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Mon texte inédit sur ce blog pour les Croqueurs de mots: Quand Paris s’enrhume, l’Europe prend froid »

Défi 201 : Quand Paris s’enrhume, l’Europe prend froid

  1. février 2018· 2 commentaires · Catégories: Annonce défi

Ohé Matelôts !!!

Après la crémaillère, l’anniversaire des Croqueurs de Môts

c’est moi qui prendrai le gouvernail de la coquille 

Pour la quinzaine suivante j’attends des nouvelles de Luciole

et pour la suivante ce sera le tour de Laura

si toutefois elle se sent l’envie de s’en occuper.

Alors voici ce que je vous propose.

Nous sommes en hiver et …

« Quand Paris s’enrhume, l’Europe prend froid »

Je vous demande de vous exprimer

Comme vous l’entendez ….

En imaginant un texte drôle ou pas

Poétique ou pas

En vers ou en prose.

Vous pourrez également vous exprimer

En chanson ou en images, dessins ou photos.

Tout ce qui vous passe par la tête, n’ayez aucun complexe.

http://croqueursdemots.apln-blog.fr/2018/02/26/defi-201-quand-paris-senrhume-leurope-prend-froid/

J’apprends par « Le Monde » (qui est un journal sérieux que je lis depuis vingt ans) où on trouve (notamment) cette citation que celui qui l’a écrit, Klemens Wenzel von Metternich-Winneburg est un  « diplomate et homme politique autrichien (1773-1859). Il consacra sa vie au maintien de la société d'ancien régime face au bouleversement qu'engendra la Révolution française puis au maintien de la position autrichienne et de l'équilibre des puissances[1]. »

Je prise particulièrement cette période historique qui a vu naître mes chers Baudelaire et Nerval et tant d’autres. Sans succomber au « C’était mieux avant », j’ai la sensation, que Paris (et avec la France et sa culture) était un phare (les « Lumières » ne sont pas loin historiquement) pour l’Europe (et même le monde) et je suppose que Klemens Wenzel von Metternich-Winneburg, dans sa position, pensait que ce qui se passait à Paris en positif comme en négatif, je pense, comme la Révolution, avait un retentissement international.

 

J’habite dans la 14 e commune la plus peuplée de France ce qui signifie que nous avons tout ce qu’il faut pour nous déplacer (tram, gros réseau de bus), nous soigner, nous distraire et nous cultiver. Je vais aussi souvent à Lyon (3 e ville de France), notre voisine  qui comme Paris et Marseille, a des arrondissements. Je ressens déjà bien (et souvent) la différence échelle avec ma ville pourtant grande. Je suis allée souvent à Marseille (2 e ville de France et voisine populaire d’Aix-en-Provence, la bourgeoise comme St Etienne et Lyon). Et j’aime m’y perdre. Mais rien n’égale Paris, même si je sais par mes lectures qu’elle n’est pas loin de là la plus grande capitale du monde (Madrid, Rome, Berlin, Londres, Moscou la dépasse en nombre d’habitants). A chaque fois que j’y vais (moins souvent que lorsque j’habitais dans le Nord Est à une heure et demie de Paris et/ou j’y faisais mes études), je sens que je peux avoir accès à une multitude de choses. Rien que « L’officiel des spectacles » me donne le tournis. J’y vais depuis trente cinq ans et ces dernières années en y allant entre  trois et quatre fois par an et même en visitant chaque fois au moins une dizaine d’expositions(en un jour et demi ou trois jours) , d’autres lieux comme des librairies d’ ‘occasion, des restaurants, des bars, des églises, etc. , je sais que comme la vie, le monde, les livres, la richesse de Lyon est inépuisable.

 

27 février

 

[1] http://dicocitations.lemonde.fr/auteur/7167/Klemens_Wenzel_von_Metternich_Winneburg.php

 

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