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L'étrangeté de Paul Delvaux

 

Signature : Myriam Boutoulle - 18 juillet 2014
 
Paul Delvaux, Solitude, 1955, huile sur panneau, 99,5 x 124 cm (Fondation Paul Delvaux, Saint Idesbald ©Mixed Media)

Paul Delvaux, Solitude, 1955, huile sur panneau, 99,5 x 124 cm (Fondation Paul Delvaux, Saint Idesbald ©Mixed Media).

 

 

« J’ai toujours eu une grande joie à peindre et j’ai vécu tous mes tableaux pendant que je les exécutais », déclarait Paul Delvaux (18971994).

 

Une exposition réalisée en collaboration avec le musée d'Ixelles à Bruxelles rassemble une centaine d'oeuvres de l'artiste belge, rarement exposé en France. En six grandes sections, ce parcours met en lumière quelques-uns des thèmes favoris de l'artiste : la femme, l'Antiquité, les gares et les trains, les paysages, les relations intimes et les squelettes. La dimension onirique des toiles de Paul Delvaux, marqué par James Ensor et le Surréalisme, se révèle dans La Vénus endormie I (1932), dans l'anachronique Paysage antique (1944), les Squelettes (1944) sur une causeuse, et l'énigmatique Annonciation dans une maison close (1955).

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Infos pratiques

 
Paul Delvaux - Le rêveur éveillé

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