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  • J'ai aimé vendredi au Musée Henner

     
    Date: 
    1 Février 2012 - 2 Juillet 2012

    Deux ans après sa réouverture, le Musée national Jean-Jacques Henner renouvelle profondément la présentation de ses collections permanentes et propose une exposition qui met en lumière la place du paysage dans l'œuvre de Henner (1829-1905). Plus de 90 peintures et dessins, sorties spécialement des réserves et restaurées, retracent l'itinéraire artistique du peintre et permettent de saisir de la singularité de sa démarche.

    Alors qu'une partie des artistes de la deuxième moitié du XIX° siècle s'efforcent de témoigner de leur temps et de leur environnement en empruntant leurs sujets dans la vie quotidienne et en utilisant des techniques novatrices, dites impressionnistes, Henner construit, au contraire, un univers pictural qui lui est propre où la réalité observée se transforme en vision onirique. Dès 1864, après cinq années passées comme pensionnaire à la Villa Médicis à Rome, il abandonne ainsi la peinture « d'après nature » pour s'attacher à recréer dans son atelier un paysage idéal en s'inspirant des maîtres anciens, poètes ou peintres. Nus bucoliques, nus idylliques, nymphes et autres naïades peuplent un paysage rêvé, celui de son Alsace perdue.

    Le "petit journal" de l'exposition : à télécharger

    Découvrez quelques images de l'exposition :
    http://www.flickr.com/photos/hennerintime/sets/72157628343329301/

     

    Retrouvez l'exposition sur Facebook : https://www.facebook.com/events/283233748404675/

    Autres actualités
     
  • Catégories : Des expositions, Le paysage

    J'aurais voulu voir au musée Cernuschi

    Trois Peintres de Hangzhou
    • Trois Peintres de Hangzhou
     

    TroisPeintresdeHangzhou

    du2au23octobre2007

    La mairie du VIIIème arrondissement et le musée Cernuschi ont souhaité placer l’automne 2007 sous le signe de la peinture chinoise à l’encre contemporaine. En parallèle avec l’exposition Chan Ky-Yut au musée Cernuschi, la mairie du VIIIème arrondissement présente trois peintres de Hangzhou : He Shuifa (1946-), Jiang Baolin (1942-) et Zeng Mi (1935-).

    Ces peintres, qui appartiennent sensiblement à la même génération, ont également en commun un lieu d’activité qui est aussi une source d’inspiration : la ville de Hangzhou, à proximité de Shanghai, qui a su rester l’un des centres de création les plus stimulants de la Chine au fil de ses mutations. C’est sans doute l’un des lieux privilégiés pour appréhender l’évolution de la peinture chinoise…et c’est tout le mérite de Paul Rouillé, qui a collectionné ces oeuvres, d’avoir su s’y rendre pour nouer des contacts avec ces artistes dès le début des années 80. Les oeuvres de He Shuifa, Jiang Baolin et Zeng Mi, permettent d’entrevoir le mouvement de libre réappropriation des thèmes classiques de la peinture chinoise favorisé par l’ouverture qui a suivi les années de la révolution culturelle. Cette liberté vis-à-vis du sujet se manifeste également par un renouveau formel. Ainsi il est possible de lire en filigrane dans la peinture de He Shuifa l’héritage d’une forme de classicisme, tandis que Jiang Baolin se laisse entraîner vers une forme de simplification géométrique plus radicale. Chez Zeng Mi, le pinceau volontairement gauche est au service d’un regard aiguisé capable de saisir avec humour la poésie du quotidien.

    http://cernuschi.paris.fr/fr/expositions/trois-peintres-de-hangzhou

  • Catégories : Des musées, Le paysage

    J'aurais bien voulu voir au Musée Cernuschi

    Sixsièclesdepeintureschinoises

    Du20févrierau28juin2009

    L’exposition « Six siècles de peintures chinoises, oeuvres restaurées du musée Cernuschi » réunit un ensemble de 120 peintures. Elle évoque
    les plus grands peintres de la Chine impériale, actifs dans les cercles lettrés des Ming (1368-1644) ou à la cour des Qing (1644-1911). Elle
    reflète également le destin des artistes à l’orée du xxe siècle dans une Chine en recomposition, travaillée par la modernité et secouée par les
    mutations historiques. Parmi les peintres chinois tentés par l’Occident, nombreux sont ceux qui, depuis les années trente, ont choisi Paris comme
    lieu de formation et espace de création. Les contacts noués par le musée Cernuschi avec les artistes chinois contemporains ont permis de constituer
    une collection unique en Occident.

    Pour la première fois la collection de peintures chinoises rapportées d’Orient par Henri Cernuschi en 1873 sera exposée. Une campagne
    de restauration de plus de quinze ans a permis de faire renaître cette collection qui est un témoignage unique sur le regard des premiers
    collectionneurs européens de peinture chinoise à l’époque du japonisme. Ces chefs d’oeuvres oubliés surprennent par le traitement audacieux du
    pinceau d’artistes aux visions novatrices. Le travail des restaurateurs et les analyses des scientifiques, en pénétrant dans les profondeurs de
    l’oeuvre, permettent d’en révéler les aspects occultés, et de comprendre la création de l’intérieur.

    Catalogue de l'expositionSix siècles de peintures chinoises

    Six siècles de peintures chinoises

    Broché - 224 pages
    200 illustrations couleur
    ISBN : 978-2-7596-0075-5
    Prix public : 44€

     

    Espacepresse

    http://cernuschi.paris.fr/fr/expositions/six-siecles-de-peintures-chinoises

  • Catégories : A voir

    Prochaines expos au Musée Cernuschi

    RÊVESDELAQUE

    LeJapondeShibataZeshin

    avecleconcoursdelaCollectionCatherineetThomasEdson- SanAntonioMuseumofArt.

    6 avril - 15 juillet 2012

    ensemble de boîtes à décor de saule et de roue à eau

    70 laques, paravents, peintures, objets décoratifs et usuels présentés pour la première fois en France et à Paris, illustreront, au musée Cernuschi, l’art virtuose de Shibata Zeshin (1807-1891).

    La carrière de Shibata Zeshin (1807-1891) se situe à la charnière de deux grandes époques de l'histoire du Japon: le Japon des samouraïs (époque d'Edo) et le Japon de la modernité (époque Meiji). Ses peintures et ses laques témoignent des transformations artistiques, politiques et sociales de la fin du XIXe siècle. Peintre au service des riches marchands, des citadins et des temples sous l'ancien gouvernement, il est nommé peintre du Bureau de la Maison impériale après la restauration de l'empereur Meiji en 1868.
    D’une grande sensibilité, formé à la peinture réaliste auprès des peintres de l’école de Kyôto  Maruyama-Shijô,  il s’illustra dans des peintures à l’encre sur soie, créant des effets de trompe-l’œil, mais inventa encore la peinture à la laque colorée sur papier. Dans l’art du laque, il mit au point des procédés décoratifs uniques, tels que les laques noirs à décor ton sur ton, les laques imitant le fer ou le bronze ou, comble de raffinement, la fine texture du bois de rose.Ses compositions picturales souvent d’une extrême concision évoquent les fameux poèmes japonais dépouillés et incisifs, les haiku dont il était épris.


    Ses œuvres présentées dans les Expositions Universelles, dont celle de Vienne en 1873 et celle de Paris en 1884, ainsi que dans les expositions nationales furent récompensées par de nombreux prix, admirées et collectionnées par les amateurs occidentaux, comme l'Anglais Dresser et l'Allemand Samuel Bing, créateur de l'Art Nouveau. Elles jouèrent un rôle prépondérant sur l'évolution du goût en Occident.

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  • Catégories : Des musées

    Les Masques de jade mayas à la Pinacothèque de Paris

    du 26 janvier 2012 au 10 juin 2012

    Les Masques de jade mayas

    La Pinacothèque de Paris poursuit son exploration des cultures précolombiennes et mésoaméricaines. Après le succès de l’exposition L’Or des Incas : origines et mystères, la Pinacothèque de Paris présente la découverte archéologique la plus importante de la dernière décennie au Mexique : les masques en mosaïque de jade.
    Ces masques exceptionnels, entièrement restaurés par les plus éminents spécialistes en archéologie maya, représentent les visages de la divinité. Créés pour les gouverneurs les plus prestigieux des cités perdues mayas, ils avaient pour mission d’assurer la vie éternelle à ces hauts dignitaires après leur mort.

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  • Catégories : Des expositions

    Les ateliers de l'Ecole de Chaillot (2011-2012)

    Saint-Léonard de Noblat, Nauplie en Grèce, Olténie en Roumanie

    Mardi 08 novembre 2011 - Mercredi 22 février 2012

    L'École de Chaillot présente les travaux des ateliers sur sites réalisés par les élèves de 2e année du DSA «architecture et patrimoine».

    À Saint-Léonard de Noblat, en Haute-Vienne, ils ont travaillé sur trois maisons emblématiques présentant un enjeu patrimonial à l'échelle de la ville et sur les moulins du pont de Noblat, leur périmètre d'influence et leur inscription dans le site.

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  • Catégories : Des expositions

    Esprit(s) des lieux

    Du Trocadéro au palais de Chaillot

    Prolongation jusqu'au 19 mars 2012

    Une cinquantaine de photographies et des documents d'époque retracent l'histoire des palais du Trocadéro (1878) et de Chaillot (1937) depuis les travaux de terrassement de la colline en 1866 jusqu'à aujourd'hui.

    La mémoire des lieux se révèle dans sa plus grande diversité, à travers le temps et au gré des événements historiques qui s'y sont succédés.
    Des portraits d'anonymes et de personnalités saisis par l'objectif se superposent aux vues architecturales.
    Ces esprits des lieux sont les garants de la temporalité des images, photographies d'artistes renommés ou d'anonymes.
    Sur les clichés, les palais se dévoilent sous des angles de vue insolites. Les paysages éphémères conçus lors des Expositions universelles, le site de Chaillot sous l'Occupation et lors de la Libération sont parmi les temps forts de l'exposition.

    Exposition conçue et réalisée par la Cité de l'architecture & du patrimoine / musée des Monuments français en partenariat avec les Archives nationales

    http://www.citechaillot.fr/fr/expositions/expositions_temporaires/24115-esprits_des_lieux.html

  • Catégories : A lire

    L'édition des petits livres. Fabienne Yvert

    Je fais des livres depuis 83.
    Exemplaires uniques tout d’abord, mais les exposer me posait un dilemne sans solution: ouverts à une page, sous vitrine, alors qu’ils étaient faits pour être vus & pour être lus (avec éventuellement abondance de texte).
    Que faire? Sortir du livre unique, trop fermé & confidentiel, pour aller sur le mur. Tout en gardant les caractéristiques qui me sont chères: — prépondérance du texte le plus souvent — accompagné d’une mise en page & en image qui relève d’une pratique artistique (peinture, sérigraphie, lithographie...). Mais là encore, une fois le travail exposé, le voilà rangé & plus du tout accessible, alors que le texte demande des lecteurs. L’autre solution, c’est donc de repenser le travail plastique pour en faire un livre, un «vrai», presque comme chez le libraire. C’est la 2ème version, complémentaire, du travail. Qui m’intéresse aussi parce qu’elle peut toucher un public différent.
    Depuis que je suis à Marseille, je ne fais que des livres. ( c’est bien suffisant !)
    L’Edition des Petits Livres est née en 89. C’est sous ce nom (au singulier) que je publie (& fait imprimer ou imprime moi-même) mes livres. Entre 20 & 1000 exemplaires. En photocopie, imprimante, tampons, sérigraphie, litho, gravure, offset, typo, lino, pomme de terre...
    Il s'agit (la plupart du temps) de parler du (de mon) quotidien; en célébrer les petits moments, les choses infimes & intimes, ordinaires. Sans que ça devienne indiscret, indélicat ou exhibitionniste. Afin que chacun puisse s’y reconnaître et s’y retrouver, se l’approprier.
    Il arrive que l’EdPL invite un(e) autre artiste, dont j’aime le travail, à publier sous sa bannière.

    http://www.hors-normes.com/oldsite/yvert.html

  • Catégories : Courbet Gustave, Nerval Gérard de

    "L'Europe des esprits ou la fascination de l'occulte, 1750-1950»

     

    Jusqu'au 12/02/2012 | Exposition | Strasbourg (67)

    Grâce à une muséographie très subtile, une exposition strasbourgeoise parvient à parcourir quatre mille ans de confluences entre occultisme, art, littérature et science, de l’Égypte antique au surréalisme.

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  • Catégories : Aix-en-Provence(13,Bouches-du-Rhône):séjours, Le paysage

    Voyage du 26 au 29 janvier (pour ceux et celles qui n'avaient pas compris)

    L'inconvénient du blog c'est c'est que vous lisez mon voyage à l'envers; je viens de les remettre à l'endroit. 

    Il y a 29 notes

    Travaillant à malheureusement à mi-temps(si vous avez un mi-temps sur Sté en doc, bibli ou musée...), la contrepartie est que j'ai du temps pour voyager, écrire, lire et travailler sur mes sujets très ouverts; dans ce voyage:

    -revoir les paysages de Paul Cézanne à Aix-en-Provence(dans le cadre de mes études sur les rapports entre paysage, poésie et peinture)

    - voir les expo sur le cirque(dans le cadre de mes études sur la représentation des bohémiens dans l'art et la littérature) au Musée Chagall(qui est de mes peintres préférés) et Fernand Léger que j'ai pu mieux découvrir

     

  • Catégories : Balades, La langue (française)/ les langues

    Quelques définitions(Pour Elisabeth)

     

    BALADE, subst. fém.
     
    Fam. Flânerie, promenade sans but précis. Être, aller en balade; faire une balade :
    1. Le jour baissait, elles [Pauline et Nana] faisaient un dernier tour de balade, elles rentraient dans le crépuscule blafard, au milieu de la foule éreintée.
    Zola, L'Assommoir, 1877, p. 713.
    2. Dans l'après-midi du dimanche, les voisins partaient faire une balade à bicyclette, ils allaient se baigner à une dizaine de kilomètres de là...
    E. Triolet, Le Premier accroc coûte deux cents francs, 1945, p. 227.
    3. Le dimanche (...) la famille s'offrait le cinéma ou une petite balade très bourgeoise.
    H. Bazin, La Tête contre les murs, 1949, p. 210.
    P. ext. Sortie, excursion vers des lieux relativement proches.
    1re attest. 1855 (d'apr. Esn. 1966); déverbal de balader* étymol. 3. [balad]. Homon. ballade. Fréq. abs. littér. : 28.
    BBG. − Darm. 1877, p. 50. − Guiraud (P.). Le Jargon de la Coquille. Cah. Lexicol. 1967, t. 11, no 2, p. 46, 52. − Ritter (E.). Les Quatre dict. fr. Rem. lexicogr. B. de l'Inst. nat. genevois. 1905, t. 36, p. 356. − Sain. Lang. par. 1920, p. 226.
     
    VOYAGE, subst. masc.
    I. − [À propos d'un animé]
    A. − Déplacement que l'on fait, généralement sur une longue distance, hors de son domicile habituel. Le premier [l'Espagnol] veut de grands voyages, le second [l'Anglais] des voyages importants, le troisième [l'Allemand] des voyages utiles, le quatrième [le Hollandais] des voyages lucratifs, et le cinquième [le Français] des voyages rapides (Joubert, Pensées, t. 1, 1824, p. 393).

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  • Nous avons aimé le 26 janvier: Les deux garçons(où allait Cézanne)

    Nous avons mangé 26 JANVIER éà&é 014.jpg27 JANVIER 2012 013.jpg dans un terrasse chaussé par des braseros et dessous un, je crevais de chaud car il ne faisait pas froid

    Le surlendemain, il tombait sur la côte une pluie froide et dimanche soir à Sté, la neide

    Depuis lundi le froid n'a cessé de s'intensifier(-6 ce matin à l'abri) et la neide depuis mardi

    Et sur les trottoirs, ça brille et ça glisse

  • Catégories : Blog

    Après Aix , je suis allée à Nice

    pour visiter 2 musées et 2 expos: cf. CI-DESSOUS

    Je crois que peu de gens(même parmi ceux qui lisent  mon blog), -une peut-être qui se reconnaîtra- à part mon mari(qui me prend au sérieux et crois en moi), commprennent que ces voyages et ballades s'inscrivent dans le cadre de mon travail d'écriture sur les rapports entre paysage, poésie et peinture

    et sur la représentation notamment des bohémiens

    que j'ai voulu utiliser au travail mais....

    Ce que je fais aujourd'hui, ce n'est pas du loisir, c'est de la vie liée pour moi au travail, à l'écriture

     

  • Fondation Saint-John Perse à la Cité du livre d'Aix-en-Provence le 27 janvier 2O12

    Missions

    La Fondation poursuit plusieurs missions :
    - conserver et valoriser le patrimoine unique donné par Saint-John Perse à la Ville d'Aix-en-Provence en 1975 (plus de 14 000 documents) 
    - développer la recherche en constituant notamment une documentation critique sur l’homme et l’œuvre
    - faire connaître son œuvre littéraire et son action diplomatique
    - accueillir d’autres créateurs liés au monde de l’écriture (auteurs, plasticiens, éditeurs)
    - organiser toutes manifestations culturelles visant à approfondir les connaissances, notamment celles touchant la poésie française moderne.

    Activités

    La Fondation est d’abord un conservatoire des collections de l’écrivain. Une bibliothèque de recherche s’est ensuite constituée autour de la donation initiale. Dotée d’un espace d’exposition et d’une salle de lecture, la Fondation fonctionne aussi comme un lieu d’animations et de créations, ouvert à toutes formes d’art. Une boutique permet enfin la diffusion des publications sur le poète, dont les catalogues et revues éditées par la Fondation.

    Création

     
    Poète « à l’âme sans tanière », Alexis Leger dit Saint-John Perse a consacre ses dernières années à concevoir le volume de ses œuvres complètes de la « Bibliothèque de la Pléiade » et à rassembler ses archives littéraires et diplomatiques. Établis depuis 1957 au bout de la presqu’île de Giens, sans héritier direct, Saint-John Perse et son épouse américaine Dorothy donnent à la Ville d’Aix-en-Provence en 1975 l’ensemble de leurs collections. Une Fondation est créée afin de conserver et de communiquer au public ces archives exceptionnelles. Le fonds ainsi constitué s’enrichit au fil des acquisitions et des donations :

    - donations de Dorothy Leger et de son fils Robert Auchincloss (1985, 1995)
    - dons de Claude Garanjoud (1995, 1999)
    - don d'Henri Maccheroni (1995)
    - don d'Albert Henry (1999).

    Pourquoi Aix-en-Provence ?

    La Bibliothèque du Congrès à Washington ainsi que diverses villes françaises – dont une grande cité de la Côte d’Azur – avaient manifesté leur désir d’accueillir ces archives. Fidèle spectateur du festival d’art lyrique, Saint-John Perse était sensible à la renommée culturelle et universitaire d’Aix-en-Provence, à la présence de touristes américains, à son héritage gallo-romain, à l’élégance de son architecture. Son ami Pierre Guerre – écrivain lié aux Cahiers du Sud, avocat, collectionneur, donateur du Musée des Arts Africains et Océaniens de Marseille – ainsi que Félix Ciccolini, alors Sénateur-Maire d’Aix-en-Provence, influencèrent incontestablement le choix de la cité aixoise.

    La Cité du Livre

    Abritée dans un premier temps à l’Hôtel de Ville, la Fondation est installée depuis 1989 sous les verrières de la Cité du Livre, aux côtés de la Bibliothèque municipale Méjanes. D’autres fonds patrimoniaux y sont conservés, comme la célèbre bibliothèque du Marquis de Méjanes léguée aux États de Provence en 1786 et les documents déposés par la famille d’un autre Prix Nobel de littérature : Albert Camus. La Cité du Livre offre un bel exemple de réhabilitation d’une architecture industrielle du XIXe siècle. Ce centre culturel, ancienne usine d’allumettes, est aujourd’hui situé au cœur de Sextius-Mirabeau – l’une des réalisations les plus marquantes en centre ville – à proximité de grands équipements : le « Pavillon noir » (ballet Preljocaj-Centre chorégraphique national de la région PACA) et le « Grand théâtre de Provence » (salle de spectacles du Pays d’Aix).

    Administration

    Organisme privé reconnu d’utilité publique, la Fondation est administrée par un conseil composé de personnalités françaises et étrangères appartenant à des organismes publics et privés, ainsi qu’aux milieux intellectuels et économiques. Un petit neveu du poète y siège également.

    Président
    M. Yves-André ISTEL

    Directrice
    Mme Muriel CALVET

    Ressources

    Ses ressources proviennent :
    - du mécénat
    - de la Municipalité d’Aix-en-Provence
    - de la Fondation de France
    - des collectivités territoriales (Conseil régional Provence-Alpes-Côte d’Azur, Conseil général des Bouches du Rhône)
    - du Ministère de la Culture (Direction régionale des affaires culturelles, Centre national du Livre)
    - de dons de l’Association des Amis de la Fondation Saint-John Perse.27 JANVIER 2012 090.jpg

    http://www.fondationsaintjohnperse.fr/html/fondation.htm

    pHOTO PERSO

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  • Vendredi 27 janvier , je suis repassée devant l'atelier de Cézanne

    C'est à 3h de mon lieu de travail et de vie; plus qu'une ballade  mais un voyage faisable en 3-4 jours

    Je crois que peu de gens(même parmi ceux qui lisent  mon blog), -une peut-être qui se reconnaîtra- à part mon mari(qui me prend au sérieux et crois en moi), commprennent que ces voyages et ballades s'inscrivent dans le cadre de mon travail d'écriture sur les rapports entre paysage, poésie et peinture

    et sur la représentation notamment des bohémiens

    que j'ai voulu utiliser au travail mais....

    Ce que je fais aujourd'hui, ce n'est pas du loisir, c'est de la vie liée pour moi au travail, à l'écriture

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