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Votez pour déterminer le gagnant du Café Thé n° 71 - Les baigneuses... auquel je participe

Pour ce 71ème Café Thé, je vous ai proposé de contempler cette photo prise au Cap-Ferret à travers la vitre d'un restaurant et de nous raconter nous ce que vous vouliez autour de ces deux baigneuses...

Participez au Café Thé n° 71 - Les baigneuses...

Les consignes étaient : Ecrivez, rimez, dessinez, brodez, scrappez, chantez, délirez, faites ce que vous voulez... Faites nous rire ou pleurer...

Si vous êtes blogueur, ne publiez pas votre texte avant le résultat des votes (le 1er avril 2016)

 

 

Vous êtes 6 à avoir participé.

Il s'agit maintenant de voter pour vos deux participations préférées en utilisant le module de vote en bas à gauche, jusqu'au 31 mars 2016.

Participation n° 1 :

Votez pour déterminer le gagnant du Café Thé n° 71 - Les baigneuses...

Participation n° 2 :

Votez pour déterminer le gagnant du Café Thé n° 71 - Les baigneuses...

Participation n° 3 :

 

Mauvais tour...
 
Un jour d'été
Deux sœurs au teint pâlot
Ont filé au Cap Ferret
Etrenner leur nouveau maillot...
 
Qui leur a joué ce mauvais tour !?
Sorties de leur cabine de plage
On avait démonté la mer !!!
Du béton, aux alentours
Et nul voisinage
Les laissèrent amères !
 
Un premier avril en juillet
Une caméra cachée
Une surprise sur prise
Aujourd'hui encore elles ne réalisent... !
 
Depuis elles vont à la montagne
Oui à la montagne
Même si un proverbe raconte
Que ce mastodonte
On peut le déplacer,
Oui le déplacer
Avec de la foi...
Elles n'y croient !
 
 
Participation n° 4 :
 
Deux  baigneuses
 
Deux demoiselles en tenue de bain bavardaient au bord de la rivière.
Elles évoquaient le bal du quatorze juillet  auquel elle avait participé toutes les deux.
L'une, ultra mince et féminine, avait attendu toute la soirée qu'un beau prince charmant l'invite et se demandait finalement le lendemain  pourquoi elle avait finalement "fait tapisserie."
L'autre, "belle plante", sportive et naturelle, avait dansé toute la nuit, seule ou accompagnée, passant d'un bras à l'autre sans mépriser les petits ou les moins beaux.
La première était rentrée seule chez elle en rêvant à son futur mariage en grand et en blanc vers un inconnu qu'elle n'avait pas rencontrée au bal.
La deuxième se délectait encore de la nuit de plaisir qu'elle venait de passer entre champagne et Kâma-Sûtra.
C'était une de ses journées parfaites comme il y en a plus qu'on ne le croit dans leur plaine de champagne. La chaleur n'était pas que dans les souvenirs la voluptueuse demoiselle. La mannequin se plaignait que la canicule fasse couler son maquillage. Elle refaisait son brushing en s'admirant dans le miroir.
La rivière était comme  toujours et malgré le beau temps de ces derniers temps, très fraîche autour des dix degrés.
La sylphide craignait l'eau froide et plus que tout de ressembler à un chien mouillé même s'il est se percevait dans une jolie race.
Son amie se jeta à l'eau brusquement et même si le contraste entre l'eau et les trente degrés ambiants furent quelque peu violents, elle se délecta de la caresse de la fraîcheur sur son corps chauffée par le soleil, les bulles et les caresses de son dernier amant.
La prudente se recoiffait  et remaquillait après avoir été éclaboussée par le brusque élan de sa compagne. Quand cette dernière sortit de l'eau, les rayons de Phébus commençaient à décroitre mais elle se sentait  si pleinement épanouie.
Quand la mannequin se dit enfin qu'il lui faudrait peut-être se baigner un peu, la fraîcheur de l'air l'en découragea aussitôt. Elles rentrèrent chez elles en rêvant l'une à un prince charmant venu des mers chaudes et l'autre à la coupe de champagne qu'elle boirait avant se défouler sur la piste de danse du bal du 15 août.
 
 
Participation n° 5 :
 
 
Je m'approchais de la fenêtre épiant les deux commères.


-Tu l'as vue ? C'est indécent !
Mais elle est capable de gagner en s'exhibant ainsi !
Ah, le monde change, et pas en bien !
- Et puis ses cheveux ! Pas naturelle, cette couleur !
Et sa poitrine ....
Ah, elles pouvaient médire de moi devant la coupe de verre, le trophée n'était pas pour elles.
Personne ne leur avait dit que les rayures grossissaient ?
Indécent , mon bikini vert ?
Même mademoiselle Michu avait voté pour moi. D'accord, il se disait que c'était pour embêter la femme du maire, mécontente de voir son mari  baver devant mes courbes.
Mais je le savais de source sûre ... la nouvelle miss Cap Ferret ... c'était MOI !

 

 

Participation n° 6 :

 

Baigneuse d'autrefois dans son costume de nostalgie
Qui dissimule son corps du cou jusqu'au mollet
Elle marche lentement sur la plage d'antan
Et salue pudiquement son époque prospère
Baigneuse de jadis dans sa cabine de bain
En rayures sensuelles, cachée sous son ombrelle
Qui prend des bains de mer et de foule, radieuse
Belle Epoque d'insouciance et de ravissement.
 

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