toute particulière.

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Venise

    Musique baroque : Christophe Mazurier et Cécilia Bartoli à l’unisson

     

    Musique Baroque

    Le banquier Christophe Mazurier et la chanteuse d’opéra Cécilia Bartoli font partie de la dizaine de personnalités du monde de la finance et de la culture qui se sont unies autour de la romancière italienne Donna Leon afin de sauver le Centre de musique baroque de Venise.

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  • Nous avons aimé aussi au musée Denys PUECH

    Full Metal Scupltures

    du 26 avril au 23 novembre 2014

     

    A travers l’exposition Full Metal Sculptures, jusqu’au 23 novembre 2014, le musée Denys-Puech vous propose de découvrir ou de redécouvrir sa collection de sculptures contemporaines. Les œuvres de Claude Viseux, Bernard Pagès, Vladimir Skoda, Carmen Perrin, Nicolas Sanhes, Francis Mascles et Jean-Claude Loubières sont ainsi réunies pour une rencontre informelle où matières et formes entrent en résonance.

    Le métal, sous toutes ses formes, a inspiré les créateurs contemporains. Qu’il soit utilisé seul comme « matériau de construction » de la sculpture, comme chez Bernard Pagès ou Carmen Perrin, ou en opposition avec d’autres matières plus organiques et plus douces - cire et filasse chez Nicolas Sanhes, ossements chez Francis Mascles – il est redécouvert par les sculpteurs contemporains comme un matériau paradoxal ; dur mais incroyablement plastique, froid mais conducteur d’émotion, il est le corps et l’ossature de la sculpture.

    Claude Viseux l’utilise pour créer des formes à mi-chemin entre le biologique et le mécanique, Jean-Claude Loubières le décline en modules dans "trois par trois", Bernard Pagès le tord pour créer une explosion rayonnante ; Carmen Perrin le fait ployer, Francis Mascles l’utilise pour créer des œuvres « reliquaires ».

    Tous redécouvrent, des années 70 à aujourd’hui, le métal comme un matériau privilégié de la sculpture.

    A découvrir aussi : l’étonnante installation de Richard Fauguet qui sculpte l’espace à l’aide d’éléments de fumisterie.

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, CEUX QUE J'AIME, Des artistes, Des musées

    Denys Puech

    Denys Puech

    naissance

    1854, Gavernac (Aveyron)

    décès

    1942, Rodez

    nationalité

    française

    activité

    Sculpteur

    Né en 1854 d'une famille modeste et mort en 1942, Denys Puech a traversé deux siècles mais il a conservé durant toute sa carrière un style académique très conventionnel, en marge des courants artistiques qui ont révolutionné l'art de son temps.

    Débutant comme apprenti chez un artisan marbrier, Denys Puech poursuit son apprentissage à Paris chez François Jouffroy puis chez Alexandre Falguière et Henri Chapu, tout en suivant des cours du soir aux Beaux-Arts.
    Il fait un premier séjour à Rome entre 1885 et 1889, comme pensionnaire à la Villa Médicis. Il y concoit notamment le modèle original du bronze le Jeune Romain et est lauréat du Grand Prix de Rome en 1884.
    Lorsqu’il dirige à son tour l’Académie de France à Rome entre 1921 et 1932, il continue de s’appuyer sur un enseignement académique, en relation avec son œuvre.
    C'est là qu'il rencontrera l'orientaliste Maurice Bompard (élève de Gustave Boulanger et de Jules Lefèvre), qui lui dédicacera une huile sur bois "La Villa Médicis, Rome".

    Lauréat du Grand Prix de Rome en 1884, fort célèbre de son vivant, il a été l'un des sculpteurs officiels de la IIIème République. Son oeuvre est imprégnée d'un goût pour l'Antique. Ses représentations féminines, caractérisées par une posture alanguie, la tête inclinée laissant s'échapper en vagues une chevelure abondante, sont souvent empreintes d'une grande mélancolie.
    Il était également renommé pour ses portraits.

    Dès 1903, le sculpteur Denys Puech avait formé le projet de réaliser à Rodez "un sanctuaire de l'art Aveyronnais". Après avoir offert à la Ville un fonds important de sculptures et de dessins, il convainc ses amis, le peintre orientaliste Maurice Bompard (1857-1935) et le graveur Eugène Viala (1858-1913), de faire don de quelques-unes de leurs oeuvres pour constituer les collections du nouveau musée.

    Ces œuvres sont actuellement réunies au rez-de-chaussée du musée autour des sculptures de Denys Puech

    http://www.musees-midi-pyrenees.fr/encyclopedie/artistes/denys-puech/diaporama/

  • A Rodez, nous avons aussi aimé visiter le musée Denys-Puech

    Le musée Denys-Puech est un écrin architectural conçu au début du XXe siècle pour présenter les oeuvres données par l’artiste à la ville de Rodez.
    Sculpteur académique renommé pour ses figures féminines, Denys Puech (1854-1942) était natif de Bozouls, un petit village situé à une vingtaine de kilomètres de la capitale ruthénoise mais avait effectué ses premières années de formation à Rodez dans l’atelier de François Mahoux.
    Entre 1910 et 1942, il a donné une grande partie de son fonds d’atelier ainsi que diverses oeuvres de sa collection personnelle pour permettre la création d’un musée dans ce qu’il considérait comme sa ville natale.
    Le musée Denys-Puech est un « musée de poche » consacré à la sculpture sous toutes ses formes (environ 300 m2 d’exposition pour les deux étages consacrés aux collections et 170 m2 pour la salle d’expositions temporaires). Le visiteur peut circuler doucement (tous les espaces sont accessibles aux personnes à mobilité réduite) à travers les collections et les expositions temporaires illustrant différents aspects de l’histoire de la sculpture depuis le milieu du XIXe siècle jusqu’à nos jours.
    En effet, depuis les années 80, le musée Denys-Puech s’est ouvert à la création contemporaine. En 1989, lors de la rénovation du musée, François Morellet a inscrit sur les deux pignons une intégration – Cercle et carré - qui commente discrètement l’architecture d’André Boyer. Ce dialogue entre passé et présent se poursuit à travers les collections contemporaines, centrées autour de la sculpture, et présentées par roulement dans la salle située au niveau – 1 du musée dans le cadre d’une exposition annuelle intitulée Le musée sans réserves. En 2005, six chiens en bronze peint du jeune sculpteur Aurèle ont pris place sur les consoles ornant la façade du musée comme pour affirmer visiblement la double identité du musée Denys-Puech - musée des Beaux-Arts tourné vers le XIXe siècle et musée d’Art contemporain ouvert sur la création.

    place Clémenceau
    12000 Rodez
    Tél. : 05 65 77 89 60
    musee.denyspuech@mairie-rodez.frMusée Denys-Puech

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