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  • Catégories : CDI du Lycée Hôtelier Le Renouveau, MON TRAVAIL

    Les vraies racines du wasabi

     

    La culture du rhizome nécessitant un sol toujours humide, la Wasabi Company s'est implantée dans le Dorset, au sud de Londres. Une râpe en galuchat pour exhaler tous les arômes de la plante.

    La culture du rhizome nécessitant un sol toujours humide, la Wasabi Company s'est implantée dans le Dorset, au sud de Londres. Une râpe en galuchat pour exhaler tous les arômes de la plante. Crédits photo : RachelAdams/BNPS/BNPS.co.uk

    Ce condiment qui escorte les sushis n'est la plupart du temps en Francequ'une vulgaire contrefaçon. Mais depuis peu, la donne change.

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  • Catégories : CDI du Lycée Hôtelier Le Renouveau, MON TRAVAIL

    « Danone pourrait atteindre 35 milliards d’euros de ventes d’ici dix ans »

     

    LE MONDE | 20.02.2014 à 13h00 • Mis à jour le 20.02.2014 à 16h04 | Par Philippe Escande et Laurence Girard

     

    Franck Riboud, PDG de Danone,le 18 février, au siège du groupe.

    Franck Riboud, PDG de Danone,le 18 février, au siège du groupe. | Vincent NGUYEN / Riva Press/Vincent NGUYEN pour le Monde

     

    Le PDG de Danone, Franck Riboud, a annoncé, jeudi 20 février, une baisse de son bénéfice net de 15 %, à 1,4 milliard d'euros en 2013. La fausse alerte au botulisme de son fournisseur Fonterra, qui a affecté ses ventes de lait infantile en Chine, lui a coûté 370 millions d'euros de chiffre d'affaires et 306 millions de marge opérationnelle. Pour 2014, Danone table sur une croissance comprise entre 4,5 et 5,5 %.

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  • La crise à « Libération » s’aggrave avec le conflit entre actionnaires et dirigeants

     

    LE MONDE | 20.02.2014 à 11h38 | Par Alexandre Piquard

    Au siège de « Libération », le 3 septembre.

     

    Au siège de « Libération », le 3 septembre. | AFP/FRED DUFOUR

     

    C'est un « coup de force » qui a eu lieu à Libération, mercredi 19 février, selon certains protagonistes de ce dossier de plus en plus tendu. A l'occasion du conseil de surveillance, le coprésident du directoire, Philippe Nicolas, a été débarqué par l'actionnaire de référence du quotidien, Bruno Ledoux, et son représentant, François Moulias.

     

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  • La nouvelle Tate Britain

     

    Rédigé par . D'ARCHITECTURES
    Publié le 19/11/2013

     

     

    Deux ans de travaux et 38 millions d'euros plus tard, la Tate Britain a présenté hier son nouveau visage, imaginé par l'agence Caruso St John. Son projet de rénovation, qui concerne l'entrée côté Tamise, la rotonde et la partie sud-est du bâtiment, vise à révéler les qualités du musée d'origine tout en améliorant sa circulation et en créant de nouveaux espaces. La rotonde, entièrement restaurée, accueille un escalier en spirale permettant aux visiteurs d'accéder à de nouveaux espaces d'exposition et de restauration. Le balcon circulaire, fermé depuis les années 1920, a également été restauré et offre ainsi un café avec un bar de 14m de long. Le projet inclue également la ré-ouverture de l'entrée du musée située côté Tamise : la Millbank Entrance. Elle permet de retrouver l'agencement original des salles et une meilleure fluidité des circulations.

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'art

    Ousmane Sow, premier Noir à l'Académie française des beaux-arts

    Ousmane Sow passe le pont des Arts, l'épée à la main

    Le Monde | 10.12.2013 à 22h02 • Mis à jour le 16.12.2013 à 12h11 | Par Véronique Lorelle

     
     

    Ousmane Sow : Nouba debout et couple de lutteurs corps à corps.

    Le sculpteur Ousmane Sow, 78 ans, va entrer à l'Académie des beaux-arts à Paris, en tant que membre associé étranger, le premier Africain à entrer sous cette coupole-là. Ce mercredi 11 décembre, à 15 heures, l'artiste sénégalais sera installé par le sculpteur Jean Cardot, dans un fauteuil précédemment occupé par le peintre américain Andrew Wyeth (1906-2001), alors que le monde célèbre la mémoire de Neslon Mandela, que Sow a statufié.

     
     Mandela occupera une place extraordinaire dans l'histoire de l'humanité, comme Gandhi ou Jésus : il est arrivé à réconcilier un peuple ; je ne dis pas qu'il n'y a plus de racisme en Afrique du Sud mais il en a fait une société apaisée », explique Ousmane Sow dont la statue du dirigeant sud-africain, sculptée en 2009, se trouve au siège de la Compagnie française d'Afrique occidentale à Sèvres (Hauts-de-Seine).

    L'entrée d'Ousmane Sow à l'Académie des beaux-arts va réunir une foule plus bigarrée qu'à l'ordinaire, des chanteurs France Gall ou Youssou N'Dour à l'écrivain Jean Christophe Rufin jusqu'au couturier d'origine tunisienne Azzedine Alaïa, qui lui a offert son habit de cérémonie. C'est l'ancien président du Sénégal Abdou Diouf, secrétaire général de l'Organisation internationale de la Francophonie, qui remettra l'épée au nouvel académicien. Ousmane Sow en a dessiné lui-même le pommeau, avec un homme Nouba en plein vol plané. « Je l'appelle le saut dans l'inconnu », explique le géant à la barbiche blanche, « car je ne regrette pas de m'être lancé dans l'art à 50 ans passés », avec de premières grandes sculptures représentant des lutteurs Nouba du Sud-Soudan, inspirées par le travail photographique de la cinéaste Leni Riefensthal.

    "La mère et l'enfant", d'Ousmane Sow, décembre 2012.

    Né à Dakar en 1935, Ousmane Sow débarque à Paris à l'âge de 22 ans, où il vit de petits boulots avant d'entrer à l'école de kinésithérapie de Boris Dolto, un personnage qui le marquera fortement. A l'indépendance du Sénégal, en 1960, il opte pour la nationalité de son pays natal où il s'installe. Après plusieurs décennies à soigner les corps, il choisit de les modeler dans une mixture dont il a le secret, à base de sable, de paille et de jute, soit une vingtaine de produits longuement macérés ensemble. La carrière d'Ousmane Sow a pris un tour décisif à partir de 1999 quand, en face de ce même Institut de France, il expose ses sculptures sur le pont des Arts, au-dessus de la Seine.

    3 MILLIONS D'ADMIRATEURS POUR « LE GRIOT DE LA GLAISE »

    Trois millions de personnes ont admiré ses œuvres gigantesques, grandiloquentes et sensuelles, pétries de terre africaine. Les critiques d'art contemporain avaient beau s'étonner de cet engouement pour une œuvre figurative, décrier le « tapage » médiatique, les curieux ont continué d'affluer sur le pont, au point que certains se sont inquiétés de sa solidité. « Le pont des Arts est un événement qui est resté dans les mémoires, dans tous les pays : les gens m'en parlent comme si c'était hier, en se trompant de dates ou de pont de Paris, mais ils ont encore les yeux qui brillent », se félicite Ousmane Sow, surnommé « le griot de la glaise » par l'écrivain John Marcus.

    Séance d'essayage avec Azzedine Alaïa (à gauche) qui a créé et offert le costume d'académicien à Ousmane Sow.

    Ethnies d'Afrique puis Indiens d'Amérique représentant, en 1999, « la bataille de Little Big Horn », éclatante victoire sur le général Custer : Ousmane Sow fait l'apogée des fragiles contre les puissants, de David contre Goliath. « Ceux qui se soumettent sans rien tenter ne m'intéressent pas : j'aime souligner que les petits ont une chance contre l'asservissement », confirme-t-il. Après ces grandes séries, l'artiste a représenté des personnalités qu'il estime, de celles qui empêchent « de désespérer du genre humain ».

    TRENTE ANS APRÈS LÉOPOLD SENGHOR

    Dans la série intitulée « Merci », on trouve pêle-mêle : son propre père (un poilu de 14-18), Victor Hugo, le Général de Gaulle, Martin Luther King, Nelson Mandela... Il doit prochainement livrer une statue de Toussaint Louverture – libérateur de Haïti mort dans une prison française – commandée par la ville de La Rochelle, qui a décidé d'assumer son passé négrier.

    Trente ans après un autre Sénégalais, Léopold Senghor, reçu le 2 juin 1983 à l'Académie française, Ousmane Sow considère comme « un véritable honneur que de représenter aujourd'hui le peuple noir au sein de l'Institut ».

    "Le guerrier debout", d'Ousmane Sow.

    • Véronique Lorelle
      Journaliste au Monde
  • Decorum

    Tapisettapisseriesd'artistes

    / 11 octobre 2013 - 9 février 2014 /

    Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris met l’art textile en lumière avec l'exposition Decorum qui présente plus d’une centaine de tapis et de tapisseries signés par des artistes modernes (Fernand Léger, Pablo Picasso) et contemporains (Dewar & Gicquel, Vidya Gastaldon).

    Decorum permet de découvrir les œuvres tissées, souvent insoupçonnées, d’artistes majeurs et le travail d’artistes injustement méconnus (Guidette Carbonell). Des pièces anonymes de différentes époques et régions sont également exposées afin de déceler des influences et d’engager des confrontations.

    Objets à la fois visuels et tactiles, esthétiques et fonctionnels, facilement transportables (Le Corbusier qualifiait ses tapisseries de « Muralnomad »), tapis et tapisseries transcendent les habituelles frontières des arts décoratifs et du design

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  • Sur les rives de Saône, l'art ne fait pas de vagues

    Mots clés : River movie, Lyon, Wim Wenders

    Duponchelle, Valérie
    12/09/2013 | Mise à jour : 06:00


    Baptisé The River Movie  , douze artistes ont participé à un réaménagement urbain des rives de la Saône, entre Lyon et Neuville-sur-Saône.


    Le calme après la tempête? Tandis que l'art contemporain joue les agents provocateurs à la Sucrière et au MAC de Lyon, le voici réinterprété en version champêtre et tous publics pour rythmer les nouve...

     

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  • Catégories : CE QUE J'AIME. DES PAYSAGES, Le paysage, Voyage

    Retours de mer - MBA

    5 octobre 2013 - 31 janvier 2015

    La mer, de tous temps, est l’objet de fascination et de fantasmes. Le rêveur, le poète, le voyageur, le colonisateur, le commerçant, le navigateur,…. chacun développe un rapport intime et unique à cet infini miroir d’eau.

    Fondée sur les collections du musée accumulées au fil du temps, l’exposition Retours de mer nous conte une histoire des relations de Dunkerque et plus largement de l’Occident avec le monde. Pour la plupart données par des Dunkerquois ou des habitants de la région, capitaines au long cours, armateurs, consuls, explorateurs, négociants, collectionneurs… ces collections nous font voyager à travers les continents, de l’Océanie aux Amériques, du Maghreb au Groenland, de l’Afrique de l’Ouest au Moyen-Orient et à l’Asie du Sud-Est.
    Le musée de Dunkerque, comme celui de nombreuses autres villes portuaires, Boulogne-sur-Mer, Dieppe, Marseille, Nantes, La Rochelle…, offre ainsi un miroir de l’histoire des échanges entre les hommes, par-delà les mers et les frontières, qu’ils soient marqués par la curiosité, par des liens commerciaux, par la solidarité ou des rapports de force.

    Articulée autour de quelques œuvres emblématiques et de cartes maritimes, l’exposition met en lumière les rapports ambivalents que l’homme peut entretenir avec la mer : d’une part, l’inquiétude et l’effroi qu’elle engendre (tempêtes, naufrages, tsunamis,…), les violences qui s’y déroulent (batailles navales, traite et esclavage, boat people,…), les dominations qu’elle facilite (conquêtes, colonisation, exploitations commerciales…) ; d’autre part, l’invitation au voyage, les rêves qu’elle suscite, les rencontres et les découvertes qu’elle favorise. Retours de mer évoque également la façon dont, aujourd’hui, la mondialisation redéfinit les cartes.

     

    Dans le cadre de "Capitale régionale de la culture, Dunkerque 2013"

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  • De Véronèse à Casanova

     

    Exposition au Musée des Beaux-Arts

    De Véronèse à Casanova - Parcours italien dans les collections de Bretagne

    14 décembre 2013 - 2 mars 2014

     

    Les musées des beaux-arts de Rennes et de Quimper présentent successivement une grande exposition des peintures italiennes conservées dans la région. La manifestation a pour vocation de mettre en valeur et de faire connaître le patrimoine de la Bretagne historique, en exposant les fleurons des collections italiennes des musées de Brest, Dinan, Morlaix, Nantes, Quimper, Rennes, Vannes et ainsi que les plus belles œuvres des églises bretonnes ; soit 85 peintures de tout premier ordre offrant un panorama représentatif de la peinture italienne des XVIe au XVIIIe siècles

     

    Coproduction musée des beaux-arts de Quimper. Avec la participation exceptionnelle du musée des beaux-arts de Nantes.

     

    Regards sur la collection :

    Léonard, Raphaël, Michel-Ange, dessins italiens du musée des beaux-arts de Rennes

     

    A l’occasion de l’exposition De Véronèse à Casanova, le musée des beaux-arts de Rennes présente une sélection de dessins italiens de la Renaissance (XVe et XVIe siècles) issus de son riche et prestigieux cabinet d’art graphique. Provenant presqu’exclusivement de la collection réunie au XVIIIe siècle par le président de Robien et saisie chez les héritiers de ce dernier à la Révolution, cet ensemble se distingue par la présence de feuilles très rares d’artistes clefs tels que Léonard de Vinci, Raphaël ou Michel-Ange.

     

     Plus d'information sur www.mbar.org

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  • Catégories : CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, L'art

    Picasso, Léger, Masson : Daniel-Henry Kahnweiler et ses peintres

    Jusqu'au 12 janvier 2014

    Depuis sa réouverture, le LaM rend régulièrement hommage aux collectionneurs, galeristes et amateurs d’art qui, en alliant passion et patience, discrétion et générosité, on fait toute la richesse des collections des musées de France. Grâce aux prêts généreux du Centre Georges Pompidou, le musée retrace dans un parcours exceptionnel l’histoire de la Galerie Louise Leiris. Riche en rebondissements, elle est étroitement liée à la collection d’art moderne du LaM : Roger Dutilleul et Jean Masurel lui ont été fidèles pendant plusieurs décennies, constituant un ensemble d’oeuvres à la fois personnel et fortement imprégné des principes esthétiques du maître des lieux, Daniel-Henry Kahnweiler.

    Celui qui va devenir le marchand des cubistes « héroïques », Georges Braque et Pablo Picasso, ouvre sa première galerie en 1907. Fernand Léger, Juan Gris et plus tard Henri Laurens rejoignent son « écurie ». La Première Guerre mondiale contraint Kahnweiler à ouvrir une seconde galerie en 1920, la Galerie Simon, qui accueille une nouvelle génération d’artistes : André Beaudin, Eugène de Kermadec et surtout André Masson, point de contact avec le surréalisme. À cette époque apparaît la figure de Louise Godon, sa belle-fille, qui assiste Kahnweiler dans la gestion de son établissement. Devenue l’épouse de Michel Leiris en 1926, elle rachète le fonds et donne son nom à la galerie lorsque le marchand est à nouveau contraint de quitter Paris, pendant la Seconde Guerre mondiale. Toujours maître à bord et fidèle à ses artistes, Kahnweiler organise à partir des années 1950 d’innombrables expositions Picasso, dont il a désormais l’exclusivité.

    Déployée dans les salles de présentation permanente, l’exposition présente côte à côte des oeuvres du LaM issues de la Donation Geneviève et Jean Masurel, et celles que Louise et Michel Leiris ont offertes au Musée national d’art moderne - Centre Georges Pompidou. Assortie de prêts complémentaires provenant de collections privées et publiques, elle retrace l’histoire d’une galerie plus que centenaire. La figure de Michel Leiris, discrète mais présente pendant plusieurs décennies, permet, en contrepoint, de poser un regard original sur les « terrains » partagés du poète, des marchands et de leurs artistes : primitivisme, autobiographie et écriture.

    Cette exposition, célébrant les 30 ans du musée, bénéficie des prêts exceptionnels du Musée national d’art moderne / Centre Georges Pompidou, Paris. Elle est reconnue d’intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/Direction générale des patrimoines/Service des musées de France. Elle bénéficie à ce titre d’un soutien financier exceptionnel de l’État.