Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

le rallye de poésie

  • Catégories : Jeux

    Le poème exquis composé sur le blog de l'Equipe de choc

    Pour avoir des explications à ce jeu, cf. http://www.lauravanel-coytte.com/archive/2007/10/01/le-grand-rallye-de-poesie-d-ap.html#comments

    Dans le jardinet face à sa maison,

     

    Des roses  rouge bravent pluie et froid

     

    Emmitouflée dans son long manteau

     

    Emma écoute les cris joyeux des enfants

     

    Irène

     

     

     

    Elle regarde les petits moineaux s’ébattant

     

    Dans une flaque, hume le parfum des rosiers grimpants

     

    Tout en caressant son petit chien remuant

     

    Mais ses pensées vont toutes à son amant.

     

    Laura

     

     

     

    Pourtant dans un cadre enchanteur

     

    Pourquoi avoir la tête ailleurs

     

    Avec un tel spectacle à ses pieds

     

    Inutile pour elle de se retourner

     

    Annick (ABC)

     

     

     

    Se faire à l’idée de le revoir jamais

     

    Regarder devant soi et l’oublier

     

    S’apprivoiser et se retrouver soi même

     

    Pour à nouveau accepter qu’on vous aime

     

    AP

     

     

     

    La vie est vide sans amour qui s’échange

     

    Le cœur s’attriste et se terre

     

    Quand personne ne dit « mon ange »

     

    Etre aimé est un mystère

     

    Captainlili

     

     

     

    Tout comme les rivières

     

    Assoiffées d’Océan

     

    A chaque embarcadère

     

    On guette l’ouragan

     

    Azalaïs

     

     

     

    Le vent est arrivé, les arbres commencent à bouger sérieusement !

     

    Les bêtes sont rentrées à l’abri, elles meuglent dans les champs

     

    Les nuages noirs deviennent plus impressionnants

     

    Une pluie forte emportant la terre, tombe maintenant en virevoltant

     

    Laurence

     

     

     

    Toute la nuit la pluie tourbillonnait, abondante sans s’arrêter

     

    Soudain ! Une masse d’eau gigantesque qui débouche sans comprendre

     

    D’où provient cette eau qui soudainement nous a envahi

     

    Sans se douter, tout se dégrade en une fraction de seconde

     

    Rachida

     

     

     

    La tornade a tout ravagé, plus aucune habitation

     

    Sur l’île c’est la désolation, des cris, des pleurs

     

    Des lamentations, ils étaient si heureux quelques heures avant

     

    Et le soleil est revenu comme un signe de dérision.

     

    Camomille

     

     

     

    Dans le ciel de la femme qui attend la délivrance

     

    Et qui ne croit plus à tous ces espoirs

     

    Qu’on lui donne ainsi pour mieux lui retirer

     

    Pour mieux la déchirer de ces manques essentiels

     

    Enriqueta 

    Il leva les yeux vers le ciel
    Le soleil commençait à se lever
    C'était déja l'heure de se préparer
    Dernière journée de ce voyage à Paris
    Marithé

     

     

     

    Le dîner, croisière au fil de l’eau,

     

    Longer la Seine, Passer sous ses ponts

     

    Regarder attendris ses quais et bientôt

     

    Un retour en autocar, tout en chansons

     

    Lilounette

     

     

     

    Un long voyage au cœur de tes souvenirs

     

    Un long voyage à faire avant de vieillir

     

    Un aller pour l’enfance tout en émotion

     

    Un retour dans le passé tout en frissons

     

    Christel

     

     

     

    Réminiscence de deux corps en communion

     

    Qui dans l’extase de l’abandon

     

    Offre au souvenir une nouvelle raison

     

    Et dans le chant de cette fusion

     

    Démons des Anges

     

     

     

    Un frisson de bonheur intense

     

    Palpitation d’un cœur en émoi

     

    Parcourut de multiples vibrations

     

    Ce corps oublié, endormi sous le poids

     

    Lasidonie

     

     

     

    Des années, des départs, des lendemains

     

    Des jamais, des toujours et des destins

     

    Anéanti et sous le joug malsain

     

    De l’immense passager clandestin

     

    Morganelafey

     

     

     

    Le temps n’arrête pas l’érosion

     

    Où le cœur bat à l’unisson

     

    Mais comment faire le pinson, quand je n’ai plus de son

     

    C’est donc bien la fin de la chanson

     

    Dany, la Petite chouette

     

     

     

    http://lequipedechoc.over-blog.com/article-13127670.html