Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
Nous avons adoré hier soir au cinéma:Razzia(et j'ai pleuré, ma Casablanca, même si on l'a voit pas tant que ça, qui me manque)
A Casablanca, entre le passé et le présent, cinq destinées sont reliées sans le savoir. Différents visages, différentes trajectoires, différentes luttes mais une même quête de liberté. Et le bruit d’une révolte qui monte….
Toutes les séances 208 Séances
1:51
Après le très controversé Much Loved, Nabil Ayouch est de retour avec un film aux ambitions folles : Razzia. Une oeuvre chorale... Lire la suite
très ennuyeux, d'ailleurs je n'étais pas la seule dans la salle. tout est "truqué", ne parait pas vrai, on sent que nabil... Lire la suite
Votre avis sur Razzia ?
18 Critiques Spectateurs
Double temporalité
Razzia se déroule à deux époques, au début des années 80 et en 2015. La première période correspond au Maroc à une accélération des réformes de l’arabisation qui avaient démarré dans les années 60 et qui exprimaient alors une volonté du pays de réappropriation de son identité à travers la langue. En 1982, les trois pays du Maghreb ont connu une généralisation de l'arabe, qui s'est notamment faite par un enseignement pratique de l’arabe... Lire plus
Polyglotte
Les personnages de Razzia ne parlent pas tous la même langue. Ainsi, Hakim s'exprime dans un arabe de tous les jours, un argot de rue tandis qu'Inès, qui grandit dans un quartier riche, ne s'exprime qu'en français. Pour le réalisateur, "la langue est à la fois une barrière, une frontière et un marquage. Ces personnages sont marqués, dans une diversité, par une langue qui les définit."
Casablanca
La ville de Casablanca représente un personnage à part entière dans Razzia. Le réalisateur, qui est né à Paris et a grandi à Sarcelles, n'avait pas vraiment de point d'ancrage à Casablanca jusqu'à ce qu'il décide de s'y installer à l'âge de 30 ans : "Au fur et à mesure, je rencontre la ville qui devient celle où je me sens véritablement chez moi. Casablanca est sale, bruyante, agressive, elle tourne le dos à la mer, elle est désordonnée, il n’y a... Lire plus