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Romain Gary et Jean Seberg: deux vagabonds en quête du bonheur

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    • Par Eric Neuhoff
    • Mis à jourle 08/08/2013 à 14:21
    • Publiéle 07/08/2013 à 16:36

En tee-shirt blanc, elle vendait le New York Herald Tribune sur les Champs-Élysées. Son délicieux accent résonnait sur les trottoirs. À la fin, elle dénonçait Belmondo à la police. C'était À bout de souffleet la face du septième art en fut, paraît-il, changée. Avant, Jean Seberg avait été Jeanne d'Arc et la Cécile de Bonjour tristesse . Otto Preminger l'avait traumatisée, avec ses manières prussiennes. Elle en conçut un dégoût profond pour les studios. C'est une petite Américaine du Middle West. La Nouvelle Vague en fit son icône. Le film de Godard n'était pas encore sorti quand, en 1960, son mari, l'avocat François Moreuil, l'emmena chez le consul général de France à Los Angeles. Ce fut une erreur

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