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Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'histoire

« Comprendre et faire comprendre »(source professionnelle)

 
À l’occasion des Rendez-vous de l’Histoire de Blois, la rédaction de RetroNews donne carte blanche à Annette Wieviorka, qui en a prononcé la conférence inaugurale. Et vous propose de revenir, avec elle, sur son parcours, ainsi que sur sa vision d’une histoire qui s’adresse « fondamentalement » aux vivants, en lien avec ses travaux anciens et actuels.

CARTE BLANCHE
• Rencontre avec Annette Wieviorka, historienne « sans compromissions »
Spécialiste de la mémoire de la Shoah, Annette Wieviorka est l’invitée d’honneur des 26e Rendez-vous de l’Histoire de Blois, dont elle a prononcé la conférence inaugurale ce 6 octobre. RetroNews lui donne carte blanche pour revenir sur son parcours d'historienne, dans lequel sa vie personnelle se fait parfois objet d'étude.
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— « Le numéro 176.212 vous parle... »
 
GRANDS ARTICLES
• Juillet 1945 : un résistant déporté raconte Auschwitz
Revenu depuis peu de l’enfer de Silésie, le journaliste et poète Jean Forgeor, ex-déporté n°176.212, témoigne de ce qu’il a vu et subi au « lager » : une chronique sidérante de la vie dans les tréfonds de l’Europe nazie.
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— « Nous savions »
 
CHRONIQUE
• Juillet 1944-avril 1945 : l’ouverture des camps de la mort
Tandis que les armées alliées avancent à travers l’Europe, les premiers camps d’extermination nazis sont découverts. Devant une telle horreur, Russes et Américains emploient des stratégies militaires et médiatiques radicalement différentes.
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— « Maintenant, il saura contre quoi il se bat »
 
CHRONIQUE
• Avril 1945 : création d’une « esthétique » du martyre concentrationnaire ?
Tandis que l’armée américaine continue sa percée dans les territoires occupés par les nazis, de plus en plus de photos relatant l’expérience des camps circulent dans la presse. Ces visions d’horreur s’affirment bientôt comme un « standard » de la couverture de la déportation.
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— « Avec celles d'Auschwitz »
 
La Voix des femmes
13 mai 1945
« On ne peut pas dire en 2 heures, le martyre de 820 jours. Mais il faut cependant que l’on crie au monde, que l’on crie à toute la France, à toutes les femmes de France ce qui se passait là-bas dans la "nuit et le brouillard". »
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— Pour aller plus loin
 
INTERVIEW
• « L’album d’Auschwitz » : photos de la banalité du mal
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INTERVIEW
• Mélodie inhumaine : la musique dans les camps nazis
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• Déportation, une cartographie de la terreur
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