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Mon texte inédit sur ce blog:Découvrir en se trompant de jour ou d’heure

en-retard

Malentendu ? Quiproquo ?

Ne nous prenons pas la tête sur ce rendez-vous manqué,

d’autant plus savoureux que ce n’est pas tous les quatre matins

qu’on rate un 29 février.

Ceci m’a inspiré le thème (et le titre) de ce défi en instance,

avec le feu vert de la “commanderie” (sic Jill) :

 

Défi n°161 : Quiproquo sur la date

à publier lundi 7 mars

en prose, en vers, en dessin, en mélange, peu importe,

juste faire “pas trop long” pour favoriser la lecture des uns et des autres.

pour les jeudis, laissons comme d’hab le choix du sujet

et pour ceux qui préfèrent un guide,

“rendez-vous” pour le jeudi 3 mars

“erreur” pour le jeudi 10 mars.

Le Môt de Dômi

“J’arriverais trop tard?”

Comme dirait le lapin blanc dans “Alice au pays des merveilles”

Bé oui il n’y en a un qu’une fois tous les quatre ans

et j’ai réussi à le rater :(

Raté???

Oui mais quoi?

Le défi de ce 29 février pardi!!!

Merci à toi Jeanne Fadosi d’être venue à la rescousse

Sinon nous aurions du attendre encore quatre ans :lol:

Voilà donc une idée amusante

Je suis certaine que l’inspiration sera au rendez-vous.

Comme le dit Jeanne  c’est beaucoup de travail de trouver vos liens

Lorsque vous ne prenez pas la peine de me les apporter.

Vous avez le choix, ici ou sur la communauté c’est selon vos facilités

quant à moi cela me permet de venir vous commenter plus aisément.

Je vous laisse voguer sur les flots de votre imagination

chers Croqueurs de Môts

Et surtout ne ratez pas le rendez-vous ;)

Bises amirales.

Dômi.

attentehttp://croqueursdemots.apln-blog.fr/2016/03/01/quiproquo-sur-la-date-defi-161-mene-par-jeanne-fadosi/

Découvrir en se trompant de jour ou d’heure

On a l’habitude de dire qu’on apprend en se trompant. La leçon est parfois bien dure mais j’ai connu des cas où le bénéfice tirée de l’erreur a été presque aussi  important que si je ne m’étais pas trompé.

Je ne parle pas de l’erreur de dimanche dernier : nous avions parlé d’aller au cinéma et nous avions chacun de notre côté regardé le programme papier. Seulement, je n’avais regardé le programme du bonjour et comme en matière de cinéma, c’est souvent ma voix qui  prédomine, nous nous sommes préparés pour l’heure d’une séance ; pour se rendre compte avant de partir que cette séance était le lendemain et qu’à cette heure, il était trop tard pour aller voir un autre  film qui nous plaisait. Nous nous étions préparés pour rien  mais nous n’étions pas sortis pour rien et nous n’avions pas perdu notre temps complètement en attendant l’heure… même fausse.

Ce n’était pas comme la fois où nous étions trompés de cinéma et nous n’avons pas pu basculer sur un autre film au même endroit.

Pire j’ai prévu un jour d’aller voir le musée Courbet à Ornans un dimanche en passant par-là sauf que c’était un premier dimanche du mois… gratuit et qu’il y avait un monde fou… trop pour attendre alors que nous avions encore beaucoup de route à faire. Nous avons vu le musée plusieurs fois depuis, les collections permanentes et les expositions temporaires mais j’en ai raté une que je voulais voir.

A Paris, Lyon, Marseille ou Lille, souvent quand je me suis trompée de date ou d’heure voire de lieu, ça a été l’occasion de découvrir ce lieu tout de même à cette mauvaise date ou le lieu d’à côté. Bref, j’ai ainsi découvert des paysages que je n’aurais pas vus sans cette erreur… car rien n’est jamais perdu en fait, non ?

 

3 mars 2016

Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 14 livres en vente par les bannières sur ce blog

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