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Le masque mortuaire de l'empereur Napoléon Ier exposé au musée des Armées à Paris ne serait pas le bon, le véritable ayant été déposé dans un musée à Londres puis revendu aux enchères en 2004, affirme un historien, Bruno Roy-Henry, dans le journal Libération du 18 août.
D'après lui, un tableau peint par l'Anglais Charles Locke Eastlake en 1815 le prouve: l'empereur y porte une petite cicatrice sur la joue gauche, qui n'apparaît pas sur son masque mortuaire officiel, alors qu'elle est présente sur le masque britannique.
Le masque de son maître d'hôtel ?
L'exemplaire conservé au Invalides pourrait représenter le visage du maître d'hôtel de Napoléon Cipriani Franceschi, selon Libération.
Cette "embrouille de masques et de cicatrice" pourrait relancer la polémique qui agite les cercles napoléoniens, souligne le journal, et étayer la thèse de ceux qui pensent que Napoléon a été empoisonné à Sainte-Hélène et que le cadavre qui a été rapatrié en France en 1840 ne serait pas le sien mais celui de son maître d'hôtel décédé trois ans plus tôt.
En effet, le masque juvénile conservé par la France ressemble plus à Cipriani Franceschi qu'à un Napoléon vieillissant et obèse.
Au ministère de la Défense, gardien du musée des Armées, on ne faisait aucun commentaire à ce sujet samedi.
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| Publié le 29/03 à 12:05 |
L'histoire
Bâtie au Xllème siècle, la demeure du Clos-Lucé devint sous François ler emblématique du mouvement de la Renaissance en France. Le monarque y fit venir peintres, architectes et poètes. Mais c'est Léonard de Vinci qui a marqué le domaine de son empreinte. Lui qui avait passé sa vie entre Florence, Rome et Milan, dispensant ses services d'ingénieur, y vécut les trois dernières années de sa vie et y mourut.
En 1516, invité à résider au Clos-Lucé par François ler, Léonard de Vinci fait venir d'Italie trois de ses toiles les plus célèbres : la "Joconde", la "Sainte-Anne" et le "Saint Jean-Baptiste", qu'il termine dans la propriété. Le roi de France veut que l'artiste y soit "libre de penser, de rêver et de travailler". Vinci, en retour, accomplit diverses missions : il est tour à tour metteur en scène des fêtes de la Cour, ingénieur militaire et civil ou encore urbaniste.
La visite
De nos jours, la chambre de l'artiste peut être visitée. C'est là qu'il mourut, veillé, selon certains, par François ler. Au sous-sol, on peut voir des maquettes reproduisant, d'après les dessins de Vinci, ses principales inventions hydrauliques, navales ou aériennes. La visite de la chapelle est également une bonne incursion dans l'univers du maître. Sur les murs, on peut voir trois fresques du XVIème siècle vraisemblablement peintes par ses disciples à sa demande.
Le manoir, restauré au XIXème siècle, ne présente plus aux visiteurs le visage que le génie lui a connu. Un important chantier de restauration a été ouvert en 1960 pour rendre à la demeure l'atmosphère de la Renaissance.
Le Clos-Lucé ne dévoilera pas tous les mystères entourant Léonard de Vinci. Ainsi, l'entrée du souterrain secret du Clos-Lucé que François Ier aurait emprunté pour rendre visite au génie reste-t-elle scellée à jamais.
Le parc du château accueille désormais un parcours initiatique sur les traces de Léonard de Vinci :
» Leonard da Vinci, un génie en pleine nature
| En savoir plus | ||||
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Trois restaurations de grande ampleur, deux créations dans les sites d’anciens musées et une célébration nationale vont marquer la nouvelle année.
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| Jacques Hamon Publié le 28/12 à 13:57 |
http://cultureetloisirs.france2.fr/patrimoine/actu/27095620-fr.php
L'une des fresques du monastère des Santi Quattro Coronati, à Rome - (AFP/Patrick Hertzog)
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| Publié le 07/12 à 15:15 |
http://cultureetloisirs.france3.fr/patrimoine/actu/26621808-fr.php
Le projet de reconstruction du palais incendié sous la Commune prend corps. Un décret paru au «Journal officiel» du 9 juin dernier crée une commission auprès du ministre de la Culture, chargée de l'étudier.