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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'art, La/Les religion(s)

Narthex

Chers abonnés,

Vous avez pu découvrir la magnifique icône urbaine du jeune artiste Aleksandr Tsypkov en une de notre dossier Allons sur le chemin de Pâques avec Narthex. Voici maintenant ce Christ glorieux, sur le modèle d’une peinture de l’allemand Carl Heinrich Hofmann (1824-1911) qui a inspiré librement un street artist, resté anonyme, sur un mur de Rome - œuvre ensuite reprise sur un timbre du Vatican pour Pâques 2020... ! Le street art ne peut-il pas lui aussi s’emparer de l’iconographie sacrée, et venir nous surprendre, nous interroger ? Car la présence divine est partout dans notre monde, quel qu'il soit. Dieu est présent dans les déserts modernes que sont nos villes – allons à sa rencontre.

Poursuivons cette expérience décapante du désert avec notre blog musique, qui nous révèle l’âpreté et l'ambivalence de ce lieu de dépouillement qui nous met face à nous-même, comme en témoigne la composition musicale de Félix Varèse Déserts, exploration de l'inédit. Toujours au désert, l'image du rocher frappé d'où l'eau jaillit sur une fresque des catacombes de Calixte commentée par Sylvie Bethmont, nous laisse entrevoir un chemin de renaissance.

Enfin, au fil de ce temps du Carême, n’oublions pas qu’il est utile d'aller à la source avec Karl Rahner qui nous rappelle les Vérités oubliées sur le sacrement de pénitence...

Belle route artistique,

Valérie de Maulmin
Narthex/Art Sacré

 
 
 

Allons sur le chemin de Pâques, avec Narthex !

 
Dans ce sommaire de ce dossier de cheminement sur le temps de Pâques, nous vous invitons à découvrir les propositions de Narthex pour vous accompagner tout au long de la période du Carême, dans l'espérance de la grâce de lumière pascale, et jusqu'à l'accomplissement de la Pentecôte.

Allons sur le chemin de Pâques, avec Narthex !

 
     
     
 

[Vers Pâques] Au désert où je te conduirai, je parlerai à ton cœur

 
Tout au long du Carême, chaque mercredi, nous vous proposons de découvrir des haltes de méditation et de contemplation à travers l'art et la création, pour avancer sur cette bénéfique traversée du désert, et cheminer vers la Lumière de Pâques. Notre deuxième étape est au désert dont la vitalité et la fécondité pour nos vies intérieures jaillit comme une eau vive, à l'image de cette fresque des catacombes de Calixte commentée par Sylvie Bethmont.

[Vers Pâques] Au désert où je te conduirai, je parlerai à ton cœur

 
     
     
 

Installation du « Corps sombre » d'Armel Néouze à la cathédrale d'Auxerre

 
Avec le soutien du Père Arnaud Montoux, l'artiste Armel Néouze installe son oeuvre intitulée « Corps sombre » dans la cathédrale d'Auxerre, dont la nef a été libérée de ses chaises à cette occasion. Cette oeuvre avait été exposée en juillet 2019 à la basilique de Vézelay dans le cadre de l'université d'été coorganisée par l'ISTA et le département Art sacré de la CEF. Présentée à partir du mercredi des Cendres à la cathédrale Saint-Etienne d'Auxerre, elle y restera durant tout le temps du Carême, jusqu'au 4 avril, veille du dimanche des Rameaux.

Installation du « Corps sombre » d'Armel Néouze à la cathédrale d'Auxerre

 
     
     
  Des nouvelles de nos blogueurs  
     
 

L’expérience du désert avec Edgar Varèse

 
Le temps liturgique du Carême dans lequel nous venons d’entrer ouvre le grand cycle de Pâques. Nous y éprouvons concrètement ce qui fait la trame de toute vie : une alternance de mouvement et de repos, de son et de silence, d’action et de contemplation… L’image du désert s’impose naturellement comme un lieu de dépouillement, de retour sur soi non comme enfermement mais comme exploration d’un inconnu susceptible d’ouvrir sur de riches découvertes. Nous vous invitons à cette expérience du désert avec une surprenante composition musicale d'Edgar Varèse...

L’expérience du désert avec Edgar Varèse

 
     
     
 

Karl Rahner : « Vérités oubliées sur le sacrement de pénitence »

 
Pour cette douzième parution d'Art & Théologie, Martine Petrini-Poli nous invite à poursuivre la découverte des écrits mystiques du jésuite allemand Karl Rahner (1904-1984) avec ce traité sur le sacrement de pénitence, . A l'approche du Carême, l'heure est venue de faire une halte spirituelle que nous vous proposons de découvrir dès maintenant.

Karl Rahner : « Vérités oubliées sur le sacrement de pénitence »

 
     
     
  A noter dans vos agendas  
     
 

Colloque : « La pensée du sensible » à l'ISTA (ICP), Paris

 
ISTA - Institut Catholique de Paris
Du vendredi 20 mars 2020 à 8h00 au samedi 21 mars 2020 à 23h55
 
L'Institut Supérieur de Théologie des Arts (ISTA) organise un nouveau colloque intitulé « La pensée du sensible - Approches esthétiques, historiques et théologiques » les 20 et 21 mars 2020. Ces deux journées de réflexion, habituellement dédiées aux étudiants, seront ouvertes au public. Immersion au cœur du travail des universitaires, ce colloque donne accès aux débats et échanges autour de la relation entre le sensible et la pensée, dans l'expérience de l'art, avec la présence exceptionnelle de Michel Pastoureau.

Colloque : « La pensée du sensible » à l'ISTA (ICP), Paris

 
     
     
  Derniers jours !  
     
 

Expo : « Degrés de Carole Benzaken » à l'abbaye de Cluny (71)

 
Abbaye de Cluny
Du lundi 24 février 2020 à 11h40 au dimanche 15 mars 2020 à 23h55
 
Dans l'abbaye bénédictine de Cluny, l'artiste Carole Benzaken élève un escalier énigmatique et impossible, qui réveille l’écho des psaumes des degrés chantés sur les marches du Temple de Jérusalem puis, durant des siècles, à Cluny. Jusqu'au 15 mars 2020.

Expo : « Degrés de Carole Benzaken » à l'abbaye de Cluny (71)

 
     
     
 

Expo : « Christian Boltanski - Faire son temps »

 
Centre Pompidou, Paris
Du mercredi 13 novembre 2019 à 9h00 au lundi 16 mars 2020 à 23h55
 
« Faire son temps » est le titre de la déambulation à laquelle nous convie Christian Boltanski au Centre Pompidou. Sa création s’y confronte à l’épreuve du temps sur environ cinquante ans. Une fascinante cohérence émerge de cette relecture, conçue non pas comme une rétrospective mais comme une œuvre en soi déployée en facettes, chacune interrogeant à sa façon les obsessions de l’artiste: les traces d’une vie, la mémoire et l’oubli, le temps et la mort. Jusqu’au 16 mars 2020.

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