Tenant de l’académisme en apparence, le peintre d’origine suisse Charles Gleyre (1806-1874) compte parmi les nombreux artistes du XIXe siècle sacrifiés sur l’autel de la modernité, bien que le musée cantonal des Beaux-Arts de Lausanne ait régulièrement entretenu son souvenir. En réunissant près de 120 toiles et dessins, ­l’exposition du musée d'Orsay met en lumière un artiste singulier au tempérament indépendant, un romantique repenti capable de bousculer les codes.

Articles

• Charles Gleyre académique ?
• UN PEINTRE VOYAGEUR
• Les années d'apprentissage
• Arrêt sur une oeuvre : Les Brigands romains
• L'Orient entre fascination et aversion
• Arrêt sur une oeuvre : Entrée de la reine de Saba à Jérusalem
• Arrêt sur une oeuvre : La Pudeur égyptienne
• Arrêt sur une oeuvre : Femme turque ("Dudo Narikos")
• UNE CARRIÈRE ENTRE OMBRE ET LUMIÈRE
• Des lauriers tardifs
• Rigueur et fantaisie de la peinture d'histoire
• Archéologie du paysage
• L'Antiquité revisitée
• Arrêt sur une oeuvre. Sapho
• L'atelier de Charles Gleyre
• Chronologie

L'Estampille/L'Objet d'Art n° 523 - Marquet, la rétrospective.

 

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