« Du grand cinéma politique qui vous laisse KO debout »

Première

« Un pamphlet façon uppercut sur Israël »

Paris Match

« Bombe atomique qui ne va pas manquer de chatouiller les pupilles.»

Les Inrocks

« On ressort éblouis, et le souffle coupé »

Le Monde

« Exploser ou imploser, c’est ici la seule alternative : visuelle, sonore, politique, existentielle.»

Libération

En quelques films (Le Policier, L’Institutrice, Synonymes) et récompensé d’un Prix du Jury à Cannes et d’un Ours d'or à Berlin, Nadav Lapid est devenu l’une des figures majeures du cinéma israélien.

Y., cinéaste israélien, arrive dans un village reculé au bout du désert pour la projection de l’un de ses films. Il y rencontre Yahalom, une fonctionnaire du ministère de la culture, et se jette désespérément dans deux combats perdus : l’un contre la mort de la liberté dans son pays, l’autre contre la mort de sa mère.

À travers Le Genou d’Ahed, le cinéaste originaire de Tel-Aviv critique sans détour les dérives autoritaires de la politique du gouvernement israélien. Avant de se voir décerné le Prix du Jury au dernier Festival de Cannes, Nadav Lapid fut récompensé en 2011 du Prix du Jury au Festival de Locarno pour son premier long métrage Le Policier, ainsi que de l’Ours d’or au Festival de Berlin pour Synonymes en 2019. 

Remerciements à

Le Genou d'Ahed

de Nadav Lapid
avec Avshalom Pollak et Nur Fibak
(France - Allemagne - Israël, 1h49)

 

 

Sortie le 15 septembre 2021