Recueil de poèmes en hommage aux deux auteurs
On a gagné!!!!!!!
Bravo les Verts!
Merci Sté, ma ville , celle que j'ai choisie
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Bravo les Verts!
Merci Sté, ma ville , celle que j'ai choisie
il y a 21 heures ... Le dispositif, intitulé 'Sport santé sur ordonnance' et financé par la ... Forme et bien-être ... euros, est mené dans le cadre du Contrat local de Santé, qui rassemble la ville, ... Le sport bientôt remboursé par la Sécurité sociale ?
www.allodocteurs.fr/actualite-sante-sport-sur-ordonnance-medicale- strasbourg-se-lance--8646.asp?...
Je précise que cet article n'est pas de moi (lien vers la page citée et si possible son auteur)mais que je suis auteure(inspirée par ce que j’aime, donc par ce blog) et que vous pouvez commander mes livres en cliquant sur les 11 bannières de ce blog |
Cyrille Haddouche(Sport24.com) Mis à jour le 26/10/2012 à 11:23 | publié le 26/10/2012 à 09:20
Prolongation jusqu'au 15 octobre 2012
L’artiste aux nombreux talents Auguste Morisot (1857-1951), mène une carrière discrète. Après une formation à l’École des Beaux-Arts de Lyon, il en devint un professeur. Il expose alors dans les Salons lyonnais, et sa peinture, d’inspiration symboliste, est la plus connue de son travail.
En 2008, le musée a acquis une série de dessins et aquarelles de l’artiste, pour la plupart des projets de vitraux des années 1890-1900, réalisés pour décorer son appartement lyonnais. Cet ensemble se rapporte aussi bien à un travail de dessinateur qu’aux arts appliqués. Les scènes intimistes de la vie quotidienne représentant son épouse et sa fille, d’un style Art Nouveau chatoyant, ont souvent été rapprochées de l’œuvre de Maurice Denis ou des Nabis.
L'exposition, complétée par des prêts extérieurs, permettra de mieux faire connaître l’œuvre de cet artiste complet dont les thèmes de prédilection sont la majesté de la forêt et les joies du foyer.
de 6 jours de Saint-Etienne(Loire, 42, Rhône-Alpes où nous habitons pour la 2e fois , à 60 kms environ au sud de Lyon, à 10h après que l'infirmier m'ait permis de partir) et Lavelanet (Ariège, 09, Midi-Pyrénées, où nous avons avons vécu il y a 10 ans environ pendant 3 ans et où j'ai retrouvé ma 3e grand-mère à une centaine de kms de l'Espagne) en passant par la Lozère(3e séjour, halte de 2 jours), l'Aveyron, le Tarn, l'Ariège, la Haute-Garonne, le Cantal et la Haute-Loire
Photos quand il y aura du temps entre les vacances de mon cher retraité actif(dont je veux profiter), la visite de l'infirmier vendredi pour m'enlever les fils, les douleurs aux deux mains, les grasse mat, les siestes, les lectures en retard, les rangements, les projets de livre, les films au ciné art et essai, les courses, les balades dans le coin, les réflexions sur l'avenir, le soleil, les apéro, 19 mois sans fumer , la piscine que je pourrais bientôt reprendre, les abdos, etc.
LE FLASH Actualité S'abonner au Figaro.fr
Deux ans après sa réouverture, le Musée national Jean-Jacques Henner renouvelle profondément la présentation de ses collections permanentes et propose une exposition qui met en lumière la place du paysage dans l'œuvre de Henner (1829-1905). Plus de 90 peintures et dessins, sorties spécialement des réserves et restaurées, retracent l'itinéraire artistique du peintre et permettent de saisir de la singularité de sa démarche.
Alors qu'une partie des artistes de la deuxième moitié du XIX° siècle s'efforcent de témoigner de leur temps et de leur environnement en empruntant leurs sujets dans la vie quotidienne et en utilisant des techniques novatrices, dites impressionnistes, Henner construit, au contraire, un univers pictural qui lui est propre où la réalité observée se transforme en vision onirique. Dès 1864, après cinq années passées comme pensionnaire à la Villa Médicis à Rome, il abandonne ainsi la peinture « d'après nature » pour s'attacher à recréer dans son atelier un paysage idéal en s'inspirant des maîtres anciens, poètes ou peintres. Nus bucoliques, nus idylliques, nymphes et autres naïades peuplent un paysage rêvé, celui de son Alsace perdue.
Le "petit journal" de l'exposition : à télécharger
Découvrez quelques images de l'exposition :
http://www.flickr.com/photos/hennerintime/sets/72157628343329301/
Retrouvez l'exposition sur Facebook : https://www.facebook.com/events/283233748404675/
Autres actualitésL’invention d’un passionné, Joseph Pilates, un allemand né en 1880, qu’une santé fragile aurait du condamner à un corps chétif et à une vie précaire. C’était sans compter une volonté de fer et une passion pour le corps humain et l’anatomie. Il commence par développer sa musculature, pratique plusieurs sports et invente des mouvements destinés à entretenir, rééduquer et développer le corps. Aboutissement de ses recherches, la "Contrology", une approche globale du corps comprenant plus de 500 exercices à effectuer dans un ordre bien précis et basés sur la respiration, la concentration, la relaxation, le contrôle de soi, l’alignement, le centrage et la fluidité.
http://www.doctissimo.fr/html/forme/sports/articles/9665-methode-pilates.htm
C’est une nage alternée, relativement simple au niveau de l’apprentissage.
Malgré tout beaucoup de nageurs ne sont pas motivés par cette nage car ils n’arrivent pas au premier abord à maîtriser les 3 paramètres essentiels : la flottaison, la respiration et la vision. Et donc cette nage ne paraît pas toujours agréable à nager au début même s’il ne s’agit que d’un petit cap à passer.
Une fois l’appréhension de l’espace arrière dépassée la progression est rapide.
Fitness signifie forme physique. Un programme de fitness permet de retrouver, d'entretenir ou d'améliorer la condition physique. Le Body Pump est un exemple de programme de fitness. Les exercices de fitness sont réalisés en endurance musculaire et cardio-vasculaire, collectivement ou seul, en salle de sport ou à la maison, plus rarement en extérieur. En salle les cours de fitness sont des chorégraphies en musique ou des séances de renforcement musculaire sans charge, au poids de corps, ou avec des poids légers et du petit matériel. Les répétitions sont nombreuses avec des charges qui ne dépassent jamais 70% de la charge maximale. La force maximale et la prise de masse de type bodybuilding ne font pas partie des objectifs du fitness
A la rentrée 2011, l’équipe de documentalistes s’est étoffée ce qui permet au CDI de vous accueillir sur des plages horaires plus étendues (8-18h sauf mercredi : 8-12h et jeudi, fermeture à 17h).
Avis aux lycéens !
Au CDI, vous trouverez une vingtaine de périodiques pour les élèves et l’équipe éducative. Il y en a pour tous les goûts : actualité, histoire, science, art etc. Comme les documentaires, vous pouvez en emprunter un pour une semaine. Vous pouvez garder les fictions (rangées en littérature jeunesse et littérature générale) 2 semaines.
La salle informatique est ouverte à tous mais son usage est réservé au travail scolaire.
Outre les prêts, les documentalistes assurent une formation pour les 6e, un accompagnement personnalisé pur les 2ndes et les 1eres. Le CDI accueille aussi les groupes de TPE et d’ECJS.
Les documentalistes participent aussi au projet « Un monde en poésie » pour l’Unité 500 en liaison avec la pastorale de l’établissement.
3 ateliers d’écriture sont proposés et les volontaires doivent s’inscrire avant les vacances de Toussaint. Ils adouciront ainsi la vie quotidienne des petits malades.
Le CDI est aussi associé aux projets culturels : « L’atelier du peintre », « Gilgamesh » et « Le Tigre bleu de l’Euphrate. »
Le défi-lecture pour les 6 e va être lancé en collaboration avec les professeurs de français.
Le CDI proposera bientôt des nouveautés pour satisfaire l’appétit de lecture et la curiosité des élèves. Les documentalistes sont à l’écoute des demandes, des suggestions des élèves et des collègues.
Comme chaque année, le CDI proposera un travail sur la presse : il s’agit- en apprenant le vocabulaire spécifique- d’inciter à la lecture de la presse, vecteur d’information et de culture.
Comme tout l’établissement, le CDI possède un règlement (silence, calme, respect des autres, du droit d’auteur et du matériel) à respecter. Merci à l’avance.
Le Centre d’informations et de documentation… un espace pour apprendre, pour découvrir des livres et pour se ressourcer …
Venez nombreux et bonne lecture !!!
Ecrit par mes collègues et moi
NAVIGATEUR SOLITAIRE
À présent, chaque mille que je naviguerai vers l’ouest
m’éloignera de tout. Pas le moindre signe
de vie : ni poissons, ni oiseaux, ni sirènes,
ni cafard zigzaguant sur la couverture.
Seulement l’eau et le ciel, l’horizon détruit,
la mer, qui chante toujours comme moi la même chanson.
Ni poissons, ni oiseaux, ni sirènes,
ni cette étrange conversation sur la sentine
que perçoit l’oreille aux heures de calme.
Seulement l’eau et le ciel, le roulis du temps.
La nuit, l’étoile Achernar apparaît sur la proue ;
entre les haubans, Aldébaran ; à tribord,
un peu plus haut que l’horizon,
le Bélier. Alors j’amène, je dors. Et le néant,
avec délicatesse, vient manger dans ma main.
Horacio Castillo (Arpa 99)
Elle chantait. Et c’était comme
la roche doit se réjouir
d’être pour l’eau ruisselante un passage
ou comme le cageot dans l’herbe
défend son coin
de lumière quand vient le soir
et l’écorce du sapin n’est plus
qu’une rose halte.
Tant, disait-elle, que cette joie
reconnaîtra son lieu en ma voix.
Judith Chavanne (Arpa 98)
CE QUE SEPTEMBRE DÉCLENCHE
Quand à la fin,
la peau trop gonflée,
d'un coup
le grain de l'été se déchire,
c'est le monde qui fait eau
et chacun par la déchirure
qui cherche à s'enfuir.
Toi non. Tu es toujours là
à aller le long de ton fleuve
goûtant une à une
les gouttes détachées
de sa trop longue et brûlante
journée.
Jean-Marc Sourdillon (Arpa 97)
LE MYSTÈRE DE LA BEAUTÉ
L’absolu s’est manifesté dans un verre
d’eau, quand le soleil est apparu derrière un nuage
et lui a donné un éclat inattendu dans le plus
gris des matins. Parfois, pense l’agnostique,
ce qui est invraisemblable naît d’une simple explication
logique comme si le hasard n’existait pas. Ce qu’il
fait, cependant, c’est se mettre à la place de l’homme
qui n’accepte pas que la beauté puisse naître de rien,
quand il découvre qu’il est à la frontière entre ce
qu’on sait et ce qu’on n’a pas même besoin de
comprendre. C’est pour ça que, en buvant l’eau, j’ai senti
l’éclat du matin me remplir l’âme, comme
si l’eau était plus qu’un liquide incolore
et inodore. Cependant, quand j’ai posé le verre vide,
que j’ai senti le manque de la lumière qui l’avait rempli, j’ai pensé :
comme elle est fragile cette petite beauté,
peut-être aurait-il mieux valu que je reste avec ma soif.
Nuno Júdice (Arpa 96)
(traduit par l'auteur et Yves Humann)
LE PROMENOIR MAGIQUE
la promenade au fond du parc
avait lieu les soirs de grand vent
c’était la guerre et le printemps
ne devait jamais revenir
cependant contre toute attente
nous étions heureux dans l’exil
et de ce bonheur déchirant
nous goûtions le sel dans nos larmes
Jean-Claude Pirotte (Arpa 95)
APRÈS L’ÉPIPHANIE
Les lumières des crèches
s’éteignent dans la ville.
Il ne reste que les miettes
clignotantes de l’étoile
tombée en mer et sur la terre :
le fanal d’un pêcheur,
minuscule entre deux vagues,
les phares dédoublés
sur l’asphalte humide
– et toi qui t’allumes
avec d’autres ici-bas
dans l’aube assombrie
où les nuages seuls
ont remplacé la nuit
pour indiquer l’enfant
à ceux qui le cherchent
LA TOURTERELLE
à Jean-Marc
Le soleil de mars peine à réchauffer
le cœur de chaque chose.
La tourterelle seule en haut du noyer
reflète sa tendresse
comme si elle avait la lune dans la gorge.
Elle répond à notre place,
telle une sœur aînée,
en attendant le frisson de la pierre,
celui de la feuille à l’intérieur de l’arbre
et celui de l’homme, encore plus secret,
avec une tache de sang dans la voix :
c’est le consentement amoureux aux douleurs
de toute naissance,
au martyre dans les pays lointains,
aux sacrifices de la ménagère
qui l’écoute longuement
derrière sa vitre embuée à midi.
Jean-Pierre Lemaire (Arpa 94)
PRIÈRE
Mon Dieu ! si plus tard un jour je suis faible,
Si, perdant ma solitude aimée,
Je cède à mon désir de gloire
Et que de moi se détache ce qu’on appelle un livre, –
Mon Dieu ! que ce ne soit pas un livre de vacances, un livre de plage :
Un livre que des gens riches prennent pour passer le temps
Ou être au courant,
Mais qu’un jeune homme le soir en sa chambre solitaire
Le lise avec toute son âme,
Qu’ayant souffert tout le jour des gens trop bêtes
et de la vie trop rude,
Blessé dans sa chair et dans son cœur, –
Il me prenne, moi,
Comme la coquille où l’on entend la mer,
Pour le mener en la nuit heureuse
Où vous l’attendez.
Mon Dieu ! que ce jeune homme m’aime,
Qu’il ait le désir de me serrer les mains,
Qu’il m’appelle son ami, –
Qu’en lui il y ait joie !
Guillevic (Arpa 83)
(Strasbourg, 10/1/29)
http://www.arpa-poesie.fr/Pagepoeme.html
Alfred Stevens, La Lettre de rupture, vers 1867,
huile sur toile H. 0,745 m ; L. 545 m,
Paris, Musée d'Orsay
Dès la lecture du titre, le spectateur comprend tout de suite le thème de cette œuvre. Après avoir considérer de haut en bas la longue figure féminine qui se détache claire sur un fond sombre, le regard s’arrête sur le détail presque anodin de la lettre que la femme tient dans sa main droite. Détail presque anodin, en effet, parce que le peintre s’est plu à donner au papier le même colori que la robe, si bien que l’on a l’impression que la femme tient plutôt un pan de celle-ci. Mais ce détail est loin d’être anodin car il est le centre du drame qui se joue sur cette toile et que le titre éclaire d’un jour sans équivoque : Cette femme au regard triste et songeur vient de recevoir une lettre de rupture.
Le peintre belge Alfred Stevens (1823-1906) s’est fait une spécialité dans la représentation dans leur quotidien de femmes issues d’un milieu aisé. Pourtant, ce ne sont pas des portraits de riches bourgeoises, malgré l’impression que l’on en a, mais bien des scènes de genre à un seul personnage. Les titres de ses œuvres permettent d’ailleurs de discerner les genres. Loin d’être de « simples » portraits, les œuvres de Stevens racontent une histoire. Elles dépeignent une seconde de la vie d’une femme, un moment décisif, mais, laissent la porte ouverte à l'interprétation. Le spectateur saura deviner les tenants et les aboutissants de la scène. C'est là tout l'art de l'artiste : laisser le spectateur faire preuve de suffisamment de sagacité pour comprendre ses tableaux.
Dans la toile qui nous préoccupe, Stevens montre une femme à l'instant précis où elle vient de finir la lecture de la lettre et, encore sous le choc des mots, subit les assauts de sentiments disparates. On ne lit presque rien sur son visage mais l’on sait qu’elle éprouve de la haine, de l’amour, de la jalousie, de la tristesse, de la colère, du désespoir… Tous ces sentiments qui affluent en même temps l’empêchent de parler, de bouger, de pleurer, de crier… Il est facile pour le spectateur d’interpréter ce que la jeune femme ressent. Tout être humain a vécu la même situation.
D'un point de vue technique, le peintre accentue l'impression de cassure grâce au décor de l'œuvre. Nous l’avons dit, il s’agit d’un fond sombre que n’anime nullement un coin aux couleurs chaudes, des oranges et des jaunes. Sur la droite, dans une mince bande verticale se voit une fleur dans un bac. Ce détail nous donne la clef pour comprendre où se tient la jeune femme, elle s’est réfugiée dans l’ombre d’un paravent pour pouvoir lire secrètement la lettre qu’elle vient de recevoir. Mais dans ce coin qu’elle avait pu croire un refuge et dans lequel elle semble flotter parce que l’on distingue difficilement le sol, s’agitent des formes sombres, visualisation des tortures qui harcèlent son esprit. Même la tache aux couleurs chaudes au-dessus de son épaule droite, n’égaie pas l’espace. Ce lieu est la figuration de ses sentiments : écarté de la vie quotidienne, tout y est brisé, informe, taché, avili, à l’image de son amour.
Par des sujets comme celui-ci, qui racontent des anecdotes réalistes que tout un chacun connaît, Alfred Stevens a acquis une grande renommée dans la haute société du second Empire puis de la troisième République. Pourtant, ce ne sont en rien des tableaux que l’on serait tenté de classer dans l’Académisme. Beaucoup de choses s’y opposent en effet :
Le cœur se serre
Comme un poids sur la poitrine
Etouffement
Palpitation
Les jambes qui lâchent
Les genoux qui se dérobent
Partir, revenir
Se poser, reposer
Le corps qui trahit
L’âme en pluie
Etouffement
Palpitation
Douleurs qui irradient
Mal tapi
Partir, revenir
Se poser, reposer
2 mars 2011
Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 11 livres en vente sur ce blog
Parc des Princes (Les Grands Footballeurs), 1952
Huile sur toile, 200 x 350 cm
Collection particulière
Cet immense tableau de 7 mètres carrés, où la pâte est étalée avec fermeté à l’aide de larges spatules, a été commencé, dans l’exaltation, la nuit même du match. Il y a là des masses de matière, tangibles, colorées qui laissent surgir des corps, sous la menace d’un grand fond noir qui peut à tout moment les engloutir. Ces masses (blanches, vertes, ocres, bleues), mises côte à côte, jouent comme une partition humaine pour qu’émerge une silhouette. La bataille des formes sur la toile rejoint la bataille des joueurs sur le stade. Une bataille qui évoque celle de Paolo Uccello, admirée par le peintre.
Chez de Staël, le couteau ou la taloche ne sont pas les outils d’une expression “spontanée”, mais cherchent à saisir la forme-couleur dans une unité première, la pâte colorée. Cela fait de la couleur une matière vivante, corporelle, qui exige des manipulations complexes, et une maîtrise des pulsions. L’émotion, chez lui, ne coule jamais directement sur la toile par le tube, le pinceau ou la truelle, à l’inverse de Jackson Pollock et de l’expressionnisme abstrait américain.
http://www.centrepompidou.fr/education/ressources/ENS-destael/ENS-destael.html
http://www.lefigaro.fr/autres-sports/2011/03/02/02021-20110302ARTSPO00570-lamy-chappuis-en-or.php