Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Sport - Page 37

  • Pépites de CDI

    A la rentrée 2011, l’équipe  de documentalistes s’est étoffée  ce qui permet au CDI de  vous accueillir sur des plages horaires plus étendues (8-18h sauf mercredi : 8-12h et jeudi, fermeture à 17h).

    Avis aux lycéens !

    Au CDI, vous trouverez une vingtaine de périodiques pour les élèves et l’équipe éducative. Il y en a pour tous les goûts : actualité, histoire, science, art etc. Comme les documentaires, vous pouvez  en emprunter un pour une semaine. Vous pouvez garder les fictions (rangées en littérature jeunesse et littérature générale) 2 semaines.

    La salle informatique est ouverte à tous mais son usage est réservé au travail scolaire.

    Outre les prêts, les documentalistes assurent une formation pour les 6e, un accompagnement personnalisé pur les 2ndes et les 1eres. Le CDI  accueille aussi les groupes de  TPE et d’ECJS.

    Les documentalistes participent aussi au projet « Un monde en poésie »  pour l’Unité 500 en liaison avec la pastorale de l’établissement.

    3 ateliers d’écriture sont proposés et les volontaires doivent s’inscrire avant les vacances de Toussaint. Ils adouciront ainsi la vie quotidienne des petits malades.

    Le CDI est aussi associé aux projets culturels : « L’atelier du peintre », « Gilgamesh » et  « Le Tigre bleu de l’Euphrate. »

    Le défi-lecture pour les 6 e va être lancé en collaboration avec les professeurs de français.

    Le CDI proposera bientôt des nouveautés pour satisfaire l’appétit de lecture et la curiosité des élèves. Les documentalistes sont à l’écoute des demandes, des suggestions des élèves et  des collègues.

    Comme chaque année, le CDI  proposera un travail sur la presse : il s’agit- en apprenant le vocabulaire spécifique- d’inciter à la lecture de la presse, vecteur d’information et de culture.

    Comme tout l’établissement, le CDI  possède un règlement (silence, calme, respect des autres, du droit d’auteur et du matériel) à respecter. Merci à l’avance.

     

    Le Centre d’informations et de documentation… un espace pour apprendre, pour découvrir des livres et pour se ressourcer …

     

                                                                                  Venez nombreux et bonne lecture !!!

     Ecrit par mes collègues et moi

  • Un vrai bijou:"Ces petits bouts de rien"de Liliane Warlet-Motet(nouvelle rubrique)

    320.jpg

    Tellement de banalités dans notre vie quotidienne, que fugacité et immuabilité se tiennent la main, face à l'indifférence pour la plupart d'entre nous. Pourtant "ces petits bouts de rien",sont là pour démontrer combien émotions et sentiments peuvent se transmettre l'instant d'un regard. Silence éloquent,image saisissante,en dix sept syllabes et trois vers, le tout n'est qu'un jeu
     
    A commander ici: 
     
    Le blog de Liliane:

     

  • Des poèmes dans Arpa

    NAVIGATEUR SOLITAIRE

    À présent, chaque mille que je naviguerai vers l’ouest
    m’éloignera de tout. Pas le moindre signe
    de vie : ni poissons, ni oiseaux, ni sirènes,
    ni cafard zigzaguant sur la couverture.
    Seulement l’eau et le ciel, l’horizon détruit,
    la mer, qui chante toujours comme moi la même chanson.
    Ni poissons, ni oiseaux, ni sirènes,
    ni cette étrange conversation sur la sentine
    que perçoit l’oreille aux heures de calme.
    Seulement l’eau et le ciel, le roulis du temps.
    La nuit, l’étoile Achernar apparaît sur la proue ;
    entre les haubans, Aldébaran ; à tribord,
    un peu plus haut que l’horizon,
    le Bélier. Alors j’amène, je dors. Et le néant,
    avec délicatesse, vient manger dans ma main.

    Horacio Castillo (Arpa 99)

     

    Elle chantait. Et c’était comme
    la roche doit se réjouir
    d’être pour l’eau ruisselante un passage
    ou comme le cageot dans l’herbe
    défend son coin
    de lumière quand vient le soir
    et l’écorce du sapin n’est plus
    qu’une rose halte.

    Tant, disait-elle, que cette joie
    reconnaîtra son lieu en ma voix.

    Judith Chavanne (Arpa 98)

     

     

    CE QUE SEPTEMBRE DÉCLENCHE

    Quand à la fin,
    la peau trop gonflée,
    d'un coup
    le grain de l'été se déchire,
    c'est le monde qui fait eau
    et chacun par la déchirure
    qui cherche à s'enfuir.

    Toi non. Tu es toujours là
    à aller le long de ton fleuve
    goûtant une à une
    les gouttes détachées
    de sa trop longue et brûlante
    journée.

    Jean-Marc Sourdillon (Arpa 97)

     

    LE MYSTÈRE DE LA BEAUTÉ

    L’absolu s’est manifesté dans un verre
    d’eau, quand le soleil est apparu derrière un nuage
    et lui a donné un éclat inattendu dans le plus
    gris des matins. Parfois, pense l’agnostique,
    ce qui est invraisemblable naît d’une simple explication
    logique comme si le hasard n’existait pas. Ce qu’il
    fait, cependant, c’est se mettre à la place de l’homme
    qui n’accepte pas que la beauté puisse naître de rien,
    quand il découvre qu’il est à la frontière entre ce
    qu’on sait et ce qu’on n’a pas même besoin de
    comprendre. C’est pour ça que, en buvant l’eau, j’ai senti
    l’éclat du matin me remplir l’âme, comme
    si l’eau était plus qu’un liquide incolore
    et inodore. Cependant, quand j’ai posé le verre vide,
    que j’ai senti le manque de la lumière qui l’avait rempli, j’ai pensé :
    comme elle est fragile cette petite beauté,
    peut-être aurait-il mieux valu que je reste avec ma soif.

    Nuno Júdice (Arpa 96)

    (traduit par l'auteur et Yves Humann)


     

    LE PROMENOIR MAGIQUE

    la promenade au fond du parc
    avait lieu les soirs de grand vent

    c’était la guerre et le printemps
    ne devait jamais revenir

    cependant contre toute attente
    nous étions heureux dans l’exil

    et de ce bonheur déchirant
    nous goûtions le sel dans nos larmes

    Jean-Claude Pirotte (Arpa 95)


    APRÈS L’ÉPIPHANIE

    Les lumières des crèches
    s’éteignent dans la ville.
    Il ne reste que les miettes
    clignotantes de l’étoile
    tombée en mer et sur la terre :
    le fanal d’un pêcheur,
    minuscule entre deux vagues,
    les phares dédoublés
    sur l’asphalte humide
    – et toi qui t’allumes
    avec d’autres ici-bas
    dans l’aube assombrie
    où les nuages seuls
    ont remplacé la nuit
    pour indiquer l’enfant
    à ceux qui le cherchent


    LA TOURTERELLE

    à Jean-Marc

    Le soleil de mars peine à réchauffer
    le cœur de chaque chose.
    La tourterelle seule en haut du noyer
    reflète sa tendresse
    comme si elle avait la lune dans la gorge.
    Elle répond à notre place,
    telle une sœur aînée,
    en attendant le frisson de la pierre,
    celui de la feuille à l’intérieur de l’arbre
    et celui de l’homme, encore plus secret,
    avec une tache de sang dans la voix :
    c’est le consentement amoureux aux douleurs
    de toute naissance,
    au martyre dans les pays lointains,
    aux sacrifices de la ménagère
    qui l’écoute longuement
    derrière sa vitre embuée à midi.

    Jean-Pierre Lemaire (Arpa 94)

     

    PRIÈRE

    Mon Dieu ! si plus tard un jour je suis faible,
    Si, perdant ma solitude aimée,
    Je cède à mon désir de gloire
    Et que de moi se détache ce qu’on appelle un livre, –
    Mon Dieu ! que ce ne soit pas un livre de vacances, un livre de plage :
    Un livre que des gens riches prennent pour passer le temps
    Ou être au courant,
    Mais qu’un jeune homme le soir en sa chambre solitaire
    Le lise avec toute son âme,
    Qu’ayant souffert tout le jour des gens trop bêtes
    et de la vie trop rude,
    Blessé dans sa chair et dans son cœur, –
    Il me prenne, moi,
    Comme la coquille où l’on entend la mer,
    Pour le mener en la nuit heureuse
    Où vous l’attendez.
    Mon Dieu ! que ce jeune homme m’aime,
    Qu’il ait le désir de me serrer les mains,
    Qu’il m’appelle son ami, –
    Qu’en lui il y ait joie !

    Guillevic (Arpa 83)

    (Strasbourg, 10/1/29)
    http://www.arpa-poesie.fr/Pagepoeme.html

  • Alfred Stevens


    Alfred Stevens, La Lettre de rupture, vers 1867,
    huile sur toile H. 0,745 m ; L. 545 m,
    Paris, Musée d'Orsay

            Dès la lecture du titre, le spectateur comprend tout de suite le thème de cette œuvre. Après avoir considérer de haut en bas la longue figure féminine qui se détache claire sur un fond sombre, le regard s’arrête sur le détail presque anodin de la lettre que la femme tient dans sa main droite. Détail presque anodin, en effet, parce que le peintre s’est plu à donner au papier le même colori que la robe, si bien que l’on a l’impression que la femme tient plutôt un pan de celle-ci. Mais ce détail est loin d’être anodin car il est le centre du drame qui se joue sur cette toile et que le titre éclaire d’un jour sans équivoque : Cette femme au regard triste et songeur vient de recevoir une lettre de rupture.
            Le peintre belge Alfred Stevens (1823-1906) s’est fait une spécialité dans la représentation dans leur quotidien de femmes issues d’un milieu aisé. Pourtant, ce ne sont pas des portraits de riches bourgeoises, malgré l’impression que l’on en a, mais bien des scènes de genre à un seul personnage. Les titres de ses œuvres permettent d’ailleurs de discerner les genres. Loin d’être de « simples » portraits, les œuvres de Stevens racontent une histoire. Elles dépeignent une seconde de la vie d’une femme, un moment décisif, mais, laissent la porte ouverte à l'interprétation. Le spectateur saura deviner les tenants et les aboutissants de la scène. C'est là tout l'art de l'artiste : laisser le spectateur faire preuve de suffisamment de sagacité pour comprendre ses tableaux.
            Dans la toile qui nous préoccupe, Stevens montre une femme à l'instant précis où elle vient de finir la lecture de la lettre et, encore sous le choc des mots, subit les assauts de sentiments disparates. On ne lit presque rien sur son visage mais l’on sait qu’elle éprouve de la haine, de l’amour, de la jalousie, de la tristesse, de la colère, du désespoir… Tous ces sentiments qui affluent en même temps l’empêchent de parler, de bouger, de pleurer, de crier… Il est facile pour le spectateur d’interpréter ce que la jeune femme ressent. Tout être humain a vécu la même situation.
            D'un point de vue technique, le peintre accentue l'impression de cassure grâce au décor de l'œuvre. Nous l’avons dit, il s’agit d’un fond sombre que n’anime nullement un coin aux couleurs chaudes, des oranges et des jaunes. Sur la droite, dans une mince bande verticale se voit une fleur dans un bac. Ce détail nous donne la clef pour comprendre où se tient la jeune femme, elle s’est réfugiée dans l’ombre d’un paravent pour pouvoir lire secrètement la lettre qu’elle vient de recevoir. Mais dans ce coin qu’elle avait pu croire un refuge et dans lequel elle semble flotter parce que l’on distingue difficilement le sol, s’agitent des formes sombres, visualisation des tortures qui harcèlent son esprit. Même la tache aux couleurs chaudes au-dessus de son épaule droite, n’égaie pas l’espace. Ce lieu est la figuration de ses sentiments : écarté de la vie quotidienne, tout y est brisé, informe, taché, avili, à l’image de son amour.
            Par des sujets comme celui-ci, qui racontent des anecdotes réalistes que tout un chacun connaît, Alfred Stevens a acquis une grande renommée dans la haute société du second Empire puis de la troisième République. Pourtant, ce ne sont en rien des tableaux que l’on serait tenté de classer dans l’Académisme. Beaucoup de choses s’y opposent en effet :

            Tout d’abord, Stevens est l’un des premiers à s’intéresser aux effets de l’art japonais. Parce que cet art s'oppose à la tradition occidentale, il peut en effet être considéré comme une influence fondamentale de la modernité. Dans son tableau, Stevens lui donne une place prépondérante. Ainsi, le détail de la fleur dans son bac, de l’autre côté du paravent et que celui-ci cache à moitié, symbole d’une jeunesse naïve qui vient de se briser, est tout ce qu’il y a de plus japonisant. De plus, d’une manière assez extraordinaire, bien que la toile soit d’un format assez banal, le découpage de l’espace pictural en trois longues bandes verticales donne l’impression que l’œuvre est beaucoup plus longue, comme un kakemono japonais.
            Par ailleurs, contrairement aux thèmes des œuvres dites académiques, les siens ne sont pas tout de suite reconnaissable, comme nous l’avons vu. Il faut un certain temps d’étude du tableau et souvent l’aide du titre pour en comprendre toute la portée anecdotique.
            Surtout, Alfred Stevens est un peintre indépendant, non « inféodé » à l’Institut puisqu’il a toujours vendu ses œuvres de la main à la main, grâce au Salon et bien sûr par l’intermédiaire des marchands d’art.
            Finalement, en représentant des scènes réalistes de la vie quotidienne et non des scènes historiques ou religieuses, il est un peintre de la vie moderne. L'un des premiers d'ailleurs, et, à ce titre, il peut être considéré comme le précurseur de Manet, dont il est un ami, de Fantin-Latour ou de Caillebotte.
            Malgré cela, on peut se demander pourquoi Alfred Stevens n’est pas rentré dans la postérité ? Nous avons déjà donné la réponse à ce fait : il a été l’un des peintres les plus renommés de la deuxième moitié du XIXe siècle. Cherchant à plaire pour vendre et n’innovant que très peu, il a trouvé ses clients dans la bourgeoisie.
            Cet exemple nous permet alors de démontrer qu’à cette époque l’art ne s’est pas résumé à un affrontement entre l’Académie et l’Avant-garde comme on a eu trop vite tendance à croire. Il y avait aussi et surtout une multitude de peintres renommés ou inconnus qui ont cherché à vivre le mieux possible de leur art. Ceux-ci n’ont voulu ni faire de la grande peinture, ni s’adonner à un genre trop « moderne », parce que des deux côtés les œuvres ne se vendaient pas.
            Il est vrai qu’il est facile de juger a posteriori et de dire que les artistes qui n’ont pas été impressionnistes ne méritent pas l’intérêt. Mais, d’une part, il fallait une certaine aisance financière pour pratiquer un style qui ne se vend pas et d’autre part, il fallait se sentir prêt à pouvoir innover, ce qui n’est pas donné à tout le monde.
  • Le coeur se serre

    Le cœur se serre

    Comme un poids sur la poitrine

     

    Etouffement

    Palpitation

     

    Les jambes qui lâchent

    Les genoux qui se dérobent

     

    Partir, revenir

    Se poser, reposer

     

    Le corps qui trahit

    L’âme en pluie

     

    Etouffement

    Palpitation

     

    Douleurs qui irradient

    Mal tapi

     

    Partir, revenir

    Se poser, reposer

     

    2 mars 2011

     

    Pour lire d'autres textes de moi, cf. mes 11 livres en vente sur ce blog

    100_0094.JPGPhotos perso de Montbrison  du 7 novembre 2010

    Lire la suite

  • Catégories : L'art, Sport

    Nicolas de Staël

    Parcdesprinces.jpgParc des Princes (Les Grands Footballeurs), 1952
    Huile sur toile, 200 x 350 cm
    Collection particulière

    Cet immense tableau de 7 mètres carrés, où la pâte est étalée avec fermeté à l’aide de larges spatules, a été commencé, dans l’exaltation, la nuit même du match. Il y a là des masses de matière, tangibles, colorées qui laissent surgir des corps, sous la menace d’un grand fond noir qui peut à tout moment les engloutir. Ces masses (blanches, vertes, ocres, bleues), mises côte à côte, jouent comme une partition humaine pour qu’émerge une silhouette. La bataille des formes sur la toile rejoint la bataille des joueurs sur le stade. Une bataille qui évoque celle de Paolo Uccello, admirée par le peintre.
    Chez de Staël, le couteau ou la taloche ne sont pas les outils d’une expression “spontanée”, mais cherchent à saisir la forme-couleur dans une unité première, la pâte colorée. Cela fait de la couleur une matière vivante, corporelle, qui exige des manipulations complexes, et une maîtrise des pulsions. L’émotion, chez lui, ne coule jamais directement sur la toile par le tube, le pinceau ou la truelle, à l’inverse de Jackson Pollock et de l’expressionnisme abstrait américain.

    http://www.centrepompidou.fr/education/ressources/ENS-destael/ENS-destael.html

  • Lyon s'offre un bol d'air européen

    LIGUE DES CHAMPIONS - Sans être génial, Lyon a décroché une victoire importante sur la pelouse de l'Hapoël Tel-Aviv (1-3). Un succès qui place l'OL en tête du groupe B mais qui surtout offre une belle bouffée d'oxygène au club rhodanien.


    » Tous les résultats de Ligue des Champions avec Sport24.com

    http://www.lefigaro.fr/football-coupes-d-europe/2010/09/29/02014-20100929ARTSPO00705-lyon-se-fait-du-bien.php

  • Catégories : Sport

    Les Bleus avec Payet et Gourcuff face à la Roumanie

    FOOTBALL - Laurent Blanc a dévoilé jeudi sa liste pour les matches qualificatifs à l'Euro 2012 contre la Roumanie le 9 octobre au Stade de France et le Luxembourg le 12 octobre à Metz. Dimitri Payet est appelé pour la première fois. Yoann Gourcuff et Samir Nasri sont de retour.

    http://www.lefigaro.fr/equipe-de-france-de-football/2010/09/30/02016-20100930ARTSPO00538-avec-payet-et-gourcuff.php

  • Catégories : Sport

    Le monde est All Black

    Par David Reyrat
    23/08/2010 | Mise à jour : 11:54

    Menés par leur capitaine Richie McCaw (à droite), les Néo-Zélandais ont remporté un nouveau Tri Nations en Afrique du Sud.
    Menés par leur capitaine Richie McCaw (à droite), les Néo-Zélandais ont remporté un nouveau Tri Nations en Afrique du Sud. Crédits photo : AP

    RUGBY - À un an de la Coupe du monde organisée sur ses terres, la Nouvelle-Zélande impressionne.

    Lire la suite

  • Catégories : Sport

    La France accueille les as du badminton

    Par Denis Lebouvier
    23/08/2010 | Mise à jour : 11:29

    Son nombre de licenciés a doublé en France ces dix dernières années et, en 2009, la progression a encore été de 14 %, pour un total de 145 000 licenciés.
    Son nombre de licenciés a doublé en France ces dix dernières années et, en 2009, la progression a encore été de 14 %, pour un total de 145 000 licenciés. Crédits photo : AFP

    Les Mondiaux organisés à Paris sont l'occasion de découvrir une discipline en plein essor

    Lire la suite

  • Catégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes textes en prose, Sport

    Marseille ouvre son compteur

     

     

    LIGUE 1 - Vainqueur solide de Lorient (2-0), Marseille a engrangé ses premiers points de la saison au Vélodrome. L’OM se rassure ainsi après un début de championnat complètement raté.
    » Lyon dans la douleur (Lyon 1 - 0 Brest)
    » Saint-Etienne prend un bon point (Rennes 0 - 0 Saint-Etienne)
    » Lens arrache le nul au courage (Lens 2 - 2 Monaco)
    » Troisième succès d'affilée pour Toulouse (Toulouse 2 - 1 Arles-Avignon)
    » Nice peut nourrir des regrets (Nice 1 - 1 Nancy)
    » Auxerre abonné aux matchs nuls (Auxerre 1 - 1 Valenciennes)

    http://www.sport24.com/football/homes-clubs/marseille/actualites/l-om-ouvre-son-compteur-408444/

  • Deux nouvelles médailles de bronze pour l'équipe de France de natation

    Deux nouvelles médailles de bronze pour l'équipe de France de natation

    Benjamin Stasiulis sur 200m et le relais 4x200m ont décroché deux médailles de bronze aux championnats d'Europe ce samedi. Sur 50 m,Bousquet et Gilot peuvent rêver d'un doublé après avoir survolé les débats en demi-finales.

    http://www.lefigaro.fr/autres-sports/2010/08/14/02021-20100814ARTSPO00403-les-bleus-abonnes-au-bronze.php

  • Catégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes textes en prose, Sport

    L'OM lanterne rouge après deux journées

     

    Malgré un sursaut d'orgueil en fin de match, Marseille a concédé une deuxième défaite en championnat en déplacement à Valenciennes (3-2). Les champions en titre s'enfoncent dans la crise.
    » Rennes sans pitié (Nancy 0 - 3 Rennes)
    » Auxerre pas encore au point (Brest 1 - 1 Auxerre)
    » Arles-Avignon passe à côté (Arles-Avignon 0 - 1 Lens)
    » Nice aime le synthétique (Lorient 1 - 2 Nice)
    » Saint-Etienne joue avec le feu (Saint-Etienne 3 - 2 Sochaux)

    http://www.lefigaro.fr/

  • Rouault offre un autre titre à la France

    NATATION - Sébastien Rouault a apporté une nouvelle médaille d'or à la France en devenant champion d'Europe du 1500 nage libre mercredi à Budapest. Camille Lacourt, Hugues Duboscq et Camille Muffat ont également assuré.

    http://www.lefigaro.fr/autres-sports/2010/08/11/02021-20100811ARTSPO00465-rouault-s-invite-a-la-fete.php

  • Athlétisme : le retour des champions

    lefigaro.fr
    02/08/2010 | Mise à jour : 17:24 Réagir

    Les athlètes de l'équipe de France ont quitté Barcelone pour rejoindre Paris. Réactions à la sortie de l'avion.

    La plupart des athlètes de l'équipe de France ont atterri à Roissy ce lundi, après avoir conquis 18 médailles aux Championnats d'Europe de Barcelone, un des meilleurs résultats de son histoire. Avec huit médailles d'or, les champions ont placé la France sur la deuxième marche du podium juste après la Russie.

    Des admirateurs se sont déplacés à l'aéroport pour les féliciter. Mardi, c'est le président de la République lui-même qui s'en chargera. Les médaillés seront reçus à déjeuner à l'Elysée. Pour Christophe Lemaitre, champion d'Europe du 100m et 200m, ce geste redonne à l'athlétisme la place qu'il mérite:

     

     

    Un succès généré, pour beaucoup, par l'excellent esprit d'équipe qui règne dans la nouvelle génération d'athlètes. C'est ce que pense Romain Barras, champion d'Europe de décathlon, ravi de l'ambiance de l'équipe:

     

     

    Et les encouragements mutuels sont importants, notamment quand la confiance des athlètes vacille d'une compétition à l'autre. Ce fut le cas de Renaud Lavillenie, champion d'Europe de saut à la perche:

     

     

    Heureux de rentrer en France, les athlètes ont été accueillis par leur famille et leurs amis. Myriam Soumaré, championne d'Europe du 200m, compte profiter de ces quelques instants de répit:

     

    Plus d'infos en vidéo sur itélé.fr

     

    Prochaine étape : les Championnats du monde d'athlétisme, l'an prochain en Corée du Sud.

    LIRE AUSSI:

    » Le triomphe historique de l'athlétisme français

    » La revanche des petits clubs et des entraîneurs bénévoles

  • Catégories : CE QUE J'ECRIS/CE QUE JE CREE, Mes textes en prose, Sport

    Athlétisme : le retour des champions

    lefigaro.fr
    02/08/2010 | Mise à jour : 17:24

    Les athlètes de l'équipe de France ont quitté Barcelone pour rejoindre Paris. Réactions à la sortie de l'avion.

    La plupart des athlètes de l'équipe de France ont atterri à Roissy ce lundi, après avoir conquis 18 médailles aux Championnats d'Europe de Barcelone, un des meilleurs résultats de son histoire. Avec huit médailles d'or, les champions ont placé la France sur la deuxième marche du podium juste après la Russie.

    Des admirateurs se sont déplacés à l'aéroport pour les féliciter. Mardi, c'est le président de la République lui-même qui s'en chargera. Les médaillés seront reçus à déjeuner à l'Elysée. Pour Christophe Lemaitre, champion d'Europe du 100m et 200m, ce geste redonne à l'athlétisme la place qu'il mérite:

     

     

    Un succès généré, pour beaucoup, par l'excellent esprit d'équipe qui règne dans la nouvelle génération d'athlètes. C'est ce que pense Romain Barras, champion d'Europe de décathlon, ravi de l'ambiance de l'équipe:

     

     

    Et les encouragements mutuels sont importants, notamment quand la confiance des athlètes vacille d'une compétition à l'autre. Ce fut le cas de Renaud Lavillenie, champion d'Europe de saut à la perche:

     

     

    Heureux de rentrer en France, les athlètes ont été accueillis par leur famille et leurs amis. Myriam Soumaré, championne d'Europe du 200m, compte profiter de ces quelques instants de répit:

     

    Plus d'infos en vidéo sur itélé.fr

     

    Prochaine étape : les Championnats du monde d'athlétisme, l'an prochain en Corée du Sud.

    LIRE AUSSI:

    » Le triomphe historique de l'athlétisme français

    » La revanche des petits clubs et des entraîneurs bénévoles

  • Déambulation poétique à Paris

    Déambulation poétique à Paris
    [jeudi 04 octobre 2007 - 10:00]
    Critique littéraire
    Couverture ouvrage
    Paris, Musée du XXIème siècle. Le dixième arrondissement
    Thomas Clerc
    Éditeur : Gallimard
    264 pages / 17,58 € sur
    Résumé :" Méthode : en marchant, je me saisis du monde dans le moment où il m'apparaît, par le corps et par les yeux, sans que voir me sépare." Thomas Clerc nous promène dans son Paris, Musée du XXIème siècle et nous livre un regard poétique sur le tumulte de la ville, les gens qui passent et autres petits incidents de "l'infra-ordinaire".
    Au XIXe siècle, la modernité de Balzac, que cite Walter Benjamin, s'essoufflait au seuil du Xe arrondissement de Paris : « Le grand poème de l'étalage chante ses strophes de couleurs depuis la Madeleine jusqu'à la porte Saint-Denis. »  . En courant à travers des blocs entiers d'immeubles - dentelles et lacis de matériaux brisés - et en exploitant les ressources de la construction métallique, les passages, remarque Benjamin, organisent comme des « mondes en miniature », mondes familiers et pourtant divergents qui en un même mouvement s'insinuent dans la ville et s'incorporent à la vie quotidienne. Paris, capitale du XXe siècle, rédigé par Walter Benjamin à la demande de l'Institut de recherche sociale de l'université de Francfort, dirigé par Max Horkheimer et Friedrich Pollock (étonnamment, Benjamin envoya son texte en mai 1935 à Adorno en revendiquant non ses années parisiennes mais ses années berlinoises et ses conversations avec Franz Hessel), montrait comment les « formes de vie nouvelle et les nouvelles créations à base économique et technique » du XIXe siècle entrent dans l'univers d'une fantasmagorie dont Haussmann fut le champion et Paris, la capitale. Et Paris, comme la foule, est un signe inévitable et débordé, un appel de notre imagination : « Rien d'étonnant à ce que tout intérêt de masse, la première fois qu'il monte sur l'estrade, dépasse de loin dans l'idée ou la représentation que l'on s'en fait ses véritables bornes », écrivaient Marx et Engels dans La Sainte-Famille.

    Lire la suite