Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Catégories : Mes poèmes

La douleur des autres

"Elle a de la chance

Pleurer soulage

Moi, je garde

Tout c'est pire

Tu sais tes problèmes

C'est rien à côté de...

1 ER MAI 2008

Pour lire la suite et  d'autres textes de moi, cf. mes 13 recueils présentés ci-dessus.

Commentaires

  • La soufrance et le bonheur, on en réagit de multiples façons, c'est personnel et tu fais bien d'en parler de si belle manière.

  • qui peut dire? effectivement... nul ne peut se mettre à la place de et donner des conseils... on ne peut qu' être avec, et ce'st déjà beaucoup!!

  • Oui pleurer soulage, , et c'est bien pire de ne rien dire .. je crois que ces paroles me sont adressées !! je sais que non, évidemment, mais je me retrouve
    Bisous

  • Oui pleurer soulage, , et c'est bien pire de ne rien dire .. je crois que ces paroles me sont adressées !! je sais que non, évidemment, mais je me retrouve
    Bisous

  • Plus qu'un poème, c'est de la réflexion philosophique!...et vraie.

    Nous pouvons entendre(et encore!) la douleur ou le bonheur mais partager,c'est seulement si nous sommes capables de compassion au sens bouddhiste du terme.

    Ce qui nécessite d'abord, un énorme travail de renoncement à son propre ego.

    Ainsi, quelqu'un qui dit "ce n'est rien à côté des miens...",c''est quelqu'un qui n'est pas (encore) capable de sortir de lui-même pour aller vraiment à l'écoute d'autrui.
    C'est quelqu'un qui n'est pas libéré de son propre "soi" pour entendre " l'autre.

    Etre libéré de "soi"nécessite un gros travail spirituel .

    J'ai aimé, Laura, réfléchir sur ton poème!

  • Merci Catherine; c'est né de phrases toutes faites que j'ai entendues et qui m'ont énervées. oNE PEUT JAMAIS SAVOIR LE DEGRE DE DOULEUR DES AUTRES
    ON NE PEUT QU'être là...

  • Ce n'est pas ce que j'ai voulu dire, Llilounette; va voir le commentaire de Catherine et ma réponse qui complètent ma réflexion...

  • Tout à fait Mahina; c'est ce que je pense...

  • Merci Elisabeth; très bon commentaire...

  • "Ce n'est rien à côté des miens" : quand une personne parle comme cela, je ne réponds plus, je passe à autre chose car il est difficile de prouver sa propre douleur qui ne se mesure pas sur une balance ou autre instrument de mesure...

  • Tu as raison il faut mieux ne rien répondre...
    On 'a pas à prouver sa douleur...

  • Ni le bonheur ni la souffrance ne sont des entités mesurables... donc elles ne peuvent vraiment pas se comparer!
    Et chacun réagit à sa manière... «les grandes douleurs sont muettes» c'est idiot aussi: mais ce qui est vrai c'est que certains extériorisent, d'autres pas.
    Mais je serais moins sévère que toi Laura: parler - même pour dire des sottises - c'est quelquefois une tentative désespérée pour partager... Et quelquefois il faudrait avoir l'intelligence de se taire: mais tu places la barre un peu haut... sans blesser les autres je me permets de dire que ton niveau d'intelligence est quelque peu au-dessus de la moyenne, et ce que tu perçois instantanément d'autres ne le comprendrons pas.

  • Bien sûr Sister; moi aussi, ça m'arrive de dire des "c......ries"...
    C'est juste un poème, pas une leçon de morale...
    Tu me flattes, Sister...

Les commentaires sont fermés.