01 octobre 2014

Artiste autodidacte, les sources de son iconographie sont nombreuses et hétéroclites. Empruntant à l’action painting des expressionnistes abstraits, l’iconographie amérindienne, l’architecture Art nouveau de Gaudí, l’art brut ou encore sa propre mythologique onirique et enfantine, Niki de Saint Phalle extériorise ses traumatismes par ses Tirs et se tourne peu à peu vers la sculpture monumentale. L’occasion de découvrir son féminisme, son engagement et sa volonté de faire « un art pour tous ».

Exposition au Grand Palais
du 17 septembre 2014 au 2 février 2015